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jueves, 13 de septiembre de 2012

BIDI


Traducción con Google, no corregida

BIDI

20 juillet 2012
Eh bien, BIDI est avec vous. Et il vous salue. Nous allons, donc, échanger.
Question : pourriez-vous me donner la phrase à formuler pour réfuter mon attachement à mon mari duquel je suis séparée ? Je sais que c'est la peur de l'abandon que je veux dépasser.
Ce n'est pas une phrase qui réfute : c'est l'acte. Quelle que soit la phrase, elle t'appartient. Je ne peux, donc, te donner la phrase. L'acte de réfuter n'a que faire des mots ou de la formulation. Ce n'est pas une affirmation mais, bien, la conscience et le mental que l'on porte sur la réfutation elle-même. Les mots n'ont aucun sens.
Aucun mot ne te fera dépasser la peur de l'abandon : c'est la conscience de la réfutation qui agira.
Question : quel est ce « Je » qui n'a plus aucun sens mais qui ne disparaît pas dans l'Absolu ?
Mais, dans la mesure où tu es Absolu avec forme, comment veux-tu que le « Je » disparaisse tant que ce sac de nourriture n'est pas mort ? Le « Je » se fond dans l'Absolu : tu passes de l'un à l'autre et de l'autre à l'un, sans aucun problème. Le « Je » est transmuté, transformé. Il est annihilé. Il disparaît en Absolu et il revient dès que tu reviens dans ton « Je » c'est-à-dire dans ce sac (dans, aussi, le « Je suis »). Tant que le sac de nourriture et de pensées est là, tu es Absolu avec forme. Quoi qu'il te soit donné à vivre (et quoi que tu te donnes à vivre), ce qui reste n'est pas le « Je », quand tu es en Absolu avec forme. C'est l'observateur, immobile (qui a toujours été là), que tu vas traduire par le « Je » parce que c'est le « Je » que tu vis, quand l'observateur est dans un sac mais qu'il observe le sac.

Question : l'Absolu est-il une mosaïque d'Extases communes de l'Essence de toutes les Consciences étant passées par la Dissolution ?
Ce n'est pas une mosaïque parce que s'il manque une pièce dans la mosaïque, ce n'est plus une mosaïque : c'est un hologramme. Ou (si tu préfères) le Centre en chaque Centre : le Centre présent partout et en chaque point. Ce n'est pas un assemblage. Ce n'est pas une réunion. Donc, cela ne peut être une mosaïque.

Question : est-ce que l'Absolu se révèle quand il n'existe plus aucune perception / sensation, y compris la perception / sensation du cœur du Cœur ?
L'Absolu ne connaît aucune perception, aucune Conscience. Il ne connaît que le Centre, en tout Centre. Le cœur du Cœur y est superposable. Ce n'est plus ce qui tourne dans ta poitrine mais ce qui est immobile dans ta poitrine : on peut le dire.

Question : de votre point de vue, qu'est-ce qu'une origine stellaire ?
Une origine stellaire est, simplement, le moment où tu as commencé à expérimenter un éloignement conscient (une sortie), au sein du Soi (sans coupures), réel. Cette origine stellaire donne, en quelque sorte, une coloration à l'Expansion (une coloration à l'expérience), selon la quantité présente de tel ou tel élément que l'on retrouve, aussi, dans le sac de nourriture. Elle donne une résonance. Cette résonance est encore dans le Soi mais au-delà de la forme, au-delà de tout « Je », au-delà de tout Voile, au-delà de toute perception aussi, si ce n'est, justement, la coloration et la résonance particulière d'une étoile. Mais, l'étoile elle-même est Absolu. Le Passage se fait à travers l'étoile et, donc, prend sa coloration à ce moment là. Mais, l'étoile, elle-même, est Absolu, reliée, d'une part à LA SOURCE et à l'ensemble de ce qui est nommé étoile.

