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lunes, 17 de septiembre de 2012

BIDI


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BIDI - 1

29 juin 2012
Question : je suis au service de mes parents alors que la demande ne vient pas d'eux. Cela ne me procure pas de joie. Avant, j'exprimais ma créativité dans la danse, le chant, les activités manuelles, maintenant plus rien. Qu'est-ce qui se passe en moi pour que j'agisse comme ça ?
Et bien, tu te mets toi-même dans la situation de laquelle tu te plains. Donc, la réponse est, bien évidemment, en toi, et uniquement en toi, puisque cette contrainte t'est imposée par toi-même et, comme tu le dis, par aucun élément extérieur. Le cadre de ce que j'ai à dire ne se place pas dans une analyse de ta sphère psychique parce que cette sphère psychique ne concerne que ta vie éphémère et ne correspond aucunement à l'Absolu. La question que tu me poses est donc de trouver une issue ou une explication à quelque chose qui, de toute façon, est éphémère. Il ne peut exister de réponse parce que toute réponse (même la plus adéquate, même la plus juste, même la plus efficace) ne fera que te maintenir dans un autre éphémère. Et tant que tu envisageras ta vie au sein de l'éphémère, au sein d'une satisfaction (même dans la créativité), tu resteras limitée et tu resteras soumise à l'alternance de l'éphémère, c'est à dire les moments de passage de la joie à la non-joie. Ceci est le propre de tout ce qui est éphémère. La seule façon d'être stable
, la seule façon de ne pas être conditionnée par tes actions et tes réactions (heureuses ou malheureuses) est de comprendre que tu n'es pas ce sac de nourriture, que tu es encore moins ce sac de pensées, que tu es encore moins cette vie que tu vis.
Tant que tu cherches une réponse à cela, tu te places d'office, de toi-même, selon le principe de l'action / réaction ou, si tu préfères, du bien et du mal, de ce qui te fait du bien ou de ce qui te fait du mal. Quel que soit le bien que tu trouves, l'éphémère n'apportera jamais une satisfaction permanente.
Le propre de l'éphémère sera toujours de te faire osciller d'un extrême à un autre. Et l'être humain passe sa vie, au sein de l'éphémère, à voguer de peines en joies, à rechercher la joie. Le but de nos entretiens n'est pas de procurer un bien-être, ni un mal-être, mais de te montrer la situation telle que tu la vis, telle que tu l'as acceptée, et telle que tu l'as identifiée. Tant que tu es identifiée à tout ce que tu m'as dit (créativité, assistance, bien-être ou mal-être), tu ne peux en sortir car, dans un cas comme dans l'autre, tu maintiens une dépendance, tu maintiens un enfermement et une incapacité à en sortir. Ainsi est le propre de tout être humain confronté à cette vie, à cet éphémère, à cette action / réaction. Vous passez votre temps à chercher à améliorer votre ordinaire. Vous cherchez, en permanence, à obéir à des contingences sociales, morales, affectives ou de créativité ou d'aisance matérielle ou spirituelle. Mais aucune aisance matérielle, aucune aisance spirituelle, ne te permettra de sortir de ce cercle vicieux. La seule façon de procéder est de saisir que tu n'es ni ce corps, ni ces pensées, ni cette vie. Tant que tu es identifiée à ce que tu m'as décrit, tu tourneras en rond. Il n'existe aucun moyen, aucun outil, aucune technique qui t'apportera la durabilité et, encore moins, l'Absolu et l'Éternel.
Il te faut, toi aussi, te distancier. Se distancier ne veut pas dire capituler ou abandonner une obligation mais changer d'emplacement de ta propre Conscience car, quel est ce « je » qui a besoin de créativité, quel est ce « je » qui a besoin de se sortir d'une situation où il s'est mis lui-même, si ce n'est l'ego.
L'ego passe son temps, au sein de l'éphémère, à aller du bien au mal, de l'action à la réaction, de trouver, au sein de l'endroit où il est enfermé, une justification et une solution. Aucune justification, aucune solution, ne te sera d'un quelconque secours, tant que toi-même ne te places pas en dehors de celui qui croit agir, de celui qui croit être, de celui qui croit avoir à exprimer une satisfaction, une créativité ou quoique ce soit d'autre parce que tout cela appartient à quelque chose qui est, par essence, et par nature éphémère. Or, ton essence et ta nature est à l'opposé de ce à quoi tu te soumets. C'est donc un changement radical de point de vue : c'est la seule solution. Tant que tu trouveras, au sein même de l'éphémère, une source de satisfaction, une source d'insatisfaction, tu lutteras, en permanence, tu t'épuiseras. Parce que rien de cela ne peut être stable, rien de cela ne peut être Éternel et encore moins Absolu. Tant que l'être humain s'enferme dans ses Illusions (et ce monde est une illusion), tant que tu crois qu'il y a à résoudre quelque chose au sein même de cette personne, tu ne laisses pas ce sac de nourriture vivre sa vie, tu ne laisses pas ce sac de pensées vivre sa vie. Tu n'es pas cela. Il faut adopter un changement radical de point de vue. Cela s'appelle la réfutation et je te renvoie à tout ce que j'ai dit. La question que tu poses est totalement hors sujet et ne peut, en aucun cas, t'apporter, dans ma réponse, une solution. Parce que tout solution qui correspond à ton interrogation et ta demande ne ferait que te renvoyer, encore plus, dans l'éphémère. C'est toi-même qui t'installe dans l'éphémère de souffrance et de joie. Quel que soit cet éphémère, tu sais pertinemment qu'une joie ne peut durer, de la même façon qu'une tristesse ne peut durer. Parce que, même la tristesse ou la joie la plus longue, se trouve confrontée à la barrière de la fin de ce sac de nourriture et de pensées. Tant que tu agis comme cela, tant que tu réagis comme cela, tu ne peux trouver la paix. Et c'est normal. La question que tu poses concerne uniquement ta personne et ta personnalité et, en aucun cas, l'Absolu.
Il n'y a pas d'alternative à l'Absolu. Si tu veux être en paix, au-delà de l'éphémère, il te faut voir beaucoup plus grand, sortir des méandres des actions / réactions de ta vie, de toute recherche qui appelle une solution à une problématique. Tant que tu adoptes cela, tu es prisonnière de toi-même, dans ton illusion, dans ton éphémère. Je ne peux donc que t'engager à aller au-delà de la recherche de solution concernant cet éphémère.
Tant que tu passes ta vie à chercher une amélioration, tant que tu passes ta vie à chercher une aisance, quelle qu'elle soit, un bien-être, tu ne peux pas Être. Tant qu'il existe un mal-être, tu sais pertinemment que tu ne peux pas Être. Mais il en est exactement de même pour le bien-être. Parce que, bien-être comme mal-être, ne s'expriment qu'au sein de l'éphémère, dans ce qui bouge, ce qui n'est pas immuable et éternel. Et tant que tu réfléchis ainsi, tu te soumets toi-même au fonctionnement de l'éphémère, c'est-à-dire à ce sac. Veux-tu rester un sac alors que ta nature et ton essence est absolue et est bien plus large que ce que tu crois, que ce que tu vis, que ce que tu expérimentes ? Il te faut dépasser cette dualité. Aucune solution apportée à ta problématique ne te permettra d'être complète car tu demeureras incomplète tant que toi-même te places, toi-même, dans l'incomplétude. Si tu saisis cela, si tu adhères à cela, sans fuir quoi que ce soit, alors, tout t'apparaîtra clairement. Mais tant que tu ne seras pas dans ce point de vue, tu resteras troublée et dans le trouble. Il n'existe aucune solution au sein de l'éphémère, de l'expérience de ta vie (comme de toute vie). L'ego va se satisfaire de dire qu'il paie un karma. Mais le karma n'existe pas, sauf pour la personne, pas pour ce que tu Es. Et tu n'Es pas une personne. Tu n'Es même pas un individu. Sors de ce jeu. Aller au-delà, ce n'est pas seulement dépasser une situation, encore moins y apporter une solution : c'est voir clairement les choses. Tant que tu es identifiée à quoi que ce soit de ce que tu vis (de ce corps, de ces pensées) aucune solution ne peut être durable et efficace. Ce ne sont que des pansements qui te font tourner en boucle, comme toute vie qui n'accepte pas de faire l'expérience du Je Suis. Mais qui dit Je ? Qui dit Suis ? Tant qu'il y a une appropriation, au sein de l'éphémère, tu ne trouveras jamais la Paix définitive. À toi de savoir ce que tu veux. Répondre à un problème est faire face, à nouveau, à un autre problème, dans la même sphère ou dans une autre sphère. Ainsi va la vie de l'être humain qui s'enferme lui-même, toujours plus, dans cette suite, sans fin, d'actions / réactions éphémères. Tant que tu te crois éphémère, tu es soumis aux lois de l'éphémère où est inscrit la souffrance. Et tu adhères à la souffrance, de la même façon que tu adhères à la joie. Quel est ton but ? Que veux-tu ? Si c'est trouver une solution à un problème, il ne faut pas s'adresser à moi. La seule solution que je puisse donner c'est de te dire que tu n'Es pas ce que tu crois. Tu n'Es pas ce que tu vis, quoi que tu vives, quoi que tu aies vécu. Ce qui a été vécu, ce qui est vécu, ne concerne pas ce que tu Es. C'est l'illusion qui te fait croire ça, le point de vue, si tu préfères. Tant que tu ne sors pas de ce point de vue, personne ne peut strictement rien pour toi. Tu es victime de tes croyances. Tu es victime de ta propre vie, de tes Illusions et cela est sans fin, au sein de l'éphémère. Seule la mort y met fin (la mort de ce sac). Va bien au-delà de tout cela, sans renier pour autant ce que tu vis de difficile mais tu n'es pas ce que tu vis : toute la problématique est là et nulle part ailleurs.
Question : Je souhaite appliquer trois conseils : rester tranquille, changer de point de vue, réfuter le connu. Quels sont les blocages qui m'empêchent de réaliser cela ?
Mais parce que tu considères que c'est à réaliser. Il n'y a rien à réaliser. Le seul obstacle est toi-même, dans le fonctionnement de l'éphémère au sein du mental et des pensées. Tant que tu es dans ta personne, tant que tu es identifiée (là aussi), tout ce que tu réclames ne peut apparaître, parce que c'est déjà là et c'est déjà Réalisé. Tant que tu crois qu'il y a un chemin, une étape, un temps nécessaire, des épreuves ou des marches à gravir, tu t'éloignes d'autant plus de ce que tu recherches parce qu'il n'y a rien à rechercher. Il y a juste à Être cela parce que tu Es cela. C'est toujours la personne, le mental ou le corps qui va te dévier de cela. Ce n'est pas quelque chose à rechercher, ce n'est pas un effort à fournir. Cela est déjà là. Cela a toujours été là. C'est toi qui en es sortie. L'Amour est partout. Tu ne peux pas chercher ce que tu Es parce que tu Es Amour. Donc ce que tu proposes (de rester tranquille, de trouver la Paix), mais c'est déjà là.
Tu Es tranquille. Tu Es la Paix. Changer de point de vue, c'est accepter cela. Tant qu'il existe le moindre interstice pour la croyance en toi-même, tu ne peux dépasser l'éphémère. L'Absolu est déjà là, il n'a pas à être cherché et encore moins à être trouvé. C'est comme si tu me disais : « je veux trouver l'air ». Mais tu es dans l'air. Comprends-tu cela ? Tu ne peux chercher ce que tu Es et encore moins trouver ce que tu Es. Il n'y a que la réfutation de tout ce qui est connu, tout ce qui te concerne, qui peut aboutir. Mais cet aboutissement n'est pas inscrit dans un temps lointain ou dans un espace séparé de ce que tu Es, ni dans un au-delà, ni dans une croyance quelconque, ni dans une religion, ni dans une technique, ni dans un exercice. Passe par le stade, d'abord, de l'observateur. Quand tu réponds : « Je Suis », qui observe ? qui regarde ? qui est derrière ce qui se joue ? Tu es encore en train de jouer à la scène de théâtre. Il faut donc se placer, déjà, dans le fauteuil qui observe la scène et non pas jouer la scène et après, là aussi, sortir du théâtre. Cela n'arrêtera pas la scène (elle continuera à se dérouler, ce corps continuera à vivre) mais tu ne seras plus affectée, ni indisposée, ni altérée par quoique ce soit qui se déroule sur la scène parce que tu ne regarderas plus cette scène. Tu ne seras plus assise à regarder le spectacle, tu sortiras du théâtre et tu constateras alors, par toi-même, qu'il n'y a jamais eu de théâtre. Seul l'endroit où tu te places détermine les conditions auxquelles tu adhères (les lois physiques) mais, en aucun cas, la physique ne peut suivre la métaphysique. Il n'y a pas d'effort à fournir parce que, tant que tu considères qu'il y a un effort, tu te places, là aussi, à l'intérieur du théâtre, sur la scène, tu joues et tu adhères à quelque chose mais la scène de théâtre s'arrête toujours un jour. Le théâtre disparaîtra, de toute façon, dès l'instant où ce sac de nourriture ne sera plus. C'est le jeu du mental, le jeu de l'ego (de la personne elle-même), auquel tu adhères, qui t'empêche de voir clair. C'est comme si il y avait des œillères qui te montrent uniquement ce qu'il y a devant toi et qui t'empêchent donc de sortir de ce qui est devant, non pas seulement pour voir ce qui est sur les côtés et derrière mais pour bien saisir qu'il n'y a rien à voir. L'Être est au-delà du voir. L'Absolu n'est pas un voir. Il Est ce que tu Es, en Essence, en Éternité, quelles que soient les circonstances vécues par ce corps. Comme je l'ai dit : tu n'es ni la scène de théâtre, ni l'acteur, ni le spectateur, ni le théâtre. Tant que tu n'as pas répondu à cette question, tant que tu n'as pas eu le point de vue exact de cela, et bien, ce que tu recherches ne peut être obtenu. Le point de vue où tu te places est celui de la personne, celui de ta vie, mais, pour toi comme pour chacun, tant que tu te définis par rapport à ta vie, cela ne concerne que la personne, que l'éphémère mais pas ce que tu Es.
Tant que vous croyez qu'il y a à gravir, tant que vous croyez qu'il y a une progression, tant que vous croyez qu'il y a une recherche qui est sans fin, vous vous trompez vous-même : tout est déjà là. C'est votre point de vue qui a mis la distance avec la Vérité. La Vérité ne connaît aucune distance, aucun temps, aucun espace. Quand je dis : « changez de point de vue », cela ne concerne pas, bien sûr, seulement, la vision. Mais, bien au-delà même de la perspective, c'est la Conscience elle-même qui doit démasquer le jeu de l'illusion. Et, si je peux m'exprimer ainsi, en amont de cette conscience, qu'est-ce qu'il y a ? Il y a ce que j'ai appelé a-conscience. Tant que tu n'es pas dissoute, tant que tu n'es pas morte à toi-même, à tes propres illusions, tu peux continuer à chercher longtemps la Paix.
Quand nous disons de rester tranquille, c'est un engagement à vous faire changer de point de vue. Tant que tu es identifiée à tes petits je, à tes petits besoins, à tes petites satisfactions, ou à tes grands besoins et tes grandes satisfactions, tu ne peux trouver la Paix, tu ne peux être tranquille. C'est pour cela que j'ai dit (et que je répète) : vous n'avez pas d'autre alternative que la réfutation du connu parce que l'Inconnu ne peut être connu puisqu'il est ce que vous Êtes. Le point de vue doit s'y installer, c'est-à-dire sortir du théâtre. Tant que tu n'as pas fait l'expérience de cela, tu es persuadée d'être ce corps. Regarde (par exemple) tes Frères et Sœurs, nos Frères et Sœurs qui vivent l'expérience de sortie du corps ou l'expérience de mort, ils savent qu'ils ne sont pas ce corps, même s'ils rentrent dedans. Par contre, ils savent pertinemment que c'est un sac de nourriture qui est mort, même si c'est appelé la vie. Le monde n'existe pas. Tout ce qui est vu ne peut exister, c'est une Illusion. Tant que tu n'acceptes pas ce point de vue, il n'y a pas de solution, parce que cette solution, même possiblement existante, ne s'inscrira que dans le cadre de l'action / réaction, dans l'éphémère même de l'Illusion.

