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lunes, 16 de abril de 2012

Bidi


www.autresdimensions.com

BIDI

29 mars 2012
NDR : Depuis le 29 mars, ce nouvel intervenant intervient en réponse à des questions afin de nous accompagner à vivre l'Absolu, l'Ultime. BIDI nous présente ici les modalités de ses interventions à venir. Sachant qu'il répond uniquement en présence de la personne qui questionne (pour des raisons Vibratoires), ces échanges ont donc lieu uniquement lors des stages. Nous vous remercions donc de ne pas nous faire suivre de questions par écrit.
À la demande de BIDI :
- Nous diffusons ces réponses d'une part car elles concernent chacun d'entre nous et d'autre part parce qu'elles contiennent des pratiques essentielles sur l'accès à cet Absolu.
- Les réponses sont diffusées également en audio, afin de partager les aspects transformants Vibratoires de ses interventions.

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Eh bien, je vous dis bonjour. Puisqu'il faut bien appeler ce qui se présente par un nom, il s'agit de BIDI. Mais quel que soit le nom que vous me donnez, aujourd'hui, dans votre espace / temps, la façon dont je me présente n'a strictement rien à voir avec ce que j'ai pu être et est bien plus un espace de présentation, bien au-delà de toute forme, de tout nom, de toute appellation. Je représente, en quelque sorte, un achèvement. Cet achèvement est la nature même de ce que vous êtes, au-delà de toute apparence, de tout corps, de tout discours. Ceci, bien sûr, ne pourra jamais être traduit, au-delà de l'éventuelle perception de ma présence, par des mots. Toutefois, il est aisé de vous permettre de faire une sorte de Clarté, à l'intérieur même de ce que vous croyez être, dans cette personne, dans ce Soi, afin de donner des éléments. Ces éléments ne sont, en aucun cas, de nature intellectuelle. Ils découlent, en totalité, d'une somme d'évidences. Cette somme d'évidences est strictement la même pour chaque personne, chaque Soi. La fonction, si l'on peut dire, de cette somme d'évidences, n'est que de vous permettre (de manière que j'appellerais rapide, dans ce temps particulier de ce monde) de dépasser certains stades, certaines étapes. Non pas pour en faire un stade ou une étape finale ou terminale mais bien plus pour, dans un premier temps, vous rendre conscient et, dans un second temps, vous faire, en quelque sorte, pénétrer ou sortir, selon le sens dans lequel vous le prenez, de l'ensemble de circonstances qui ont été nommées, d'ailleurs, éphémères, limitées, temporaires.
Nos échanges, au-delà de tout mot, passent, bien sûr, au-delà de la Vibration, par ce que je nommerais quintessence de la Vie, quintessence de toute vie. Ici comme ailleurs. En ce temps comme en tout temps. Le support, au-delà des mots, en est, bien sûr, ce que vous avez nommé, à défaut d'autre terme, Onde de Vie, Don de la grâce. Quelles que soient les appellations et quelles que soient les traductions de ce qu'il est possible de vivre, ce que je nommerais, au-delà de toute considération appartenant à une culture, cet Absolu ou, si vous préférez, cet Ultime, qui est le principe, l'essence, le début et la fin de tous les possibles, au-delà même de votre personne ou de votre Soi. Je ne reviendrai donc jamais sur la forme que j'ai pu avoir mais je reviendrai exclusivement sur l'ensemble des éléments de ce que je nommerais une logique imparable, toute scientifique et donc reproductible, avec laquelle toute conscience, toute forme de Vie, peut dorénavant évoluer sans réelle grande difficulté. Si ce n'est des a priori ou des limites pouvant encore gêner cet Ultime, cet Absolu.
La difficulté réside dans le fait que, toujours, pour la personne ou pour le Soi, il y a une fragilisation. Cette fragilisation tient même à la nature de ce qu'est la personne ou de ce qu'est le Soi et qui met face (cette personne ou ce Soi), pour chacun d'entre vous, à une perspective que je nommerais le néant ou le rien. Il est, en effet, difficile, pour une forme ayant un contenu, de considérer que ce contenu puisse être présent au-delà même de la forme et donc au-delà même de votre contenant. Il est, en effet, difficile, pour la personne comme pour le Soi, de considérer que, au-delà de cette forme, fût-elle la plus vaste, il est possible que le contenu persiste et demeure dans ce que vous nommeriez néant ou rien.
Les mots qui seront employés ne sont pas destinés, en aucune manière, à vous flatter mais bien à vous questionner. À vous questionner sur vous-même, sur ce que je nommerais votre rôle, votre place. Car en définitive il n'existe, ici comme ailleurs, et en résumé, que 3 places possibles et seulement 3 places. Au-delà des 4 consciences que vous connaissez, exprimables et manifestables dans cette forme que vous habitez, ces places sont donc : une personne, un Soi, l'Absolu (ou Ultime). Entre les 2 premiers (nommés personne et Soi) et le dernier (nommé Absolu ou Ultime), il ne peut exister d'appréhension, ni même de compréhension, menant des 2 premiers au 3ème.
L'habitude de la forme que vous habitez est une habitude de séparation. Le Soi est une séparation plus vaste mais il demeurera toujours une séparation. L'Absolu, l'Ultime, est très précisément l'absence de toute représentation et de toute séparation vous rendant, en quelque sorte, inintelligible à toute possibilité d'observation, de description. Bien sûr, témoigner ou rendre témoignage est possible mais le témoignage ne vous permettra, là non plus, jamais, d'être l'Ultime, l'Absolu. Des intervenants appartenant à des structures précises (ndr : le Conclave Archangéliques, l'Assemblée des Anciens, des Étoiles ...) ont évoqué des moyens et surtout, vous ont donné une injonction qui, même si elle est difficilement compréhensible, est vraiment l'injonction la plus importante, qui est de ne rien faire et d'être tranquille. Ce « ne rien faire » et « être tranquille » n'est pas, et ne sera jamais, un divertissement mais bien une forme de lucidité de la personne ou du Soi, quant à ce qui est de l'ordre du réel, de l'irréel, ou (pour employer une autre terminologie) ce qui est de l'ordre du relatif ou de l'absolu.
Ma seule présence est donc destinée, si cela vous agrée, à vous orienter sur ce que vous n'êtes pas et ne serez jamais, afin de laisser, si tel est votre souhait, la place, au-delà de la personne et du Soi, à la Vérité Ultime, à l'Absolu. Certains de mes propos entraîneront en vous ce que vous nommez des résistances, et je dirais que c'est justement ce qui sera recherché. Parce que la confrontation avec vous-même, dans ce que je pourrais nommer l'absurdité totale de cette forme, devra vous apparaître comme une logique parfaite, car comme je l'ai dit, cela est une logique parfaite et d'une précision, si l'on peut dire, toute mathématique, toute physique. Retenez que j'interviens depuis un espace / temps qui n'est pas linéaire qui peut, au mieux, traduire votre questionnement en une juste question sur vous-même. Voici donc ainsi définies les règles de nos entretiens à venir.
Le sens de ma présence même rend compte de la possibilité, pour ce qui a été dissout dans l'Absolu, dans LA SOURCE et au-delà, de pouvoir aborder et revenir, bien que ce mot et cette expression ne soit pas la plus conforme, sur un mode, pour vous relatif, vous amenant, si tel est ce que vous Êtes, à vous approcher de l'indicible. Là aussi, nombre de mots ont pu être exprimés, donnés. Ils ne font que traduire la même Vérité en d'autres mots : vous êtes l'Absolu, vous êtes l'Ultime. Au-delà même de tout sens d'être dans une forme. Au-delà même du sens d'être un contenu ou un contenant. Les circonstances mêmes de ma venue inscriront, dans ce contenant et ce contenu, une forme de dynamique bien au-delà de l'aspect nommé énergétique ou Vibratoire, parce que les questions que nous échangerons seront à même de faire, en quelque sorte, éclore ce qui doit éclore. Retenez que cela ne sera jamais une gymnastique intellectuelle mais bien une logique imparable de la nature et l'essence de ce qu'est la Vie, dans son acception la plus large, depuis la vie la plus élémentaire à la vie la plus complexe, si l'on peut l'appeler ainsi. Puisque le même principe, le même Absolu, y est, bien sûr, non seulement présent mais efficient, en totalité, car aucune vie ne pourrait être, sans cela.
Cet espace particulier de ces rencontres particulières représente certainement le moyen le plus abouti, le plus parfait et le plus logique, de définir et de faire prendre conscience ce que vous n'êtes pas, laissant place, alors, à ce qui doit Être, au-delà de tout être. Je le répète pour la dernière fois : cela fait appel à une logique élémentaire, principielle et imparable. Les temps d'absence de mots sont déjà aussi, à leur façon, inscrits dans la logique et l'évidence de ce que j'appelle nos rencontres. Qui ne seront, en fait, que la rencontre avec votre vérité
Au-delà des mots et de leur sens, il y a cette fameuse logique pour laquelle vous serez parfois, et souvent, dans un premier temps, en réaction, voire en opposition. Cela est normal et fait partie de cette forme de logique. Plus la réaction sera forte, voire violente, à l'Intérieur de vous-même, plus vous constaterez des effets. Au-delà d'une simple compréhension s'inscrivant dans la pensée, dans l'énergie, dans la Vibration et en définitive, au-delà. Ne vous jugez pas. Ne me jugez pas. Je peux alors vous garantir, si l'on peut dire, que très vite un mécanisme de transcendance se mettra en route dans votre connu. Vous êtes Ultime. Vous êtes l'essence et le principe même de l'Amour, de la Lumière mais non pas de celle que peut concevoir la personnalité ou le Soi. Vous êtes strictement cela. Tout cela. Rien que cela.

Traducido con Google translator
BIDI

29 de marzo 2012

Nota del autor: Desde 29 de marzo de este nuevo reproductor viene en respuesta a las preguntas que nos acompañe a vivir el Absoluto, el Ultimate. BIDI que presentamos aquí los términos de sus intervenciones futuras. Sabiendo que sólo responde ante la presencia de la pregunta (por razones de pelucas), estos intercambios han celebrado por lo tanto, sólo durante las pasantías. Así que por favor no nos hacen seguir preguntas por escrito.
A petición de  BIDI:
- Somos distribuidores de estas respuestas, por una parte porque se refieren a todos nosotros, y en segundo lugar, ya que contienen la práctica básica en el acceso a lo Absoluto.
- Las respuestas también se transmiten en audio para compartir aspectos de sus operaciones transformantes de vibración.

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Bueno, yo digo hola. Dado que lo que debe ser llamado por un nombre viene, se trata de BIDI. Pero sea cual sea el nombre que me diste, hoy, en el espacio / tiempo, ¿cómo presento a mí mismo no tiene nada que ver con lo que he sido, y es más un espacio de presentación , mucho más allá de cualquier forma, de cualquier nombre, cualquier nombre. Yo represento, de alguna manera, una conclusión. Esta conclusión es la misma naturaleza de lo que son, más allá de las apariencias, ningún cuerpo, ningún discurso. Esto, por supuesto, nunca puede ser traducido, más allá de la posible percepción de mi presencia, en palabras. Sin embargo, es fácil que le permite hacer una especie de claridad, incluso dentro de lo que crees en esa persona, en la que el Ser, con el fin de aportar elementos. Estos elementos son, en cualquier caso, de una naturaleza intelectual. Se derivan, en su totalidad, de una suma de pruebas. Esta cantidad de pruebas es exactamente el mismo para cada persona, cada auto. Función, por decirlo así, de esta cantidad de pruebas, es que se puede (por lo que yo llamaría rápido, especialmente en este tiempo de este mundo) para superar ciertas etapas, algunas de las etapas. No es para hacer un punto o una etapa final o al final, sino más bien, al principio, y darle a conocer, en un segundo tiempo, usted lo hace, de alguna manera, entrar o salir, dependiendo de la dirección en la que toma, el conjunto de circunstancias que fueron nombrados, sin embargo, transitoria, limitada y temporal.

Nuestros intercambios, más allá de cualquier palabra, se mueven, por supuesto, más allá de la vibración, por lo que yo llamaría el epítome de la vida, la esencia de toda la vida. Aquí, como en otros lugares. En ese momento como en cualquier momento. Apoyo, más allá de las palabras, es, por supuesto, que usted nombró, en ausencia de un término mejor, la onda de la vida, don de la gracia. Cualesquiera que sean los nombres y las traducciones de lo que sea lo que es posible vivir, lo que yo llamaría, más allá de todas las consideraciones que pertenecen a una cultura, o el Absoluto, si se prefiere, el último, que es principio, la esencia, el principio y fin de todas las posibilidades, incluso más allá de su persona o su auto. Nunca lo tanto volver a la forma que yo pudiera tener, pero voy a volver exclusivamente en todos los elementos de lo que yo llamaría una lógica imparable, toda la información científica y reproducible por lo tanto, con la que toda conciencia, todas las formas de vida, puede Ahora evolucionar sin dificultad real. Si es, a priori, o las limitaciones que pueden impedir que incluso Ultimate, el Absoluto.

