BIDI

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BIDI 9 juin 2012 Eh bien, Bidi est avec vous, pour nos entre-nous. Je viens donc pour essayer de dialoguer avec vous, bien au-delà des simples mots, bien au delà de vos questions, bien au delà de vos réponses. Afin de voir ce qui reste comme obstacle à l'Absolu, au travers de ce que je vous ai dit et au travers de ce que nous allons échanger. Comme d'habitude, allez au-delà de mes mots, allez au-delà de la tentative de compréhension, pour l'instant. Vous verrez après. Je vous salue et nous pouvons commencer. Question : après avoir fait l'expérience de l'extase, je ressens le besoin de m'en détacher et de la réfuter, quel est votre point de vue à ce sujet ? L'extase et la béatitude sont certainement les évènements les plus marquants lors de cet Ultime, qui va de l'Infinie Présence à l'Absolu. Et quand je dis « va », ce n'est pas tout à fait exact. Ensuite : tu es l'extase, comme tu es l'absence d'extase. Si tu sens qu'il existe en toi quelque chose à réfuter, alors fais-le. Que risques-tu ? Qu'as-tu à perdre ? S'il existe quelque chose derrière l'observateur qui constate l'extase et qui s'y authentifie, peut-être que, pour toi, il faut aussi réfuter cela. L'extase est un marqueur. Quand vous êtes devenu l'Onde de l'Ether, l'Onde de Vie et la Grâce, l'observateur disparaît et pourtant vous êtes toujours là : tout ce qui comprend la personnalité, le Soi et, même, l'Ultime Présence. Considère qu'au-delà de ça, c'est le vide et le néant. N'oubliez pas que tout, ici, où vous êtes, est inversé et projeté. Retourner à l'endroit, sans projeter, n'est pas le vide et le néant, même si tout au niveau de l'observateur veut le croire. Et pourquoi? Parce que si cela disparaît, il n'y a plus rien à observer. Sans observation, sans projection, sans expérience, l'observateur n'a plus de raison d'être. Reste juste l'Absolu. Alors, fais-le. Tu saisis, d'ores et déjà, que quoi que tu fasses, ou ne fasses pas, tu as toujours été là. Rappelle-toi que la seule chose que tu ne puisses définir, expérimenter, manifester, c'est ce que tu Es. Tu n'Es ni le Soi, ni la personne, ni l'individu, ni le monde : tu Es Amour. Question : depuis longtemps, je pratique différentes formes d'enquêtes sur l'humain ... Ceci n'aboutit jamais. C'est une connaissance intellectuelle qui n'est qu'ignorance. Oublie toute connaissance. Je n'ai pas proposé des enquêtes, mais une Enquête et une seule : qui Es-tu ? Sans aucune projection. Sans cette avidité de connaissance. Parce que, quand tu es avide, tu es vide. Alors, tu N'es pas cela. ... J'ai conscience de cela, maintenant ... Oublie la conscience de cela. Va au-delà. ... J'ai aussi conscience de la réalité christique, de mes maîtres ... Es-tu cela ? Je t'ai posé une question : qui Es-tu ? Je ne te parle pas de ce dont tu as conscience, parce que tout ce dont tu as conscience est expérience. Que cherches-tu ? Que veux-tu ? Quelle preuve as-tu besoin de plus ? Qui cherche les preuves ? Ce n'est pas une épreuve, c'est un regard qui doit changer. Tu peux connaître tous les mystères de ce monde, des autres Dimensions, comme vous dites, tu peux expérimenter la joie : tout ça ne sont que des projections. Tu Es Amour. Oublie tout cela. La seule Enquête que je demande n'est pas intellectuelle. Elle vise, comme je l'ai dit, à cesser ces jeux, stupides, de cette escroquerie spirituelle. Ce que tu Es, tu L'es. Hier comme demain, dans cette Dimension comme dans toute Dimension. Tu es, aussi, bien sûr, tout ce que tu m'as dit. Mais c'est parcellaire, ça ne sert à rien. ... j'essaie de vivre l'unité avec mon Père, dans sa réalité multidimensionnelle ... La seule façon de le vivre, c'est de t'oublier. Si tu t'oublies, tu n'as plus conscience de l'autre, tu Es l'autre, aussi. ... c'est ce que j'essaie de faire... Mais il n'y a pas à essayer. Il y a juste à rester tranquille, ne plus observer, ne plus expérimenter, ni même avoir la conscience de... C'est très simple. Tu Es toi. Donc tais-toi. Si tu fais taire tout, que reste-t-il ? Au delà de toute contemplation du « je suis », tu es Absolu. Mais dès que tu cherches, tu en sors. Dès que la conscience est là, tu perds ce que tu cherches. Il faut faire tomber la vigilance. Là est le but de la réfutation et de l'Enquête. Il n'y a pas d'autre but. L'Absolu ne peut être une croyance, ni un but, ni une expérience. Parce que la