Question : Lors d'un précédent entretien vous m'avez dit : laisse ce corps tranquille, il n'a pas besoin de toi pour vivre, qu'ai-je à entendre aujourd'hui ?
As-tu laissé ce corps vivre ? Vous êtes, en permanence, en résistance. Ces résistances s'expriment par des souffrances, dans le sac de nourriture ou dans le sac de pensées. Tant qu'il y a souffrance, quelle qu'elle soit, vous êtes à l'intérieur de cette illusion. Celui qui laisse vivre son corps (quelle que soit l'atteinte de ce corps, ou quelle que soit la Paix de ce corps) n'est aucunement concerné puisque, tu l'admettras, tu n'Es pas ce corps. Quand tu meurs ou quand tu dors, qu'est-ce qu'il reste de toi ? Au-delà du rêve ou du cauchemar, où es-tu, à ce moment-là ? Que devient le monde ? Existe-t-il, ou pas ? Que deviennent tes proches, ta famille, tes enfants, ton métier ? Sont-ils présents, dans ta Conscience, quand tu dors ? Toute la problématique est là. Laisser ce corps tranquille, ne veut pas dire le négliger ou l'abandonner mais ne plus résister parce que, dès l'instant où vous ne résistez plus, où vous ne vous opposez plus, l'action / réaction ne peut plus s'enclencher : le point de vue change, la Paix s'installe, la tranquillité est là. Alors, à cet instant, tu découvres autre chose que le Je Suis, tu découvres que tu Es Absolu et que cette forme, cette vie, se vit mais ne te concerne pas. Alors, bien sûr, l'ego va s'emparer de ce que j'ai dit (si tu le comprends à ce niveau là) pour dire : « ah mais, j'ai des obligations ». Mais les obligations, elles se remplissent d'elles-mêmes. Je parle pas des obligations, quelles qu'elles soient, mais de ta Conscience : où est-elle ? Et
au-delà de la Conscience, il y a quelque chose, au-delà de l'observateur, qui a toujours été là, qui n'a jamais bougé, qui a toujours été tranquille, qui a toujours été en Paix. C'est ce point de vue là, où il faut Être. Tant que cela n'est pas, l'éphémère poursuit sa course, en altérant ou en améliorant ta vie et en te faisant croire que tu y es soumis, d'une façon ou d'une autre. Alors, bien sûr, l'ego va croire qu'il va falloir rechercher une connaissance spirituelle, psychologique, une connaissance de demain. Tant que tu es dans cela, tu n'es pas ici et maintenant, tu es dans la projection et la projection maintient l'illusion. Aucune satisfaction ne peut être durable, dans la projection, parce que même si tu avais toutes les aisances (matérielles et spirituelles), même si tu connaissais tous les mystères de l'Univers, qu'est-ce que cela changerait ? Absolument rien, si ce n'est la satisfaction de l'ego de croire qu'il va maîtriser l'avenir, sa situation familiale, sociale, financière, affective.
Tant que tu joues sur la scène de théâtre, tu ne peux pas avoir le point de vue de celui qui Est Absolu, déjà, et pour qui le théâtre n'a pas besoin de lui. C'est le jeu des interactions dans les corps illusoires (même subtiles) qui maintient lui-même l'Illusion. Quand nous vous disons qu'il n'y a rien à faire, qu'il n'y a pas de chemin, qu'il n'y a pas d'évolution, bien sûr que, pour l'ego, il y en a et ça sera toujours une involution parce que c'est sans fin au sein de l'éphémère. Mais ce sans-fin de l'éphémère ne débouche jamais sur l'Absolu parce que la succession des causes est infinie. Nourris ce sac, contente-le mais tu n'es pas cela. Contente-toi de l'observer, de le regarder et après, détourne ton regard. Alors, bien sûr, l'ego va te faire croire que c'est la mort, l'ego va te faire croire que c'est la fin. Oui, c'est sa fin. Mais ce n'est pas ta fin, au contraire. Le changement de regard, de point de vue, est une Conscience plus vaste, et même cette Conscience plus vaste est éphémère parce que sinon (si cela était Absolu) tu serais en permanence dans le même état, sans fluctuation, sans mouvement (ce qui n'est, bien sûr, jamais le cas).
Tant qu'il y a recherche de Lumière et d'Amour, cela signifie que tu mets une distance avec la Lumière et l'Amour et c'est donc une projection. Tu crois qu'il y a quelque chose à chercher, à améliorer parce qu'on te l'a dit mais est-ce que tu peux te le prouver à toi-même ? Où est la preuve ? Il n'en existe aucune. C'est une supercherie, c'est une escroquerie. Accepte cela, non pas comme une croyance mais en le vivant, et
l'élargissement de la conscience deviendra supra-conscience et puis a-conscience. C'est le moment où tu dors. C'est le moment où tu sais que tu Es et, pourtant, où n'existent aucun corps, aucune pensée, aucune émotion, aucune interaction, où tu n'es inscrite dans aucune réalité éphémère. L'Absolu se dévoile, à ce moment-là. Mais s'il se dévoile, bien sûr, cela veut dire qu'il a toujours été là, il n'est pas ailleurs, il n'est pas demain. Il faut sortir du théâtre mais qu'est-ce qui doit sortir du théâtre ? Pas ce corps, pas cette vie, mais ce que tu Es. Tu Es Amour mais tant que tu considères que cet Amour est à l'extérieur, tu en fais une projection, un désir et tu mets une distance et tu crois que demain sera meilleur et tu restes piégée par le temps, par l'espace, par la localisation au sein d'un corps. Tant que tu es localisée, tu es piégée. Tant que tu crois qu'il y a recherche, tu es piégée. Tant que tu es avide de connaissance, tu es piégée parce qu'en réalité, tu connais ce que tu Es, puisque le sens même de ce mot c'est naître avec (d'ailleurs, tu ne peux pas naître sans. Réfléchis). L'essence de ton Être, l'Essence de ce que tu Es, est Amour, est Absolu. Découvrir le Tout, si tu préfères, c'est ne plus être rien, ici, non pas comme un déni de la vie mais bien comme un changement de point de vue : cela s'appelle aussi l'Humilité et la Simplicité. C'est saisir et voir que tu n'es rien de ce monde, que tu n'es pas de ce monde, que tu n'es pas sur ce monde. Il n'y a pas de monde. Il n'y a pas de personne. Il n'y a que des croyances, il n'y a que des projections, que des illusions qui se maintiennent et s'entretiennent d'elles-mêmes, dans le cadre de l'éphémère, au sein de l'action / réaction, du bien et du mal. Ce que tu Es, ne peut ni naître, ni mourir. Ce que tu Es ne peut être affecté par quoi que ce soit de ce monde. Ce qui est affecté, c'est l'éphémère et, tant que tu es identifiée à l'éphémère, tu es affectée et donc tu souffres, d'une manière ou d'une autre. Il n'est pas question de mettre un pansement ou un anti-douleur là où tu souffres. Il faut changer de point de vue, qui va te montrer que, quand l'Absolu se dévoile, la souffrance n'existe pas. C'est le sac de nourriture, c'est la chimie de ce corps, qui crée la souffrance, c'est ce monde. Quand tu dors, est-ce que tu souffres, même d'une maladie, même d'un trouble affectif, même le plus violent quand tu es éveillée ? L'énigme est là : qu'est-ce que tu Es quand tu dors ? Qu'est-ce que tu Es quand tu meurs ? Qu'est-ce que tu Étais avant de naître ? Et je ne parle pas en terme d'avenir ou de passé, mais bien de l'essence de ce que tu Es.
Question : Les enseignements nous invitent à se libérer du connu, de vivre l'instant présent tel qu'il est et pas comme on voudrait qu'il soit. Cela suffit-il pour devenir l'Amour de la Lumière Éternelle dans cette vie ?
Si tu étais capable de changer le point de vue (de ne plus être ce corps, de ne plus être cet instant qui se déroule, cette suite logique d'événements), ne serait-ce que ce que tu pourrais nommer un milliardième de seconde, bien sûr que cela suffirait. Tout le problème est lié à la localisation de la Conscience, portée sur ce corps, sur ces pensées, sur cette vie que tu vis mais, comme je l'ai dit, tu n'es pas cette vie que tu vis, aucunement. La vie est là, indépendamment de toi, indépendamment du monde. Vivre cela, c'est être Absolu, ce n'est plus une croyance, c'est l'absence de localisation, c'est l'absence d'identification, c'est ne plus jouer le jeu de l'action / réaction mais faire tout (absolument tout) ce que la vie propose avec la même équanimité, la même Simplicité et la même Humilité parce que, au sein de l'Absolu que tu Es, l'Absolu ne peut être affecté, ni par la maladie, ni par la perte, ni par la manque, ni par la plénitude, puisque l'Absolu est Infini Éternel. Ce que n'est pas ce corps, ce que n'est pas cette personne, ce que ne sont pas tes relations, ce que ne sont pas tes enfants, ni tes parents, ni ce à quoi tu es attaché.
Ce à quoi tu es attaché, te perd et te perdra. Tant qu'il y a attachement, il y a localisation à ce corps, à ce mari, à cette femme, à cet enfant, à cette maison. Tant que tu n'es pas libre, comment veux-tu revendiquer la Liberté ? Comment crois-tu pouvoir être libre en étant attaché à quoi que ce soit. Qu'est-ce que la Liberté ? Tant que tu es dans ce sac de nourriture, es-tu Libre ? Sais-tu qui tu Es ? Qui Étais-tu avant de naître ? Tant que tu n'as pas cette réponse, cela ne te sert à rien. Toutes les autres réponses sont caduques et tu tournes, et nous tournons tous, tant que l'Absolu n'est pas révélé. Tant que nous adhérons au connu (d'une manière comme d'une autre), nous sommes piégés, enfermés et enfermant les autres dans nos certitudes, dans nos attachements, dans nos désirs, dans nos incomplétudes, parce que tout cela est éphémère et ne dure que le temps de ce sac de nourriture. Ce qui est important c'est ce qui est dedans (ce que tu Es) mais tu n'Es pas le Temple, tu Es ce qui est dans le Temple. Le Sacré n'est pas le corps, même si le corps est sacré. Le Sacré est ce qui est invisible, le Sacré est ce qui est Éternel et Absolu. Il n'a que faire du temps qui passe, il n'a que faire de la vie et de la mort, il n'a que faire de tes plaisirs, il n'a que faire de ce que tu crois posséder, parce qu'au sein de ce monde, tout ce que tu possèdes (sans aucune exception) te possèdera. Tant que tu ne t'es pas donné, en totalité, l'Absolu ne peut être ta Vérité parce qu'à ce moment-là, tu es piégé par toi-même. Ne recherche pas, à l'extérieur, un coupable ou une cause parce que tant que joues à cela, tu n'es pas ce que tu Es et tu crois t'en approcher mais tu ne t'en approcheras jamais.
Aucun élément de ce monde, aucune personne de ce monde, aucune localisation au sein de ce monde, aucun Amour de ce monde, ne peut t'apporter ce que tu Es parce que tout ce qui est vu, projeté, toute possession, est une illusion. Alors ne demande pas la Liberté, si tu n'es pas libre. Vous jouez un jeu qui n'existe pas ailleurs que dans la projection. Celui qui sort de son corps, sait qu'il n'est pas ce corps. Celui qui sort de ses pensées, sait qu'il n'est pas ses pensées et celui qui sort de la Conscience, sait qu'il n'est pas la Conscience. Ce n'est pas des croyances puisque vous pouvez le vivre. Il n'y a aucun obstacle de ce monde, il n'y a aucun karma. Les seules restrictions sont vos propres croyances, rien d'autre. Plus que jamais, il faut être lucide. Cette lucidité, c'est un point de vue qui n'a plus rien à voir avec le point de vue de celui qui est localisé dans un corps, dans une vie, dans une profession. l'Amour est Libre, l'Amour est Absolu parce que c'est ce que vous Êtes. Mais pas l'amour humain projeté dans une affection, quelle qu'elle soit, parce que toutes vos affections ne font que traduire vos propres vides et vos propres incompétences à être Absolu parce qu'il n'y a rien à remplir, sauf pour l'éphémère. L'essence est Amour : ce que vous Êtes, ce que nous Sommes tous. Si nous sommes cela, alors il n'y a rien à chercher, il n'y a pas d'idéal, il n'y a rien à idéaliser, il n'y a rien à croire. Il vous faut, bien au contraire, décroître, accepter de n'être rien, ici, dans la conscience que vous vivez et, instantanément, vous Êtes le Tout, Absolu. Si la moindre parcelle d'éphémère demeure (dans vos attachements, dans vos possessions, dans le besoin de contraindre le monde, de vous y opposer, d'y agir ou de réagir) vous vous inscrivez, de vous-même, dans la souffrance, dans l'éphémère et dans le manque. Or, vous Êtes la plénitude de l'Amour. Vous Êtes Absolu. Les limites et les barrières ne viennent que de vos projections, fussent-elles les plus heureuses. Tant que vous projetez, vous ne pouvez être Absolu. Tant que vous cherchez, vous ne pouvez trouver. Tout ce que vous croyez trouver ne fait que vous éloigner parce que ce que vous trouvez vous inscrit dans une localisation sur ce monde, dans ce monde, et tout cela est éphémère. Le monde disparaît dès que vous dormez. Rendez-vous compte : vous courez après des chimères, vous cherchez une satisfaction immédiate ou programmée, vous vous attribuez des rôles, des professions, des fonctions. Mais vous n'êtes rien de tout cela. Vous Êtes Absolu, Amour.
Question : depuis un certain temps, en toute circonstance qui, autrefois, générait des émotions en tout genre, l'absence d'émotion me laisse un peu perplexe. Est-ce un petit pas vers l'Absolu que je dois être ?
Il n'y a pas de pas vers l'Absolu. Toutefois, quand les émotions se tarissent, dans un premier temps, cela peut te donner à penser qu'il y a un désintérêt ou quelque chose de bizarre ou d'inhabituel. Cela est effectivement un pas vers le Soi qui, effectivement, peut sembler te rapprocher de l'Absolu, qui est déjà là. Le désinvestissement de la localisation de ce sac de nourriture, comme des sacs de pensées, effectivement, se traduit par la raréfaction et la disparition des émotions, parce que l'émotion est ce qui met en mouvement. Or l'Absolu n'est pas le mouvement : il est l'absence de mouvement puisque non participation à ce monde en mouvement. L'éphémère est mouvement. L'Absolu est non mouvement, car ce qui est le Tout ne peut être en mouvement. Les parties du Tout peuvent être en mouvement. Ainsi donc, quand les émotions se tarissent, même si cela peut apparaître comme bizarre, c'est très bien. Parce que cela est la preuve indiscutable que tu ne participes plus aux mouvements de l'éphémère. Encore une fois, ce n'est pas un désintérêt ou un désengagement mais, bien plus, un point de vue qui change. C'est un grand pas du point de vue. Le point de vue s'élargit, tu n'es plus sur la scène du théâtre, tu es encore celui qui peut observer mais qui ne vit pas ce qui se vit sur la scène. Alors, cela est inhabituel. Cela peut se traduire, dans un premier temps, comme un sentiment d'étrangeté, mais c'est normal. Cela traduit le processus de désengagement de l'illusion de l'éphémère, de l'ensemble des sacs éphémères. Dès cet instant, l'observateur se révèle, ce qui te donne à saisir que tu es toujours là, malgré qu'il n'y ait plus d'émotion. Qu'est-ce qui est là ? Qu'est-ce qui regarde ? Qu'est-ce qui observe, si ce n'est ce que tu Es, en Vérité, en Absolu ? Ce n'est donc pas un pas vers l'Absolu mais, bien plutôt, un pas du point de vue. Au lieu d'être au pied de la montagne et d'avoir une vision limitée par les arbres, tu t'es éloignée de la montagne et tu vois la hauteur et le sommet de la montagne. C'est une étape. Il reste maintenant à saisir qu'il n'y a pas d'étapes.