La dificultad radica en el hecho de que, una vez más, para la persona o el Ser, no es una debilidad. Esta fragilidad es aún la naturaleza de lo que persona o lo que el Sí mismo y que se enfrenta a (la persona o uno mismo), por cada uno de ustedes, una posibilidad que yo llamaría el vacío o nada. De hecho, es difícil para un formulario con el contenido, suponer que este contenido puede estar presente incluso más allá de la forma y por lo tanto, incluso más allá de su contenedor. De hecho, es difícil para la persona en cuanto a la Ser, tener en cuenta que, más allá de esta forma, aunque el más grande, es posible que el contenido persiste y se mantiene en lo que nommeriez nula o nada.

Las palabras que los empleados no se pretende de ninguna manera, que te halagan, pero que se le pregunte. Para hacer de ti, de lo que yo llamaría su papel, usted. Porque en última instancia, no hay, aquí como en todas partes, y en resumen, tres posibles lugares y asientos de sólo tres. Más allá de las cuatro conciencias que usted conoce, y expresables manifestable en esta forma que usted vive, estos lugares son los siguientes: una persona, un auto, el Absoluto (o Ultimate). Entre los dos primeros (y persona que se designe uno mismo) y la última (llamada absoluta o Ultimate), no puede haber temor, o entender, incluso, dando lugar a los primeros 2 terceros.

El hábito de la forma en que usted vive es un hábito de la separación. El Sí mismo es una separación más grande, pero siempre será una separación. El Absoluto, el último, es precisamente la ausencia de cualquier representación y la separación de cualquier va, de alguna manera, ininteligible para cualquier posibilidad de observación, descripción. Por supuesto, declarar o dar testimonio, pero el testigo no le puedo ayudar tampoco, nunca, ser el último, el Absoluto. Las partes interesadas pertenecientes a estructuras específicas (nota: el Cónclave Arcangélico, la Asamblea de Ancianos, estrellas ...) discutieron las formas y lo más importante, le dio una orden que, aunque es difícil de entender, es en realidad orden y lo más importante es no hacer nada y estar tranquilo. Este "no hacer nada" y "estar en silencio" no es y nunca será, un entretenimiento, sino una forma de conocimiento de la persona o el yo, sobre lo que está en el orden de la realidad, de la irreal, o (para usar una terminología diferente), que es acerca de la relativa o absoluta.

Mi sola presencia tiene por objeto, si se quiere, que le guiará en lo que no son y nunca dejar, si así lo desea, en cambio, más allá de la persona y el ser , la verdad última, el Absoluto. Algunos de mis comentarios le llevará en lo que se llama resistencia, y yo diría que esto es precisamente lo que se buscará. Debido a la confrontación con uno mismo, en lo que yo podría nombrar a lo absurdo de esta forma, se le aparece como un perfectamente lógico, ya que como he dicho, se trata de una lógica perfecta y precisión, por así decirlo, todas las matemáticas, todos los físicos. Recuerde que yo hablo de un espacio / tiempo no es lineal, lo que puede en el mejor de traer a sus preguntas en una pregunta clara acerca de ti mismo. Así que aquí están las reglas bien definidas de nuestros futuros servicios.

El significado de mi presencia refleja la posibilidad de que lo que se ha disuelto en la fuente absoluta, y más allá, podemos abordar y vuelta, aunque esta palabra y de expresión no es el más consistente , un modo para que el, haciendo que, si eso es lo que eres, para acercarse a lo indecible. Una vez más, muchas palabras se han expresado, teniendo en cuenta. Se limitan a reflejar la verdad misma, en otras palabras: usted es el Absoluto, el que Ultimate. Incluso más allá de cualquier sensación de estar en un formulario. Incluso más allá de la sensación de ser el contenido o el recipiente. Las mismas circunstancias de mi llegada inscribirse en este continente y contenido, una forma de la dinámica mucho más allá del aspecto de la energía vibratoria o el nombre, porque los temas que vamos a intercambiar será capaz, de alguna manera, escotilla que deberían salir del cascarón. Recuerde que esto nunca va a ser un ejercicio intelectual, sino una lógica imparable de la naturaleza y la esencia de lo que la vida en su sentido más amplio, ya que la vida lo más básico a la vida más compleja, si se puede llamar así. Desde el mismo principio, el Absoluto mismo, no es, por supuesto, no sólo eficiente, pero esto, en su totalidad, ya que no podría ser la vida sin ella.

Este espacio particular de estas reuniones especiales es sin duda el más exitoso, más perfecto y más lógico para definir y crear conciencia de que no lo son, dando paso, a continuación, lo que debe ser, en más allá de todo ser. Lo repito por última vez: utiliza una lógica elemental, basado en principios e imparable. Times no hay palabras son también ya su manera, inscrita en la lógica y la evidencia de lo que yo llamo a nuestras reuniones. ¿Cuál será, de hecho, que el encuentro con su verdad

Más allá de las palabras y su significado, no es esta lógica famosa por qué a veces y, a menudo, en un principio, en respuesta, incluso en la oposición. Esto es normal y forma parte de este tipo de lógica. Más que la reacción va a ser fuerte, incluso violenta, en el interior de ti mismo, más que ver los efectos. Más allá de un simple entendimiento de inscribirse en el pensamiento, la energía, en la vibración y más allá en última instancia. No juzgues. No me juzgues. A continuación, les puedo garantizar, si se quiere, muy pronto un mecanismo de trascendencia se pondrá en marcha en su conocido. Usted está Ultimate. Usted es la esencia y el principio mismo de Amor, Luz, pero no uno que pueda desarrollar la personalidad o Yo. Usted es estrictamente eso. Todo esto. Sólo eso.

BIDI

8 avril 2012 - 1
Et bien, Bidi est en votre compagnie. Nous allons nous tenir compagnie et nous allons échanger. Vous avez eu l'occasion de lire ce que je me propose de vous apporter. Je vous redemande instamment d'écouter et d'entendre. Ma compagnie n'est pas un dialogue ni un jeu mental mais bien une occasion, pour vous, de laisser, en quelque sorte, Être au-delà de votre Soi, au-delà de votre présence. Cet espace, ce temps, vous concerne tous. Au travers d'une question qui vous est personnelle, d'autres peuvent être en résonnance, en affinité et donc trouver, derrière les mots que je vais employer, un point particulier sur lequel s'appuyer. Ce qui vous intéressera, dans cette suite d'entretiens, est directement relié, au-delà du nom que je vous ai donné, à l'action de la Lumière, à l'action de l'Absolu. Ma Présence n'est pas une présence mais bien plus que cela parce qu'elle est aussi vous-mêmes. Nous avons tout votre temps pour cheminer dans la vie. Soyez neutres. Soyez paisibles. La neutralité et votre paix sont les conditions (indispensables, suffisantes et nécessaires) pour installer, si l'on peut dire, ce qui doit être installé, en vous et au-delà de vous, au-delà même de cet espace et de ce temps. S'il n'existe pas de questions préalables et techniques, nous allons donc pouvoir commencer.
Question : comment être libérée de la peur et avoir confiance ?
La peur, comme la confiance, dépendent uniquement de l'ego. La confiance ne permettra jamais, au même titre que la peur, de traverser. Il faut reconsidérer la peur et la confiance parce que l'une comme l'autre ne sont que les deux extrémités d'une barrière infranchissable, située, comme toujours, dans l'ego et la personne : parce qu'aucune confiance comme aucune peur ne peut permettre de transcender une limite. Il faut donc que tu acceptes de déposer tes peurs, comme tu déposerais ta confiance. Il y a donc une invitation à te positionner au-delà de la peur car si tu te situes dans l'instant, paisible, sans question, la peur ne peut apparaître. La peur est synonyme d'inconnu, pour la personne. La peur représente, en quelque sorte, l'élément de résistance, le cadre même où s'inscrit toute personne, tout ego, tout individu. La peur traverse. En tant qu'émotion, en tant que pensée, elle ne fait que résulter, en définitive, de ton propre passé. Réfléchis : il n'y a aucun substrat, aucune cause, dans l'instant présent, à la peur. De même qu'il n'y a aucune raison et aucune logique à établir une quelconque confiance, dès l'instant où tu es là, et non pas dans un instant d'avant et encore moins dans un instant d'après. Rester tranquille, c'est cela. Ce n'est ni se poser la question des peurs, ni se poser la question de la confiance. C'est s'installer dans l'éternité parce que la peur comme la confiance s'inscrivent, de manière définitive, dans ce qui est linéaire. L'Absolu ne connaît pas le linéaire. Il est justement transcendance totale de l'espace temps (tel qu'il est connu).
La peur est une limite. Tu ne peux franchir la limite en te considérant inscrite au sein d'une limite. Dès l'instant où ton attention va être attirée par tes propres peurs, tu vas, en quelque sorte, les cristalliser, les densifier, les rendre vivantes, dans l'instant, dans le présent. Dès l'instant où tu es en paix et paisible, aucune peur ne peut surgir. Et quand bien même cette peur surgirait, le fait même d'être en paix t'apporterait, immanquablement et presque immédiatement, la logique que cette peur n'a aucune consistance, aucune vérité mais qu'elle n'est qu'un signal venant de ce qui est mort (dans ce que tu as vécu ou dans ce que tu as redouté) mais ne peut aucunement être présent dans l'instant que tu vis. La dualité consistant dans une extrémité ou dans l'autre, en ce qui te concerne, la peur devant être remplacée par la confiance, t'inscrit dans la limite de la peur et de la confiance. Vouloir remplacer la peur par la confiance t'installe dans ta propre dualité et donc renforce ta propre personne. Quand j'emploie le mot paix, l'autre extrémité est la guerre. La méditation comme l'attention sont des états qui s'approchent de la paix. Bien évidemment, la guerre serait l'activité incessante du mental venant troubler ta paix. Si tu écoutes et es attentive, non pas à ce que te dit ce qui est mort, non pas dans une projection voulant supprimer cette peur mais bien dans l'acceptation, la compréhension et la logique que tu n'es aucune de tes peurs et qu'il n'y a à appliquer là-dessus, aucune confiance. Simplement, te déplacer dans ta paix. Simplement, ne plus être ce qui émerge de ce qui est passé, ce qui émerge de ce qui est mort, et encore moins ce qui émerge de ce qui ne peut être né (et donc ne peut être présent).
À partir de là, tu poseras en toi le fondement même de l'entente et de l'écoute. Non pas de ce que tu crois être, non pas d'un quelconque passé, non pas d'un quelconque devenir, mais bien dans la vérité de l'instant que tu vis, le seul qui soit capable de te faire franchir tes propres limites et donc d'être illimitée. Rappelle-toi que l'illimité a toujours été là, toujours présent, toujours inscrit au-delà de la conscience. Seuls les freins et les résistances issus de ce que tu n'es pas (et auxquels tu as donné poids, auxquels tu as accordé du crédit) t'empêchent de le vivre. Tu n'es donc pas tes peurs car comment ce qui n'est pas une personne pourrait porter une quelconque peur ? Comment pourrait-il exister, au sein de ce qui n'existe pas (c'est-à-dire cette personne), un quelconque demain ? La prévoyance, l'anticipation et la peur ne résulteront toujours que de l'activité du mental et seulement du mental. Or ce mental prend naissance avec ta venue en ce monde lors de ta construction au sein de l'illusion et est un élément, un attribut, absolument réel, dans la dualité. Il te permet d'adapter ce qui a été vécu à ce que se vit et à ce qui sera à vivre. Mais tu n'es ni ce qui a vécu, ni ce qui se vit, ni ce qui est à vivre.
Tu es la vie
. Il y a donc, en toi, à voir (sans s'attacher) les peurs comme ce qui n'est pas la vie mais bien ce que tu as cru de ta vie. La peur est un poids mort qui résulte de la terreur même de l'ego et de la personne, de ses propres limites inscrites entre la naissance et la mort. Tu n'es ni ce qui est né, ni ce qui va mourir (contrairement à ce que veut te faire croire ton mental et tu n'es pas ton mental). Le crédit que tu apportes à ta personne se traduit par un crédit plus ou moins grand que tu donnes à ta propre histoire, qui est morte et qui t'éloigne de l'expérience de l'Absolu. Comprends bien qu'il ne s'agit pas de rejeter, comme un acte de déni, ce que tu as traversé dans ton histoire. Mais ton histoire ne sera jamais ce que tu es dans le Soi et encore moins l'Absolu. Change de regard. Je ne parle pas du regard des yeux, je ne parle pas du regard des émotions de ton propre passé. Mais change de regard sur toi, là, dans ce présent car tu n'es rien de cette histoire, rien de cet avenir et rien de cette confiance que tu voudrais acquérir parce qu'il n'y a rien à acquérir qui ne soit déjà. Il n'y a rien qui soit à combattre car tout ce qui résiste se renforce. Considère tout ceci comme n'ayant aucune existence propre car tu n'es ni cette histoire, ni cette confiance, ni même cette personne, ni même l'espoir car tout est déjà là, dans la paix au-delà de toute confiance, dans l'instant de ta question et de la réponse.