croyance, comme l'expérience, comme le but, sont extérieurs à ce que tu Es. Le problème, c'est que quoi que tu aies pris conscience, tu veux être Libéré. Mais tu n'as pas à le vouloir, puisque tu l'Es déjà. C'est la conscience, l'expérience, la croyance, qui te fait croire l'inverse et qui te fait croire que si tu arrêtes, même tout ça, cela va apparaître. Mais il n'y a pas d'autre façon que de disparaître. Oublie-toi. Tu es Amour et rien d'autre. Question : je vis un va et vient entre l'Absolu, le Soi, la personnalité et le mental. J'essaie de laisser faire le va et vient, mais quand je me retrouve dans le mental, je commence à essayer d'en sortir. Tant qu'il y a Absolu avec forme, les passages sont innombrables. Tu as besoin de ton mental pour vivre sur ce monde, pas pour être ce que tu Es. Si le passage, qui n'en n'est pas un, si cet Ultime est ce que tu Es, soit tu restes Ultime, soit tu vis. Cela ne doit poser aucun problème. Tu peux mener ce que tu mènes, sans aucun problème, parce que l'Absolu est là. Quand le premier Absolu se révèle, tout est Absolu. Ton mental ne peut te diriger mais il peut diriger ce qui concerne ta vie, ce que tu as appris, ce que tu mènes, dans cette vie, sans aucun problème. Le passage du je, au Soi, et à l'Absolu (quand l'Absolu est révélé), est normal. C'est même salutaire, ça n'a pas à te troubler. Cette forme existe, ce corps existe, ce sac de nourriture est là. Laisse-le vivre. Ce n'est pas toi. Il vivra sa fin quand il la vivra, ça ne te concerne pas. Et en fonction de cela, laisse-le vivre ce qu'il a prévu de vivre. Cela ne doit poser aucun problème. Et ce n'est pas un problème. Les passages deviennent de plus en plus évidents, c‘est-à-dire que tu vois clairement ce qui agit, et ce qui Est, et ce qui n'Est pas. Alors, tout est bien, il n'y a pas de problème. Question : que faire quand on vit un grand feu au niveau de la cage thoracique ? Ne rien faire. Rester tranquille. Observer, si tu veux, et après, dépasser l'observation. Mais je te signale que, tel que tu as exprimé la chose, tu considères encore que tu étais ta poitrine, que tu étais ce feu dans la poitrine, que tu devais faire quelque chose. Quel est ce « je », si ce n'est celui de l'observateur ? Là aussi, contente-toi de laisser vivre ce qui doit vivre. Tu n'es pas cela. Ne confondez jamais réfuter un élément parce qu'il est éphémère et le nier. Ce n'est pas parce que tu nies ce corps, qu'il va disparaître. Bien au contraire, il va te poser des problèmes pour te dire qu'il est là. Que cela soit par une douleur, au pied, à la tête. Quand je te dis de t'oublier, est-ce que je m'adresse à ton corps ? Est-ce que je m'adresse au « je » ? Je m'adresse à toi, pas à ce corps. Le problème, c'est l'identification au corps : « j'ai mal », « j'ai eu la poitrine en feu ». Regardez : comme toujours, le mental veut expliquer plutôt que de vivre. Parce que, si c'est vécu, il perd son action, sa prééminence, son pouvoir. Regardez, dans ce que vous vivez, comme vous avez besoin d'expliquer. Es-tu capable de m'expliquer pourquoi tu respires ? Es-tu capable de m'expliquer ce qui pense, ce qui ressent, ce qui perçoit ? Bien sûr que non. Comment peux-tu être dans quelque expérience que ce soit ? Et si cela concerne le Soi, cela implique Ici et Maintenant. Donc, s'il y a interrogation sur le sens d'une explication, il n'y a plus Ici et Maintenant : il y a ego. Aujourd'hui, es-tu ce que tu as vécu l'autre nuit ? Qu'est-ce que c'est ? Un passé, une mémoire, une expérience. Est-ce que cela existe ? Est-ce que c'est toi ? Si tu me dis : « j'ai vécu cela », je te réponds : tu l'as vécu, tu ne le vis plus. C'était donc quoi ? Ephémère. Tu n'es pas éphémère. Question : dans mes moments de paix intérieure, d'immobilité suis-je observateur ? Mais qui peut savoir où tu es, sauf toi ? Comment veux-tu que je te donne une réponse ? L'Absolu est l'absence de localisation, de repère. Tu es en paix quand tu dors. On n'a jamais vu un mort courir. Ni quelqu'un qui dort, manger. Bien sûr qu'il y a un observateur à la paix. C'est le « je suis ». Va au-delà du « je suis ». Comme je le disais : oublie-toi. Même le contact avec ce qui vous est proposé (le Canal Marial, les doubles) sont là, effectivement, comme une conscience autre que la vôtre. Mais c'est la même, puisqu'il y a une Fusion, une Dissolution. Tu n'es plus toi, tu deviens d'abord l'autre. Et après, tu