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sábado, 27 de octubre de 2012

BIDI


Traducción con Google, no corregida

BIDI

5 octobre 2012
Eh bien, BIDI est avec vous. Et il vous salue. Et nous allons poursuivre, si vous le voulez bien, nos échanges.
Question : quels exercices respiratoires de Yoga peuvent pacifier le mental et l'émotionnel ?Il en existe d'innombrables. Dans chaque Yoga sont décrits des exercices concernant la respiration, et même, en-dehors du Pranayama. Maintenant, considérer que le mental et l'émotionnel, qui font partie de l'Illusion, doivent être calmés, te montrent déjà que c'est la personnalité elle-même qui veut agir contre elle-même : cela est possible. Mais, la première chose à réaliser, est, exactement, ce que je viens de te dire : se plaindre de son mental, se plaindre de son émotionnel, traduit l'implication de la personne dans les processus gênants qui sont vécus. La première chose à réaliser est donc une distanciation de ces émotions, de ces activités, qui ne concernent aucunement ce que tu Es. Ceci est le plus important. Dans un second temps, tu peux, effectivement, utiliser ce que bon te semble, pour agir sur eux. Mais, rends-toi compte que, agir sur eux, c'est déjà leur donner une certaine forme d'importance. Le Je sera toujours gêné par les émotions et le mental. Mais cela prouve simplement que la conscience est installée dans cette personne. Il y a donc une identification à ton mental et à ton émotionnel. Quoi que tu fasses, considère, d'ores et déjà, qu'ils ne t'appartiennent pas : ils sont là. Et, étant là, ils se manifestent. Celui qui a dépassé les émotions n'est pas insensible mais regarde simplement les émotions naître et disparaître, sans les retenir, en aucune façon, sans en être affecté, en aucune façon. Il est clair qu'il te faut donc te repositionner, à l'Intérieur de toi-même. Ce qui signifie que l'ensemble de ta vie a été souvent dirigé par les émotions et par le mental (aussi bien dans les joies que dans les peines). Ce qui perturbe, c'est l'alternance et les variations. Ce qui perturbe, c'est d'être conscient que quelque chose est perturbé. Mais ce qui sera perturbé est toujours la personne. Tant que la prise de distance, à ce niveau-là, n'est pas réalisée, il faut une expérience importante de la méditation, comme des techniques respiratoires, pour se désincruster de quelque chose qui a dirigé, le plus souvent, la plupart des vies des personnes. Quelle que soit la technique, le plus important ne sera jamais la technique, mais bien de voir, réellement, l'émotionnel et le mental comme ce qu'ils sont. La distanciation, la prise de distance est préalable à toute technique. Sinon, tu renforces, par la dualité elle-même : en voulant agir sur, tu agis contre. Et, agissant contre, tu te places, d'emblée, au sein de ta conscience, au sein de la dualité. L'Absolu n'est en rien concerné par les techniques concernant les différents sacs de l'Illusion. La meilleure chose à vérifier, par toi-même, c'est de constater que, dès que tu ne nourris plus, dès que tu distancies ce que tu Es des émotions, comme du mental, ils t'apparaîtront pour ce qu'ils sont, c'est-à-dire extérieurs à ce que tu Es, et sans aucune consistance. Toute émotion, toute sensation d'être envahi par le mental, ne représente, en définitive, que la seule et même peur : celle de l'Inconnu. .
Question : la vertu de la Grâce est de transcender le mental, les émotions et même le Soi ?
Je dirais, simplement, que la Grâce te fait Réaliser ta Nature, ton Essence, et l'Absolu. Quand la Grâce est là, il n'existe aucune autre place possible pour l'émotionnel et le mental. Tu ne peux pas Être et vivre une Grâce, la Demeure de Paix Suprême, et manifester ou percevoir, en même temps, quelque élément des émotions ou du mental au sein de ce que tu Es. La Grâce prend la place, toute la place. Elle ne lutte pas contre le mental, elle ne transcende pas le mental, elle l'annihile totalement. La Grâce ne peut pas être concomitante ou s'ajouter, se manifester, dans le même temps et le même espace, que les émotions et le mental : c'est l'un ou l'autre. .