Question : Le plus souvent le mental me détourne vers des pensées pour combattre l'injustice ou voir le côté négatif des évènements. Parfois j'ai l'impression que rien ne bouge même si le ressenti Vibratoire est certain. Comment transcender ces processus ou ces résistances ?
Le jugement est inscrit dans le mental. Le mental est fait pour discriminer, pour peser et soupeser le bien et le mal. Il est fait pour agir dans ce monde. Tant que tu te considéreras comme dans ce monde (et non pas seulement sur ce monde), ton mental sera partie prenante de tes expériences. La culture, l'éducation, l'enseignement, ont toujours été échafaudés autour de cette dualité. La morale elle-même, l'affectif lui-même, et l'ensemble des lois observables et utilisables dans ce monde, ne viennent que de là. Il y a une part de toi qui est la totalité mais que ton ego ne peut reconnaître. Cette part de toi qui t'es inconnue, nommée Absolu ou Ultime, ne peut t'apparaître (car elle est déjà là) si l'aspect discursif de ton mental est présent. Il est, en quelque sorte, celui qui voile, de manière opaque, la vérité, la vérité au-delà de l'aspect discursif. Cela tient, en toi, à un besoin de sécurité, à un besoin d'être rassuré mais qui dicte cela si ce n'est l'ego ou la personne ? Il n'y a pas à travailler, à proprement parler, sur la cause ou le pourquoi de ce besoin d'être rassuré parce que ce que tu Es est bien au-delà du fait d'être rassuré ou de comprendre. La connaissance n'est, en définitive, qu'une ignorance de ce que tu Es.
Accepte d'être ignorant, accepte de ne pas avoir besoin d'être rassuré ni de comprendre et là, tu passeras immanquablement de l'ignorance à la connaissance réelle qui n'a besoin d'aucun aspect discursif, qui n'a aucun besoin d'être rassurée ni même comprise. Le regard, celui des yeux, t'emmène toujours à cette volonté de comprendre et met donc en action le mental et donc le jugement. En définitive, si tu vois clairement, aucun jugement ne pourra t'apporter la paix car tout jugement appelle immanquablement un autre jugement : tout regard porté, discriminant, appelle à la poursuite de ce qui est discriminant et donc dualitaire. Accepte de regarder cela, non pas de trouver une origine ou une compensation car ni l'origine, ni la compensation ne te donneront à transcender, ni même à dépasser, ce principe. Le mental doit servir à vivre et à agir dans les activités normales de ce monde. Mais dès l'instant où il ne s'agit plus de ce monde mais de l'Absolu que tu Es, il ne t'est plus d'aucun secours, d'aucun recours, d'aucune utilité. La difficulté réside, apparemment, de passer de l'un à l'autre. Il te faut alors considérer et reconsidérer que, dans la vie ordinaire, le mental agit de lui-même par rapport à tes expériences passées, à ton histoire. Alors, là aussi, on peut dire que ton propre mental agit de lui-même, aussi dans ses actes quotidiens. Il n'a pas besoin, à proprement parler, de toi. Laisse-le agir, laisse-le, en quelque sorte, s'exprimer dans les moments ordinaires.
Ainsi si tu lui lâches la bride, si tu te contentes de l'observer et de le laisser œuvrer, il te sera beaucoup plus facile, dans les moments Unitaires, de ne pas le laisser interférer avec ce que tu Es. Sers-toi donc de cet aspect discursif, comparatif et habituel, du mental en l'observant dans les moments ordinaires de la vie et non pas, bien sûr, en voulant le chasser dans les moments Intérieurs car tu ne pourras jamais le chasser. Tu ne peux que, simplement et facilement, prendre conscience de son activité (qui n'est pas la tienne, là non plus) dans les moments les plus ordinaires de la vie. Parce que ces moments ordinaires ne concernent effectivement que le mental et n'ont absolument pas besoin de toi pour être efficaces et efficients. Adopte cela, vérifies-en la véracité et surtout l'efficacité et tu verras alors très rapidement que, dans les moments Intérieurs ou définis comme tels, la pensée et le jugement ne peuvent altérer, en aucune manière et en aucune façon, ce à quoi tu accèdes dans ton expérience, à ce moment là. Là aussi tu ne peux t'opposer sans renforcer (et surtout dans ces moments dits Intérieurs) ton propre mental. Il est ce qu'il est. Ton histoire est ce qu'elle est. Mais tu n'Es ni l'un ni l'autre.
En résumé, laisse le mental à ce qu'il est, à ses fonctions, à ses utilités, regarde-le, dans ces moments là : il te sera alors extrêmement facile de le voir agir et donc de saisir, au sein de ces moments ordinaires que tu n'es pas, ce qui agit. Mais si tu fais à l'inverse (c'est-à-dire attendre les moments dits Intérieurs pour t'opposer frontalement à ton propre mental), tu perdras toujours la bataille parce que c'est une bataille et la paix ne peut s'accommoder d'aucune bataille. Place-toi ainsi et tu constateras alors que le mental reste à sa place et dans ses fonctions.

Question : Qu'est-ce que la partie de moi que je ne connais pas a à me dire, dans l'instant présent, pour m'aider à aller vers cet Absolu ?
Comprends qu'il n'y a pas à aller vers. Parce que, dès l'instant où tu demandes à aller vers, tu mets déjà une distance qui n'existe pas. Cette partie que tu ne connais pas n'a rien à te dire dans ce que tu connais sinon elle ne te serait pas inconnue, sinon tu serais Absolue. Il faut donc accepter que ce qui t'es inconnu n'a strictement rien à te dire dans ton connu. Et qu'il ne peut t'apparaître, se dévoiler, non pas comme quelque chose où il faut aller, non pas comme un effort, mais bien dès l'instant où tu fais taire tout ce que tu connais. Élimine tout ce que tu connais. Réfute tout ce qui est éphémère. Et, en premier lieu, qu'est ce qui est éphémère ? Ta propre vie, le passé quel qu'il soit, tes émotions quelles qu'elles soient parce qu'elles s'inscrivent systématiquement dans la loi de la dualité (action / réaction, sans fin), sans pour autant être éternelles puisque, par définition, ces émotions changent en fonction de ce qui t'es donné à vivre, à voir et à sentir. Ce qui t'es inconnu ne peut être ni vécu, ni senti, au sein de ton connu. Il n'y a donc pas de possibilité de faire rentrer l'inconnu au sein du connu. Il te faut donc sortir de ton connu, non pas comme un rejet, non pas comme un déni, mais simplement en acceptant que tu n'es strictement rien de ce que tu connais. La vraie connaissance est indépendante du connu.
Ce que l'ego interprète comme connaissance est une escroquerie parce que cela n'est jamais durable
, parce que cela est le plus souvent issu de croyances, véhiculées par d'autres histoires et d'autres expériences qui n'ont strictement rien à voir avec toi et auxquelles pourtant tu as accordé du crédit. Ce n'est pas parce que Bouddha a existé que tu vis Bouddha. Tu auras beau tout lire, tu auras beau tout comprendre, tout assimiler, tu ne peux reproduire quoique ce soit parce que cela est issu de croyances. Il te faut donc, réellement et objectivement, tuer toutes tes croyances parce que tu n'es pas ces croyances. Tu ne peux donc, en aucune manière, aller vers l'inconnu avec une quelconque croyance, avec une quelconque connaissance, avec une quelconque histoire. Et cela ne peut effectivement pas se produire parce qu'il n'y a nulle part où aller, il n'y a pas de déplacement. Tant que tu crois chercher l'Absolu, il ne te trouvera jamais, parce qu'il a toujours été là. Et donc croire que tu vas aller quelque part est une escroquerie de ton propre mental. Même le Soi n'est pas toi, dans l'Absolu. Du point de vue de l'Absolu, l'ego, la personne, ce monde lui-même, son histoire elle-même, n'existent pas. Là aussi, c'est une supercherie, une simple projection, une Illusion, un jeu stupide et stérile. Il n'y a pas d'évolution : seul l'ego le croit, seul le Soi peut l'envisager. L'Absolu ne se pose pas ce genre de question. Il est impossible qu'il y ait une quelconque évolution. Il peut y avoir, certes, des transformations. Il peut y avoir, certes, des améliorations. Et l'ego s'en délecte. Parce qu'il était mal la veille, il est mieux le lendemain, parce qu'il a compris la cause et l'origine d'une souffrance, la cause et l'origine d'une maladie, la cause et l'origine d'un déséquilibre, il donne donc l'impression d'avancer. Il donne donc l'impression de s'améliorer mais c'est un piège parce qu'à aucun moment il ne te permettra de sortir de ce à quoi il te fait croire. C'est impossible. L'Inconnu, l'Ultime, n'est rien de connu, n'est aucun temps, aucun espace. De ton point de vue, cela est le néant. Mais du point de vue de l'Absolu, le néant c'est toi et rien d'autre. Quand tu fermes les yeux, le monde disparaît. Quand tu dors, le monde dans lequel tu vis disparaît aussi. Seule la croyance, par expérience, de croire que tu vas te réveiller le lendemain fait que tu t'endors sans inquiétude. Et pourtant qui peut t'assurer que tu vas en sortir ? Et pourtant te poses-tu la moindre question ? Il n'y a rien à déplacer si ce n'est ton regard. Il n'y a nulle part où aller parce que tu y es déjà. Il n'y a aucun effort à fournir, bien au contraire. L'ego, la personne est un effort permanent, au travers des sens, au travers des émotions, au travers de ton histoire et de ton mental, qui agit en permanence, de manière plus ou moins forte, pour que tu ne prennes jamais conscience de sa mesure. Et que, ne prenant jamais conscience de sa mesure et de ses limites, tu demeures dans la prison et ne trouves jamais l'Absolu qui n'est pas à trouver parce que ce n'est pas toi qui le cherches mais c'est lui qui te trouve, dès l'instant où tu sors de tout connu, de toute référence et toute illusoire connaissance qui n'est qu'une escroquerie.

Question : Comment vivre davantage dans la joie et la simplicité ?
La joie et la simplicité font partie de ton Essence et de ta nature. Là non plus il n'y a pas à la cultiver parce que cette joie est présente. Seule la distance que tu mets, et l'ignorance que tu y mets, peuvent représenter ce qui est vécu comme une absence de joie. Il n'y a rien de plus simple que l'Absolu. Ce qui est compliqué est le mental et l'ego parce qu'ils bâtissent, en permanence, des stratégies, ils bâtissent, en permanence, des conduites, des règles à observer, des cadres et des limites (quels que soient ces cadres et ces limites). Ils essayent de se construire une simplicité, en se préservant de la complexité de ce monde, en croyant le connaître, en croyant l'éprouver. Mais absolument rien de ce monde n'est absolu et pourtant tu es Absolu. La joie découle de l'Extase. La joie est la manifestation du Soi, du Samadhi. La simplicité est aussi présente dans le Samadhi. Cela te permet d'approcher et de vivre, par expérience et par moments, la non séparation. Mais tu restes inscrit dans la séparation et donc la simplicité semble partir, comme la joie semble partir. Ce n'est ni la joie ni la simplicité qui partent mais c'est bien toi qui pars de toi-même. La joie et la simplicité ont toujours été là.Le seul mouvement est celui de l'ego, le seul mouvement est celui du mental et des émotions qui se déroulent et se succèdent dans un temps linéaire. Il n'y a donc rien à cultiver, il n'y a donc rien à rechercher qui ne soit déjà, parce que, si tu parles de la joie à cultiver, tu considères donc déjà la non joie et donc l'autre extrémité est présente en toi. Il n'y a pas d'extrémité. Considère que la joie ne peut être une expérience située entre deux périodes de non joie mais que c'est un état qui découle directement de ce que tu Es et tout changera pour toi.
Quant à la simplicité, elle consiste simplement à être en paix, à ne pas donner corps à quoi que ce soit d'autre, à ne pas nourrir quoi que ce soit d'autre. Le Soi et l'Absolu sont une transcendance totale, là aussi, de ce que tu nommes joie et simplicité parce que l'Absolu ne peut se référencer (même s'il est simple) à quelque chose qui serait compliqué et à une joie qui impliquerait une non joie. Cette joie est donc au-delà de toute joie : c'est pour cela qu'il est plus sage de la nommer extase ou intase. L'ego te retiendra toujours dans cette dualité de concept et d'expérience. Il maintient donc la linéarité. L'Absolu est la sortie de la linéarité. L'Absolu est ta nature, ton essence. Il n'y a donc pas à rechercher ou à cultiver une quelconque joie, une quelconque simplicité car si tu arrives à rester totalement en écoute et à entendre, au-delà de tout temps, dès ce moment, l'Absolu est là parce qu'il vient à toi. Vouloir la joie, vouloir la simplicité, c'est déjà considérer qu'elle n'est pas présente. Or tu es la joie et tu es la simplicité. La distance découle simplement de ton histoire et de tes expériences passées où le regret et le désir se disputent en toi pour occuper le devant de ta scène. Mais ce n'est qu'une scène, ce n'est qu'une représentation, une projection, qui n'a aucune substance ni même la moindre réalité. Ceci est à découvrir par toi-même parce que nul ne peut te le dire, nul ne peut te le faire vivre : il n'y a que toi et toi seule qui peut l'actualiser. En définitive, laisse ce corps vivre, laisse tes pensées vivre, laisse les œuvrer. Est-ce que tu te poses la question quand tu manges un aliment de savoir s'il va bien faire ce qu'il a à faire ? Non : cela se fait. Agis de la même façon pour ce que tu considères avoir à faire dans cette vie. Ne t'y implique pas mais fais-le. Regarde-toi agir et après pose-toi la question de qui regarde. Est-ce que tu es ce corps qui absorbe un aliment ? Est-ce que tu es ce mental qui se pose la question de l'effet de l'aliment ? Ou est-ce que tu Es autre chose ? Élimine aussi ce qui est de l'ordre d'une dynamique éphémère (comme manger, comme dormir). Élimine aussi ce qui est de l'ordre de l'habitude (se laver le matin, même s'il faut le faire) : tu n'es rien de tout cela. Alors t'apparaîtra, de manière foudroyante ou progressive, ce que tu Es. Être le non être. L'Absolu n'est ni un vouloir, ni un but, ni un chemin. Il n'y a ni vouloir, ni but, ni chemin. Il y a juste la vie qui coule, que tu y participes ou pas, que tu y sois ou pas. Deviens donc la Vie, et l'Absolu t'apparaîtra parce que lui, a toujours été.