n'es ni toi, ni l'autre. Et l'Absolu se révèle. Saisis bien que c'est toujours le « je » ou le « je suis » qui dit quoi, à travers le « je suis » : ce besoin d'exister. Et pour un « je suis » avancé, le besoin de ne plus être séparé et fragmenté comme dans le « je ». À ce moment là, il y a contemplation de l'Éveil, du Soi, de la Réalisation. Mais est-ce que tu Es cela ? Cela disparaîtra comme le sac de nourriture. Rien de ce qui est éphémère ne peut être la Vérité. Et tu sais toi-même qu'après la paix, tu n'es plus en paix. Et tu vas rechercher les moments de paix, le Samadhi. Ça devient une drogue, mais tu n'es ni l'un ni l'autre. C'est ça qu'il faut voir. Question : est-ce que arriver à rester tranquille en toute circonstance, mène à l'Absolu ? Cela se saurait. C'est un préalable. Rester tranquille conduit à expérimenter le Soi, quand le « je » disparaît. Mais l'Absolu, c'est le non-Soi. C'est bien plus qu'être tranquille. C'est ne plus exister, ne plus se tenir en dehors de quoi que ce soit. C'est d'abord devenir l'Onde de Vie, ou le double, pour réaliser que rien de tout cela n'est vrai. Non pas comme une négation, mais comme un point de vue qui se déplace. Vous n'êtes rien de ce que vous percevez. Autrement dit, tu n'es pas celui qui vit l'expérience. C'est ce que fait croire le « je suis », la peur de disparaître, la peur du vide et du néant, qui, en fait, est plein parce que vous êtes inversés. Quand tu meurs, qui meurt ? Pose-toi cette question. Si tu sais qui tu Es, avant de naître ou après la mort, si tu peux répondre à cette question, aucune expérience n'est nécessaire, aucune perception n'est nécessaire. Aucun je et aucun « je suis » ne peut tenir. Question : quelle est la place de l'expérience, alors ? Une distraction, une scène de théâtre. Relâcher le je, ouvrir quelque chose, mais ouvrir ne suffit pas. La Conscience joue à expérimenter. Croire que la Conscience va te conduire à un but, c'est parfait mais alors, dis-moi : quel est ce but ? Exprime-le moi. Le sais-tu toi-même ? J'attends. Je peux attendre longtemps : il n'y a pas de réponse. Il ne peut y en avoir. Et pour cause : il n'y a pas de cause. Tu Es Absolu. Tu Es ce qui n'a jamais bougé, jamais expérimenté, jamais conscientisé. Bien sûr, avec effroi, le je et le « je suis » va dire : « c'est l'horreur ». Oui, pour lui, c'est l'horreur. Mais tu Es Amour. Pourquoi rechercher ce que tu Es, si ce n'est l'expérience et la projection de la Conscience elle-même, qui se joue d'elle-même ? Question : la réfutation du connu est-elle suffisante pour devenir Absolu ? Largement. Ce qui est connu, ou ce qui est à connaître, vous l'appelez l'expérience et la connaissance. C'est une projection. Mais, toujours pareil : qui es-tu ? Dès que tu disparais, l'Absolu est là et c'est ce que tu Es. L'ego et le « je suis » sont très forts. Le Soi est très fort. N'oublie pas qu'il se contemple, lui-même, le nombril ou le Cœur, l'Ombre ou la Lumière. Mais ce ne sont que des jeux d'Ombre et de Lumière. Question : après avoir pris conscience qu'une question entraîne une autre question et que c'est sans fin, des mots ont résonné en moi : Infini, Éternité, Amour, mon Essence. Et alors ? Pourquoi veux-tu être rassuré ? De quoi ? J'ai senti un manque de confiance de cet état-là. J'aurai préféré que tu dises un manque de conscience. La confiance concerne qui ou quoi ? Et son manque, encore plus. Exclusivement le Je. Es-tu ce Je ? Ce qui t'a été prononcé est ce que tu Es. Tu as tout compris. Question : comment prendre conscience de qui on Est ? Mais c'est pas une question de prendre conscience. C'est rendre la conscience. Tu l'Es déjà, donc tu ne peux pas en prendre conscience. Prendre conscience, c'est déjà expérimenter et sortir de ce que tu Es. Ce que tu Es n'a pas à prendre conscience mais à rendre conscience. C'est l'observateur qui veut prendre conscience, le témoin. Tu n'es ni le sujet, ni l'objet. Tu voudrais donc, dans ce que tu dis, sortir de ce que tu Es, pour voir qui tu Es. Mais c'est impossible. Tu Es Amour et Absolu. C'est tout. C'est le Tout. Prendre conscience, c'est s'approprier ce que tu Es déjà. C'est pas possible. Tu voudrais encore projeter quelque chose, à travers la prise de conscience, pour connaître ce qui est une non projection. Comment tu résous l'équation ? Tu ne peux pas apparaître et disparaître, en même temps. Tu ne peux pas prendre conscience