Question : j'ai continué de me désengager de cette identité, ce faux Centre. L'Abandon est là, par bouffées mais le chaos revient parfois. J'accepte, réfute. Est-ce le dernier chaos ?
Seule toi, peux le dire. Le chaos est une identification au « Je » (jeu), à la personne. Ce qui veut dire que, aussi bien le Soi, dans son Ultime Présence, que l'Absolu, n'a pas encore suffisamment déteint dans le « Je ». Il existe, encore, des attaches. Le fait de les voir n'est pas le chaos mais il faut les traverser.

Question : depuis que j'ai vécu Shantinilaya j'ai l'impression d'être rattrapée par le « moi » (ses pensées parasites, ses lourdeurs). Que s'est-il passé ?
Il ne s'est rien passé. Ce qui se vit, maintenant, au-delà de la notion d'Ultime chaos, est la traversée de ce qui doit être traversé. Cela est destiné à te montrer où toi-même te situes. Tant que tu cherches une cause extérieure, tu te trompes. C'est toi et ton « Je » qui êtes sortis du Manteau. Ceci dit, il faut traverser cela. Tu ne peux juger, aucunement, ce que tu vis, quitte à t'éloigner (si tu le fais), encore plus, de ce que tu Es. L'effet n'est pas perceptible dans l'instant. Ce que tu as vécu est une expérience. Le Manteau Bleu de la Grâce concoure à établir l'Absolu. Mais, tu n'as pas disparu : la preuve. Rien n'est définitif tant que vous n'êtes pas établis dans l'Absolu. Il y a ce que l'ego appelle des rechutes parce qu'il voudrait tenir, sans arrêt, le Manteau (etc, etc) : la preuve. Il y a, donc, un attachement à l'expérience vécue, qui est un obstacle. Tant que tu crois et espères que le Manteau Bleu de la Grâce va s'installer définitivement, tu l'éloignes de toi.
Ne soyez pas attachés à vos expériences : vivez les, sans attachements. Et traversez ce qu'il y a à traverser. Autrement dit, ne vous occupez pas de vos expériences : vivez les. Ne les jugez pas. Ne les interrogez pas.
Question : je ne peux répondre à la question : « qui es-tu ? », même si, de plus en plus, il se passe de drôles de choses dans le sac.
C'est, effectivement, très drôle. Et cela va être de plus en plus drôle. Donc, ce qui est drôle (dans le sens de bizarre ou d'humoristique) te montre que quelque chose se passe. Mais, ce quelque chose qui se passe, observe le : ne t'y identifie pas. Quant à savoir si tu es de moins en moins une personne, il y a des degrés. Qui a dit ça ? Tu seras une personne tant que ce sac est là. Encore une fois, c'est le regard. Tu ne peux pas supprimer ta personne tant que le sac est là. Et, si tu le supprimes, qu'est-ce qui le supprime si ce n'est la personne elle-même ? Changer de regard te donne à voir que ce n'est pas de moins en moins mais que c'est radical. Va plus loin. Ou plus près.

Question : comment comprendre la vastitude de l'Inconnu à l'aide du mental réducteur ?
Mais, qui veut comprendre, à part le mental ? Il ne peut pas comprendre. Tout ce que j'ai dit c'est, justement,
d'arrêter de comprendre. Tant que vous êtes dans la démarche de comprendre quoi que ce soit, vous ne comprendrez rien. C'est, justement, quand il n'y a plus de compréhension, que tout est là. C'est très exactement ce que j'ai dit toutes les fois où je suis venu : vous ne pouvez comprendre. Ce qui comprend, c'est le « Je ». Et le « Je » ne peut comprendre ce qu'il ne connaît pas. Donc, vouloir se placer, encore, du point de vue du « Je » pour comprendre ce que vous ne connaissez pas (et ne pouvez connaître) montre quoi ? Un mauvais point de vue. Un mauvais endroit. L'Absolu ne peut être compris : il ne peut être que vécu. Aucune compréhension, aucun livre, ne peut réaliser cela : c'est dès l'instant où tu arrêtes de comprendre (ou de vouloir comprendre) que ce qui a toujours été là se révèle à toi.
Question : pourquoi faut-il, encore, traîner ce cadavre ?
Où est le cadavre ? Ce sac de nourriture vit. Alors, laisse le vivre. Il n'est jamais un obstacle. C'est pas ce sac qui est un obstacle : c'est toi quand tu te places dans le « Je », dans celui qui veut comprendre, qui veut saisir, qui veut s'approprier, qui cherche, quelque part, ce qu'il est déjà, qui veut la Lumière, qui cherche la Lumière. Mais, tu ne peux pas chercher ce que tu Es. Donc, il n'y a pas de cadavre. C'est une mauvaise perspective.