Question : Des relations ou des comportements empreints de dualité sur ce plan peuvent-ils constituer un frein à la réalisation de l'Absolu ?
Tout d'abord, il ne peut exister une quelconque Réalisation à l'Absolu. La Réalisation concerne l'ego et le Soi, mais en aucun cas l'Absolu. Aucune manifestation dualitaire ne peut contrarier, freiner ou bloquer, l'Absolu. Tu manges. Toute la physiologie de ce corps est basée sur la dualité. Toute la physiologie des émotions et du mental est basée sur la dualité. Aucun élément de ce corps ou de ses enveloppes subtiles ne peut altérer, en aucune manière, ce qui Est. Penser et concevoir qu'il y a une tâche à accomplir, un chemin à mener, un yoga à pratiquer, est du ressort de la personnalité et de l'ego, jamais de l'Absolu. Les yogas, quels qu'ils soient, vous conduisent au Soi qui est éventuellement à Réaliser. Mais l'Absolu ne sera jamais une Réalisation mais bien la Libération de tout yoga et de toute dualité. Ce qui ne consiste pas à dénier la dualité tant que cette forme (ce corps), cette personne, est présente dans cette illusion. Il s'agit donc bien d'une transcendance et en aucune manière il ne peut s'agir d'une transformation. Le croire est une escroquerie de l'ego.
Tu ne peux transformer que ce qui est limité et croire que l'imperfection va devenir parfaite. La perfection n'est pas de ce corps, ni de ce mental, ni de ta propre vie. Elle est l'Absolu. Envisager que quelque chose peut altérer ou empêcher l'Absolu est une mascarade. C'est l'ego qui joue lui-même à croire qu'il va être meilleur demain. Il le sera peut-être, il le sera certainement, mais que va-t-il gagner ? En améliorant la santé, en améliorant la respiration, en améliorant les angoisses, il y a une quête éperdue d'un mieux être ou d'un bien-être mais aucune mieux être et aucun bien-être ne te fera découvrir le non Être. Il t'en éloignera aussi sûrement que le mal être. Ce sont des stratégies, élaborées par l'ego, pour te faire croire qu'il y a quelque chose à rechercher, quelque chose à améliorer, quelque chose à pratiquer qui va te faire approcher mais, en définitive, tu t'en éloignes. Bien sûr, la personne (l'ego) va se satisfaire de moins souffrir, d'être moins angoissée, de vivre mieux et plus longtemps ou différemment mais cela ne sert strictement à rien. Ce qui ne veut pas dire par là qu'il faille mettre fin à l'illusion mais bien être conscient et lucide de ce que c'est : juste une occupation, juste une dérivation. Alors là aussi, occupe, si tu veux, ton mental et ton corps mais accepte le principe de supercherie et d'illusion. Nourris ce corps quand il a faim, donne-lui à boire quand il a soif. Il ne te viendrait pas à l'idée de réfuter la faim et la soif et pour autant, est-ce que satisfaire la faim et la soif laisse l'Absolu apparaître ? Il en est de même au niveau du mental. Tu peux le nourrir de toutes les façons, tu peux lui donner à lire et donc t'abreuver de toute connaissance, tu ne feras que renforcer ta propre ignorance de l'Absolu. Ce n'est que le jeu de l'ego et du mental qui, de manière sempiternelle et incessante, veut faire croire que tu vas y arriver. Mais tu ne peux y arriver puisqu'il n'y a nulle part où arriver. Et quand bien même il y aurait une destination à arriver, et bien cela signifierait simplement la fin de l'ego. Connais-tu un ego qui veuille mourir de lui-même, si ce n'est par la porte de la mort ? L'Absolu ne s'occupe absolument pas de ce corps, absolument pas de ce que tu recherches, absolument pas de ce que tu crois ou espères. Il n'a que faire, en quelque sorte, de tes propres gesticulations. Ce ne sont que des mouvements qui n'apportent rien à la paix et à l'immobilité. Ce sont donc, réellement, des gesticulations qui vont simplement attirer la conscience. L'Absolu n'a que faire de tout cela : il est installé en amont, en aval, partout, au-delà de tout espace, de toute éternité.
Il n'y a rien de pire que croire que tu vas être Libéré parce que tu cherches la Libération. Parce qu'en définitive, tu es Libéré, de toute éternité, mais simplement tu ne le sais pas. Il n'y a donc pas, là non plus, à rejeter quoique ce soit mais bien à transcender tous ces aspects qui ne sont que des voiles et des masques placés sur l'Absolu. Il faut donc cesser toute projection de quoi que ce soit. Dès cet instant, alors l'Absolu t'apparaîtra. Mais il faut cesser la vanité de croire qu'il y a quelque chose à chercher, quelque chose à Réaliser et même quelque chose à Libérer. Si tu faisais taire toutes ces vanités, alors le non Être serait la seule possibilité. Rappelle-toi que tu es éphémère dans ce que tu crois, que cela soit des pensées qui passent, ou même ce corps qui est né et qui retournera à la terre. Est-ce que tu es ce corps? Est-ce que tu es ce qui est éphémère? Est-ce que tu es ta recherche? Est-ce que tu es tes pratiques? En définitive, qu'est ce que tu es? Si tu es capable de vivre ce que tu étais avant d'être ce corps (au-delà de tout corps d'une quelconque vie passée qui appartient à la personnalité, de manière irrémédiable), et bien, instantanément, l'Absolu serait là parce qu'il y a toujours été. Tu ne peux t'approprier quoique ce soit parce que tu Es cela. Tu ne peux posséder ce que tu Es. C'est juste l'ego qui te fait croire cela.

Question : j'ai souvent souhaité qu'après la mort il y ait le néant. Y a-t-il une différence entre le néant et l'Absolu ?
Ce qui souhaite, après la mort, est bien évidemment l'ego. La meilleure image et la meilleure représentation que puisse suggérer l'ego, de l'Absolu, est, bien sûr, le néant. L'Absolu n'est, bien sûr, aucun néant mais il est, aussi, le Néant. L'Absolu, après la fin de cette forme, est le retour au sans forme, au-delà de toute mémoire, au-delà de toute expérience, dans toute forme, même s'il peut persister une forme, n'ayant plus rien à voir avec une forme de ce monde. L'Absolu est le Tout et le Néant. Le sans forme (ou la fin de la vie, ici) met fin, en quelque sorte, au complexe inférieur ego / personnalité (enveloppe physique et enveloppes subtiles) mais place (et plaçait, jusqu'à présent) l'Être, de l'autre côté de la pièce. Mais c'était la même pièce et en aucun cas le néant. Et donc, en aucun cas, l'Absolu. La forme disparaît parce qu'elle est éphémère. La personnalité disparaît parce qu'elle est éphémère. Mais si quelque chose revient, ce quelque chose n'est inscrit dans aucune forme et aucune personnalité.
Aujourd'hui, dans le sens de votre temps, il n'y a rien qui ne doive revenir ou s'éloigner de l'Absolu. En définitive, le néant (qu'il soit souhaité, désiré ou repoussé avec effroi et peur) est effectivement l'Absolu, pour l'ego, pour la personne, pour le mental. Envisager sa propre fin, en tant qu'éphémère, peut remplir de terreur ou de paix mais, dans un cas comme dans l'autre, se représenter la mort comme un néant ne permet aucunement de vivre l'Absolu, que cela soit en maintenant cette forme ou pas, parce que le néant demeure, dans ce cas-là (et demeurera toujours), une croyance. Une croyance n'a aucun poids. Une croyance est une justification de l'absence, elle-même, de l'expérience. Aucune croyance ne peut remplacer l'expérience. Aucune histoire ne peut s'écrire dans l'instant. La croyance vous fait croire à l'instant ou à l'instant suivant ou à l'instant passé mais elle n'est pas le présent. L'ego n'est pas fait pour connaître le néant puisqu'il disparaît, encore moins l'Absolu parce qu'il ne peut s'y reconnaître ni s'y connaître. L'Absolu ne peut être, comme le néant, un désir, puisque vous ne pouvez désirer, en définitive, ce que vous Êtes vraiment et qui est déjà là. C'est l'ego qui va croire qu'il y a à désirer. À un moment ultérieur, appelé la mort, le néant est déjà là, pour l'ego. Refuser de le voir, c'est refuser l'Absolu. Le placer en demain, ou lui dire qu'il est impossible, est une forme de déni de l'Absolu. L'ego cherche, lui aussi, à sa manière, à réfuter ce qui lui est inconnu, à le nier, et je dirais que cela est de bonne guerre.
Si vous restez tranquille et en paix, si vous êtes au-delà de celui qui observe, si vous êtes au-delà du témoin, au-delà de tout concept, au-delà de tout percept, au-delà de tout conscient ou inconscient, si vous sortez de toute référence, de toute projection, de tout sens de l'anticipation, alors vous laissez la place à la Vérité, à l'Absolu. Vous ne pouvez réfléchir sur l'Absolu. Tu ne peux te poser la question du néant, simplement en éprouver le vertige ou la plénitude (c'est selon) mais ce que tu éprouves, à ce moment-là, ne peut être validé ni même être une preuve. La seule preuve de l'Absolu est l'Extase et, en préalable, son témoin : l'Onde de Vie. Rien ne peut être de plus. Et rien ne peut être de moins. Il n'y a pas de mystère dans l'Absolu, seul l'ego le croit et a tendance à le faire vivre parce que l'ego ne peut se représenter ce qui, effectivement, n'a aucune représentation. Alors, le mot néant peut apparaître comme un pis-aller, séduisant ou redoutable. Mais cela demeure un pis-aller.

Question : est-ce que cette latence, à laquelle vous faites allusion, comme support de l'Absolu, peut être vécue comme une sensation de ne pas avoir à s'en faire, quoi que vive encore la personnalité ? Et que la Joie profonde et la Beauté qui animent alors, sont une Vérité à laquelle on peut s'accrocher ?
L'Absolu ne peut être accroché nulle part : il faut donc t'en décrocher. Tant que tu es accrochée à ta propre Joie, tu poses ta propre limite à l'Absolu et donc, tu ne peux le vivre. Tu ne peux donc rester attachée ou accrochée à quoi que ce soit. Toute accroche est un frein. Même s'il existe des couches successives permettant et donnant l'Illusion de gravir quoi que ce soit, il est un moment où même cela est à abandonner. Comment peux-tu vivre l'Absolu tant que tu n'abandonnes pas le Soi et sa Joie ? Il est effectivement beaucoup plus facile et séduisant de vivre la Joie, et nombre de structures qui se sont exprimées, vous y ont conviés (ndr : Le Conclave Archangélique, l'Assemblée des Anciens, des Étoiles ...) parce que la Joie est un allègement et que l'allègement peut être considéré comme bénéfique. Et cela l'est, contrairement à la pesanteur et à la densité. Mais s'alléger ne suffit pas à faire disparaître la projection, au sein de l'Illusion. Il est donc un instant (ou un temps, si tu préfères) pour, là aussi, accepter de ne plus être accrochée. Il ne peut être concevable, ni acceptable, que le fait de vivre la Joie, de manière continue, puisse te permettre, un jour, d'être Absolue. Comme les structures qui se sont exprimées vous l'ont dit : vous êtes Libérés. Mais être Libéré n'est pas nécessairement et implicitement vivre la Libération. La problématique de l'Absolu, contrairement à la Réalisation, c'est que cela ne peut être aucunement une Conscience nouvelle ou même un saut de Conscience. Il n'y a pas de possibilité parce qu'il n'y a pas de pont entre la Réalisation et l'Absolu. L'Absolu est (justement et bien au contraire) la disparition en la croyance de tout pont, ou de toute possibilité, ou de toute Vérité à laquelle rester accrochée. Il faut réellement ne plus être accrochée. Accepter, en quelque sorte, de s'Abandonner à la Source de soi-même, sans la connaître. Abandonner le Soi, qui est connu, au travers de la Joie et de la Beauté.
L'Absolu et l'Ultime n'a jamais été, ne sera jamais, autre chose que ce qui est Vrai et que ce qui Est, de toute Éternité parce que non éphémère. La Joie à laquelle tu prétends être accrochée disparaîtra dès que la forme disparaîtra. Cela ne peut être donc éternel ni être durable, même si cela est installé de manière qui vous semble durable. Il y a donc, en Vérité, à se décrocher de tout connu, sans aucune exception. Dès l'instant où quelque chose vous apparaît comme connu, il ne peut être Absolu. Les limites représentantes des peurs, des obstacles, ne vous sont d'aucune utilité ni d'aucune assistance (et en aucune manière) pour que l'Absolu vous trouve. En définitive, le mécanisme de latence est ce qui donne à percevoir l'existence d'un temps et ce qui donne à percevoir l'existence d'un futur. Or l'Absolu n'a ni passé, ni présent, ni futur. Il Est, au-delà de l'Être. Il est Cela. Et tu es Cela. Il n'y a aucun effort à fournir. Il n'y a aucune volonté à démontrer. Tu ne peux donc rester accrochée ni donc être tributaire d'une Vérité relative parce que toute Vérité, même relative, n'est pas le Vrai, n'est qu'une étape. Et l'Absolu n'est pas une étape. Si tu réfutes cela, si tu en acceptes l'incidence, alors l'Absolu te trouvera. Rappelle-toi que tu ne peux t'accrocher ni chercher.