et rendre conscience. Question : vous nous avez dit que vous êtes là pour nous permettre d'accélérer notre accès à l'Inconnu. Il n'y a pas d'accès à l'Absolu. Il n'y a pas d'accès à l'Inconnu. Ce n'est pas un accès. Je te montre ce qui n'existe pas. Il n'y a pas d'autre façon. Question : ce qui, en moi, souhaite ce retour à l'Absolu, est l'Absolu que je suis ? Mais tu ne peux pas retourner, tu n'es jamais partie. C'est le « je suis » qui joue à ça. Tu ne peux pas poser une question comme ça. Ça veut dire que tu cherches. Tu ne peux pas chercher l'Absolu. Ça tourne en rond. Oublie-toi et disparais. Tu n'as pas d'autre solution. Il faut que la conscience de l'observateur, l'observateur, le témoin, le sujet, l'objet, le théâtre, disparaissent. C'est tout. Tu voudrais que le théâtre disparaisse pour te montrer ce qu'il y a, mais tu restes dans le théâtre. J'ai donné l'exemple du sommeil. L'Absolu ne peut pas observer l'Absolu, parce que dès qu'il y a observation, qu'est-ce qu'il y a ? Conscience, expérience. Donc tu cherches à faire l'expérience de l'Absolu. Mais qui cherche à faire l'expérience de l'Absolu, si ce n'est la conscience ? Tu ne peux pas comprendre, Absolu. Tu ne peux pas te servir de ta conscience, fût-elle la plus Réalisée. C'est justement cela qui doit disparaître. Si tu arrives à t'oublier, à disparaître, l'Absolu est là. Tu considères, encore, l'Absolu comme une quête, mais l'Absolu est déjà là. Sors du théâtre. Il n'a pas à apparaître puisqu'il est déjà là. C'est ta non disparition qui bloque. Tu voudrais te saisir de ce que tu Es, tu voudrais en faire une expérience, tu voudrais en faire une certitude, perçue. Ce n'est pas possible. Question : l'Absolu est le dernier point de vue qui découvre qu'il n'y a plus de théâtre ? Oui, c'est ce que tu Es. C'est donc faire cesser toute projection, toute conscience, toute expérience, tout sens du je et tout sens du « je Suis ». Mais réfléchis : le « je suis » ne peut pas dire : « je ne suis pas ». Il faut sortir de ce qui est vu, de ce qui est perçu, sortir des sens, faire ce fameux Silence, qui n'est pas un Faire. Ce n'est pas l'expression d'une volonté. Ce n'est pas l'expression d'une expérience nouvelle. C'est justement la disparition de tout ça. Tu Es cela, à ce moment-là. Question : est-ce que l'Onde de Vie, quand elle se déploie, efface le je ? Oui. Le je, c'est la peur. L'Onde de Vie rencontre le je. Si le je s'efface, dans tous les sens du terme, alors l'Onde de Vie est vue, perçue, expérimentée. Puis vient le moment où tu n'es plus ce corps, cette pensée, tu n'es plus celui qui observe l'Onde de Vie, mais tu Es l'Onde de Vie. C'est le même processus avec un Double. Question : vivre l'Onde de Vie et vivre avec un Double, c'est la même chose ? Tu ne vis pas avec un Double : tu Es le Double. Il y a d'abord perception du Double et ensuite Fusion et Dissolution. Donc tu rentres dans l'a-perception, la non perception, si tu préfères. De la même façon que l'Onde de Vie est perçue mais, pour devenir l'Onde de Vie, il faut bien que tu disparaisses, dans tes illusions et tes éphémères. C'est la même chose. Dans la Réalisation et l'Éveil du « je suis », il y a la perception que rien n'est séparé, que tout est relié, que tout est plus vivant. Et alors ? Et après ? Beaucoup s'arrêtent là. Parce que c'est une satisfaction, une impression tellement différent du je. C'est le Soi. C'est gratifiant. Et après ? Question : vivre l'Onde de Vie et vivre la Fusion avec le Double, sont deux processus obligatoirement conjoints, ou bien l'on peut vivre l'un ou l'autre ? L'Onde de Vie te montre le Double. L'Onde de Vie vient de la Terre, mais quelle Terre ? Le Double vient du Ciel, de quel Ciel ? Les deux sont Reliance et Résonance. C'est une expérience Ultime. Le but, c'est que l'expérience cesse. Comment est-ce qu'elle cesse ? Quand tu n'es plus ce corps, ces pensées, mais l'Onde de Vie. Quand tu n'es plus un Double qui regarde un Double, mais que le Double redevient Un. Dès l'instant où tu perds le sens de ton identité, dans le je ou dans le « je suis », dans l'ego ou dans le Soi, dans le Double, aussi, l'Absolu est là. L'Onde de Vie et le Double, vus depuis le Soi, sont des agents opérants. Mais tu n'es ni le Double, ni toi, ni l'Onde de Vie. Tu es Absolu. Nous n'avons plus de questionnement, nous vous remercions. Et ben moi, je rends grâce et je vous donne grâce pour nos entre nous. Gardez présent, dans la tête et dans le Cœur, que si vous ne comprenez pas, c'est parfait. Parce que qui veut comprendre ? Pas l'Absolu. Simplement, mes mots, vos questions, les Vibrations, viennent ébranler. Et si vous êtes ébranlés, vous pouvez disparaître, bientôt. Mais ce qui disparaît n'est pas vous, c'est le Soi. BIDI vous dit à bientôt, peut-être, pour vous, ici. Au revoir.