Rappelez-vous les pelures d'oignons : les vérités sont des couches empilées. La vérité de la première couche ne connaît rien des couches qui sont au-dessus. Mais la couche la plus extrême contient toutes les autres couches, même si elle ne les voit pas, même si elle ne les sent pas. Ainsi évolue la Conscience au sein de la Supra Conscience nommée Turiya. Et vient, après, l'équivalence du sommeil, c'est-à-dire la non conscience (bien au-delà du Samadhi) qui donne à vivre Absolu. Du point de vue limité c'est un pas, mais du point de vue de l'Absolu, cela ne change rien puisque cela a toujours été là. En résumé, plus vous pénétrez la supra-conscience, plus vous dormez, moins ce monde a de poids sur vous. Et, comme je le disais, vous savez tous que si vous arrivez à dormir, quel que soit le problème, il n'existe plus. Ou alors, il n'y a pas sommeil : il y a cauchemar ou rêve.
Ni l'émotion, ni les pensées, ni le sac de nourriture, ni la connaissance, ni la spiritualité ne sont d'une quelconque utilité pour être Absolu. Ce sont des pièges qui vous maintiennent dans l'illusion de l'éphémère. Rien de ce que vous Êtes n'est éphémère. Les jeux de rôle changent en permanence. Vous changez de métier comme de chaîne de télé, comme de regard, comme de profession. Mais tout cela est éphémère parce que, justement, cela change. L'Absolu n'a jamais changé et ne changera jamais ce que vous Êtes. Alors, bien sûr, si vous avez envie de jouer, alors, jouez. Rappelez-vous :
l'Absolu n'est pas une quête, n'est encore moins une étape. C'est un Ultime. C'est le moment où tout le connu s'efface. Ce n'est pas la mort, même si l'ego vous le dit, même si le mental va sécréter de la chimie de peur. Parce que le sac de nourriture, comme les émotions, comme les pensées, ont la fâcheuse tendance à vous faire croire qu'ils sont vrais. Et vous y êtes identifié, vous y avez adhéré, d'une manière ou d'une autre. Il n'est pas important de connaître les manières qui ont conduit à cela, ça n'a aucune espèce d'importance. Tant que vous êtes intéressés à l'action / réaction, l'Action de grâce ne peut être votre Demeure, parce que vous avez placé votre Demeure dans ce sac, dans ces pensées, dans cette vie. Alors, vous allez vous nourrir de pincées de Lumière, vous allez créer l'évolution, vous allez créer l'amélioration, la recherche. Mais, c'est des foutaises. Ça n'a aucune existence, ça n'existe pas ailleurs que dans les projections, ailleurs que dans l'illusion. La seule question essentielle, c'est : « qu'est-ce que vous Êtes ? ». Et ce « vous Êtes » n'a rien à voir avec ce que vous croyez être. Quoi que vous viviez, c'est éphémère. Même la chose la plus parfaite disparaîtra totalement avec ce corps. Alors, bien sûr, vous avez adhéré au karma. Mais le karma ne concerne pas ce que vous Êtes, il concerne un autre éphémère qui n'existe plus, encore moins que l'autre : les vies passées. Il vous faut choisir : Absolu ou éphémère. Mais n'espérez pas trouver un contentement durable dans l'éphémère. Même le Soi n'est pas stable. Il est facile de décrire l'expérience du Soi, de la non séparativité, de l'Amour Infini. Mais est-ce que cela est Absolu ? Non, assurément. Parce que ce que vous pouvez exprimer, avec des mots, de vos propres expériences, de vos propres mémoires, disparaîtront à la disparition de ce sac. Est-ce cela que vous Êtes ? Que cherchez-vous et pourquoi le cherchez-vous ? Que cherchez-vous à combler, à rassurer, si ce n'est le vide de ce corps et de ces pensées qui ne sont que des projections, des coquilles vides. Et pourtant, vous êtes dedans : donc, vous ne pouvez en sortir. C'est simplement le point de vue qui change. À partir de ce moment-là, tout ira très vite pour vous. Le principe de la réfutation du connu vous conduit, si l'on peut dire, à être Absolu. Mais, encore une fois, réfuter n'est pas rejeter : c'est être conscient. Laissez ce corps faire ce qu'il a à faire, laissez ce corps élever vos enfants, laissez ce corps aller travailler. Vous n'êtes rien de tout cela. Faites-le mais n'y investissez absolument rien, sinon vous nourrissez l'ego, vous nourrissez l'éphémère. Vous appelez ça la satisfaction et le bien-être. Mais aucune satisfaction et aucun bien-être n'est Absolu, parce qu'inscrit dans l'éphémère.
Question : l'Onde de Vie a commencé de monter et s'est arrêtée. Pouvez-vous m'orienter pour que j'émerge de ce chaos ?
Il faut passer par le chaos. Tant que tu n'es pas morte, tu ne peux pas trouver ce que tu Es. Pourquoi refuser le chaos ? Il est là, tu n'Es pas cela. Ne fais rien, ne lutte pas contre : regarde-le. Est-ce que tu Es cela ? Cela prouve que tu es identifiée à ce chaos, mais tu n'Es pas ce chaos. Le chaos concerne l'éphémère, quels que soient les mots que nous y mettons. Le chaos ne traduit que le chaos de l'ego, le chaos du corps, le chaos des pensées. Mais remercie le chaos, observe-le et, si tu es lucide et le vois, tu sais très bien que tu n'Es pas cela. Et si tu penses l'être et le vivre, c'est que tu y es encore, quelque part, attaché. Parce que l'être humain croit être attaché à sa famille, à ses enfants. Mais vous êtes tout autant attachés à vos souffrances, même si vous dites (et surtout, si vous dites) : « je ne veux pas souffrir ». Rappelle-toi :
tu n'as pas à lutter contre le chaos. Il n'y a pas de solution à y apporter. Regarde-le, observe-le et tu constateras que tu n'Es rien de cela. À ce moment-là, la souffrance lâchera prise, le chaos se dissoudra de lui-même, non pas par une quelconque action, non pas par l'application d'un pansement. Sois lucide. Tu l'as dit : tu es lucide mais, quelque part encore, il y a une adhésion à ces projections. Alors, bien sûr, on pourrait te dire que c'est lié à ce que tu as vécu dans le passé mais ça n'a aucune espèce d'importance. Observe, dans l'instant. Ne cherche pas des causes, qui peuvent être vraies à un niveau de l'oignon mais pas ailleurs, et surtout pas dans l'Absolu. Regarde le chaos. Est-ce que tu Es cela ? De manière définitive, non. C'est impossible. Observe lucidement et dégage-toi de cela, non pas en luttant contre, non pas en y apportant une solution (parce que tu le renforcerais). Mais simplement parce que tu as exprimé cette lucidité, tu en as la capacité réelle. Est-ce que le chaos est là quand tu dors ? Bien sûr que non. Et quand tu te réveilles, il est toujours là. Où était-il pendant que tu n'étais pas là ? Réfléchis. C'est très simple. Ce n'est pas une énigme ou une charade. Qu'as-tu peur de lâcher si ce n'est ta pauvre petite personne éphémère ? Aucune perfection éternelle ne peut être obtenue dans l'éphémère. Tu peux en avoir l'illusion, de la même façon que tu peux transformer un visage par un maquillage, ou donner à voir, par des vêtements : attirer l'attention et le regard ailleurs que sur la Vérité, afin de ne pas voir ce qui est né. C'est le même principe : désengage-toi, réfute. Aucun chaos ne peut atteindre ce que tu Es, quel que soit le degré de souffrance, quel que soit le degré de lucidité. Tout cela n'est qu'une scène de théâtre. Tu as déjà la chance de l'observer, d'en être lucide, comme tu dis. Alors, va plus loin. Il suffit de ne pas s'inscrire dans ce chaos, il suffit de ne pas lutter contre mais, simplement et objectivement, de le regarder. Si tu fais cela, alors, si je peux dire, c'est gagné. Tout problème vient, en définitive, de la peur : la peur de perdre ce corps, la peur de souffrir, la peur de l'abandon. Mais tu ne peux pas abandonner ce que tu Es, de toute Éternité. Tu Es Absolu. Le chaos est un lessivage de l'éphémère. Reste tranquille, laisse agir, mais tu n'Es rien de cela. Accepte-le. Vois-le. C'est très simple. Mais si ta lucidité t'amène à vouloir agir ou vouloir réagir, alors tu t'inscris, de toi-même, dans quelque chose qui va durer dans l'éphémère. Alors que si tu fais la tentative d'appliquer ce que j'ai dit, extrêmement vite, ta lucidité deviendra encore plus claire. Tu ne pourras être altérée par ce chaos qui ne te concerne aucunement. Dans ce genre de question que tu poses, là aussi, il y a des étapes, non pas vers l'Absolu, mais des étapes de lucidité qui doivent être franchies, les unes après les autres, non pas en luttant, non pas en s'opposant, mais bien en regardant, pas seulement la situation, pas seulement le chaos, mais bien toi-même, au-delà de ces souffrances, au-delà même de ce chaos.
Alors à cet instant, il y aura un instant, décelable entre tous, où quelque chose bascule. Tu passes de l'éphémère, si l'on peut dire, à l'Absolu, bien qu'il n'y ait pas de passage, ni basculement, ni retournement. Mais ceci, la Conscience le perçoit clairement. Mais, là aussi, tu n'es pas ce qui s'aperçoit clairement de cela. Là aussi, il faut aller au-delà. Faire cela, observer cela, c'est
ne plus donner de poids au chaos, ne plus donner d'attention à l'éphémère, aux croyances, aux suppositions, mais bien s'approcher de l'Infinie Présence. Et là, l'Absolu est quasiment là, pour toi. La recherche de perfection, comme la culpabilité que tu exprimes, ne sont que des peurs. Mais tu n'as pas à lutter contre ces peurs, il y a juste à les regarder (comme pour le chaos), de voir que cela est relié, que cela fonctionne en synergie au sein de l'éphémère, mais ne peut, en aucun cas, toucher ou altérer ce que tu Es, en Vérité. Accepte donc ton immortalité. Tu n'es ni ce corps ni ce que tu as vécu ni tes activités. Tu es le chaos et c'est dans ce chaos personnel, individuel (qui est une mort mythique et mystique), que l'Absolu est là. Ce moment de crainte, qui te fait croire à la fin, n'est, en fait, que l'ouverture au Vrai, c'est-à-dire à l'Absolu. Bien sûr le corps, bien sûr les pensées, vont tout faire pour t'éviter de penser ainsi.
Question : suis-je prête à accepter le point de basculement vers l'Absolu ?
Ta question ne veut pas dire grand-chose. Qui pose la question ? Ce n'est pas de la voyance, encore moins une autorité extérieure qui va te dire : "c'est bien" ou "c'est pas bien". Il n'y a pas à être prêt à quelque chose qui a toujours été là.
Tu n'as pas un costume à mettre pour aller te marier. Il faut accepter d'être dépouillé, totalement nu, dans le chaos, dans l'Abandon le plus total. C'est plutôt moi qui te demande : "es-tu prête ?" Parce que toi seule a la réponse. Comment peux-tu projeter une réponse à attendre de l'extérieur ? Qu'est-ce qui te fait penser ou croire cela, si ce n'est tes propres indécisions, tes propres doutes ? Toute réponse est en toi. Il n'y a pas de meilleur moment que l'instant présent. Il n'y a pas de distance, il n'y a pas de recherche, il n'y a pas de vêtements à mettre, il n'y a pas à être prêt. C'est la perspective du point de vue de la personnalité qui va te faire croire qu'il faut être prêt ou pas prêt. Se tenir prêt, ou ne pas se tenir prêt : mais ça ne veut rien dire. Il n'y a d'ailleurs rien à dire. Que cherches-tu à te dire à toi-même ? Que veux-tu masquer ? Surtout ne rien croire. Il n'y a pas à être prêt ou à ne pas être prêt à quelque chose qui a toujours été là. C'est le point de vue de la personnalité qui, toujours, à travers les mots que tu emploies, montre même que tu attends quelque chose ou que tu espères ou redoutes quelque chose. Mais c'est le même principe : espérer, redouter, ou autre, n'est que la projection de tes propres incertitudes Intérieures. Et de quel Intérieur parles-tu ? Et de quel intérieur je parle ? Celui du Soi, il faut Abandonner le Soi pour être Absolu, parce que l'Absolu est déjà là, il englobe le Soi, il est le Non Soi, le Non Je, le Non Être, le Non Paraître. Il est le Para Brahman, c'est-à-dire le Tout au-delà du Tout, l'Absolu Ultime, Amour. Comment pourrais-tu être prête à ce que tu Es, déjà ? La notion de préparation met une distance, une séparation, même. Il n'y a rien à préparer. Il n'y a pas à être prêt ou ne pas être prêt, parce qu'adopter cela c'est te renvoyer à une certaine forme de linéarité, à l'éphémère, à l'incomplétude. C'est une projection, là aussi. Ce n'est pas un mariage, tu n'as rien à rencontrer d'autre que ce que tu es déjà. Seul l'ego croit cela et échafaude des hypothèses là-dessus.
Question : Qu'est-il opportun que j'entende de votre part ?
La première réponse est : "rien du tout". La deuxième réponse est : "qu'attends-tu, qu'espères-tu entendre ?" Aucune connaissance venant de ce que je pourrais te dire, de ce que tu Es, ne te permettra de l'Être et encore moins de le devenir. Il faut faire le Silence. Ce Silence n'est pas une contrainte qui dit : "j'arrête de penser, j'arrête de bouger". Mais c'est le Silence de l'observateur. Qui pense ? Qui parle ? Qui vit ? Qui a ce prénom que tu portes ? Si tout cela s'arrête, alors, je peux te dire l'opportun qui est d'arrêter tout cela. L'Absolu, encore une fois, n'est pas une étape, ni dans un dire (quel qu'il soit) puisque l'Absolu se révèle, justement, dès l'instant où il y a Abandon du Soi ou Abandon du Je, sans souffrance, sans vouloir fuir quoi que ce soit. Mais bien, vraiment, le moment où le Silence se fait et où rien ne se dit, où plus rien n'est opportun. C'est le moment de la Dissolution, appelé précédemment le chaos, dans la question précédente. Vivre le chaos, c'est oser aussi s'Abandonner, ne plus dépendre du Je et du Soi, devenir, réellement, indépendant et Libre, quelles que soient les circonstances de ta vie. Aucun enfant, aucune règle sociale, aucune atteinte de ce corps ne peut altérer cela. En définitive, et là aussi, le "rester tranquille" prend tout son sens. Comme je l'ai dit, à de nombreuses reprises, celui qui regarde la scène de théâtre ne peut pas se mettre debout et gêner les autres spectateurs. Il est dans un fauteuil, il observe. Il est captif, lui aussi. Mais le fait d'être captif de l'observateur débouche sur la non Conscience ou a-conscience. Mais cela est déjà là. Il n'existe nulle distance, nul temps, nul attachement qui puisse freiner ou brider l'Absolu, puisque l'Absolu contient tout cela.