Nous n'avons plus de questionnement. Nous vous remercions.
Alors, je dirais, pour terminer (et c'est ce que j'ai déjà dit, je ne sais combien de fois) : ce n'est pas un problème de compréhension. Ce n'est pas un problème de recherche. Ce n'est pas un problème de trouver. Ce n'est pas un problème de voir des cadavres ou des livres. Ce n'est pas un problème de se séparer d'amis. Le problème, c'est vous. Changez de point de vue. Lâchez ce à quoi vous croyez tenir : tous vos acquis, tous vos efforts.
L'Absolu n'est pas un effort : c'est un Abandon. Faites cesser toute volonté. Faites cesser toute démarche qui consiste à vouloir s'approprier et comprendre. Rendez tout. Et le sac, laissez le vivre. Dès l'instant où tu t'opposes à ce sac, en l'appelant cadavre, tu n'as pas vraiment vécu l'Abandon. Ce n'est pas un cadavre, c'est un sac de nourriture. Un cadavre retourne à la terre : il n'y a plus de vie dedans.
Ce que vous pouvez essayer de comprendre, en le vivant, c'est ce que veut dire changer de point de vue. Qu'est-ce qui change de point de vue ? La Conscience, l'observateur. Je vous ai répété (je ne sais combien de fois) l'exemple du théâtre. Vous êtes sur scène et vous demandez comment être celui qui est assis en tant que spectateur : changez de point de vue. Tant que vous êtes centrés sur votre personne, sur votre Lumière, sur vos amis, sur vos cadavres, sur vos peurs, cela veut dire quoi ? Que vous vous appropriez. C'est exactement l'inverse de l'Abandon. Le besoin de posséder vous possède. Tout est inversé. Donc, retournez dans le bon sens. Ne cherchez rien parce qu'il n'y a rien à chercher. N'éliminez rien : il n'y a rien à éliminer. Tant que vous procédez comme cela, tout est obstacle. Qui crée l'obstacle ? Qui a acheté les livres ? Qui a un cadavre chez lui ? Réfléchissez et réfutez. N'éliminez pas.
Les principes de la réfutation ont été énoncés. J'ai expliqué à quoi cela devait aboutir et très facilement. Et vous regardez, encore, ce que vous possédez : le passé, les livres. Réfléchissez à cela. Je n'ai pas dit de comprendre. Vous ne pouvez pas comprendre tant que vous êtes dans ce corps limité. Mais, vous n'êtes pas ce corps limité. Mais, ce corps limité, laissez le vivre sa vie. Rendez-vous compte que la plupart des questionnements tiennent, toujours, à la même chose : la peur de l'abandon. Et, justement, le problème, c'est de vous Abandonner. Et vous parlez de la peur de l'abandon, d'un mari, d'un cadavre, d'un livre ou d'un ami. C'est pas eux que vous devez abandonner. Ils sont éphémères. Ils disparaîtront comme ils sont venus : comme vous, comme nous tous, quand nous sommes là. Changez de regard et de point de vue. Je vous demande de regarder le Centre et vous me parlez de la périphérie. Je vous demande le point de vue de celui qui ne bouge pas (l'observateur et l'Absolu) et vous parlez de la personne. Saisissez cela : il n'y rien à comprendre. C'est simple : retournez votre point de vue et vous constaterez, vous-mêmes, les effets. C'est la même chose que pour l'Onde de vie, pour le Manteau, pour le Canal, pour tout ça : laissez les faire mais ne faites rien. Travailler sur les Vibrations, ça occupe, ça développe le Soi, pour lui permettre de toucher l'Ultime Soi (ou Présence). Et, après, ne vous occupez plus de rien.
Alors, s'il n'y a plus de questions, BIDI vous salue et vous Aime, vous, l'Absolu. Vous êtes cela. Tout le reste n'existe pas, est éphémère. Ça ne veut pas dire qu'il faut le faire disparaître ou le considérer pour autre chose que ce qu'il est. C'est, vraiment, le point de vue. BIDI vous salue. À plus tard.