BIDI 09 de junio 2012 Bueno, Bidi es con usted, nuestro entre nosotros. Así que yo sólo trato de hablar con usted, más allá de las simples palabras, más allá de sus preguntas, mucho más allá de sus respuestas. Para ver lo que queda como un obstáculo para el Absoluto, por lo que yo he dicho y por lo que compartimos. Como de costumbre, van más allá de mis palabras, ir más allá del intento de entender, por ahora. Usted verá una vez. Yo te saludo y nos puede comenzar. Pregunta: Después de la experiencia del éxtasis, siento la necesidad de alejarme y refutar, ¿cuál es su opinión al respecto? El éxtasis y la felicidad son sin duda los acontecimientos más significativos de la última, que se mueve a la Infinita Presencia absoluta. Y cuando digo "ir", no es del todo exacto. Entonces tú eres el éxtasis, como son la ausencia de éxtasis. Si usted siente que hay algo en ti para refutar, entonces hazlo. ¿Cuál es su riesgo? ¿Qué tienes que perder? Si hay algo detrás del observador que se encuentra el éxtasis y se autentica en él, tal vez, para que usted también debe refutarlo. El éxtasis es un marcador. Cuando se convirtió en la onda del éter, la ola de vida y de gracia, el observador desaparece y sin embargo siguen ahí: todo lo que incluye la personalidad, e, incluso, la presencia Ultimate. Considera que más allá de eso, es el vacío y la nada. Recuerde que todo lo de aquí, ¿dónde estás, se invierte y se proyecta. Volver al lugar, sin planificación, no es el vacío y la nada, incluso si todo en el espectador quiere creer. ¿Y por qué? Porque si eso desaparece, no hay nada que observar. Sin observación, sin proyección, sin experiencia, el observador no tiene razón de ser. Quédate el Absoluto. Así que, hazlo. Ha introducido, ya, que haga lo que haga, o no dejará, siempre estabas ahí. Recuerde que lo único que no puede definir, probar, demostrar, esto es lo que eres. No eres ni el yo ni la persona o el individuo ni el mundo: Tú eres el Amor. Pregunta: hace mucho tiempo, he practicado diferentes formas de las encuestas de humano ... Esto no se acaba nunca. Se trata de un conocimiento intelectual, que es la ignorancia. Olvídese de todo conocimiento. No he propuesto las investigaciones, pero una encuesta y sólo uno: ¿Quién eres tú? Sin ningún tipo de proyección. Sin este afán por el conocimiento. Porque cuando uno tiene hambre, está vacía. Así que no eres eso. ... Me doy cuenta de esto ahora ... Olvídese de la conciencia de ella. Más allá. ... También me doy cuenta de la realidad de Cristo, mis maestros ... ¿Es usted esto? Le hice una pregunta: ¿Quién eres tú? No estoy hablando de lo que te das cuenta, porque todo lo que experimentas es la conciencia. ¿Qué estás buscando? ¿Qué quieres? ¿Qué pruebas se necesitan más? Buscando pruebas? Esto no es una prueba, esto es un aspecto que debe cambiar. Puedes conocer todos los misterios de este mundo, otras dimensiones, como usted dice, usted puede experimentar la alegría: todos los que son sólo proyecciones. Tú eres el Amor. Olvídate de todo eso. La única encuesta que pido no es intelectual. Es, como he dicho, para poner fin a estos juegos, estúpidos, esta estafa espiritual. ¿Eres lo que, usted es el. Ayer o mañana, en este como en cualquier tamaño dimensión. Usted es, también, por supuesto, todo lo que dijo. Pero está fragmentada, es inútil. ... Trato de vivir con mi Padre en la unidad, en su realidad multidimensional ... La única manera de vivir es para olvidar. Si se le olvida, no tiene conciencia de los demás, que son los otros, también. ... eso es lo que trato de hacer ... Pero no hay ninguna prueba. No se acaba de quedarse quieto, ya no se observan, hacer más experimentos, ni siquiera ser consciente de ... Es muy simple. ¿Está usted mismo. Así que cállate. Si se calla todo lo que hay? Más allá de todo la contemplación del "yo", que son absolutos. Pero cuando usted busca, salir a. Una vez que la conciencia está ahí, se pierde lo que buscas. Debe caer alerta. Ese es el propósito de la encuesta y la