Question : comment faire pour ne plus intervenir dans la vie courante ?
Mais justement, il n'y a rien à faire et tout se fera. Vous avez tendance à considérer, les uns et les autres, que quand on vous dit de laisser faire, de rester tranquille, vous allez rester assis sur un fauteuil et attendre. Vous n'avez rien compris mais c'est très bien parce que, justement il n'y a rien à comprendre. Réfuter n'est pas renier : c'est simplement le point de vue qui change. L'action se déroulera toujours, le faire aura lieu, mais la Conscience ne fera pas. Vous observerez ce qui se fait. C'est le point de vue qui change. Et vous percevez, et vous maintenez, une vision limitée. Quand je vous dis que ce monde n'existe pas, est-ce que ça veut dire que tu vas sortir de ce monde dès que tu fermes les yeux, ou dès que tu te mets dans un fauteuil ? Mais bien sûr que non. Il ne faut pas nier ce que vit ce sac de nourriture : il faut ne pas s'y impliquer. C'est cela, rester tranquille. Ça ne veut pas dire devenir un légume, ça veut dire faire et intervenir, mais tu n'es ni ce qui fait ni ce qui intervient. C'est un problème de positionnement. Cela est répété à de nombreuses reprises. Quand on vous dit de ne rien faire, ça ne veut pas dire de rester à ne rien faire, assis quelque part, ou au lit. Bien sûr que non. Faites ce qui est à faire, répondez à vos obligations, qu'elles soient légères ou lourdes, mais vous n'êtes rien de cela. C'est l'ego qui s'empare de cela, dans ta question. C'est l'ego qui se dit : "mais comment je peux arrêter de faire, mes enfants, mes obligations, ma famille ?". Personne ne t'a demandé d'arrêter quoi que ce soit. C'est un changement de point de vue. Tu n'es pas ce qui fait, tu n'es pas ce qui intervient. C'est l'ego qui, spontanément, veut limiter selon ce qu'il perçoit, bien sûr, et qui te fait croire que cela n'est pas possible. Est-ce que celui qui sort de son corps arrête de vivre ? Non, il est bien plus vivant que quand il agit. De la même façon (et je le répète), il n'y a rien à rejeter. Réfuter n'est pas rejeter : c'est changer de regard, changer de point de vue. Bien sûr, ce que je dis pour l'ego est incompréhensible, parce que l'ego ne voit pas et il a raison. Comment il pourrait faire, sans rien faire ? Si j'ai pris l'exemple, à de nombreuses reprises, de la scène de théâtre, ce n'est pas par hasard. Je vais reprendre un autre exemple : celui de la corde. Tu rentres dans une pièce mal éclairée, tes yeux voient une corde, mais comme c'est mal éclairé tu es persuadé que c'est un serpent et tu as peur et tu allumes la lumière et tu t'aperçois que ce n'est qu'une corde. C'est exactement le même principe. Autrement dit, dans votre langage courant, vous prenez des vessies pour des lanternes. Il n'y a pas de serpent et pourtant tu y as cru. Mais le fait de changer d'éclairage te fait te rendre compte de ta méprise.
C'est le même principe pour votre vie : personne ne vous a jamais demandé de ne pas intervenir, de ne pas agir. Au contraire, ce sac de nourriture doit vivre ce qu'il a à vivre, léger ou lourd. Mais ne vous impliquez pas, parce que ce n'est pas vous. C'est le point de vue qui change, ce n'est pas l'action. Mais la personnalité, bien sûr, ne va pas comprendre cela. La meilleure façon d'y arriver, je l'ai expliqué, c'est la réfutation. Réfuter ne veut pas dire ne rien faire, c'est se tenir tranquille, c'est laisser se faire. Ce Faire n'a pas besoin de ce que tu Es. C'est toute la différence. Le point de vue, l'éclairage, le regard : y a pas de serpent, c'est une corde, c'est une croyance et après, seulement après, il n'y a pas plus de serpent que de corde. Mais ce n'est pas parce que tu vas dire qu'il n'y a pas de serpent et pas de corde, que cela va être vrai. C'est comme les couches de l'oignon, c'est pareil. Est-ce que la couche de l'oignon qui est la plus proche du centre, connaît la vie de l'enveloppe de l'oignon ? Non. C'est pareil pour toi. Est-ce que le fait d'être Absolu fait disparaître quoi que ce soit de ce qui est à l'intérieur de l'oignon ? Bien sûr que non. Mais la logique de l'ego est de te faire croire que oui. D'où cette question. L'Absolu n'est pas celui qui reste dans une grotte. L'Absolu peut effectuer n'importe quoi, au sein d'une forme, mais il sait qu'il n'est pas cette forme et, pour autant, il fait. C'est un changement de point de vue, pas d'action. Ce n'est pas passer de l'action à l'inaction, ce n'est pas stopper toutes les interactions, ce n'est pas tuer père et mère ou enfant. C'est un autre regard, une conscience élargie. C'est passer de celui qui est acteur de sa vie, à celui qui regarde. C'est l'observateur : là, c'est le Je Suis. Et après, l'observateur disparaît, lui aussi : il n'y a plus de localisation au sein d'un corps, au sein d'une histoire. Mais qui a dit que l'histoire devait s'arrêter ? Personne, sauf ton ego.