Question : en méditation, atteindre un sommeil sans rêve, tout en étant conscient, est-ce se rapprocher de l'Absolu ?
Cela est Être dans l'Ultime Présence. Quand tu es là, sans rien d'autre, quand, uniquement, il y a cette Paix et cette Béatitude, sans vision, sans méditation, sans perception, alors, à ce moment-là, il y a Infinie Présence. Mais on ne peut pas approcher l'Absolu : il Est ou pas. La grande différence, entre l'Infinie Présence et l'Absolu avec forme, c'est que, dans l'Infinie Présence, il y a des oscillations vécues comme désagréables. L'Absolu sans forme passe d'un état à un autre, sans la moindre difficulté. Ce que tu Es, en Absolu, ne peut plus être affecté, perturbé, dérangé, par une quelconque activité de la personne. Quoi que fasse la personne, quoi que fasse ce sac, tu restes dans le même Absolu. Ce qui n'est pas le cas en Infinie Présence. La méditation ne permet pas d'être Absolu. C'est même l'arrêt de la méditation, pour celui qui pratique, qui crée l'Absolu. La méditation concerne le Soi, et parfois le Je, malheureusement. Mais l'Absolu ne peut être concerné par une quelconque méditation. Ce qui n'empêche pas, bien sûr, de te faire plaisir en méditant. Mais la méditation ne permettra jamais d'être Absolu, puisque, justement, l'Absolu Est, quand il y a abandon du Soi. Donc comment méditer sur le Soi et vivre le Soi, en méditation, et Être Absolu ? C'est impossible. L'enquête sur qui tu Es, ramener à la conscience les premiers moments d'Unité dans la petite enfance, sont bien plus importants que toute méditation. La méditation, au bout d'un certain temps, ou d'habitude de pratique, devient toujours un narcissisme exagéré : le besoin de se contempler dans cette Paix. C'est l'Illusion spirituelle. Jusqu'à preuve du contraire, personne, où que ce soit, n'a été Absolu avec forme, au décours ou à la suite d'une méditation. Le Soi est réalisable par la méditation mais certainement pas l'Absolu qui est, justement, l'abandon du Soi. La méditation, c'est considérer qu'il y a un Je et un Soi. Et donc la méditation permet de trouver le Soi : c'est l'Éveil, mais, en aucun cas, la Libération.

Question : comment peut-on approfondir la prise de conscience du cœur du Cœur ?
C'est le moment où l'Infinie Présence découvre, en Soi, et pour le Soi, et par le Soi, que le Centre est présent en toute place, qu'il n'y a pas de différence entre tel Centre et tel Centre parce qu'en définitive, ce sont les mêmes Centres qui est le Centre, partout. Le cœur du Cœur est l'instant où l'abandon du Soi, est, si je peux dire, touché : il reste à le vivre. C'est le moment où il n'y a plus de possibilité, pour la Conscience Unifiée, pour le Soi, de possibilité d'être identifié à quoi que ce soit. Et il y a donc une désidentification du Soi, qui se produit aussi. Le Je ramène tout au centre de lui-même. Le Soi fait rayonner, au Centre, un élément nouveau, où le Je n'est pas. Le Centre du Centre, c'est le moment où le Soi commence à ne plus être identifié au centre de Soi. C'est cela, l'abandon du Soi et la découverte (ou la redécouverte) du centre du Centre ou cœur du Cœur. C'est à ce moment-là que se vit le Nectar.

Question : faut-il tout abandonner pour retrouver l'Absolu ?Qui a dit d'abandonner qui que ce soit, sauf le Soi ? Le problème est un problème de point de vue, et d'identité, ainsi que d'identification. Dès que le point de vue change, dès que tu n'es plus identifié à quoi que ce soit, alors, l'Absolu est là. Mais tu ne peux pas te battre contre le « je », ni même envisager de combattre le Soi. Le Soi disparaît par Abandon de toute revendication et de toute justification. Ce corps, ce mental, ces émotions, sont éphémères : laisse-les vivre, elles ne t'ont rien demandé. Cela ne correspond pas vraiment à tout abandonner. S'Abandonner, n'est pas abandonner des choses extérieures.
Question : une expérience d'Unité vécue après avoir obtenu une Grâce, est-elle un prélude à l'Infinie Présence, ou bien est-ce l'Infinie Présence ?
Les deux sont possibles. Mais, le plus souvent, ce qui est caractéristique de votre temps, incarné, c'est justement ces expériences de Présence, ou d'Infinie Présence, survenant par la Grâce, ou par les prémices de l'Abandon du Soi. Que cela soit réalisé par l'action du Soi, par une Communion avec des autres Plans, ou par un moment d'angoisse, le résultat est le même :
le Noyau Immortel est repéré, au centre du Centre. C'est de cette fulgurance, ou de cette Grâce, que sont posés des jalons ou des repères. Qui nécessitent, eux aussi, de disparaître.
Question : si l'on se sent mourir, alors que l'on n'est pas malade, cela provient-il du passage dans l'Abandon du Soi ?
Toutes les conditions sont bonnes, pour la Lumière, pour te pousser à te reconnecter à ce que tu Es : comme je te l'ai dit, que ce soit l'impression de mourir, une angoisse, une Grâce, une Vibration, peu importe. La Lumière agira, par la manière et par la façon qui est, pour toi, la plus adéquate. En fonction de ce que vous ont dit les Anciens, vous passez d'un état à un autre et, pour certains, d'un état à tous les états. Tout Passage nécessite une mort de l'ancien, de ce qui n'a pas à exister au sein de l'Éternité, même si l'Absolu sous-tend et comprend aussi bien l'être que le non-être. Parce que l'un et l'autre (être et non être) sont toujours définis l'un par rapport à l'autre, manifestés ou non manifestés : cela ne concerne aucunement l'Absolu. Il y a une rupture, quelque part. Cette rupture sera toujours, de votre côté, une rupture de l'éphémère, quelle que soit la façon dont cela se produit. Que cela soit une angoisse, une vraie maladie (illusoire, elle aussi, mais qui touche le sac), que ce sac soit présent ou que ce sac disparaisse, comme tu le verras, ne change rien à ce que tu Es. Seul le narcissisme d'attachement à une identité, à une évolution spirituelle (qui est une escroquerie), est le frein le plus puissant à ce que vous Êtes. La Perfection n'est pas demain. La Perfection n'est pas hier. La Perfection n'a rien à voir avec ce monde. Ce monde disparaît, c'est d'ailleurs ce que vous faites en méditation, mais là, bien plus que la disparition en méditation, je dirais que c'est une disparition lucide, acceptée et Transcendée. Tout dépend, effectivement, de ce mécanisme d'acceptation, qui précède l'Abandon du Soi. Tant que ces mécanismes, concernant la Conscience, ne sont pas apparus comme évidents, il y a résistance à ce que tu Es, c'est-à-dire Absolu.