BIDI

20 de julio 2012

Bueno, BIDI es con usted. Y él le da la bienvenida. Nosotros, por lo tanto, de cambio.

Pregunta: ¿Me podrías dar para que la oración para refutar mi apego a mi marido que yo estoy separado? Sé que es el miedo al abandono de lo que quiero.
Esto no es una frase que refuta: es el acto. Sea cual sea la sentencia, que es la suya. No puedo, por lo tanto, le dará la sentencia. El acto de refutación no tiene ningún uso de palabras o de formulación. Esto no es una afirmación, pero, bueno, la conciencia y la mente que se usa en la propia refutación. Las palabras no tienen significado. No hay palabras que le hará superar el miedo al abandono: es la conciencia de la refutación de actuar.

Pregunta: ¿Qué es este "yo" que no tiene sentido, pero que no desaparece en el Absoluto?
Pero, ya que estás con forma absoluta, ¿cómo cree que el "yo" desaparece a medida que la bolsa de comida no está muerto? El "yo" se funde en el Absoluto: se pasa de uno a otro y el otro, no hay problema. El "yo" se transforma, transforma. Se aniquiló. Desaparece en absoluto y vuelve cuando usted se vuelve en su "yo" es decir, en esta bolsa (en, también, "Yo soy"). A medida que la bolsa de comida y los pensamientos están ahí, estás con forma absoluta. ¿Qué tienes para vivir (y todo lo que te dan para vivir), lo que queda no es el "yo" cuando estás con forma absoluta. Este es el observador, todavía (que siempre ha estado ahí), tendrá lugar la "I" porque es el "yo" que vive, cuando el observador se encuentra en una bolsa, pero observa la bolsa.

Pregunta: ¿Es el Absoluto en un mosaico de Éxtasis comunes de la esencia de toda la conciencia que se colocan por la disolución?
Esto no es un mosaico porque una pieza que falta en el mosaico, es más un mosaico: es un holograma. O (si lo prefiere) en cada Centro de Centro: el Centro presente en todas partes y en cada punto. Esto no es un ensamblado. Esto no es una reunión. Así que este puede ser un mosaico.

Pregunta: ¿Es que el Absoluto se revela cuando ya no es cualquier percepción / sensación, incluyendo la percepción / sensación de que el corazón del corazón?
El Absoluto no conoce la percepción, no hay conciencia. Él sabe que el Centro en cualquier centro. El corazón del corazón es apilable. Esto no es lo que sucede en el pecho pero se encuentra todavía en su pecho: se puede decir.

Pregunta: Desde tu perspectiva, ¿cuál es el origen estelar?
Un origen estelar es, simplemente, cuando se comenzó a experimentar una distancia consciente (de salida), en el auto (sin cortes), real. Esto da origen estelar, en un sentido, una tinción de expansión (tinción con experiencia), de acuerdo con la cantidad presente de cualquier elemento que se encuentra, también en la bolsa de comida. Da un eco. Esta resonancia se encuentra todavía en el Ser pero más allá de la forma, más allá de cualquier "Yo" más allá de todas las velas, más allá de cualquier opinión que se ve, si no es, precisamente, el color y la la resonancia particular de una estrella. Pero la estrella en sí misma es absoluta. Le Passage es a través de la estrella y, por lo tanto, toma su color en ese momento. Pero la estrella, sí, es absoluta, conectado, en primer lugar a la fuente y todo lo que se llama Estrella.