BIDI - 1

29 de junio 2012

Pregunta: estoy sirviendo a mis padres mientras que la demanda no viene de ellos. Esto no me da ninguna alegría. Antes, estaba expresando mi creatividad en la danza, el canto, la artesanía, ahora nada. Lo que está sucediendo a mí actuar de esa manera?
Bueno, usted se pone en la situación de que te quejas. Así que la respuesta es, por supuesto, en usted y sólo usted, ya que esta restricción se impone a usted por sí mismo y, como usted dice, de ninguna fuera. Parte de lo que tengo que decir que no se coloca en un análisis de la esfera psíquica, ya la esfera psíquica cubre sólo de corta duración de su vida y no se corresponde con el Absoluto. La pregunta que usted me está preguntando es encontrar una solución o una explicación de algo, de todos modos, es efímera. No puede haber una respuesta, porque cualquier respuesta (aún más preciso, más exacto, incluso el más eficaz) sólo va a tener otra efímera. Y a medida que envisageras su vida en lo efímero, en una reunión (incluso creativo), que seguirá siendo limitada y quedará sujeto a la alternancia de lo efímero, es decir, los momentos Cruzando la alegría de no alegría. Esto es característico de todo lo que es efímero. La única manera de ser estable, la única manera de no dejarse influenciar por sus acciones y sus reacciones (feliz o infeliz) es entender que usted no es esta bolsa de alimentos, usted es mucho menos que la bolsa de los pensamientos , es mucho menos de esta vida que vivimos.
Al buscar una respuesta a esto, se coloca automáticamente, de ti mismo, de acuerdo con el principio de acción / reacción o, si se prefiere, del bien y del mal, lo que te hace bien o lo que duele. Lo que sea que encuentre el bien, nunca lo efímero traer la satisfacción permanente. La característica de la transitoria siempre te hará pasar de un extremo a otro. Y el hombre pasa su vida en lo efímero, de las penas para navegar en la alegría, a encontrar la alegría. El propósito de nuestras conversaciones no es proporcionar un bienestar ni la incomodidad de un, sino para mostrar la situación como se vio, como usted ha aceptado, y como usted ha identificado . Mientras usted está identificado con todo lo que dijo (la creatividad, el apoyo, el bienestar o el malestar), no puede salir porque, en un caso como en el otro, a mantener una dependencia, mantener una caja y una incapacidad para enfrentar la situación. Así es la naturaleza de cada ser humano frente a esta vida, este efímero, esta acción / reacción. Usted dedica su tiempo tratando de mejorar su ordinario. Buscando, en todo momento, obedezca la riqueza contingente social, moral, emocional o creativa o espiritual o material. Pero no hay comodidades, no hay consuelo espiritual, no va a salir de este círculo vicioso. La única forma es comprender que no eres ni el cuerpo ni pensamientos, ni la vida de este. Mientras usted se identifica con lo que usted me describe, te conviertes en círculos. No hay manera, no hay herramientas, no hay técnica que redundarán en la sustentabilidad y, menos aún, el Absoluto y lo Eterno.
Es necesario, usted también distanciamiento. Distancia a sí mismos no significa rendirse o abandonar un requisito, pero cambiar la ubicación a causa de su propia conciencia, lo que es este "yo" que necesita la creatividad, lo que es este "yo" que necesita para escapar de una situación donde se establece, si no el ego. El ego pasa su tiempo en lo efímero, al pasar de bueno a malo, la acción y reacción, para encontrar, en el lugar donde está confinado, una justificación y una solución. No hay justificación, no hay solución, no será de ninguna ayuda, como a ti mismo no lugares fuera del creyente para actuar, para el que piensa, el que piensa que tiene que expresar la satisfacción, la creatividad o cualquier otra cosa, porque todo pertenece a algo que es de por sí, o por su naturaleza efímera. Sin embargo, su esencia y su naturaleza es lo contrario de lo que usted envía. Este es un cambio radical de perspectiva: es la única solución. Como se dará cuenta, dentro de lo efímero, una fuente de satisfacción, una fuente de insatisfacción, hay que luchar, de forma permanente, que se desgasta. Porque nada de esto puede ser estable, nada de esto puede ser el Señor y mucho menos absoluta. Como seres humanos, se encerró en sus ilusiones (y este mundo es una ilusión), ya que usted cree que hay algo que debe ser resuelto dentro de esa persona, no dejes que esto bolsa de comida para vivir su la vida, no dejes que esta bolsa de pensamientos vivir su vida. Tú no eres eso. Debemos adoptar un cambio radical de perspectiva. Esto se conoce como réplica y me voy a referir a todo lo que dijo. La pregunta que usted es totalmente irrelevante y no puede, bajo ninguna circunstancia, usted trae en mi respuesta, una solución. Debido a que cualquier solución que se adapte a su consulta y su aplicación sólo le enviará de vuelta, incluso en el de corta duración. Es a ti mismo es que se instala en el dolor de corta duración y la alegría. Cualquiera que sea el de corta duración, usted sabe muy bien que la alegría no puede durar, de la misma manera que la tristeza no puede durar. Porque incluso la tristeza o la alegría más largo, se enfrenta a la barrera de la final de esta bolsa de comida y los pensamientos. Mientras actúas de esta manera, a medida que reaccionan de esa manera, usted puede encontrar la paz. Y esto es normal. La pregunta que se le pedirá sólo para ti y tu personalidad y, en todo caso, el Absoluto.
No hay alternativa a la absoluta. Si quiere estar en paz, más allá de la efímera, usted necesita ver mucho más grande, serpenteando a cabo las acciones y reacciones de su vida, cualquier investigación que requiere una solución a un problema. A medida que adopte este, que está atrapado en sí mismo, en su ilusión, efímera en el tono. Así que sólo puede comprometerse a ir más allá de la búsqueda de soluciones en este efímero. A medida que pasan su vida en busca de la mejora, a medida que pasan su vida en busca de tranquilidad, lo que sea, un bienestar, no puede ser. Si bien existe una inquietud, usted sabe bien que no puede ser. Pero es exactamente el mismo para el bienestar. Porque el bienestar como el malestar, se expresan sólo en lo efímero, en lo que se mueve, que no es inmutable y eterno. Y como se reflejan bien, si usted se somete al funcionamiento de lo efímero, es decir, en esta bolsa. Te vas a quedar una bolsa, mientras que su naturaleza y su esencia es absoluta y es mucho más amplia de lo que piensa, lo que viste, lo que se vive? Has de ir más allá de esta dualidad. No hay solución a su problema no será completa, ya que seguirá siendo incompleta, siempre y cuando te de seguridad, usted mismo, en el carácter incompleto. Si lo capturas, si se adhirieron a él, sin fugas de nada, entonces todo se aclarará. Pero como usted no estará en este punto de vista, usted seguirá siendo confusa y en problemas. No hay solución dentro de la experiencia de lo efímero de su vida (como toda la vida). El ego se satisface decir que el karma paga. Pero el karma no existe, excepto para la persona, no por lo que eres. Y tú no eres una persona. Ni siquiera es un individuo. ¡Fuera de este juego van más allá, no sólo superar una situación, y mucho menos encontrar una solución: es ver las cosas con claridad. Mientras usted está identificado con todo lo que usted vive (este cuerpo, los pensamientos) solución no puede ser sostenible y eficaz. Estos no son más que apósitos que se recorre, al igual que toda la vida que no acepta a experimentar el Yo Soy. Pero yo dije eso? ¿Se lo ha dicho? Siempre y cuando exista la propiedad, dentro de lo efímero, usted nunca encontrará la paz definitiva. Para que usted sabe lo que quiere. Respuesta a un problema es hacer frente, de nuevo, otro problema, en el mismo ámbito o en otro ámbito. Así va la vida del hombre que se encierra a sí mismo, nunca, en esta secuela, sin fin, las acciones y reacciones efímeras. Mientras usted cree que lo efímero, está sujeto a las leyes de lo efímero que dice sufrir. Y conforme con el sufrimiento, de la misma manera que se adhirieron a la alegría. ¿Cuál es su objetivo? ¿Qué quieres? Si se trata de una solución a un problema, no se acercan a mí. La única solución que puedo dar es decirte que no eres lo que piensas. No te lo vas, cualquier cosa que pueda vivir todo lo que hicieron en vivo. Lo que se ha vivido, lo que se vive, no acerca de lo que eres. Es la ilusión de que te hace pensar que el punto de vista, si lo prefiere. Siempre y cuando no salen desde este punto de vista, nadie puede absolutamente nada para ti. Usted es una víctima de sus creencias. Usted es una víctima de su propia vida, tus ilusiones y es interminable, en el de corta duración. Sólo la muerte pone fin (la muerte de la bolsa). Va mucho más allá de todo eso, hasta ahora, sin negar lo que usted va a difícil, pero no eres lo que has visto: todo el problema está ahí y en ninguna otra parte.