Question : que penser d'une situation où l'on ne sait plus qui l'on est, ni ce que l'on doit faire, ou ne pas faire ?
Justement, n'en pense rien. Parce que, qui veut penser quelque chose ? à propos de cela ? Le « je
». Dès qu'il y a dés-identification, tel que tu le décris, surtout ne pense pas. Vis ce qui est. C'est ce que tu Es. Justement, dès qu'il n'y a plus de repère, de personne, d'identité, d'action, c'est à ce moment-là que tu Es. Donc, surtout, n'en pense rien. Parce que la pensée ne concerne pas l'Absolu. Elle concernera toujours la Création, et la manifestation de l'être. Comme je le disais, dès l'instant où tu ne comprends plus, dès l'instant où tu ne sais plus à quoi te raccrocher, dès que le mental ne trouve plus d'explication, alors, tu y Es. Et ce qui appelle cet état, où le sens de l'identité a disparu, c'est justement de le vivre. La preuve, c'est qu'ici, tu sais, et exprime le fait que tu aies vécu cela, à un moment donné : cela te prouve bien que tu peux exister en dehors de toute Présence à toi, de toute action sur ce monde. C'est la différence entre le sommeil et ce qui peut être l'Infinie Présence. Dans ces moments-là, ne pense pas : contente-toi de vivre ce qui est là, c'est ce que tu Es. Et non pas quand tu penses, et non pas quand tu expliques, et non pas quand tu comprends. C'est très simple : la conscience est avide de perceptions, d'expériences, d'identité, d'union, d'Unité, comme de division et de séparation. Ce que tu Es est indépendant du jeu de la conscience. Si, à un moment donné, la conscience disparait, il n'y a plus d'identité, plus de personne, plus d'acteur, plus de spectateur. C'est cela que tu Es.
Question : le centre du Centre peut-il être appelé le point zéro ?
Non. Le point zéro peut donc être défini et localisé. À la limite, le point zéro serait le moment de l'Absolu ou Infinie Présence, se rendant compte de l'Absolu. Vouloir trouver un sens aux mots que nous vous donnons, les uns et les autres (en Assemblée ou pas), pour le faire coller à ton propre vécu ou à ta propre compréhension, ne te fera pas bouger d'un iota. C'est du sur place, c'est du mental, qui a besoin de se rassurer avec du connu, avec un point de comparaison. Tant que tu compares, c'est le mental qui élabore des stratégies. C'est cela qu'il faut voir Clairement. Tout ce que tu peux dire, tout ce que tu peux comparer, n'est pas Absolu.