Pregunta: He seguido desligarme de esta identidad, este centro falso. El abandono está ahí, pero en ráfagas de caos a veces vuelve a aparecer. Estoy de acuerdo, refuta. ¿Es esta la última el caos?
Sólo usted, puede decir. El caos es una identificación con el "yo" (juego), a la persona. Esto significa que tanto el Ser, en su presencia último, que el Absoluto, aún no se ha frotado lo suficiente en el "yo". Hay, de nuevo, los lazos. El acto de ver no es el caos, sino que debe cruzar.

Pregunta: Desde que vivía Shantinilaya me gusta ser superado por el "yo" (sus pensamientos intrusivos, su color rojo). ¿Qué ha pasado?
Esto no sucede. ¿Qué está pasando ahora, más allá de la noción de caos final, es el cruce de lo que debe ser cruzado. Esto es para mostrar donde usted se encuentra. Al buscar una causa externa, estás equivocado. Se trata de usted y su "yo" que están fuera de la capa. Dicho esto, hay que cruzar. No se puede juzgar, no, lo que ha visto, incluso a pie (si lo hace), aún más, lo que eres. El efecto no es perceptible en el momento. Lo que se experimenta es una experiencia. El manto azul de la Gracia contribuye a establecer la absoluta. Pero no han desaparecido: la prueba. Nada es definitivo hasta que se establezcan en el Absoluto. No es lo que el ego llama recaída, ya que él llevaría a cabo de forma continua, el escudo (etc, etc): la evidencia. Existe, por tanto, un compromiso con la experiencia, que es un obstáculo. Mientras que creen y esperan en el Blue Coat de Gracia se instalará de forma permanente, que se desvían de ti. No se apegue a sus experimentos: la vida, sin archivos adjuntos. Cruz y que no tiene que cruzar. En otras palabras, no se preocupe acerca de sus experiencias: la vida. No los juzgue. No le pida.






Pregunta: No puedo responder a la pregunta: "¿Quién eres tú? "Aunque, cada vez más, esto sucede las cosas divertidas en la bolsa.
Es, de hecho, muy divertido. Y cada vez será más divertido. Por lo tanto, lo que es divertido (en el sentido de extraño o cómico) muestra que algo está sucediendo. Pero que algo está pasando, observa: que no lo identifica. Si usted tiene menos de una persona, hay grados. ¿Quién dijo eso? Va a ser una persona que esta bolsa está allí. De nuevo, esta es la mirada. No se puede eliminar tu persona como la bolsa está ahí. Y, si se elimina, lo que elimina si es la persona misma? Cambiar mire, usted verá que le da no es menos, pero es radical. Va más allá. O, más cerca.

Pregunta: ¿cómo entender la inmensidad de lo desconocido con el engranaje mental?
Pero, ¿quién quiere entender, aparte de la mente? Él no puede entender. Todo lo que estoy diciendo es, precisamente, para detener la comprensión. Mientras que usted está en el proceso de comprender cualquier cosa, usted no va a entender. Es precisamente cuando hay más comprensión, eso es todo lo que hay. Esto es exactamente lo que dije cuando me llegó: no se puede entender. Incluso, el "yo". Y "yo" no puede entender lo que él no lo sabe. Por lo tanto, con ganas de quedarse quieto, desde la perspectiva del "yo" para entender lo que usted no sabe (y no se puede saber) lo que muestra? Un mal vistas. Lugar equivocado. El Absoluto no puede ser entendido: sólo puede ser vivida. No hay comprensión, no hay ningún libro puede hacer esto: este es el momento de dejar de entender (o no quieren entender) que lo que siempre ha estado ahí se te ha revelado.