Pregunta: Quiero aplicar tres consejos: quedarse quieto, cambiar el punto de vista, refutar la conocida. ¿Cuáles son los obstáculos que impiden que yo haga esto?
Pero debido a que se tiene en cuenta que esto es cierto. No hay nada que hacer. El único obstáculo es uno mismo, en el funcionamiento de lo efímero en la mente y los pensamientos. Mientras usted está en su persona, que se identifican como (otra vez), todo lo que la demanda no puede aparecer porque ya está ahí y se realiza ya. Mientras usted cree que hay un camino, un paso, una vez, pruebas o escalones que subir, que se aleje aún más de lo que estás buscando porque no hay nada que buscar . No sólo estaba siendo que debido a que es eso. Siempre es la persona, la mente o el cuerpo que va a desviarse de eso. Esto no es algo a buscar, esto no es un esfuerzo. Ya está ahí. Esto siempre ha estado ahí. Son ustedes los que están fuera. El amor está en todas partes. Usted no puede encontrar lo que eres, porque eres el amor. Así que lo que usted propone (que se callara, para encontrar la paz), pero ya está ahí. ¿Es usted tranquilo. Tú eres la paz. Cambio de perspectiva es la de aceptar eso. Siempre que hay algún espacio para la creencia en ti mismo, no puede exceder de lo efímero. El Absoluto ya está ahí, no hay que buscar, y menos aún que se encuentran. Es como usted ha dicho: "Quiero encontrar el aire." Pero usted está en el aire. ¿Entiende usted que? Usted puede encontrar lo que son, y mucho menos encontrar lo que son. No es la refutación de todo lo que se sabe, todo lo que le preocupa, lo que puede resultar. Pero este resultado no es parte de un tiempo lejano o en un área separada de lo que eres, ni en la otra vida, o en ninguna creencia o una religión, ni una técnica ni un ejercicio de . Pasa a través de la etapa, en primer lugar, del observador. Al responder, "Yo Soy", que observa? observador? quién está detrás de lo que está en juego? Todavía estás jugando en el teatro. Por lo tanto, debe colocar ya en la silla que mira y no jugar a la escena y después, de nuevo, dejar el teatro. Esto no va a dejar la escena (que continuará desarrollándose, este cuerpo seguirá viviendo), pero no se verán afectados, ni enfermo, ni alterado por cualquier cosa que se lleva a cabo en el escenario, ya que reproducirAs en esta escena . Usted no va a estar sentado y ver el espectáculo, a salir de la sala y luego se tenga en cuenta que, por sí mismo, nunca hay ningún drama. Únicos lugares donde se determinan las condiciones en las que se adhirieron (leyes físicas), pero en cualquier caso, la física puede seguir la metafísica. No hay esfuerzo que se requiere, ya que, como se tiene en cuenta que hay un esfuerzo, se coloca, de nuevo, en el interior del teatro, en el escenario, se juega y adherido a algunos cosa, pero el teatro sigue dejando de un día. El teatro va a desaparecer de todos modos, tan pronto como esta bolsa de comida será más. Este es el juego de la mente, el juego del ego (la propia persona), que se une, lo que le impide ver con claridad. Es como si no hubiera anteojeras que le muestran sólo lo que está delante de ti, y por tanto, que lo mantendrá fuera de lo que está delante, no sólo para ver lo que está en los lados y atrás, pero Entiendo que no hay nada que hacer. Ser está más allá de la vista. El Absoluto no es un punto de vista. ¿Es lo que son, en esencia, en la eternidad, independientemente de las circunstancias experimentadas por este organismo. Como ya he dicho, no eres ni el teatro ni el actor o el espectador, o al teatro. Como no respondió a esta pregunta, ya que no han tenido la visión correcta de esto, bueno, lo que usted busca no se puede obtener. Los lugares vista en la que es la persona que tu vida, pero para usted como para todo el mundo, como lo define en relación a su vida, que sólo afecta a la persona, pero que lo efímero no lo que eres.
Mientras usted cree que hay que subir, ya que usted cree que hay una progresión, ya que usted cree que hay una búsqueda sin fin, usted se equivoca: todo lo que ya está ahí. ¿Cuál es su punto de vista que tiene la distancia a la Verdad. La verdad no conoce distancias ni tiempo, ni espacio. Cuando digo "cambio de perspectiva," esto no es así, por supuesto, sólo la visión. Pero, más allá incluso la perspectiva es la conciencia misma debe desenmascarar la ilusión del juego. Y, si se me permite decirlo, aguas arriba de esa conciencia, ¿qué es? No era lo que yo llamo una conciencia. Como siempre y cuando no se disuelven, ya que no está muerto a sí mismo, en sus propias ilusiones, puede seguir buscando la paz ahora.
Cuando decimos que se calle, es un compromiso para hacer que usted cambie su perspectiva. Mientras usted está identificado con su Yo poco, sus pequeñas necesidades, su poca satisfacción, o sus necesidades y su satisfacción grande, usted puede encontrar la paz, no se puede estar tranquilo. Es por eso que dijo (y repito): usted no tiene otra alternativa que la refutación de lo desconocido, porque sabe que no puede ser conocido, ya que es lo que eres. El punto de vista debería trasladarse allí, es decir, salir del teatro. Siempre y cuando no lo han experimentado, usted puede estar seguro que este cuerpo. Mira (por ejemplo), sus hermanos y hermanas, nuestros hermanos y hermanas que sufren de experiencia fuera del cuerpo o la muerte, saben que no somos este cuerpo, incluso si están dentro. Por contra, ellos saben que es una bolsa de comida que está muerto, incluso si se llama vida. El mundo no existe. Todo lo que se ve, no puede existir es una ilusión. Mientras usted no acepta este punto de vista, no hay una solución, porque esta solución, posiblemente incluso ya existente, se ajuste no sólo en el marco de la acción / reacción, incluso en lo efímero de la ilusión.

Pregunta: En una entrevista anterior usted dijo: dejar que el cuerpo solo, no necesito para vivir, ¿qué tengo yo que escuchamos hoy en día?
¿Sabía usted que este cuerpo para vivir? Usted está en constante resistencia. Estas resistencias se expresan a través del sufrimiento, en la bolsa de comida o una bolsa de pensamientos. Mientras no hay sufrimiento, sea lo que sea, está dentro de esta ilusión. Aquel que dejó su cuerpo en vivo (con independencia de la consecución de este cuerpo, o lo que sea la paz del cuerpo) no es en absoluto preocupado porque, te reconozco, que no somos este cuerpo. Cuando usted muere o cuando se duerme, lo que queda de ti? Más allá del sueño o una pesadilla, ¿dónde estás en este momento? ¿Qué pasa con el mundo? ¿Hay, o no? ¿Qué sucede con sus parientes, su familia, sus hijos, su trabajo? ¿Están presentes en su conciencia, cuando se duerme? Todo el problema está ahí. Deja que el cuerpo solo, no significa descuidar o abandonar él, pero ya no resisten, porque el momento en que no resisten más, no se oponen a más, la acción / reacción ya no puede participar : cambia el punto de vista, la paz se asiente, no hay paz. En este punto, se descubre algo más que yo soy, te das cuenta que son absolutos y que esta forma, esta vida se vive, pero no le preocupan. Así que, por supuesto, el ego se lo he dicho (si se entiende en ese nivel) y decir: "ah, pero tengo obligaciones." Pero los bonos, que se llenan. No hablo obligaciones de ningún tipo, sino de su conciencia: ¿dónde está? Y más allá de la conciencia, hay algo más allá del observador, que siempre estuvo ahí, que nunca se movió, que siempre ha sido tranquila, que siempre estaba en paz. Este es el punto de vista, donde usted tiene ser. Como no se trata de las carreras efímeras hacia adelante, alterar o mejorar tu vida y hacerte creer que estás en ello presentado de una manera u otra. Así que, por supuesto, el ego cree que va a haber encontrar un conocimiento espiritual del conocimiento, psicológico de la mañana. Mientras usted está en él, usted no está aquí y ahora, usted está en la proyección y la proyección mantiene la ilusión. Ninguna satisfacción puede ser sostenible en la proyección, porque incluso si usted tenía todas las comodidades (material y espiritual), a pesar de que conocía todos los misterios del universo, ¿cuál sería recurrir? Absolutamente nada, excepto la satisfacción del ego para creer que va a controlar el futuro, la situación familiar, social, financiero, emocional.
Como usted juega en el escenario del teatro, no se puede tener la perspectiva de alguien que es absoluta, ya, y que el teatro no lo necesita. Este es el juego de las interacciones en el cuerpo ilusorio (aunque sutil) que mantiene la misma ilusión. Cuando les decimos que no hay nada que hacer, que no hay camino, no hay evolución, por supuesto, para el ego, no uno y siempre será una involución, ya que no tiene fin en lo efímero. Pero no al final de la efímera no trae el Absoluto, porque la sucesión de causas es infinita. Hartos esta bolsa, pero simplemente no lo son. Hemos de tener en el reloj, y para cuidar, tu mirada. Así que, por supuesto, el ego te harán creer que es la muerte, el ego te hace creer que este es el final. Sí, está cerca. Pero este no es su final, sin embargo. El cambio de perspectiva, punto de vista, la conciencia es un grande y más grande incluso que la conciencia es efímero porque de lo contrario (si era absoluta) que estaría constantemente en el mismo estado, sin fluctuación, sin movimiento (que Es, por supuesto, nunca es el caso).
Mientras que allí en busca de la luz y el amor, esto significa que usted pone una distancia con la Luz y el Amor y por lo tanto una proyección. ¿Crees que hay algo para tratar de mejorar, ya les dijimos, pero ¿puede usted probar a sí mismo? ¿Dónde está la prueba? No hay ninguno. Es un engaño, es una estafa. Acéptalo, no como una creencia, sino los vivos, y la expansión de la conciencia se convertirá en super-conciencia y la conciencia. Esto es cuando usted duerme. Esto es cuando usted sabe que es, sin embargo, donde no hay cuerpos, no hay pensamiento, la emoción, la interacción no hay, en las que están inscritos en una realidad efímera. El Absoluto se revela en ese momento. Pero si se revela, por supuesto, eso significa que siempre ha estado ahí, no está en otra parte, no hay mañana. Aléjese del teatro, pero lo que debe dejar el teatro? No es este cuerpo, no la vida, pero lo que eres. Tú eres el Amor, pero hasta que se considera que el amor está fuera, se hace una proyección, un deseo y poner una distancia y que mañana será mejor y que siguen atrapados por el tiempo, por el espacio, por la ubicación dentro de un cuerpo. Mientras te encuentras, estás atrapado. Mientras usted cree que es la investigación, que está atrapado. Mientras usted está ansioso de conocimiento, que está atrapado porque en realidad, usted sabe lo que Es, ya que el verdadero significado de esta palabra ha nacido con (además, no puede nacer sin él. Piensa) . La esencia de tu ser, la esencia de lo que eres es amor, es absoluta. Descubra todo, si lo prefiere, ya no es nada aquí, no como una negación de la vida, sino como un cambio de perspectiva: se llama como la humildad y la sencillez. Eso es entender y ver que no eres nada en este mundo, que no son de este mundo, no estás en este mundo. No hay mundo. No hay ninguna persona. Hay creencias que no son sólo proyecciones, pero la ilusión de que se mantienen y sostienen a sí mismos, como parte de lo efímero, en la acción / reacción , del bien y del mal. Lo que eres, no puede nacer ni morir. ¿Está usted de que no puede ser afectado por nada en este mundo. Lo que se ve afectado es el efímero y, a medida que se identifican con lo efímero, y por lo tanto se ven afectados que sufren de una manera u otra. No hay duda de poner una venda o un analgésico en el que sufre. Tenemos que cambiar nuestro punto de vista, te muestran que cuando el Absoluto se revela, el sufrimiento no existe. Esta es la bolsa de alimentos, lo que es la química del cuerpo, lo que crea sufrimiento, es este mundo. Cuando usted duerme, no sufre, incluso de una enfermedad, trastorno afectivo, incluso, aún más violenta cuando estás despierto? El enigma es éste: ¿qué se siente cuando duerme? Lo que eres cuando te mueras? Lo que eras antes de nacer? Y no hablo en términos de futuro o el pasado, pero la esencia de lo que eres.



