Question : l'Ultime Présence doit-elle être vécue régulièrement, ou le fait de toucher l'Ultime Présence suffit-il en soi ?
Par rapport à quoi ? Si tu considères qu'il y a un objectif, tu te trompes. Que l'Absolue Présence, ou Infinie Présence, soit vécue une fois ou des milliers de fois, ne change rien à ce que tu Es. Il peut y avoir, juste, une forme d'auto satisfaction, du Soi, nourrie par l'égo spirituel. Tant que tu n'es pas Rien, tu ne peux Être le Tout. Tant qu'il y a une Présence, l'Absolu n'Est pas, pour toi (chaque sac est différent). Ce n'est pas un passage : l'Absolue Présence, ou l'Infinie Présence, n'est pas l'Absolu, donc ce n'est pas un rapprochement. Certains ont besoin de cette expérience pour Abandonner toute expérience. D'autres vont vivre de multiples fois la même expérience, sans rien changer à l'expérience. Mais le contenu de ce genre d'expérience ne permet pas d'approcher de ce qui est inapprochable, excepté par la disparition, excepté par l'Abandon du Soi, par l'Action de la Grâce, et par l'acceptation de la disparition. Accueillir la Lumière, accepter la Lumière, n'est pas la preuve que vous êtes devenus Lumière. Il y a un déroulement temporel (et vous l'avez vécu) de réception de la Lumière, de la Conscience, du réveil du Soi. Mais Être Absolu, avec forme, c'est voir clairement que ce déroulement était une pièce de théâtre. C'est le moment où tu dis : « ça suffit ». C'est le moment où tu arrives à cette notion de maturité, où tu conçois et saisis, parfaitement, qu'aucune expérience, en définitive, ne mène nulle part, si ce n'est qu'à entretenir une forme ou une autre de conscience. Mais tu es libre de poursuivre les expériences à l'infini. Mais l'infini n'est pas l'Absolu.
L'Absolu ne résulte pas d'une accumulation d'expériences ou d'une intensité d'expérience. Être Absolu, c'est sortir de la personne, de toute personnalité, de tout Soi, de tout repère, parce que tout cela a été perçu et vécu comme éphémère. Une succession d'éphémères ne fera jamais l'Éternité, en quelque façon que ce soit.
Question : Vivre des états de Dissolution correspond à vivre l'Absolu ?
Tu ne poserais pas la question. Celui qui est Absolu le sait instantanément. Il ne se pose pas la question de savoir si telle disparition ou telle expérience est cela, l'Absolu. Parce que l'Absolu ne peut laisser place à aucun doute et à aucune interrogation, quand tu y es. Rappelle-toi : tu es sortie du personnage, tu es sortie de la scène de théâtre, tu es sortie du fauteuil de l'observateur, tu es sortie du théâtre et tu t'aperçois qu'il n'y a pas de théâtre. Cela se passe de tout commentaire et de toute interrogation sur ce qui Est. Toutes les expériences que vous menez, et qui vous ont été développées (par les Anciens, par les Étoiles, par les Archanges), vous approchent de l'Absolue Présence, vous approchent du Soi. Mais
Vivre la Liberté et Être Libéré, c'est dépasser tout cela, non pas comme un rejet mais, je le répète indéfiniment, comme un changement de regard.
Question : Passer d'un point de conscience à un moment d'a-conscience, en réfutant ce point de conscience, c'est une expérience d'Absolu ?
Mais il ne peut pas y avoir d'expérience d'Absolu. Tu Es, ou pas. Ce n'est, en aucun cas, une expérience. C'est une certitude. Bien plus qu'une conviction, bien plus qu'une foi. Tu as retrouvé, en totalité, ce que tu Es. L'Absolu ne sera jamais une expérience, jamais un état. Tout cela participe, comme tu le dis, d'une expérience. Les expériences concernent le Soi. Elles sont innombrables. Si, lors d'une réfutation, il y a expérience, si l'expérience est maintenue, où que tu sois (dans le Je, dans le Soi ou nulle part), alors l'Absolu est là. L'Absolu ne peut être confondu avec une quelconque expérience. Ce que tu sais, c'est que quand tu es Absolu avec forme, tu passes, à volonté, dans le Je, dans le Soi, sans rien altérer de l'Absolu. Cela ne correspond pas à des expériences.

Question : Est-ce le Soi qui dit : « ça suffit » ?
Cela ne change rien : que ce soit le Je ou le Soi, il y a ce recul (si je peux le dire ainsi) nécessaire. C'est à ce moment-là que, souvent, peut survenir l'angoisse de la disparition de la conscience elle-même. En réalité, le Je, le Soi ou l'observateur, sont toujours là, mais c'est toi qui es sorti de cela. Est-ce que, quand tu sors du théâtre et que tu t'aperçois que le théâtre n'existe pas, est-ce que ce qui se joue sur une scène, quelque part, a disparu pour autant ? Non. Vous êtes encore là où vous êtes. Mais cela est vécu par le Je ou par le Soi, effectivement, comme une annihilation et une angoisse, parfois, extrême. Mais cela te prouve, justement, que tu es en train de changer de point de vue, à ce moment-là : c'est-à-dire que tu sors de l'expérience pour entrer dans la Vérité. Et, quand tu es entré dans la Vérité, dans ta Vérité, cela ne fait aucun doute. Parce que toutes les expériences vécues, tout ce qui est vécu au niveau du Je, ne peut altérer ce que tu Es.
Avant, tu étais soumis au corps, soumis au jeu de l'Action / Réaction, tu découvres la Grâce, et tu t'aperçois que l'un comme l'autre ne sont pas la Vérité, mais que l'une t'en éloigne, et que l'autre, effectivement, peut réaliser, de façon apparente, une approche. Mais quand tu es Absolu, tu t'aperçois que l'approche n'a jamais existé. Cela a toujours été là.
Question : L'angoisse du Choc de l'Humanité peut provoquer cette reconnaissance de son état d'Absolu ?
Mais qu'est-ce que l'angoisse, si ce n'est une projection de ton mental, parce que tu définis l'angoisse du Choc de l'Humanité. Celui qui l'attend, se prépare. Celui qui sait qu'il va mourir, d'une maladie longue et douloureuse, a le temps de se préparer à sa mort. Celui qui meurt, dans une vie normale, par disparition brutale du sac, réalise-t-il toujours qu'il est mort ? Non. Mais qu'est-ce qui est mort ? Le sac. Qu'est-ce qui subsiste, pendant un temps : ce qui est nommé émotions, mental, pensées, idées. Les conditions de ces émotions, de ce mental, de ces idées, conditionnent (vous l'avez compris) ce à quoi vous êtes confrontés, c'est-à-dire ce que vous avez créé ou décréé. L'angoisse ne peut pas être définie comme une appréhension de quelque chose à venir. Je différencie, formellement : l'angoisse de la disparition (lors de l'expérience du Soi ou de la disparation), n'est pas une projection de cette disparition. La peur est une sécrétion de ce sac, l'angoisse aussi, mais l'angoisse, réelle, vécue au moment où un évènement, donné, est là. Mais pas la projection du mental sur un évènement à venir. Même si tu as peur de la mort et si tu as une angoisse réelle de la mort, tu ne sais pas quand tu vas mourir, sauf si l'on t'annonce une maladie qui met en jeu ta propre vie. Alors là, tu commences à te poser la question de l'angoisse de ta disparition, mais parce que tu le vis, pas parce que tu l'as projeté. C'est toute la différence. L'angoisse dont je parle n'est pas seulement une sécrétion d'une projection, mais la sécrétion d'un vécu, qui va terrasser (du moins, c'est son point de vue) le Je. Et qui fait disparaître le Soi, ce qui est intolérable pour le Je, comme pour le Soi.
L'Absolu n'est pas, pourtant, le résultat d'une angoisse, mais bien de saisir et de vivre que cette angoisse, projetée ou réelle, n'a aucun sens. Justement parce qu'elle est projetée ou vécue. Voir cela, peut être appelé : un pas vers la Liberté.
Nous n'avons plus de questionnement. Nous vous remercions.
Alors, je salue tous vos sacs et je salue, surtout, l'Absolu que vous Êtes. Et je vous dis : à nos prochains entretiens et échanges