Question : si un projet a été fait avant le Passage dans l'Absolu, ce projet peut-il se maintenir ou disparaît-il ?
Est-ce que l'Absolu ferait disparaître le projet d'une forme qui est en vie ? Aucunement. Mais même si ce projet venait à disparaître, ce n'est pas une action de la personnalité et, bien évidemment, encore moins une action de l'Absolu. L'Absolu n'interfère pas et ne modifie pas les circonstances de ce monde. Toutefois, la Libération par l'Absolu fait bouger l'ensemble de l'Univers, l'ensemble des Mondes. Le relatif d'un projet, quel qu'il soit (que cela soit un projet de vie, un projet d'affaire), se déroulera ou ne se déroulera pas. L'Absolu n'y est pour rien. Le changement de regard sur le projet et sur la forme n'appelle pas obligatoirement la disparition du projet ou de votre forme. Mais cela n'a aucune importance puisque vous n'êtes plus ce projet, que vous n'êtes plus cette forme. Que vous continuiez à supporter le projet, comme à porter cette forme (car c'est un poids), cela ne change en rien le Vrai. L'Absolu n'est pas concerné par le limité mais il englobe le limité. Le limité n'a aucun pont ni aucune continuité avec l'Absolu. L'Absolu l'englobe. Il n'y a pas à se poser la question de ce corps, comme de toute relation. Il n'y a aucune raison valable et objective ou logique, pour que l'Absolu décide ou veuille quoi que ce soit. Par contre, le relatif inscrit dans une forme (ego, personne) peut être amené à se repositionner parce que l'Absolu fait effectivement changer de regard. Mais cela n'est pas ni obligatoire ni une obligation, même si cela peut se produire.
L'Absolu, vécu et inscrit dans une forme, continue à faire vivre cette forme. Il n'y a pas d'opposition ou d'antagonisme. Il y a juste l'évidence de l'Absolu, la fin du questionnement sur le sens et le pourquoi. Mais cette forme relative continue à évoluer ou toujours est-il qu'elle le croit. L'Absolu peut mettre fin aux illusions mais pas à l'illusion de ce corps, pas toujours, mais cela n'a plus aucune espèce d'importance parce que celui qui est Libéré Vivant ne peut plus être emmené vers la mort, vers une quelconque illusion, vers un quelconque jeu. Tout cela est transcendé, vérifié et vérifiable, à chaque minute, à chaque souffle. Que ce corps demeure ou que ce corps disparaisse, la désidentification est totale avec le corps, sans pour autant qu'il y ait un désengagement de ce corps. Tout peut sembler pareil et pourtant, tout est différent, non pas simplement transformé mais bien, réellement, transcendé. Il y a un avant et un après le point de basculement en l'Absolu, pour la personne. Cet avant et cet après peuvent être identiques ou radicalement différents. Cela n'a aucune incidence et aucune répercussion. Être Libéré Vivant, c'est agir Librement et en Liberté, c'est ne plus être tributaire d'une quelconque morale, d'une quelconque société, d'une quelconque relation. Vous en êtes affranchis, tout en pouvant largement continuer à être dans ce monde mais, simplement, vous savez que vous n'y êtes pas. Vous le considérez comme un jeu et c'est un jeu. Vous avez découvert la mascarade. Vous avez découvert l'escroquerie. Vous êtes Libéré Vivant et vous ne pouvez être, d'ailleurs, que Vivant. Ce qui change et qui doit changer n'est pas fonction d'un désir de la personnalité ni d'une quelconque transgression mais bien l'effet direct de la transcendance. Les relations, le positionnement par rapport à l'autre, par rapport au monde, par rapport à la société et à la morale, ne seront plus jamais les mêmes, parce que vous êtes devenu le témoignage vivant de l'Absolu et que vous êtes déconditionnés, même en étant présent dans certaines conditions. Là est le Vrai.

Question : pouvez-vous indiquer ce qui permet, de là où j'en suis, le point de basculement que vous avez évoqué ?
Ne sois plus nulle part. Ne cherche plus de repères. Accepte. Il n'y a rien à chercher, il n'y a aucune place meilleure qu'une autre. Croire et espérer qu'une place soit meilleure, te place dans la perspective linéaire de la personne et de la personnalité. Tu ne peux te rapprocher aucunement de ce que tu es déjà, parce que cela est déjà là. Donc ce point de basculement ne dépend de rien d'autre que de toi. Mais non pas toi au sein d'une action ou d'un désir mais toi dans l'absence totale d'idéal, dans l'absence totale de quête. Il s'agit d'une capitulation et d'une reddition totale de tout ce que tu crois être, de tout ce que tu manifestes. Cela a été nommé, par ceux qui interviennent dans certaines structures, la Crucifixion. De la même façon qu'il ne faut pas s'accrocher à une vérité quelconque, il n'y a pas de point de vue ou de point de basculement meilleur qu'un autre. Il y a juste à réfuter tout ce que tu crois être. Tant qu'il y a, en toi, un attachement à ta propre personne, forme ou enveloppe subtile, cet attachement t'attaches (aussi sûrement qu'une corde) à la personne, à la personnalité ou au Soi. Il n'y a aucun trophée de chasse ou de guerre qui soit à afficher. Justement, il faut décrocher tout ce qui est affiché, faire le vide sans se poser de questions : une forme d'acceptation du néant, une forme d'acceptation qu'il n'y a rien et surtout pas de médaille ou de récompense. Et encore moins un esprit à conquérir ou à Libérer. Il te faut donc être Présent, entièrement et en totalité, à la Vie, sans activité, sans action, sans revendication. Juste se placer là où tu as toujours été : dans le non-Être. Faire cesser le Je d'une personne, d'une forme, d'une volonté ou d'une médaille. Il n'y a rien à gagner. Il n'y a rien à conquérir. Le fait de gagner et de conquérir appartient à la personnalité qui veut posséder et avoir. L'Absolu est une restitution de tous tes avoirs, de toutes tes médailles, de toutes tes volontés, même les plus affinées ou les plus spirituelles. Parce qu'en définitive, tout cela ne représente qu'une fraude qui n'a aucune consistance, ni aucune substance. Jouer Vrai est accepter de ne plus jouer. Simplement se placer, recevoir, écouter ce qui vient alors, qui n'est jamais parti. Ainsi Est l'Absolu. Faire le Silence (et pas seulement extérieurement) des activités, quelles qu'elles soient, d'expressions (corporelles, visuelles, sexuelles ou verbales), mais bien plus, le Silence Intérieur de l'immobilité, de la non volonté et de la non volition. Laissant toute la place, parce qu'il n'y a pas de place définie. Laissant tout l'espace parce qu'il n'y a pas d'espace à l'Illimité. Accepte et accueille ce qui Est et non pas ce que tu veux. Le Soi est encore un désir, comblé par la Réalisation. L'Absolu est non-désir, par la Libération. Il n'y a rien à manifester, rien à créer et rien à entreprendre, puisque cela Est déjà.

Question : au-delà du point de basculement, la conscience de soi devient-elle la Conscience d'être le Tout ou bien la conscience disparaît-elle ?
La conscience disparaît, en totalité. Les quatre états de la conscience n'ont aucun sens, ni aucune légitimité, dans l'Absolu. Il ne peut exister une solution, là non plus, de continuité, entre la conscience et la non-conscience. La conscience est irrémédiablement liée à l'observation, à la projection (que cette projection soit séparée ou non séparée, c'est à dire dans l'ego ou dans le Soi). L'absence de séparation n'est pas l'Absolu, puisque l'Absolu ne peut être appréhendé, en aucune manière, par la conscience elle-même. Le seul témoin que la Conscience peut en avoir est ce qui vous a été appelé l'Onde de Vie. Mais, même là, à un moment donné, il doit exister une forme de prise de distance de cela. Cette prise de distance n'est pas une distance, au sens éloignement, mais bien une prise de distance du témoin lui-même par rapport à ce qui est vécu et observé. L'annihilation de la personne, de la forme, des perceptions de cette forme, va inscrire la conscience dans ce point de basculement, qui débouchera sur le néant (pour la personnalité) et (du point de vue non personnel) sur l'Absolu. L'Onde de Vie, vécue alors comme expérience (avec ses conséquences et ses implications), fera de vous une Onde de Vie, supprimant la distance et vous mettant en distance. Là est l'Absolu. Il ne peut exister d'autres témoins ou d'autres marqueurs que celui-ci. L'Onde de Vie vous parcourt jusqu'au moment où vous parcourez l'Onde de Vie, vous faisant irrémédiablement sortir de toute projection, à tel point que vous expérimentez (non pas par projection) toute autre forme, toute autre conscience, quelle qu'elle soit, dans quelque règne que ce soit. Cela ne veut pas dire que vous allez le vivre en permanence mais bien que cela fait partie du possible, démontrant le Vrai et la Vérité de l'Absolu. Passer dans l'Illimité vous rend, effectivement et concrètement, Illimité. Et encore plus Illimité et sans limite d'aucune forme, fût-elle la vôtre (dans laquelle vous êtes, de manière éphémère). L'Onde de Vie, en tant que témoin et marqueur, appelle aussi, à un moment donné, de votre part, une forme d'identification et de renoncement à vous-même, vous donnant à vivre la Vie, au-delà de toute forme et dans n'importe quelle forme, même s'il est plus facile, dans un temps premier, de vivre cela avec une forme qui vous a été connue ou qui vous est connue, sur ce monde ou ailleurs, mettant fin à la séparation, mettant fin à l'ignorance, faisant de vous un Libéré Vivant. Ce Libéré Vivant n'aura rien à revendiquer, il n'aura rien à expliquer, il n'aura rien à justifier, parce qu'il Est. Il aura juste à témoigner, sans le vouloir, sans volonté délibérée mais parce que cela Est et fait partie de la Vie. Il en est le témoin, il en est le messager, au-delà de tout rôle, de toute fonction.

Nous n'avons plus de questionnement nous vous remercions.
Je vous remercie donc pour nos entre tien et mien. Certainement à très bientôt, selon la formule consacrée.


BIDI

8 abril 2012 a 1

Bueno, Bidi es con usted. Vamos a hacernos compañía y de cambio. Usted tuvo la oportunidad de leer lo que voy a traer. Os exhorto a escuchar y querer más a escuchar. Mi empresa no es un diálogo o un juego mental sino una oportunidad para que te vayas, de alguna manera, ser más allá de su Ser, más allá de su presencia. Este espacio, en esta ocasión a todos ustedes. A través de un tema que es personal para usted, otros pueden estar en resonancia, y así encontrar una afinidad, no sólo palabras que voy a utilizar un punto en particular sobre la cual construir. ¿Qué le va a interesar en esta secuela a las entrevistas, se conecta directamente, más allá del nombre que te he dado, a la acción de la luz, la acción del Absoluto. Mi presencia no es una presencia, pero mucho más que eso, ya que es usted mismo. Tenemos un montón de tiempo para caminar en la vida. Ser neutral. Cállate. Tu paz y la neutralidad son las condiciones (necesarias, suficientes y necesarios) para instalar, por así decirlo, que deben ser instalados en ti y más allá de ti, más allá incluso de este espacio y este tiempo. Si no hay preguntas anteriores y técnicos, así que vamos a empezar.