Pregunta: Las enseñanzas nos invitan a liberarse de lo conocido, a vivir el momento presente tal como es y no como queremos que sea. ¿Es suficiente para convertirse en el amor de la Luz Eterna en esta vida?
Si fueron capaces de cambiar la vista (a no ser este cuerpo, no se llevará a cabo este momento, la secuencia lógica de eventos), no menos que usted podría nombrar una mil millonésima de segundo Por supuesto, eso es suficiente. Todo el problema está relacionado con la localización de la conciencia, trajo en ese cuerpo, en estos pensamientos, en esta vida que vivir, pero como he dicho, no eres la vida que vives, no. La vida está ahí, independientemente de que, a pesar de todo el mundo. La experiencia ha de ser absoluta, ya no es una creencia, es la ausencia de localización, que es la falta de identificación no está jugando el juego de acción / reacción pero no todo (todo) de que la vida ofrece con la misma ecuanimidad, la misma sencillez y humildad, porque, incluso, en el Absoluto usted, lo Absoluto no puede ser afectado, ya sea por la enfermedad, ni pérdida, ni por la falta, o por la plenitud, ya que el Absoluto es infinito Señor. Lo que no es este cuerpo, que no es esta persona, ¿cuáles son sus relaciones, que no son sus hijos o sus padres, o lo que se adjuntan.
Lo que se adjuntan, se pierde y se pierde. Mientras exista el compromiso de no encontrar el cuerpo, este marido, esta mujer, este niño, en esta casa. Mientras usted no es libre, ¿cómo se puede afirmar que la libertad? ¿Cómo se puede ser libre por estar apegado a nada. ¿Qué es la Libertad? Mientras estás en esta bolsa de comida, usted es libre? ¿Sabes quien eres? ¿Estaba usted que antes de nacer? Mientras usted no tiene esa respuesta, ¿no es inútil. Todas las otras respuestas son de hoja caduca, y la convertirá, y todos a su vez, como el Absoluto no es revelado. Mientras nos adherimos a conocer (de una manera como otra), estamos atrapados, encarcelados y otros en que encierra nuestras certezas, nuestros apegos, nuestros deseos, nuestras faltas, porque todo es efímero y que sólo toma el tiempo de esta bolsa de comida. Lo importante es lo que hay dentro (lo que Es), pero no eres el templo, ¿Está usted lo que está en el Templo. Lo sagrado no es el cuerpo, incluso si el cuerpo es sagrado. Lo sagrado es lo invisible, lo sagrado es lo que es eterno y absoluto. Él no tiene necesidad de pasar el tiempo, él no tiene ningún uso de la vida y la muerte, él no tiene ninguna necesidad de tus placeres, que no le importa lo que usted piensa que tiene, porque eso "en este mundo, todo lo que posee (sin excepciones) que poseen. Como usted no dio en su totalidad, el Absoluto no puede ser su verdad, porque en ese momento, se encuentra atrapado por ti mismo. No busques en el exterior, una causa o un culpable, porque las mejillas como ésta, usted no está lo que eres y crees que te acercas a ella, pero nunca se te acerca.
Nada en este mundo, nadie de este mundo, no hay lugar en este mundo, no hay amor de este mundo, no puede traer lo que eres, porque todo lo que se ve, estaba previsto, cualquier posesión, es un ilusión. Así que no pregunte si la libertad no es libre. Usted juega un juego que no existe en ninguna parte, sino en la proyección. El que sale de su cuerpo, sabe que no es este cuerpo. El que sale de sus pensamientos, que no sabe sus pensamientos y lo que sale de la conciencia, sabe que no es la conciencia. No se trata de creencias ya que se puede vivir. No hay ningún obstáculo a este mundo, no hay karma. Las únicas limitaciones son las propias creencias, nada más. Más que nunca, debemos ser lúcidos. Esta lucidez es una perspectiva que no tiene nada que ver con la perspectiva de alguien que se encuentra en un cuerpo, en la vida, en una profesión. El amor es libre, el amor es absoluto porque es lo que eres. Pero no el amor humano arrojado a una condición de ningún tipo, ya que todos sus afectos se limitan a reflejar su propio vacío y su propia incompetencia es absoluta porque no hay nada que llenar, a excepción de lo efímero. La esencia es el amor: ¿Está usted, ¿estamos todos. Si hacemos esto, entonces no hay nada que buscar, no hay un ideal, no hay nada de idealizar es nada en que creer. Es necesario, por el contrario, disminuir, aceptar ser nada aquí, en la conciencia de que vive y al instante ¿Es usted el Todo, lo Absoluto. Si todos los bits de los restos efímeros (en sus archivos adjuntos en su propiedad, en la necesidad de obligar al mundo a oponerse, para actuar o reaccionar a) usted se registra, en el sufrimiento , en lo efímero y la falta. O, ¿Es usted la plenitud del amor. Usted es absoluta. Las limitaciones y las barreras sólo provienen de sus proyecciones, ya sean los más felices. Al planificar, no puede ser absoluta. Siempre y cuando usted quiere, usted puede encontrar. Todo lo que usted encuentra que usted acabar, porque lo que usted está inscrito en un lugar en este mundo, en este mundo, y todo lo que es efímero. El mundo desaparece cuando usted duerme. Tenga en cuenta: se ejecuta después de quimeras, que desean una gratificación instantánea o programada, asignar roles, profesiones, funciones. Pero tú eres nada de esto. Tú eres el Amor Absoluto.















Pregunta: Después de algún tiempo, en cualquier circunstancia que una vez generado todo tipo de emociones, la falta de emoción me deja un tanto perplejo. Es un pequeño paso hacia el absoluto tiene que ser?
No hay paso hacia el Absoluto. Sin embargo, cuando las emociones se están secando, en un principio, se le puede dar a pensar que hay una falta de interés o algo raro o inusual. Esto es realmente un paso hacia el Yo, de hecho, puede parecer que está más cerca de lo Absoluto, que ya está ahí. La venta de la ubicación de esta bolsa de alimentos, como sacos de pensamientos, de hecho los resultados en el agotamiento y la pérdida de las emociones, porque la emoción es lo que pone en movimiento. Pero el Absoluto no es el movimiento: no hay movimiento, ya que no participa en este mundo cambiante. El movimiento es efímera. El Absoluto no se mueve, porque lo que es el Todo no se puede mover. Todas las partes pueden estar en movimiento. Por lo tanto, cuando las emociones se están secando, aunque pueda parecer extraño, eso está bien. Debido a que es una prueba indiscutible de que puede hacer más con los movimientos de los participios de lo efímero. Una vez más, que no es desinterés o la retirada, pero mucho más, el punto de vista que cambia. Este es un gran paso desde el punto de vista. La vista se ensancha, no estás en el escenario del teatro, usted sigue siendo el único que puede ver, pero no vio lo que está sucediendo en el escenario. Así que esto es inusual. Esto puede significar, en un primer momento, como un sentimiento de extrañeza, pero eso es normal. Esto refleja el proceso de retirada de la ilusión de lo efímero, de todas las bolsas efímeras. A partir de ese momento, el observador resulta, lo que da a entender que usted está siempre allí, a pesar de que hay más emoción. ¿Qué es? ¿Qué aspecto tiene? Lo que señala, si esto es lo que son en verdad, absoluta? Esto no es un paso hacia el Absoluto, pero no, más bien, un punto de vista. En lugar de estar a los pies de la montaña y tienen una visión limitada por los árboles, que se alejó de la montaña y ver la altura y la cima de la montaña. Este es un hito. Ahora queda por entender que no hay ningún paso. Recuerde que las pieles de cebolla: las verdades se apilan capas. La verdad de la primera capa no sabe nada de las capas que están por encima. Sin embargo, la capa más extrema contiene todas las otras capas, incluso si no se les ve, incluso si no que se sientan. Conciencia y evoluciona dentro de la Conciencia Supra llama Turiya. Y justo después, la equivalencia del sueño, es decir, no se dan cuenta (más allá del Samadhi), que da vida absoluta. El punto de vista limitado es un paso, pero desde el punto de vista del Absoluto, que no cambia, ya que siempre ha estado ahí. En resumen, más que entrar en la supra-conciencia, más que sueño, este mundo tiene menos peso sobre ti. Y, como dije, todos ustedes saben que si se llega a dormir, cualquiera que sea el problema, ya no existe. O bien, no hay sueño: sueño o pesadilla allí.
Ni emoción, ni pensamiento, ni la bolsa de comida, ni ciencia, ni la espiritualidad son de alguna utilidad para ser absoluta. Estas son las trampas que le mantienen en la ilusión de la transitoriedad. Nada de lo que no son efímeras. Los juegos de rol están cambiando constantemente. Puede cambiar su trabajo como canal de televisión, como el aspecto de un profesional. Pero todo lo que es efímera, ya que, de hecho, cambia. El Absoluto no ha cambiado y nunca va a cambiar lo que eres. Así que, por supuesto, si quieres jugar, y luego jugar. Recuerde: el Absoluto no es una búsqueda, es mucho menos un paso. Este es un último. Esto es, cuando todo el conocido desaparece. No es la muerte, incluso si el ego te dice, aun cuando la mente se segregan de la química del miedo. Debido a que la bolsa de comida, como las emociones, al igual que los pensamientos, tienen la tendencia a hacer creer que son verdad. Y usted está conectado, se han unido, en una u otra manera. No es importante conocer las formas que llevaron a esto, no importa. Como usted está interesado en la acción / reacción, Acción de Gracias puede ser su casa, porque usted ha puesto su casa en esta bolsa, en estos pensamientos, en esta vida. Así que va a alimentar pizcas de luz, va a crear el cambio, va a crear mejoras, la investigación. Pero, esto es una tontería. No tiene existencia, no existe ningún pero en las proyecciones, excepto la ilusión. La única pregunta esencial es: "¿Qué eres? ". Y "You Are" no tiene nada que ver con lo que usted cree. ¿Cómo usted vive, es efímero. Incluso la cosa más perfecta desaparecen por completo con este cuerpo. Así que, por supuesto, que se unió el karma. Pero el karma no es acerca de lo que lo hace por otro efímero que ya no existe, mucho menos que las otras vidas pasadas. Usted debe elegir: Absoluta o efímero. Pero no espere encontrar una satisfacción duradera en lo efímero. Incluso el yo no es estable. Es fácil describir la experiencia del Ser, no la separación, de amor infinito. Pero, ¿es esto lo que es absoluto? Por supuesto que no. Porque lo que se puede expresar con palabras, sus propias experiencias, sus propios recuerdos, desaparecen con la desaparición de esta bolsa. ¿Es esto lo eres? ¿Qué es lo que busca y por qué estás buscando? ¿Qué estás buscando para llenar, para tranquilizar, si no el vacío de este cuerpo y los pensamientos de estos son sólo proyecciones, conchas vacías. Y, sin embargo, usted está en: Entonces, usted no puede salir. Es simplemente la opinión de que los cambios. A partir de ese momento, todo va a ir muy rápido para usted. El principio de la refutación de lo conocido que conduce, si se quiere, de ser absoluto. Pero, de nuevo, no se refuta el rechazo: se trata de tener en cuenta. Deja que el cuerpo haga lo que tiene que hacer, dejar este cuerpo para criar a sus hijos, que este cuerpo va a trabajar. Para ello, nada de esto. Hágalo, pero no invertir nada, si usted alimenta el ego, que se alimentan de lo efímero. Usted llama a que la satisfacción y el bienestar. Sin embargo, ninguna satisfacción o el bienestar es absoluto, porque consagra en lo efímero.



