BIDI

05 de octubre 2012

Bueno, BIDI está contigo. Y te saludan. Y vamos a continuar, si así lo desea, nuestros intercambios.

Pregunta: ¿Qué ejercicios de respiración yoga puede calmar la mente y el emocional Hay innumerables. Cada uno se describen en los ejercicios de yoga para la respiración, e incluso fuera de Pranayama. Ahora, tenga en cuenta lo mental y emocional, como parte de la ilusión debe ser calmado, ya demostrar que es la personalidad se quiere actuar contra sí mismo: esto es posible. Pero la primera cosa a realizar, es exactamente lo que acabo de decir: para quejarse de su mente, para quejarse de su emocional, refleja la participación de la persona en el proceso que se experimentan molestos. Lo primero es darse cuenta de un distanciamiento de estas emociones, estas actividades que no hacen lo que eres. Esto es lo más importante. En un segundo tiempo, usted realmente puede usar lo que mejor le parezca para actuar sobre ellos. Pero, hazte cuenta de que, actuando sobre ellos ya se les da algún tipo de importancia. El que siempre molestaba por las emociones y la mente. Pero esto sólo demuestra que la conciencia se ha instalado en esta persona. Así que hay una identificación con tu mente y tus emociones. Haga lo que haga, tenga en cuenta, ya, no te pertenecen: ellos están ahí. Y estando allí, se producen. El que ha superado las emociones no es sólo insensible pero las emociones mirada van y vienen, sin conservar de alguna manera, sin ser afectado de ninguna manera. Está claro que se necesita para que vuelva a colocar el interior de ti mismo. Esto significa que toda su vida ha sido a menudo dirigidos por las emociones y la mente (tanto en las alegrías y en las oraciones). Lo que perturba es alterna y variaciones. Lo que perturba es ser consciente de que algo se altera. Pero lo que siempre será perturbado persona. Como quitarle a este nivel no se logra, tiene una amplia experiencia en la meditación, tales como técnicas de respiración, para limpiar algo que llevó, en la mayoría de los casos, la mayoría vida de las personas. Cualquiera que sea la técnica, la más importante nunca será arte, pero bueno a ver, de verdad, lo emocional y mental como son. Distanciamiento, quitando es un requisito previo para cualquier técnica. De lo contrario, reforzado por la propia dualidad: querer actuar, actuar en contra de ella. Y actuar en contra, se coloca el primer momento, dentro de su conciencia dentro de la dualidad. El Absoluto no es en absoluto que ver con las técnicas de diferentes bolsas de la Ilusión. Lo mejor que puedes comprobar por ti mismo, es claro que tan pronto como usted no se alimentan más distanciado de lo que usted está emociones como la mente, aparecerán como lo que son es decir, fuera de lo que eres, y la consistencia no. Cada emoción, cada sensación de ser invadido por la mente no es, de hecho, que uno y el mismo temor: el de lo Desconocido. .










Pregunta: bajo la gracia es trascender la mente, las emociones e incluso el Ser?
Yo diría, simplemente, que la gracia hace que te das cuenta de tu naturaleza, tu esencia, y el Absoluto. Cuando Grace está ahí, no hay otro lugar posible para el emocional y el mental. No se puede vivir un ser y Grace, la Morada de la Paz Suprema, expresa o recoger y, al mismo tiempo, un elemento de la mente o las emociones de lo que eres. Grace toma el lugar, todo el lugar. Ella no lucha contra la mente, no trasciende la mente, la destruye por completo. Grace no puede ser concurrente o añadir ocurren al mismo tiempo y el mismo espacio, las emociones y la mente: es una o la otra. .