Pregunta: ¿cómo liberarse del miedo y la confianza?
El miedo, como la confianza, depende exclusivamente del ego. La confianza que nunca, al igual que el miedo, para cruzar. Tenemos que reconsiderar los miedos y la confianza, porque uno como el otro es que los dos extremos de una barrera infranqueable, situados, como siempre, en el yo y la persona ya no confía como nadie el miedo no puede darse el lujo de ir más allá de un límite. Esto requiere que usted se compromete a presentar a sus miedos, su confianza como lo haría con la tabla. Por lo tanto, una invitación a colocarse más allá del miedo, porque si usted está situado en el momento, pacífica, sin lugar a dudas, el miedo puede aparecer. El miedo es sinónimo de desconocido para la persona. El miedo es, de alguna manera, el elemento de resistencia, el contexto en el que incluso se adapta a cualquier persona, yo, todo el mundo. El miedo cruza. Como emoción, como el pensamiento, sólo como resultado, en última instancia, su propio pasado. Piensa: no hay un sustrato, sin causa, en el momento presente, el miedo. Del mismo modo no hay ninguna lógica y no hay razón para establecer un fideicomiso, desde el momento en que estás aquí, y no un momento antes, y mucho menos en un momento posterior. ¡Cállate, eso es todo. Esta no es la cuestión del miedo, ni la cuestión de confianza. Se instaló en la eternidad, porque la caída miedo como la confianza, de forma permanente, en lo que es lineal. El Absoluto no conoce la línea. Es sólo la trascendencia total de espacio-tiempo (como se conoce).
El miedo es un límite. Usted no puede cruzar la línea en la consideración de que ha introducido dentro de un límite. El momento en que su atención se por sus propios miedos, se quiere, de alguna manera, a cristalizar, el más denso, por lo que vivir el momento, en el presente. Desde el momento en que se encuentran en paz y tranquilidad, sin temor puede surgir. Y aunque este temor surge, el hecho mismo de estar en paz que traen, inevitablemente, y casi de inmediato, la lógica de que este miedo no tiene sustancia, no la verdad, pero es sólo una señal de qué es la muerte (en el que vivió o lo que temía), pero no es posible que esté presente en el momento en que usted vive. La dualidad que consiste en un extremo o el otro, en lo que respecta a ti, miedo a ser sustituida por la confianza, que entró en los límites del miedo y la confianza. ¿Desea reemplazar el miedo con la confianza de instalar en su propia dualidad, por lo que refuerza su propia persona. Cuando uso la palabra paz, el otro extremo de la guerra. La meditación, como la atención de los estados se acercan a la paz. Obviamente, la guerra sería la incesante actividad de la mente de perturbar tu paz. Si usted escucha y se tiene cuidado, no es que diga que lo que está muerto, sin querer, en una proyección de dejar de tener miedo, sino en la aceptación, la comprensión y la lógica que son ninguno de sus miedos y que no se aplica a ella, no confianza. Basta con viajar en tu paz. Simplemente no es lo que se desprende de lo que es pasado, lo que surge de lo que está muerto, ni mucho menos lo que se desprende de lo que sólo puede nacer (y por lo tanto no puede estar presente).
A partir de ahí, usted se coloca en la base misma de la comprensión y la escucha. No es lo que creo que no es de ningún pasado, no de un componente de futuro, pero en la verdad del momento en que usted vive, el único capaz de hacer cruzar sus límites y por lo tanto ser ilimitado. Recuerde que el límite estaba siempre allí, siempre allí, siempre parte más allá de la conciencia. Sólo los frenos y la resistencia de lo que no lo son (y que le ha dado peso a la cual me han concedido crédito) le impide vivirla. Tú no eres tus miedos acerca de cómo esto no es una persona podía llevar ningún temor? ¿Cómo podría haber, en lo que no existe (es decir, esa persona), cualquier futuro? La previsión, la anticipación y el miedo que siempre el resultado de la actividad de la mente y la mente sólo. Sin embargo, de que la mente surge con su venida a este mundo a su construcción dentro de la ilusión y es un elemento, atributo, absolutamente real, en la dualidad. Le permite personalizar lo que se ha vivido en lo que se vive y lo que vivir. Pero usted es o lo que vivió, o lo que está sucediendo o lo que es vivir.
Tú eres la vida. Así que, en ustedes, para ver (sin enfoque) como los temores de lo que no es la vida sino lo que pensaba de su vida. El miedo es un peso muerto que resulta de temor de que el ego y el individuo, sus propias limitaciones enumeradas entre el nacimiento y la muerte. Usted no está lo que es nacido, o lo que se va a morir (a diferencia de que quiere que usted cree que su mente y usted no es su mente). El crédito que le llevará a los resultados de su persona en un crédito. Más o menos que usted da a su propia historia, que está muerto y se van de la experiencia del Absoluto Entender que esto no es para rechazar, como un acto de negación, que ha sido a través de su historia. Pero su historia nunca volverá a ser lo que son en el Sí mismo, por no hablar de lo Absoluto. Cambio de look. Yo no hablo de la mirada de los ojos, no me refiero a la luz de tus emociones pasadas. Pero mira te cambia, allí, en ese momento porque no eres nada de la historia, nada de ese futuro y nada de eso la confianza que le gustaría adquirir porque no hay nada que ganar, que no es ya . No hay nada que es luchar por todo lo que resiste va en aumento. Considera todo esto como que no tiene existencia independiente, ya que no son ni la historia ni la confianza, o incluso persona, o incluso la esperanza, porque todo está ya en la paz más allá de toda la confianza en el momento de su pregunta y la respuesta.







Pregunta: En la mayoría de los casos de la mente a los pensamientos se alejan de combatir la injusticia o ver el lado negativo de los acontecimientos. A veces siento que nada se mueve, mientras que la vibración se sentía seguro. ¿Cómo estos procesos o superar esta resistencia?
El juicio se registró en la mente. La mente está hecha para discriminar, pesar y equilibrar el bien y el mal. Está hecho para actuar en este mundo. A medida que considéreras como en este mundo (y no sólo en este mundo), tu mente será parte de sus experiencias. Cultura, educación, educación, siempre han sido el andamiaje en torno a esta dualidad. La moral en sí, lo emocional a sí mismo, y todas las leyes observables y utilizables en este mundo, sólo vienen de allí. Hay una parte de ti que es todo, pero su ego puede reconocer. Esta parte de ti que eres desconocido, llamado Absolute o Ultimate, usted no puede demostrar (porque ya está allí), si la apariencia de tu mente discursiva es la siguiente. Es, de alguna manera, que el velo, tan opaco, la verdad, la verdad más allá de la apariencia discursiva. Esto es, en ti, a una necesidad de seguridad, una necesidad de tranquilidad, pero si no se dicta el ego o la persona? No hay trabajo, estrictamente hablando, la causa o la razón de esto tiene que estar tranquilos porque lo que son es mucho más allá de ser tranquilizado o comprender. El conocimiento es en última instancia, una ignorancia de lo que eres.
Está de acuerdo en ser ignorante, no está de acuerdo en que estar tranquilos o para comprender y luego, inevitablemente se pasa de la ignorancia al conocimiento real que no necesita ningún aspecto del discurso, que no tiene necesidad tranquilidad o entendía. La mirada, los ojos, que siempre traen consigo el deseo de entender y por lo tanto, pone la mente en acción y por lo tanto la sentencia. En última instancia, si se ve claramente, ningún juicio puede traer la paz, porque cualquier juicio llama, inevitablemente, otra sentencia: todos los ojos se centraron, discriminatorio, aboga por la continuación de lo que es discriminatoria y por lo tanto dualitaire. Está de acuerdo en que mirarlo, no para encontrar un original o una indemnización porque ni el original ni la compensación le dará a trascender, o incluso superar, este principio. La mente debe ser utilizada para vivir y actuar en las actividades normales de este mundo. Pero desde el momento en que ya no es de este mundo, pero usted es el Absoluto, que ya no será de ninguna ayuda, ningún recurso, ningún uso. La dificultad es, al parecer, para ir de uno a otro. Tú ves entonces, debe considerar y reconsiderar que, en la vida ordinaria, la mente es en sí misma en relación con experiencias pasadas, su historia. Así que, una vez más, podemos decir que su propia mente es en sí mismo en sus acciones cotidianas. No necesita, estrictamente hablando, usted. Que actuar, dejar que, de alguna manera, se expresa en los momentos ordinarios.
Así que si usted pierde las riendas de él, si te contenido para observar y dejar que funcione, va a ser mucho más fácil en los tiempos unitarios, de no dejar que interfiera con lo que eres. Así que ayudarse a sí mismo a este aspecto del discurso, y comparativo de costumbre, mediante la observación de la mente en los momentos de la vida cotidiana y no, por supuesto, deseando que en el Interior veces porque nunca se puede perseguir. Eso se puede simple y fácil, ser conscientes de su actividad (que no es tuyo, no tanto) en los momentos más ordinarios de la vida. Debido a que estos momentos ordinarios se refería únicamente a la mente y no tienen absolutamente ninguna necesidad para que usted pueda ser eficaz y eficiente. Aprueba que, facturado en la verdad y la eficiencia sobre todo, y entonces podrás ver muy pronto que, en el interior de momentos o definido como tal, el pensamiento y la sentencia no puede modificar de ninguna manera y de ninguna manera, lo que Te acercas a su experiencia, en ese momento. Una vez más no se puede ir sin oposición fortalecida (especialmente en estos tiempos llamados interiores) de su propia mente. Es lo que es. Su historia es lo que es. Pero no son ni uno ni lo otro.
En resumen, dejar que la mente de lo que es, sus funciones, sus utilidades, lo miran, en estos momentos: te será muy fácil ver el acto y entrar, en estos momentos ordinario, que no lo eres, lo que es. Pero si usted hace lo contrario (es decir, los tiempos de espera para los interiores que se oponen frontalmente, dijo de su propia mente), perderá la batalla, porque siempre es una batalla y la paz no puede s adaptarse a cualquier batalla. Ponte bien y se dará cuenta de que mientras la mente se queda en su lugar y sus funciones.

Pregunta: ¿Cuál es la parte de mí que no tengo que decirme, en el momento presente, que me ayude a ir a la absoluta?
Entender que no va a. Debido a que, tan pronto como le pedirá que vaya, se pone una distancia que ya existen. Esta parte no se sabe que no tiene nada que decir en lo que sabes de lo contrario no sería desconocido para usted, de lo contrario sería absoluta. Por tanto, debemos aceptar que lo que estás extraño no tiene nada que decir a usted en su conocido. Y puede parecer a usted, se desarrollan, no como algo a donde ir, no como un esfuerzo, pero el momento en que se callan todo lo que sabes. Elimina todo lo que sabes. Refuta todo lo que es efímero. Y, en primer lugar, lo que es efímero? Su propia vida, más allá de lo que sus sentimientos sean los que sean, ya que siempre cabe en la ley de la dualidad (acción / reacción, sin fin), pero no son eternas, ya que por definición, estas emociones cambian en función de lo que te dan para vivir, de ver y sentir. Lo que está desconocida o no puede ser experimentado o sentido, en su experiencia. Por lo tanto, ninguna posibilidad de someter en el desconocido en lo conocido. Tú, pues, tiene que salir de su conocido, no como un rechazo, no como una negación, sino simplemente aceptar que no hizo absolutamente nada de lo que sabe. El verdadero conocimiento es independiente de la conocida.
Lo que el ego interpreta como el conocimiento es una estafa porque no es sostenible, ya que con mayor frecuencia se derivan de las creencias transmitidas por otras historias y otras experiencias que no tienen nada que ver con la que usted y sin embargo, que extendió el crédito. Esto no es porque Buddha Buddha existió como usted vive. No importa lo que usted lee todo, lo entenderás todo todo lo bello, asimilar, no se puede reproducir cualquier cosa, ya que proviene de la creencia. Es necesario, por tanto, verdadera y objetivamente, matar a todos tus creencias, ya que no son las creencias. Así no se puede, de ninguna manera, entrar en lo desconocido con cualquier creencia, con todo conocimiento, toda la historia. Y esta realidad no puede ocurrir porque no hay a dónde ir, no hay desplazamiento. Al pensar en buscar lo absoluto, nunca has encontrado, porque él siempre estaba ahí. Y entonces creo que vas a alguna parte es una estafa de su propia mente. Incluso el Ser no es usted, en el Absoluto. Desde el punto de vista del Absoluto, el ego, la persona, el mundo mismo, la historia en sí, no existe. Una vez más, se trata de un fraude, una mera proyección, una ilusión, un juego estúpido y estéril. No hay evolución: sólo el ego piensa, sólo el Ser puede tener en cuenta. El Absoluto no plantea tales preguntas. Es imposible que se produzca algún cambio. Es posible que, de hecho, las transformaciones. Es posible que, de hecho, las mejoras. Y el ego se deleita. Debido a que estaba enfermo el día anterior, es mejor al día siguiente, porque entendía la causa y el origen del sufrimiento, la causa y el origen de una enfermedad, la causa y el origen de un desequilibrio, por lo que da la impresión de movimiento. Por lo tanto, da la impresión de que mejorar, pero es una trampa porque en ningún momento te sacará de lo que te hace pensar. Es imposible. El desconocido, el último, es todo lo conocido, no hay tiempo ni espacio. Desde su punto de vista, esto no es nada. Pero desde el punto de vista de la nada absoluta es usted y nada más. Cuando cierras los ojos, el mundo desaparece. Cuando usted duerme, el mundo en el que vive también desaparece. Sólo la creencia, por la experiencia, a creer que vas a despertar al día siguiente, que se queda dormido cómodamente. Y, sin embargo, que puedo asegurar que estás fuera? Y sin embargo, te preguntas? No hay nada que se mueven si no los ojos. No hay a dónde ir porque estás allí ya. No hay ningún esfuerzo para proporcionar, por el contrario. El ego, la persona es un esfuerzo continuo, a través de los sentidos, a través de las emociones, a través de su historia y su mente, que es siempre, más o menos fuerte, porque tú tener siempre consciente su medición. Y eso, sin darse cuenta de su alcance y sus límites, que permanecen en prisión y nunca se encontró que el Absoluto no es de encontrar, porque no eres tú quien lo busca pero él que se encuentra, desde el momento de salir de cualquier conocido, y cualquier referencia a cualquier conocimiento ilusorio que es sólo una estafa.