Pregunta: La ola de la vida comenzó a subir y se detuvo. ¿Me puedes dirigir a la que salir de este caos?
Se debe pasar por el caos. Mientras no estás muerto, no puede encontrar lo que eres. ¿Por qué negar el caos? Es allí, usted no es eso. No hacer nada, no luchan en contra: lo que parece. ¿Es esto lo eres? Esto demuestra que usted está identificado con este caos, pero no eres el caos. Caos por lo efímero, lo ponemos en palabras. El caos se refleja el caos del ego, el cuerpo del caos, el caos de pensamientos. Sin embargo, gracias caos, lo observó y, si es lúcido y ver, usted sabe muy bien que no eres eso. Y si usted piensa ser y de vivir es que usted todavía está allí, en algún lugar, que se adjunta. Porque los seres humanos que se cree que unido a su familia, sus hijos. Pero están tan comprometidos con su sufrimiento, incluso si usted dice (sobre todo si usted dice): "No voy a sufrir." Recuerde: usted no tiene que luchar contra el caos. No hay ninguna solución a ella. Míralo, observarla, y usted encontrará que usted no es nada de eso. En ese momento, el dolor de liberación del zócalo, el caos se disolverá por sí mismo, no por una acción, no mediante la aplicación de un vendaje. Ser lúcido. Tú lo has dicho: pero usted está lúcido, sin embargo, en algún lugar hay una adhesión a estas proyecciones. Así que, por supuesto, se podría decir que está relacionado con lo que experimentó en el pasado, pero no importaba. Observa, en el momento. No buscan las causas, que pueden ser verdad en un nivel de la cebolla, pero no en otros lugares, y no especialmente en lo absoluto. Mira el caos. ¿Es esto lo eres? Permanentemente, no. Es imposible. Observa con lucidez y líbrate de esta, no por la lucha contra el no, trayendo una solución (porque reforzaría). Pero sólo porque usted ha expresado esta idea, usted está en la capacidad real. ¿Tiene el caos es cuando se duerme? Por supuesto que no. Y cuando se despierta, todavía está allí. ¿Dónde estaba él, mientras tú no estabas allí? Piensa. Es muy simple. No es un acertijo o charada. ¿Qué tienes miedo de dejar ir, si es su pobre efímera poco? No la perfección eterna se puede lograr en el de corta duración. Usted puede tener la ilusión, del mismo modo que usted puede transformar un rostro con el maquillaje, o pasar a ver a través de la ropa para llamar la atención y mirar más allá de la verdad, por lo que no ve este nace. Es el mismo principio: desconectar a ti mismo, refuta. Sin caos no puede lograr lo que son, sea cual sea el grado de sufrimiento, sea cual sea el grado de lucidez. Todo esto es sólo teatro. Usted ya tiene la oportunidad de observar, para ser claros, como usted dice. Por lo tanto, va más allá. Eso sí, no encajan en este caos, no luchan en contra, sino simple y objetiva mirarlo. Si usted hace esto, entonces, si puedo decir es que ganó. Cualquier problema es, en última instancia, el miedo: miedo a perder este cuerpo, el miedo al dolor, el miedo al abandono. Pero no se puede dejar de fumar lo que son, por toda la eternidad. Usted es absoluta. El caos es un lavado de lo efímero. Estad quietos, dejó de actuar, pero no eres nada de eso. Acéptalo. Véanlo. Es muy simple. Pero si su lucidez le lleva a querer hacer o querer responder, entonces usted se registra, a ti mismo, en algo que va a durar en lo efímero. Mientras que si usted hace un intento de aplicar lo que he dicho, muy rápidamente, su visión será aún más clara. Tú no puedes ser afectado por el caos que se preocupan en absoluto. En este tipo de pregunta que le hagas, una vez más, hay pasos, no a las medidas absolutas, pero lúcido que se deben tomar, uno tras otro, no luchar, no en s ' oponente, pero al mirar, no sólo la situación, el caos no sólo, sino a ti mismo, más allá del sufrimiento, más allá incluso de este caos.
En este punto, habrá un momento entre todos detectable, donde balancín algo. Te pasas la corta vida, por así decirlo, a la absoluta, aunque no hay pasaje, ni se incline o mover de un tirón. Pero esta conciencia, se percibe con claridad. Pero, de nuevo, no son lo que se ve claramente que. Una vez más, debemos ir más allá. Para ello, ve que esto no significa dar valor al caos, no prestar atención a lo efímero, las creencias, suposiciones, pero para acercarse a la Presencia Infinita. Y luego, el Absoluto ya casi está aquí para usted. La búsqueda de la perfección, como lo expresa la culpa, el temor solamente. Pero usted no tiene que luchar contra estos miedos, hay sólo mirar a ellos (como el caos), para ver que está conectado, que trabaja en sinergia dentro de la efímera, pero no puede de ninguna caso, tocar o alterar lo que son en verdad. Por lo tanto aceptar su inmortalidad. No eres ni el cuerpo ni ha vivido usted o sus actividades. Usted es el caos y el caos que es personal, individual (que es una muerte mítica y mística), que el Absoluto está allí. Ese momento de temor, te hace pensar que al final es, de hecho, que la apertura a la verdad, es decir, a lo Absoluto. Por supuesto, el cuerpo, los pensamientos, por supuesto, que hará cualquier cosa para evitar pensar así.






















Pregunta: ¿Estoy listo para aceptar el punto de inflexión para el Absoluto?
Su pregunta no significa mucho. Hacer la pregunta? Esta no es la clarividencia, y mucho menos una autoridad externa que le dirá: ". No es bueno", "es" o No está listo para ser algo que siempre estuvo ahí. Usted no trajo un traje para ir a casarse. Debemos aceptar ser despojados completamente desnudo, en el caos, en el abandono más absoluto. Por el contrario, soy yo quien pregunta: "¿estás listo" Porque sólo tú tienes la respuesta. ¿Cómo se puede proyectar una respuesta a esperar afuera? ¿Qué te hace pensar o creer que, si no de su propia indecisión, sus propias dudas? Cualquier respuesta está dentro de ti. No hay mejor momento que el presente. No hay distancia, no hay ninguna investigación, no hay ropa que ponerse, no hay que estar listo. Esta es la perspectiva en términos de personalidad que le hará creer que debemos estar listos o listos no. Esté preparado, o no estar listo: pero no significa nada. Tampoco hay nada que decir. ¿Qué estás tratando de decir sobre sí mismo? ¿Qué esconden? Sobre todo no creo en nada. No está listo o no listo para ser algo que siempre estuvo ahí. Este es el punto de vista de la personalidad, siempre, a través de las palabras que usa, incluso le muestra la espera de algo o si esperar o temer algo. Pero es el mismo principio: la esperanza, el miedo, o no, es que la proyección de sus incertidumbres interior. Interior y de qué estás hablando? Y dentro de lo que quiero decir? El de la Ser, debemos abandonar la auto para ser absoluta, porque el Absoluto ya está ahí, que abarca el Ser, no es el Ser, no el yo, no el Ser, no aparece. Es el Brahman, es decir, más allá del Todo de Todo, el amor absoluto definitivo. ¿Cómo podría estar listo para ¿Ya? El concepto de la disposición es una distancia, la separación, incluso. No hay nada que preparar. No está listo o no listo, ya que la adopción se le enviará de vuelta a algún tipo de linealidad, lo efímero, lo incompleto. Es una proyección, también. Este no es un matrimonio, no tienes nada más para cumplir con lo que ya son. Sólo el ego cree que las suposiciones y se elabora.










Pregunta: ¿Qué es apropiado para mí saber de ti?
La primera respuesta es "nada". La segunda respuesta es: "lo que haces, ¿qué es lo que esperamos oír?" No se requieren conocimientos de lo que yo podría decirte lo que eres, no ser y cada vez tienen menos. Hay que silenciar. Este silencio no es una restricción que dice, "me detengo a pensar, que deje de moverse." Pero es el silencio del observador. ¿Quién piensa? ¿Quién está hablando? ¿Quién vive? ¿A quién llevaba ese nombre? Si todo se detiene, entonces yo puedo decir que el curso es para detener todo esto. El Absoluto, de nuevo, no es un escenario o en un medio (sea cual sea), ya que el Absoluto se revela precisamente en el momento no hay abandono o la interrupción del Soi yo, sin sufrimiento, sin querer escapar de cualquier cosa. Pero, en realidad, cuando el silencio es y donde no se dice nada, donde nada es apropiado. Este es el momento de la disolución, antes conocido como el caos, en la pregunta anterior. El caos en vivo, también se atreve abandonar, ya no dependen de uno mismo y llegar a ser verdaderamente independiente y libre, cualesquiera que sean las circunstancias de su vida. No se admiten niños, no hay reglas sociales, no existe infracción de ese cuerpo no lo puede alterar. En última instancia, una y otra vez, el "stand still" tiene sentido. Como ya he dicho, muchas veces, el que mira el teatro no puede ponerse de pie y molestar a otros espectadores. Se encuentra en una silla de ruedas, observa. Él es cautiva, también. Pero ser un cautivo de la observación lleva a la falta de conciencia o conocimiento. Pero ya está ahí. No hay distancia, ni tiempo, ni el compromiso que puede detener o frenar el Absoluto como el Absoluto lo tiene todo.

Pregunta: ¿cómo no se debe intervenir en la vida diaria?
Pero, en realidad no hay nada que hacer y todo lo que se hará. Se tiende a considerar, y con los demás, que cuando se les dice que la deje ir, quedarse quieto, te sientas en una silla y espera. Ustedes no han entendido, pero está muy bien, precisamente porque no hay nada que entender. Refutar no significa negar: esto es simplemente la opinión de que los cambios. La acción tiene lugar siempre, que se celebrará, pero no se conciencia. Usted podrá observar lo que sucede. Esta es la opinión de que los cambios. Y ya ves, y que tenga, una visión limitada. Cuando te digo que este mundo no existe, ¿significa eso que va a dejar este mundo, tan pronto como cierra los ojos, o tan pronto como usted se pone en una silla? Pero por supuesto que no. No se puede negar que haya visto esta bolsa de comida: no hay que involucrarse. Eso es todo, guardar silencio. Eso no significa convertirse en un vegetal, y los medios para intervenir, pero no son ni esto ni aquello es lo que está involucrado. Este es un problema de posicionamiento. Esto se repite muchas veces. Cuando se les dice que no hace nada, esto no significa seguir haciendo nada, sentado en algún lugar, o en la cama. Por supuesto que no. ¿Es lo que hay que hacer, responder a sus obligaciones, ya sea ligero o pesado, pero tú eres nada de eso. Es el ego que se apodera de él, en su pregunta. Es el ego el que dice: "pero ¿cómo puedo dejar de hacer, mis hijos, mis obligaciones, mi familia?". Nadie le pidió que dejara nada. Se trata de un cambio de perspectiva. No es lo que hace, usted no es lo que ocurre. Es el ego el que espontáneamente quiere limitar lo que percibe como, por supuesto, y te hace pensar que esto no es posible. ¿La persona que deja su cuerpo deja de vivir? No, es mucho más vivo que cuando actúa. De manera similar (y de nuevo), no hay nada que rechazar. Refutar no se rechaza: está cambiando la luz, el cambio de perspectiva. Por supuesto, lo que digo es incomprensible para el ego porque el ego no ve y tiene razón. ¿Cómo podía hacer, sin hacer nada? Si tomé el ejemplo, en muchas ocasiones, el teatro, no es por casualidad. Voy a poner otro ejemplo: el de la cuerda. Se entra en una habitación poco iluminada, que sus ojos ven una cuerda, pero como está poco iluminado, estás convencido de que es una serpiente y que está asustado y se enciende la luz y te das cuenta que esto es que una cuerda. Esto es exactamente el mismo principio. En otras palabras, en su jerga, se toma la vejiga para las linternas. No hay serpientes allí, y sin embargo han creído. Pero el hecho de la iluminación cambiante hace que te das cuenta de tu error.
Es el mismo principio de su vida: nadie ha pedido que no intervenga, no para actuar. En cambio, esta bolsa de alimento para vivir lo que él tiene que vivir, ligero o pesado. Pero no me meto porque no eres tú. Esta es la vista de que los cambios, no es la acción. Pero la personalidad, por supuesto, no va a entender eso. La mejor manera de hacer eso, explicó, esta es la refutación. Refutar no significa no hacer nada, es guardar silencio, deja que sea. Asegúrese que no necesita lo que eres. Esta es toda la diferencia. El punto de vista, la iluminación, mira: no hay ninguna serpiente, esto es una cadena, es una creencia y un después, sólo después de que la serpiente es no más la cuerda. Pero no es porque vas a decir que no hay una serpiente y la cuerda no, esto va a ser verdad. Es como capas de una cebolla, que es lo mismo. ¿La piel de la cebolla que está más cerca del centro, conoce la vida de la envoltura de la cebolla? No. Es lo mismo para usted. ¿Tiene algo en vías de desaparición absoluta de lo que está dentro de la cebolla? Por supuesto que no. Pero la lógica del ego es hacer que usted creo. Por lo tanto esta pregunta. El Absoluto no es el único que permanece en una cueva. El Absoluto se puede hacer nada, en una forma, pero sabe que no es esta forma y, siempre que lo haga. Se trata de un cambio de perspectiva, no la acción. Esto no es para mover la acción a la inacción, no se está deteniendo todas las interacciones, no matar a sus padres o el niño. Este es otro punto de vista, una conciencia expandida. Este movimiento es el que es un actor de su vida, para el espectador. Este es el observador: no es el Yo Soy. Y después, el observador va a desaparecer, también: no hay más que la ubicación dentro de un cuerpo, en una historia. Pero, ¿quién dijo que la historia debe dejar? Nadie más que tu ego.

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