Pregunta: meditación, alcanzando un sueño sin sueños, si bien es consciente, está más cerca de lo Absoluto?
Este es el Ser último en Presencia. Cuando estás aquí, nada más, cuando sólo existe esa paz y felicidad que sin visión, sin meditación, sin percepción, entonces en ese momento, había Presencia Infinita. Pero no podemos acercarnos al Absoluto: ¿Es o no. La gran diferencia entre el Infinito y la presencia absoluta de la forma es que, en la Presencia Infinita, hay oscilaciones experimentadas como desagradables. Los cambios sin forma absoluta de un estado a otro sin ninguna dificultad. ¿Está usted de que, en absoluto, no puede ser afectado, perturbado, alterado por ninguna actividad de la persona. Lo que hace a la persona, lo que hace que esta bolsa se queda en el Absoluto mismo. Este no es el caso en Presencia Infinita. La meditación no puede ser absoluta. Está bien, dejar la meditación para aquellos que practican, que crea el Absoluto. Meditación para el yo, ya veces, por desgracia. Pero el Absoluto no puede ser afectado por ninguna meditación. Esto no significa, por supuesto, te hacen feliz meditando. Pero la meditación nunca será absoluta, ya que precisamente el Absoluto Oriente, cuando hay abandono de uno mismo. Entonces, ¿cómo meditar y vivir el Soi Soi, la meditación, y el Ser Absoluto? Es imposible. La investigación sobre quién es usted, traer a la conciencia de los primeros momentos de la unidad en la infancia, son mucho más importantes que cualquier meditación. La meditación, después de un cierto tiempo, o la práctica habitual, siempre es narcisismo exagerado: la necesidad de contemplar la Paz. La ilusión es lo espiritual. Hasta que se demuestre lo contrario, nadie, en cualquier lugar, ha trabajado en forma absoluta, disminuyendo o después de la meditación. El Ser se logra a través de la meditación, pero ciertamente no es el Absoluto, que es precisamente el abandono de sí mismo. La meditación, se considera que existe un yo y el Yo. Y por lo tanto la meditación para encontrar el yo: es la iluminación, pero en todo caso, la Liberación.

Pregunta: ¿Cómo podemos profundizar en la conciencia del corazón del corazón?
Este es el momento donde la Presencia Infinita descubre, Ser, y el Ser, y el Ser, el Centro está presente en todo lugar, no hay ninguna diferencia entre este Centro y Centro, porque en última instancia son los mismos centros, que es el centro de todo. Corazón es el corazón del abandono inmediato del yo, es decir, si puedo decir afectada: queda por vivir. Esto es cuando hay más posibilidad para la Conciencia de Unidad, el Ser, la posibilidad de identificarse con nada. Y así hay una desidentificación del yo, que también ocurre. Traigo todo el propio centro. Los irradia Auto en el Centro, un elemento nuevo, donde no lo hacen. El Centro del Centro, es cuando el auto comienza a no ser identificado en el centro de uno mismo. Es decir, el abandono de uno mismo y el descubrimiento (o redescubrimiento) del centro del centro o corazón del Corazón. Es en este momento que se vive Néctar.

Pregunta: ¿Hay que abandonar todo para encontrar el Absoluto Quién dijo que dar a nadie excepto el Sí mismo? El problema es una de perspectiva y de identidad, así como la identificación. Desde el punto de vista cambia cuando ya no se identifica con nada, entonces no es el Absoluto. Pero no se puede luchar contra el "yo", o incluso considerar la lucha contra el Yo. El yo desaparece abandono de cualquier reclamación y cualquier justificación. Este cuerpo, esta mente, estas emociones son efímeras: les dejaremos vivir, no he pedido. En realidad no coincide con todo. Para Abortar, abortar no son las cosas externas.









Pregunta: Unidad de la experiencia vivida tras haber dado resultado, es el preludio de la Presencia Infinita, o es la Presencia Infinita?
Ambos son posibles. Pero más a menudo, lo cual es característico de su tiempo, encarnado, son precisamente estas experiencias de la presencia o la presencia infinita, surge la Gracia, o el comienzo de abandono de uno mismo. Esto se logra por la acción del Ser, por la comunión con otros planes, o un momento de angustia, el resultado es el mismo: el núcleo inmortal se encuentra en el centro del centro. Ese es el brillo, o la gracia esto, que se colocan hitos o puntos de referencia. Exigir que también desapareció.

Pregunta: si se siente al morir, así que no está enfermo, se trata sobre el paso en el abandono de uno mismo?
Todas las condiciones son favorables para el alumbrado, para empujarte a volver a conectar con lo que Es: como ya he dicho, esa es la impresión de la muerte, la angustia, de un asunto de vibraciones . Luz voluntad, y por la forma en cómo es para ti, el más adecuado. Dependiendo de lo que han dicho a los ancianos, se pasa de un estado a otro y, para algunos, de un estado a todos los estados. Todo paso requiere una muerte de lo viejo, lo que no existía en la eternidad, incluso si los subyace absolutas e incluye además ser que no ser. Debido a que tanto (ser y no debería ser) siempre se definen con relación al otro, que se manifiesta o no manifestado: lo hace no absoluta. Hay una ruptura en alguna parte. Esta ruptura siempre estará a su lado, la violación de lo efímero, sin importar lo que suceda. Si se trata de un temor, una enfermedad real (ilusorio, también, pero que afecta a la bolsa), esta bolsa está presente o desaparece esa bolsa, como ves, no cambia lo que eres. Sólo apego narcisista a una identidad, una evolución espiritual (que es una estafa), es el freno más poderoso que tú eres. La perfección no es mañana. La perfección no es de ayer. La perfección no tiene nada que ver con este mundo. Este mundo va, esto es lo que se hace en la meditación, pero ahora es mucho más que la pérdida en la meditación, yo diría que es una clara pérdida, aceptado y trascendido. Depende, en realidad, este mecanismo de aceptación, que precede al abandono de uno mismo. A medida que estos mecanismos de la conciencia, no parece tan obvio, hay resistencia a lo que Es, es decir, Absoluta.