refutación. No hay ningún otro propósito. El Absoluto no puede ser una creencia o una meta o una experiencia. Debido a la creencia, como experiencia, como la meta, están fuera de lo que eres. El problema es que lo que se había dado cuenta, que desea ser liberado. Pero usted no quiere, puesto que ya en Es. Es la conciencia, la experiencia, las creencias, te hace pensar lo contrario y te hace pensar que si se detiene, incluso todo esto, aparecerá. Pero no hay otra forma de desaparecer. Olvídate de ti mismo. Tú eres el Amor y nada más. Pregunta: He visto una de ida y vuelta entre el Absoluto, el Ser, la personalidad y la mente. Yo trato de dejar que el de ida y vuelta, pero cuando me encuentro en la mente, se inicia tratando de salir. Si bien no con la forma absoluta, los pasajes son innumerables. Usted necesita su mente para vivir en este mundo, no por lo que eres. Si el paso, que no es de uno, si eso es lo que Es Ultimate, o bien te quedas Ultimate, o que viven ustedes. Esto no debería ser problema. Usted puede tomar lo que le llevará sin ningún problema, porque el Absoluto está allí. Cuando el primer Absoluto se revela, todo es absoluto. Tu mente puede funcionar, pero usted puede dirigir su vida con respeto, lo que ha aprendido, lo que conducirá, en esta vida, sin ningún problema. El paso del yo, el Yo y el Absoluto (cuando el Absoluto se revela), es normal. Incluso es beneficioso, no molestarle. Esta forma existe, existe este cuerpo, esta bolsa de comida está allí. Que viva. No es culpa tuya. Él va a vivir su fin cuando se va a vivir, que no le concierne. Y en base a eso, le permitió vivir lo que pensaba vivir. Esto no debería ser problema. Y no es un problema. Los pasajes son cada vez más evidente, es decir, que se ve claramente lo que es y lo que es y lo que no es. Así que todo está bien, no hay ningún problema. Pregunta: ¿qué hacer cuando se vive un gran incendio en la caja torácica? No hacer nada. Cállate. Tenga en cuenta, si lo desea, y después, más allá de la observación. Pero yo le dije que, como usted dice en este, sin embargo, se tiene en cuenta el pecho que tú, que eras el fuego en el pecho, que tenía que hacer algo. ¿Qué es este "yo", excepto la del observador? Una vez más, el contenido mismo de dejar vivir lo que tiene que vivir. Tú no eres eso. Nunca confunda refutar un elemento, ya que es efímero y lo niegan. No es porque usted niega el cuerpo, va a desaparecer. Por el contrario, que va a causar problemas para usted que él está allí. Ya sea por el dolor, pies, cabeza. Cuando te digo que te olvide, debo hablar con tu cuerpo? No me dirijo al "yo"? Me dirijo a ustedes, no para este cuerpo. El problema es identificar el cuerpo: "me duele", "Tengo el pecho en llamas". Mira: como siempre, la mente quiere explicar en lugar de vivir. Porque si se vive, pierde su acción, su importancia, su poder. Mira, la que vive, ya que es necesario explicar. ¿Es usted capaz de explicar por qué respiramos? ¿Es usted capaz de explicarme lo que piensa, que siente, percibe, ¿qué? Por supuesto que no. ¿Cómo se puede estar en cualquier tipo de experiencia? Y si eso se relaciona con el Ser, lo que implica aquí y ahora. Así que si hay interrogación sobre el sentido de una explicación, ya no hay más  Aquí y Ahora: hay ego. Ahora, usted es lo que han experimentado la otra noche? ¿Qué es? Un pasado, un recuerdo, una experiencia. ¿Existe tal cosa? ¿Es usted? Si usted me dice: "he vivido", le respondo: que has vivido, que no le vio más. Así que eso fue lo que? Efímero. Usted no es efímero. Pregunta: En mis momentos de paz interior, la calma soy un observador? Pero, ¿quién sabe dónde se encuentra, a menos que usted? ¿Cómo quieres que te dé una respuesta? El Absoluto es la ausencia de localización, de referencia. Usted está en paz cuando duermes. Nunca hemos visto una carrera muerta. ¿O a alguien dormir, comer. Por supuesto que era un observador en la paz. Este es el "yo". Va más allá del "yo". Como ya he dicho: olvídate. Incluso el contacto con lo que se propone (el Canal Marial, doble) están ahí, en realidad, como una conciencia diferente a la suya. Pero es la misma, puesto que hay una fusión, una disolución. No eres tú misma, te conviertes en otra primicia. Y después, no eres ni tú ni el otro. Y el Absoluto se revela. Incautados aunque siempre es el "yo" o "yo" quién dice qué, a través de la "I": esto es necesario que existan. Y un "yo" avanzado, la necesidad de no ser separados y fragmentados como en "I". En este punto, no es la contemplación de la Ilustración, el Ser, la realización. ¿Pero es esto lo que eres? Esto desaparecerá a medida que la bolsa de comida. Nada de lo que no puede ser efímera es la Verdad. Y usted sabe que después de la paz, que ya no están en paz. Y usted encontrará momentos de paz, el Samadhi. Se convierte en una droga, pero que no son ni uno ni lo otro. Esto es lo que hemos visto. Pregunta: ¿Cómo llegar a quedarse quieto en todo momento, lo que lleva a la absoluta? Lo sé. Este es un requisito previo. Permanezca quieto conducir a la experimentación con el auto, cuando el "yo" desaparece. Pero el Absoluto es el no-Sí mismo. Esto es algo más que estar tranquilo. Ha dejado de existir, no mantenerse al margen de cualquier cosa. Se ha convertido en la primera ola de la vida, o dos veces para darse cuenta de que nada de esto es cierto. No es como una negación, sino como una perspectiva que se mueve. No eres nada de lo que perciben. En otras palabras, usted no es el que vive la experiencia. Esto es lo que llevó a creer que el "yo", el miedo a desaparecer, el miedo al vacío y la nada, que en realidad está lleno, ya que se invierten. Cuando uno se muere, que muera? Hágase esta pregunta. Si sabes quién eres, antes de nacer o después de la muerte, si usted puede contestar a esta pregunta, no se necesita experiencia, no se requiere la percepción. Yo no y no "yo" no puede sostenerse. Pregunta: ¿cuál es el lugar de la experiencia, entonces? Una distracción, un escenario de teatro. Suelte el yo, algo abierto, abierto, pero no es suficiente. La conciencia juega a experimentar. Creen que la conciencia le llevará a una meta, pero que está muy bien, dime: ¿cuál es ese propósito? Expresó que a mí. ¿Te conoces a ti mismo? Espero. Puedo esperar un largo tiempo: no hay una respuesta. No puede ser. Y por una buena razón: no hay una causa. Usted es absoluta. ¿Está usted nunca que se moviera, experimentado nunca, nunca la conciencia. Por supuesto, con miedo, yo y "yo" va a decir "es horrible". Sí, para él, es horrible. Pero tú eres amor. ¿Por qué buscáis Es, si no la experiencia y la proyección de la conciencia misma, que se reproduce por sí mismo? Pregunta: la refutación de los más conocidos es suficiente para convertirse en absoluto? Ampliamente. Lo que se sabe, o lo que es saber, se llama a la experiencia y el conocimiento. Es una proyección. Pero, siempre el mismo: ¿quién eres? Cuando desaparecen, el Absoluto está ahí y eso es lo que eres. El ego y el "yo" son muy fuertes. El Sí mismo es muy fuerte. No se olvide de que ella misma contempla, el ombligo o el corazón, luz o sombra. Pero estos son sólo los juegos de luces y sombras. Pregunta: Después de darse cuenta de que una pregunta lleva a otra pregunta y es sin fin, las palabras han resonado en mí: infinidad, eternidad, amor, mi esencia. Entonces, ¿qué? ¿Por qué quieren que se les asegure? ¿Qué? Sentí una falta de confianza en ese estado. Yo os lo hubiera preferido decir la falta de conciencia. Fundación para quién o qué? Y su falta, aún más. Yo exclusivamente. ¿Eres lo que yo? Lo que se ha entregado es lo que eres. Usted ha entendido todo. Pregunta: ¿Cómo darse cuenta de que es? Pero no es una cuestión de conciencia. Esto es para la conciencia. ¿Está usted en que ya, por lo que no puede llegar a ser consciente. Conscientes, esto ya es salir y experimentar con lo que eres. Es lo que usted no tiene que ser consciente, pero para hacer conciencia. Es el observador el que quiera entender el testigo. No eres ni el sujeto ni el objeto. A continuación, se, en lo que dices, lo que usted sale de Es, para ver quién es usted. Pero esto es imposible. Tú eres el Amor y el Absoluto. Eso es todo. Este es el Todo. Conciencia, es apropiarse de lo que ya Es. No es posible. ¿Todavía quieres proyectar algo que, a través de la conciencia, saber lo que no es una proyección. ¿Cómo resolver la ecuación? Usted no puede aparecer y desaparecer, al mismo tiempo. No se puede hacer conciencia y la conciencia. Pregunta: Usted dijo que usted está ahí para que podamos acelerar nuestro acceso a lo desconocido. No hay acceso a lo Absoluto. No hay acceso a lo desconocido. No es el acceso. Yo te mostraré lo que no existe. No hay ninguna otra manera. Pregunta: ¿Qué me quiere en este retorno a lo Absoluto, el Absoluto es que soy yo? Pero