Pregunta: ¿por qué es, de nuevo, arrastrando el cadáver?
¿Dónde está el cadáver? Esta bolsa de la vida de los alimentos. Por lo tanto, vamos a vivirlo. Nunca es un obstáculo. No es esta bolsa, que es un obstáculo: es usted cuando se coloca el "yo" en el que quiera entender que quiere capturar, que busca su caso, la búsqueda de un lugar que ya está, lo que significa la luz, buscando la luz. Pero usted no puede encontrar lo que eres. Así que no hay cadáver. Esta es una perspectiva mala.

Tenemos más preguntas. Gracias.
Así que yo diría, para terminar (y eso es lo que he dicho antes, no sé cuántas veces): no es un problema de comprensión. Esto no es un problema de investigación. Esto no es un problema de encontrar. Esto no es un problema para ver los cadáveres o los libros. Esto no es un problema de despedida con los amigos. El problema es usted. Cambia tu perspectiva. Deja ir lo que crees espera: todos sus activos, sus mejores esfuerzos. El Absoluto no es un esfuerzo: se trata de un abandono. Hecho cesará. Poner fin a cualquier paso de querer poseer y comprender. Volver todo. Y la bolsa, dejar la vida. Desde el momento que se oponen a esta bolsa, llamando cadáver, que no han vivido realmente abandono. Esto no es un cadáver, es una bolsa de comida. Un nuevo cadáver a la tierra: hay más vida en él.







Lo que usted puede tratar de entender, vivir es lo que significa cambiar el punto de vista. ¿Qué cambios en el punto de vista? La conciencia, el observador. Ya te he dicho (no sé cuántas veces) el ejemplo de teatro. Usted está en el escenario y me pregunto cómo será el que se sienta como espectador: cambiar su punto de vista. Mientras que usted está centrado en su persona, su Luz, tus amigos, tus muertos, tus miedos, ¿qué significa eso? Que apropiado. Esto es exactamente lo contrario de abandono. La necesidad de poseer que tiene. Todo está al revés. Por lo tanto, de vuelta en la dirección correcta. No busquen nada porque no hay nada que buscar. Deshágase de la nada: no hay nada que quitar. Hasta que usted haga eso, todo es un obstáculo. Eso crea la barrera? ¿Quién compró los libros? Eso tiene un cadáver en su casa? Piense y refutar. Deseche.




Los principios de las declaraciones de refutación eran. Le expliqué lo que había de conducir y fácil. Y te ves, de nuevo, lo que le pertenece: el pasado, los libros. Piensen en eso. Yo no he dicho de entender. No se puede entender como se limitan en ese cuerpo. Pero no es este cuerpo limitado. Pero este cuerpo limitado, que el vivir la vida. Tenga en cuenta que la mayoría de contestar preguntas, siempre, la misma cosa: el miedo al abandono. Y, precisamente, el problema es que te abandone. Y se habla del miedo al abandono, de un esposo, un cadáver, un libro o un amigo. No es que usted debe abandonarlas. Ellos son efímeros. Se va a desaparecer como vinieron: Al igual que usted, como todos nosotros, cuando estamos allí. Cambio en la percepción y la perspectiva. Les pido que busque en el Centro y que hablan de la periferia. Pido a la vista de alguien que no se mueve (el observador y el Absoluto) y se habla de la persona. Escribir esto: no hay nada que entender. Es muy sencillo: dar la vuelta a su punto de vista y verás, tú mismo, los efectos. Esta es la misma que la ola de la vida, para la capa, el Canal, para todo esto: que ellos, pero no hacer nada. El trabajo en la vibración, que ocupa, se desarrolla el yo, para que pueda llegar a la máxima auto (o presencia). Y, después, no te preocupes por nada.

Así que si hay más preguntas, BIDI te saludan y te ama, usted, lo Absoluto. Usted es ese. Todo lo demás no existe, es efímero. Eso no significa que debamos hacerlo desaparecer o buscar algo distinto de lo que es. Es, en realidad, el punto de vista. BIDI darle la bienvenida. Nos vemos más tarde.

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