Pregunta: ¿qué pasa con una situación en la que no sabe quién es ni lo que debe hacer, o no hacer?
Eso sí, no creo nada. Porque, ¿quién quiere pensar algo así? al respecto? "I". Siempre que se des-identificación, como usted la describe, sobre todo, no lo creo. Tornillo que es. Esto es lo que eres. Precisamente cuando hay más referencia, persona, identidad, acción, este es el momento que usted es. Así que, por encima de todo, no creo nada. Porque el pensamiento no se trata de lo Absoluto. Ella siempre se refieren a la creación y la manifestación de la misma. Como ya he dicho, el momento usted no entiende, el momento en que no sabes lo que te cuelga tan pronto como la mente no puede encontrar una explicación, entonces usted Es lo hará. Y lo que llama a este estado, donde el sentido de la identidad ha desaparecido, es sólo para vivir. La prueba está aquí, ya sabes, y expresa el hecho de que usted ha experimentado esto en un punto: se demuestra que puede existir sin la presencia de ustedes, cualquier acción en este mundo . Esta es la diferencia entre el sueño y lo que puede ser la Presencia Infinita. En estos momentos, no lo creo: happy-vive lo que hay es lo que eres. Y cuando no te parece, cuando no se puede explicar, no cuando usted entienda. Es muy simple: la conciencia es la percepción ansiosos, experiencias, identidad, unidad, unidad, como la división y separación. ¿Es usted que es independiente de la conciencia juego. Si, en algún momento, la conciencia desaparece, no hay identidad, hay más gente, más jugadores, más espectadores. Esto es lo que eres.












Pregunta: el centro del centro puede ser llamado el punto cero?
No. El punto cero puede ser definida y localizada. En última instancia, el punto cero es el momento de la Presencia Infinita Absoluto o, dándose cuenta de lo Absoluto. ¿Quieres encontrar un significado a las palabras que le demos, y algunos otros (Asamblea o no) para que se pegue a su propia experiencia o su propia comprensión, no te hará mover ni un ápice. Está ahí, es la mente la que tiene que estar tranquilos con lo conocido, con un punto de comparación. Al comparar, es la mente la que desarrolla estrategias. Es por eso que debemos ver con claridad. Cualquier cosa que usted puede decir lo que se puede comparar, no es absoluta.

Pregunta: Presencia final debe ser experimentado con regularidad, o tocar la Presencia de ruptura es lo suficientemente en sí misma?
Comparado con qué? Si se considera que hay una meta, te equivocas. La Presencia Infinita Presencia Absoluta o se experimenta una o mil veces, no cambia lo que eres. No puede ser sólo una forma de auto-satisfacción, auto, alimentado por el ego espiritual. Siempre y cuando usted no está solo, no puede ser el todo. Como no hay una presencia, el Absoluto no es para ti (cada bolsa es diferente). Esto no es un pasaje: Presencia Absoluta, o la Presencia Infinita, no es absoluto, así que esto no es una reconciliación. Algunas personas necesitan esta experiencia para abandonar toda experiencia. Otros vivirán los tiempos experiencia múltiple de los mismos, sin necesidad de cambiar la experiencia. Pero el contenido de este tipo de experiencia no se acerca que es inaccesible excepto por la muerte, sino por el abandono de uno mismo, por la acción de la gracia, y la aceptación de la pérdida . Acogiendo con beneplácito la Luz, la Luz aceptar, no es prueba de que se hizo la Luz. Hay un campo de tiempo (y que vivió) para recibir la Luz de la Conciencia, el despertar del Yo. Pero Ser Absoluto con la forma, se ve claramente que este curso era una pieza de teatro. Esto es cuando usted dice "basta". Este es el momento en que llegas a este concepto de vencimiento, usted entiende y captó a la perfección, sin experiencia en última instancia conduce a ninguna parte, excepto para mantener una forma u otra conciencia. Pero eres libre de seguir los experimentos hasta el infinito. Pero el infinito no es el Absoluto. El Absoluto no es el resultado de una acumulación de experiencias o la intensidad de la experiencia. Ser Absoluto está fuera de la persona, cualquier persona, cualquier auto, marca alguna, porque todo se percibe y se experimenta como efímero. Una sucesión de eternidad efímera nunca, de ninguna manera.