Pregunta: ¿Cómo podemos vivir más en la alegría y la sencillez?
La alegría y la sencillez son parte de su esencia y su naturaleza. También en este caso no es crecer, porque esta alegría está presente. Sólo la distancia que puso, y la ignorancia que se pone, puede representar lo que es experimentado como una ausencia de alegría. No hay nada más simple que el Absoluto. Lo que es complicado es la mente y el ego, ya que construir, de manera permanente, estrategias, construir, de forma permanente, tuberías, observar las reglas, los marcos y límites (lo que estos marcos de referencia y límites). Ellos tratan de crear un sencillo, mediante la preservación de la complejidad de este mundo, conocer, creer, creer en la experiencia. Pero nada de este mundo es absoluto y, sin embargo usted es absoluta. La alegría viene de éxtasis. La alegría es la manifestación del Ser, el Samadhi. La sencillez también está presente en el Samadhi. Esto le permite acercarse y vivir la experiencia y, a veces, la no separación. Sin embargo, usted sigue siendo inscrito en la separación y por lo tanto se desprende de la simplicidad, como se desprende de la alegría. No es ni la alegría ni la simplicidad de la que salen, pero fuiste tú el que empezar desde uno mismo. La alegría y la sencillez han sido siempre único movimiento là.Le es la del yo, el único movimiento es que la mente y las emociones que se llevan a cabo y tener éxito en un tiempo lineal. No hay nada que cultivar, no hay nada que descubrir que no es ya, porque si usted habla de la alegría de crecer, entonces se considera el no ya tan feliz y es el otro extremo esta en ti. No hay un final. Considera que la alegría puede ser una experiencia entre dos períodos de falta de alegría, sino que es una condición que resulta directamente de lo que eres y todo cambiará para usted.
En cuanto a la simplicidad, es simplemente estar en paz, no para dar contenido a cualquier otra cosa, no se alimentan de cualquier otra cosa. El Yo y el Absoluto son una trascendencia total, también, de lo que llaman la alegría y la simplicidad, porque el Absoluto no se puede hacer referencia (aunque sencillo) a algo que sería complicado y una alegría que no implica una alegría. Esta alegría es la alegría más allá de todo: es por eso que es más sabio que llaman éxtasis o intase. El ego se mantiene siempre en esta dualidad del concepto y la experiencia. Por lo tanto, mantiene la linealidad. El Absoluto es la linealidad de salida. El Absoluto es su naturaleza, su esencia. Por lo tanto, no buscar o cultivar cualquier alegría, cualquier simple, porque si usted puede quedarse totalmente oír y escuchar, más allá de todos los tiempos, a partir de ese momento, el Absoluto está allí, porque eso se trata de ti. ¿Quieres alegría, quieren simplicidad, que ya está teniendo en cuenta que no está presente. Ahora eres la alegría y la sencillez que lo son. Simplemente refleja la distancia de su historia y sus experiencias pasadas, donde el arrepentimiento y el deseo de que para competir en la parte delantera de la escena. Pero esta es una escena, es sólo una representación, un mapa que no tiene sustancia ni siquiera la realidad. Se trata de descubrir por ti mismo, porque nadie le puede decir, nadie puede hacer usted vive: no hay más que usted y sólo usted puede ponerlo al día. Finalmente sale del cuerpo vivir, deja que tus pensamientos viven, dejarlos trabajar. ¿Te la pregunta cuando usted come un alimento si va a hacer lo que tiene que hacer? No, esto se realiza. Actuar de manera similar a lo que usted considere la posibilidad de tener que hacer en esta vida. No implica, pero lo hacen. Mírate a ti mismo y no hacerse la pregunta siguiente que se mire. ¿Es esto lo que está el cuerpo absorbe los alimentos? Es lo que tú eres la mente que es la cuestión del efecto de los alimentos? ¿O es algo más ¿Y tú? También se elimina lo que es en torno a una efímera dinámica (como comer, como dormir). También se elimina lo que es el orden de los habituales (lavado de la mañana, incluso si lo hacemos): tú no eres nada de eso. Así que parece tan abrumadora o progresiva, que tú eres. Ser no-ser. El Absoluto no es ni una voluntad ni un objetivo, o una ruta. No hay ningún deseo o propósito, o sendero. No es la vida que fluye, que son los participios o no, estar allí o no. La vida de serlo, y el Absoluto que aparece porque siempre ha sido.

Pregunta: ¿las relaciones o conductas marcadas por la dualidad de este plan que puede dificultar la realización del Absoluto?
En primer lugar, no puede haber ningún proyecto en el Absoluto. Realización para el ego y el yo, pero no el Absoluto. No dualitaire reuniones pueden frustrar, impedir o bloquear, el Absoluto. Usted come. Toda la fisiología del cuerpo se basa en la dualidad. Toda la fisiología de las emociones y la mente se basa en la dualidad. Ninguna parte de este cuerpo o de su recubrimiento sutil no puede alterar en modo alguno, lo que es. Pensar y diseñar no es un trabajo que hacer, una manera de llevar a la práctica del yoga, es una cuestión de personalidad y el ego no, de lo Absoluto. Los yogas, en absoluto, le llevará a la Ser, que es, posiblemente, Llevar a cabo. Pero el Absoluto nunca será un Director, pero la liberación de todos los yogas y la dualidad todos. Esto no es negar la dualidad ya que esta forma (el cuerpo), esa persona está presente en esta ilusión. Por consiguiente, es de trascendencia y de ninguna manera puede ser una transformación. Creen que es una estafa del ego.
Puede transformar lo que es limitado y creo que la imperfección va a ser perfecto. La perfección no es de este cuerpo o la mente esto, o su propia vida. Es el Absoluto. Considere la posibilidad de que algo pueda alterar o impedir que el Absoluto es una farsa. Es el ego el que se juega a creer que va a ser mejor mañana. Puede ser, sin duda, sino lo que va a ganar? Mejorar la salud, mejorar la respiración, la mejora de la ansiedad, hay una búsqueda desesperada de una mejor vida o el bienestar, pero ni mejor ni el bienestar no se podrá descubrir el ser. Él saldrá con tanta seguridad como en el mal estar. Estas estrategias, desarrolladas por el ego, para hacer creer que hay algo que buscar, algo mejor, algo a la práctica que te hará enfoque, pero en última instancia, la medida de lo. Por supuesto, la persona (yo) se contentará con menos dolor, menor ansiedad, sentirse mejor y vivir más tiempo o de manera diferente, pero es absolutamente inútil. Eso no quiere decir con esto que debemos poner fin a la ilusión, sino de ser consciente y alerta de lo que es: sólo una ocupación, sólo una distracción. Por otra parte, ocupa, si quieres, tu mente y tu cuerpo, pero acepta el principio del engaño y la ilusión. Hartos del cuerpo cuando tiene hambre, dale de beber cuando tenga sed. Allí no refutar la idea de hambre y sed y siempre, satisfacen el hambre y la sed del Absoluto deja aparecer? Lo mismo ocurre en el nivel mental. Usted puede darle de comer en todos los sentidos, le puede dar a leer y por lo tanto, usted bebe de todo el conocimiento, que sólo fortalecerá su propia ignorancia de lo Absoluto. Sólo el papel del ego y la mente que, por lo eterno e incesante, quiere creer que puedes hacerlo. Pero no se puede llegar allí, porque no hay otro lugar a pasar. E incluso si hubiera un destino para llegar, y aunque esto sólo significaría el fin de los egos. ¿Sabe usted un ego que quiere morir él mismo, si no por la puerta de la muerte? El Absoluto se hace cargo de ninguna manera de este cuerpo, en absoluto lo que usted busca, en absoluto lo que piensan o esperan. No tiene nada que ver, de alguna manera, con sus propios gestos. Estos son sólo movimientos que no contribuyen a la paz y la quietud. Así que estos son, en realidad, la postura que se acaba de llamar la conciencia. El Absoluto no tiene ningún uso de él: que está instalado aguas arriba, aguas abajo, al otro lado, más allá de cualquier espacio, desde la eternidad.
No hay nada peor que creer que va a ser liberado, ya que buscan la liberación. Porque al final, quedas libre de toda la eternidad, pero simplemente no lo sé. No hay tampoco, a rechazar cualquier cosa menos de trascender todos estos aspectos que son únicos velos y máscaras colocadas en el Absoluto. Por lo tanto, debe detener cualquier tipo de proyección de cualquier cosa. A partir de ese momento, mientras que el Absoluto se le aparecen. Pero debemos dejar la vanidad de creer que hay algo que buscar algo para alcanzar e incluso algo para liberar. Si estaban en silencio todas estas vanidades, mientras que el no-ser es la única posibilidad. Recuerde que usted es efímero en lo que crees, si los pensamientos que pasan, o incluso el cuerpo que nació y que regresará a la tierra. ¿Es esto lo que está el cuerpo? ¿Es que tú eres lo que es efímero? Es lo que está buscando para usted? Es lo que son sus prácticas? En última instancia, ¿qué eres? Si son capaces de vivir lo que eran antes de que este cuerpo (más allá de cualquier cuerpo en cualquier vida pasada que pertenece a la personalidad, irreversible), y, al instante, el Absoluto sería porque siempre ha habido. No se puede capturar cualquier cosa, porque usted es eso. Usted puede tener lo que eres. Es el ego el que te hace pensar.

Pregunta: A menudo he deseado que después de la muerte no hay nada. ¿Hay alguna diferencia entre la nada y el Absoluto?
Lo que desea, después de la muerte, es, por supuesto, el ego. La mejor película y mejor representación puede sugerir que el ego, el Absoluto, es decir, por supuesto, nada. El Absoluto es, por supuesto, nada de nada, pero, también, la nada. El Absoluto, después de la final de este formulario es devuelto a la forma, más allá de toda memoria, más allá de toda experiencia, en cualquier forma, puede persistir incluso si un formulario, que no tiene nada que ver con una forma de este mundo. El Absoluto es Todo y Nada. Que no tiene forma (o al final de la vida, aquí) termina, de alguna manera, al ser menor complejo de ego / personalidad (cubiertas de conchas físicas y sutiles), pero en su lugar (y se coloca hasta el momento), de la parte del otro lado. Pero era la misma habitación y en todo caso nada. Y por lo tanto, bajo ninguna circunstancia, el Absoluto. La forma desaparece porque es efímera. Personalidad desaparece porque es efímera. Pero si algo vuelve, algo que se proporciona en cualquier forma y personalidad no.
Hoy en día, en el sentido de su tiempo, no hay nada que no va a volver o alejarse de lo Absoluto. En última instancia, el vacío (si está deseado, no deseado o rechazado con horror y el miedo) es en realidad el Absoluto, para el ego, para la persona, para la mente. Considere la posibilidad de su propio fin, como algo efímero, puede llenar de terror o la paz, pero en un caso como en el otro, representan la muerte como la nada es un lugar donde vivir lo Absoluto, ya sea mediante el mantenimiento de esta forma o no, porque no queda nada, en este caso (y siempre), una creencia. Una creencia no tiene ningún peso. Una creencia es una razón de ser, no en sí, la experiencia. Ninguna creencia puede sustituir a la experiencia. Ninguna historia puede ser escrita en el momento. La creencia te hace pensar que en el momento o en el momento siguiente, o el momento pasó, pero no es esto. El ego no se hace nada, ya que para encontrar a los perdidos, por no hablar de lo Absoluto, ya que puede relacionarse con él o sabe algo al respecto. El Absoluto puede ser como la nada, un deseo, ya que se puede desear, en última instancia, lo que realmente son y que ya está allí. Este es el ego el que se va a creer que tiene que desear. En otro momento, calificó la muerte, la nada que ya está ahí, para el ego. Negarse a verlo es negar el Absoluto. Colóquelo en el mañana, o es imposible de decir, es una forma de negación de lo absoluto. El ego busca, también, a su manera de refutar lo que es desconocido, de negarlo, y yo diría que es un juego justo.
Si usted se queda tranquilo y en paz, si usted está más allá de la observación, si están fuera de control, más allá de los conceptos, más allá de cualquier percepción, más allá de cualquier consciente o inconsciente Si usted deja cualquier referencia, cualquier proyección de cualquier sentido de la anticipación, cuando salga de la habitación por la Verdad, el Absoluto. Se puede reflexionar acerca de lo Absoluto. No se puede pedir de la nada, simplemente por experimentar mareos o sensación de plenitud (depende), pero lo que sientes, en ese momento, no puede ser validado o incluso ser una prueba. La única evidencia de lo Absoluto es el éxtasis, y por adelantado, su testimonio: la ola de la vida. Nada puede ser más. Y nada puede ser menos. No hay ningún misterio en lo absoluto, sólo el yo que piensa y tiende a hacer que vivir, porque el ego no puede imaginar lo que, de hecho, no tiene representación. Así que la palabra nada puede aparecer como un recurso provisional, atractivo o temido. Pero sigue siendo un último recurso.