no se puede volver atrás, nunca se parte. Este es el "yo" que se reproduce. No se puede hacer una pregunta así. Esto significa que usted está buscando. No se puede buscar lo absoluto. Se da vueltas en círculos. Olvídate de ti mismo y salir. Usted no tiene alternativa. Necesitamos la conciencia del observador, el observador, el testigo, sujeto, objeto, teatro, desaparecen. Eso es todo. Usted quiere que el teatro para mostrar que desaparecen allí, pero te quedas en el teatro. Me dio el ejemplo del sueño. El Absoluto no puede observar el Absoluto, porque una vez que se cumpla, ¿qué es? La conciencia, la experiencia. Así que usted está buscando para disfrutar de lo Absoluto. Pero trata de hacer que la experiencia de lo absoluto, si no, la conciencia? No se puede entender, lo Absoluto. Usted no le puede servir a su conciencia, aunque la mayoría Llevado. Esto es exactamente lo que tiene que ir. Si te puedo olvidar, a desaparecer, no es el Absoluto. Se tiene en cuenta, de nuevo, como una búsqueda de lo Absoluto, pero el Absoluto ya está ahí. Salid de teatro. No parece, puesto que ya está ahí. No es la pérdida de bloqueo. ¿Le gustaría entrar en lo que eres, te gustaría hacer un experimento, que le convierten en una certeza, se percibe. No es posible. Pregunta: el Absoluto es el último punto de vista que considera que no hay más drama? Sí, eso es lo que eres. Esto es para detener cualquier proyección, la conciencia de todo, la experiencia de todo, todo el sentido del yo y cualquier sentimiento de "Yo Soy". Sin embargo, tener en cuenta: el "yo" no se puede decir, ". No estoy" Debemos abandonar lo que se ve, lo que se percibe, de los sentidos, a la famosa El silencio, que no es un hacer. Esto no es una expresión de la voluntad. Esta no es la expresión de una nueva experiencia. Este es precisamente la desaparición de todo esto. ¿Está usted de esto, en ese momento. Pregunta: ¿la ola de la vida, cuando se desarrolla, se borra el yo? Sí. El yo, es el miedo. La vida de las olas que me satisface. Si se anula, en todos los sentidos del término, entonces la ola de la vida que se ve, percibe, experimenta. Luego viene el momento en que usted no es este cuerpo, este pensamiento, no es el que observa la ola de la vida, pero tú eres la ola de la vida. Este es el mismo proceso con un doble. Pregunta: vivir la ola de la vida y vivir con un doble, que es la misma cosa? Usted no vive con un doble: ¿Eres tú el doble. En primer lugar está la percepción y Double Fusion y disolución. Así que te metes en la A-percepción, no de la percepción, si lo prefiere. De la misma manera como la ola de la vida se percibe, pero, para convertirse en la ola de la vida, tenemos que disparaisses, en sus ilusiones y su efímera. Es la misma cosa. En la realización y el despertar de "Yo soy", existe la percepción de que nada está separado, que todo está conectado, todo es más vivo. Entonces, ¿qué? ¿Y después? Muchos se detiene allí. Debido a que es una satisfacción, un sentimiento muy diferente a mí. Es el Sí mismo. Es muy gratificante. ¿Y después? Pregunta: ¿vive la ola de la vida y el vivir con la Double Fusion, dos procesos son necesariamente las articulaciones, o podemos vivir uno o el otro? La ola de la vida que muestra el doble. La ola de la vida viene de la Tierra, pero lo que la Tierra? El doble viene del Cielo, lo que el Cielo? Ambos son conexión y la resonancia. Esta es una experiencia única. El objetivo es que la experiencia deja. ¿Cómo detenerlo? Cuando no eres este cuerpo, los pensamientos de estos, pero la ola de la vida. Cuando usted no es uno que se parece un doble doble, pero que se convierte en el doble de la ONU de el momento en que pierde su sentido de identidad, en el I o el "yo" en el ego o el Ser, el doble, también, es el Absoluto. La Ola y Doble vida, visto desde el auto, los agentes están operativos. Pero tú no eres el doble, ni usted ni la ola de la vida. Usted es absoluta. Tenemos más preguntas, gracias. Ben y yo, le doy las gracias y le doy las gracias por nuestros nosotros. Tenga esto en la cabeza y en el corazón, si usted no entiende, es perfecto. Porque el que quiera entender? ¿No es el Absoluto. Simplemente, mis palabras, sus preguntas, la vibración, sólo tiene que agitar. Y si te dan una sacudida eléctrica, puede desaparecer pronto. Pero lo que desaparece no es usted, que es el Yo. BIDI fuera por ahora, tal vez, para ti aquí. Adiós.