Pregunta: ¿Estados que viven de disolución corresponde al Absoluto en vivo?
No haría la pregunta. Aquel que es Absoluto conoce al instante. No pregunta si dicha pérdida o tal experiencia es que el Absoluto. Debido a que el Absoluto puede no dejan lugar a la duda y la pregunta no, cuando estás allí. Recuerde: usted está fuera de personaje, estás fuera del teatro, estás fuera del observador sillón, estás fuera del teatro y te das cuenta de que no hay teatro. Esto sucede con las observaciones y cualquier cuestionamiento del Este. Todos los experimentos que están haciendo, y han sido desarrollados (por los antiguos, por las estrellas, por los Arcángeles), se acerca a la Presencia Absoluta, te acercas a uno mismo. Pero la libertad de Vida y Liberados Ser está más allá de todo esto, no como un rechazo pero, repito indefinidamente, como un cambio de look.





Pregunta: Mover un punto de conciencia en un momento de la conciencia, refutar este punto de conciencia, es una experiencia de lo Absoluto?
Pero no puede haber una experiencia de lo Absoluto. ¿Está usted, o no. Es, en cualquier caso, una experiencia. Es una certeza. Mucho más que una creencia, más que una fe. Usted ha encontrado, en total, lo que eres. El Absoluto nunca va a experimentar, no un estado. Todos contribuyen, como usted dice, la experiencia. Experiencias sobre el yo. Son incontables. Si durante la refutación, no experimentar si la experiencia se mantiene, esté donde esté (como yo, en el auto o en cualquier lugar), mientras que el Absoluto es. El Absoluto no puede confundirse con ninguna experiencia. Lo que sé es que cuando estás con forma absoluta, que pasan a voluntad en el yo, el yo, sin alterar el Absoluto. Esto no corresponde a experiencias.

Pregunta: ¿El Ser que dice "basta"?
Esto no cambia nada: o yo o el yo, allí este otoño (si se puede decir así) es necesario. Es en este punto que puede ocurrir a menudo angustia de la pérdida de la conciencia misma. En realidad, el yo, el yo o el observador, todavía están allí, pero son ustedes los que están fuera de ella. Es que cuando te vas al teatro y te das cuenta de que el teatro no existe, es que lo que se juega en un escenario en algún lugar, se ha ido hasta ahora? No. Todavía estás donde estás. Pero eso es experimentado por el yo o Yo, de hecho, como la angustia de aniquilación ya veces extremas. Pero le muestra exactamente lo que está cambiando el punto de vista de este tiempo: es decir, que deja la experiencia para entrar en la verdad. Y cuando entramos en la verdad en tu verdad, no hay ninguna duda. Debido a que todas las experiencias, todo lo que se experimenta en el que no puedo cambiar lo que eres. Antes, se sometieron al cuerpo, están sujetos a cambio de la acción / reacción, se descubre la gracia, y te das cuenta de que ambos no son la verdad, sino que se preocupe un de distancia, y la. otra, de hecho, posible producir, de manera bien visible, un enfoque Pero cuando uno es absoluta, se da cuenta de que el enfoque no ha existido nunca. Siempre ha estado ahí.






Pregunta: La angustia de choque humanidad puede hacer que el reconocimiento de su estado Absoluto?
Pero, ¿qué angustia, si se trata de una proyección de tu mente, porque se establece la angustia de Choque de la Humanidad. El que espera, preparándose. El que sabe que va a morir de una enfermedad larga y dolorosa, un tiempo para prepararse para su muerte. El que muere en una vida normal por la desaparición repentina de la bolsa, se da cuenta que todavía está muerto? No. Pero, ¿qué es la muerte? La bolsa. Lo que queda por un tiempo: lo que se llama las emociones, la mente, los pensamientos, las ideas. Los términos de estas emociones, esta mente, estas ideas, la condición (lo has adivinado) lo que te enfrentas, es decir que ha creado o decreated. La ansiedad no puede ser definido como un temor de algo por venir. Puedo diferenciar formalmente: el miedo a la pérdida (en la experiencia del Ser o desaparición) no es una proyección de su desaparición. El miedo es una secreción de esta bolsa como la ansiedad, pero la ansiedad, real, vivió en una época en que un evento, dado que hay. Pero no de la proyección mental de un acontecimiento futuro. Incluso si usted tiene miedo de la muerte y si usted tiene un miedo real de la muerte, no se sabe cuando va a morir si no envías una enfermedad que consiste en su propia vida. Una vez allí, comienza a pedir a la angustia de su pérdida, sino porque habéis visto, no porque te has planeado. Esta es la diferencia. La angustia que hablo no es sólo la secreción de una proyección, pero la secreción de una experiencia, que derrotará a (por lo menos, ese es su punto de vista) en I. Y quita el Ser, que es intolerable porque yo, como el Yo. El Absoluto no es, sin embargo, el resultado de la ansiedad, sino de entender y vivir esta ansiedad, prevista o consumada, no tiene sentido. Precisamente porque se proyecta o experimentado. Ver este puede ser llamado: un paso hacia la libertad.

No tenemos más preguntas. Gracias.
Así que doy la bienvenida a todos sus bolsos y doy la bienvenida, en particular, el Absoluto ¿Es usted. Y yo te digo: nuestras próximas reuniones e intercambios

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