Pregunta: ¿esta latencia, a la que usted se refiere, como titular de la absoluta, puede ser experimentado como una sensación de no tener que preocuparse, cualquiera que sea la personalidad está todavía vivo? Y la profunda alegría y la belleza que la unidad entonces, es una verdad a la que se puede colgar?
El Absoluto se puede colgar en cualquier lugar, por lo que tenemos que entrar. Mientras estás aferrado a su propia alegría, usted pone su propio límite de lo Absoluto y, por tanto, no se puede vivir. Por lo tanto, puede permanecer conectado o aferrarse a nada. Cualquier agarre es un freno. Aunque hay capas para dar la ilusión y para subir algo, es un momento en que incluso eso es abandonar. ¿Cómo se puede vivir el Absoluto como no abandonar el auto y la alegría? En realidad, es mucho más fácil y atractivo para vivir la alegría, y el número de estructuras que se han expresado, se han invitado (nota del editor: El Cónclave Arcangélico, la Asamblea de Ancianos, estrellas ...), porque la alegría es el socorro y la ayuda que puede ser considerado positivo. Y esto es contrario al peso y densidad. Pero no lo suficiente para aliviar quitar la proyección, dentro de la ilusión. Es un momento (o el tiempo, si se prefiere) que, una vez más, de acuerdo con no estar conectado. Puede ser concebible ni aceptable, que la alegría de vivir, de forma continua, puede permitir que un día a ser absoluta. Al igual que las estructuras que se han expresado lo he dicho: que son liberados. Pero ser libre no es necesariamente implícita en vivo y Liberación. La cuestión de lo absoluto, a diferencia de realización es que este puede ser cualquiera o incluso una nueva conciencia del salto de la conciencia. No hay ninguna opción porque no hay ningún puente entre la creación y el Absoluto. El Absoluto es (y precisamente lo contrario) la creencia en la desaparición de un puente, o la oportunidad de existir, o de cualquier Verdad que permanecer unidos. Realmente no es necesario que se adjunta. Aceptar, de alguna manera, a abandonar la propia fuente, sin saberlo. Abandonar el auto, que se conoce a través de la alegría y belleza.
El absoluto y último nunca ha sido nunca, será cualquier cosa menos lo que es verdad y lo que es, por toda la eternidad, ya que no son efímeras. Alegría a la que dice ser colgado desaparecen tan pronto como la forma va a desaparecer. Por lo tanto, puede ser eterna, ni ser sostenible, incluso si se instala de manera que parece sostenible. Así que no hay, en verdad, para recoger cualquier conocido, sin excepción. Desde el momento en que usted aparece como algo conocido, no puede ser absoluta. Los límites de los temores de Representantes, los obstáculos, lo que no tienen ningún uso o no de asistencia (y de alguna manera) de lo Absoluto que el análisis trouve.En final, la latencia es lo que da para percibir la existencia de un tiempo y dando a percibir la existencia de un futuro. Pero el Absoluto no tiene ni pasado ni presente, ni futuro. ¿Hay, más allá del ser. Esto es todo. Y usted es Eso. No hay ningún esfuerzo. No hay ningún deseo de demostrar. Por lo tanto, puede permanecer conectado o depender de una verdad, porque toda la verdad, aunque relativa, no es cierto, es sólo un paso. Y el Absoluto no es un paso. Si usted refutar eso, si se acepta en la incidencia, a continuación, se encuentra el Absoluto. Recuerde que usted puede colgar en o mirar.

Pregunta: Si un proyecto se llevó a cabo antes de la aprobación en el Absoluto, el proyecto puede sobrevivir o desaparecer?
¿El Absoluto se eliminaría el proyecto de una forma que está vivo? No. Pero incluso si este proyecto llegara a desaparecer, esto no es un acto de la personalidad y, por supuesto, mucho menos una acción del Absoluto. El Absoluto no interfiere y no cambiar las circunstancias de este mundo. Sin embargo, la liberación por el Absoluto se mueve todo el universo, todos los mundos. El pariente de un proyecto, sea lo que sea (esto es un proyecto de vida, un proyecto empresarial), se llevará a cabo o no a cabo. El Absoluto no está allí para nada. El cambio de perspectiva sobre el proyecto y la forma no requiere la pérdida obligatoria de su proyecto o formulario. Pero eso no importa, porque usted ya no es el proyecto, que ya no este formulario. Que sigan apoyando el proyecto, como para que esta forma (ya que es un peso), no cambia la verdad. El Absoluto no es afectada por la limitada pero incluye limitada. El Limited tiene ningún puente y no hay continuidad con el Absoluto. El Absoluto lo abarca. No es la cuestión del cuerpo, al igual que cualquier relación. No hay ninguna razón válida o la lógica y objetiva, para decidir que el Absoluto o quiero nada. Por contra, por parte de un formulario (el ego, persona) puede tener que reposicionarse, porque el Absoluto es para cambiar a la luz. Pero esto no es obligatorio o una obligación, incluso si esto puede suceder.
El Absoluto, con experiencia y entró en una forma, continúa viviendo de esta manera. No hay ninguna oposición o antagonismo. No es sólo la evidencia de lo Absoluto, al final del interrogatorio del significado y por qué. Sin embargo, en esta forma continúa desarrollándose o es todavía lo cree. El Absoluto puede terminar la ilusión, pero no la ilusión de que el cuerpo no siempre, pero no importaba más que eso, porque una vida liberada no puede ser llevado a la muerte, a un la ilusión de que cualquier jue Todo esto se supera, verificado y verificable, cada minuto, cada respiración. Que el cuerpo o restos que este cuerpo desaparece, el total es desidentificación con el cuerpo, sin que haya una separación del cuerpo. Todo lo que puede parecer sin embargo, todo es diferente, no sólo transforma, sino, en realidad, trascendió. Hay un antes y después del punto de inflexión en el Absoluto, para la persona. Este antes y después de esto puede ser idéntico o diferente radical. Esto no tiene ningún efecto y el impacto no. Ser liberados con vida, es la de actuar libremente y la libertad ya no depende de ninguna empresa, cualquier empresa, cualquier relación. Usted se libera, mientras que la posibilidad de seguir en gran medida para estar en este mundo, sino, simplemente, ya sabes que no eres. Usted lo considera un juego y es un juego que han descubierto la mascarada. Usted ha descubierto la estafa. Usted es vida liberada y puede ser, además, que Vivant. Lo que está cambiando y necesita cambiar no es una función de la personalidad o el deseo de cualquier transgresión, pero el efecto directo de la trascendencia. Las relaciones, la posición con respecto al otro, del mundo, de la sociedad y la moral, nunca será el mismo, ya que se convirtió en un testigo viviente de lo absoluto y que son condición física, de estar presente en ciertas condiciones. No es verdad.

Pregunta: ¿se puede indicar lo que permite, desde donde yo estoy, el punto de inflexión que usted ha mencionado?
No estar en cualquier lugar. Ya no busca puntos de referencia. Acepta. No hay nada que mirar, no hay lugar mejor que otro. Creemos y esperamos que un lugar es mejor, te pone en la perspectiva lineal de la persona y la personalidad. No se puede conciliar ninguna de lo que ya son, porque ya está ahí. Así que este punto de inflexión no depende de nada más que tú. Pero no es así, en una acción o un deseo, sino que en la ausencia completa de los ideales, en la ausencia completa de búsqueda. Esta es una capitulación y la entrega total de todo lo que usted cree que es, todo lo que usted manifiesta. Fue nombrado por los involucrados en ciertas estructuras, la Crucifixión. De la misma manera que no hay que aferrarse a algo de verdad, no hay ninguna perspectiva o punto de inflexión mejor que otro. No es sólo para refutar cualquier cosa que usted cree que es. Mientras que allí, en ti, un anexo a su propia persona, la forma, o sobre sutil, este archivo adjunto que los sujetadores (con tanta seguridad como una cadena) a la persona, la personalidad o yo. No hay trofeo de caza o de guerra, que es para mostrar. Precisamente, hay que conseguir todo lo que se publica, el vacío, sin hacer preguntas: una forma de aceptación de la nada, una forma de aceptación que no hay nada en especial, no una medalla o premio. Por no hablar de una mente a la conquista o Release. Tú debe estar presente, total y completamente, a la vida, sin actividad, sin acción, sin reclamo. Sólo hasta el lugar que usted siempre ha sido: en el no-ser. Puse fin a una persona, una forma, la voluntad de una o una medalla. No hay nada que ganar. No hay nada que conquistar. Ganar y ganar es parte de la personalidad que quiere tener y tener. El Absoluto es el regreso de todos sus bienes y todas sus medallas y todos sus deseos, incluso los más refinados o más espiritual. Porque al final, todo esto es sólo un fraude que no tiene consistencia, sin sustancia. El juego verdadero es aceptar no jugar. En pocas palabras, recibir, escuchar lo que viene a continuación, que nunca se fue. Así que es el Absoluto. Hacer que el silencio (y no sólo desde el exterior) las actividades de cualquier tipo, las expresiones (física, visual, verbal o sexual), pero mucho más, el silencio dentro del silencio de la falta de voluntad y no la voluntad. Dejando todo el lugar, porque no hay lugar definido. Dejando todo el espacio porque no hay espacio para ilimitado. Acepta y da la bienvenida a lo que es y no lo que quiere. El Sí mismo es todavía un deseo, provistas por el Director. El Absoluto no es el deseo, por la Liberación. No hay nada para mostrar, nada para crear y se comprometen a nada, puesto que ya está.

Pregunta: ¿más allá del punto de inflexión, la auto-conciencia se convierte en la conciencia de ser o de la conciencia todo desaparece?
La conciencia desaparece por completo. Los cuatro estados de conciencia no tienen ningún sentido y no hay legitimidad en el Absoluto. No puede haber una solución que sea, la continuidad, entre la conciencia y la inconsciencia. La conciencia está íntimamente ligado a la observación, la proyección (esta proyección se separa o no separa, es decir, en el ego o el Ser). La falta de separación no es el Absoluto, ya que el Absoluto no puede ser capturado de ninguna manera, por la conciencia de sí mismo. El único testigo de que la conciencia puede tener es lo que ha sido llamada la ola de la vida. Pero incluso aquí, en algún momento, debe haber una forma de alejamiento de él. Este distanciamiento no es una distancia, en virtud de la deportación, pero un alejamiento del propio testimonio de lo vivido y observado. La aniquilación de la persona, la forma, la percepción de este formulario se registrarán en la conciencia de que punto de inflexión, lo que conducirá a la nada (la personalidad) y (en términos de personal no funcionario) de lo Absoluto . La ola de la vida, cuando se vive como una experiencia (con sus consecuencias e implicaciones), le hará una ola de la vida, la eliminación de la distancia y que le pone en la distancia. Aquí está el Absoluto. Puede haber otros testigos u otras marcas que uno. La oleada de vida que se ejecuta hasta que se vaya a través de las olas de la vida, por lo que irremediablemente fuera de toda proyección, tanto es así que la experiencia (no aerosol) cualquier otra forma, cualquier conciencia, lo que es en cualquier reino que sea. Esto no significa que vaya a vivir permanentemente, pero eso es parte de lo posible, para demostrar la verdad y la verdad de lo Absoluto. Lugar en el ilimitado que hace, en realidad, y concretamente, sin límites. Ilimitadas y aún más, sin límite en cualquier forma, ya se trate de la suya (en el que son tan efímeros). La ola de la vida, como un testigo y un marcador, también llamado, en algún momento, su mano, una forma de identificación y la renuncia de sí mismo, que le da para vivir la vida, más allá de cualquier formar y, en cualquier forma, incluso si es más fácil, en un primer momento, para vivir con un formulario que se sabe o se conoce a usted, en este mundo o en otro lugar, poniendo fin a la separación , poniendo fin a la ignorancia, lo que hace que una vida liberada. La vida liberada no tiene nada que afirman que no tiene nada que explicar, que no tendrá nada que justificar, porque lo es. Él sólo tendrá que declarar, sin darse cuenta, sin deliberada, sino porque es y forma parte de la vida. Él es el testigo, él es el mensajero, más allá de cualquier papel, cualquier posición.

Tenemos más preguntas, gracias.
Así que gracias por vuestra y la mía entre nuestro. Ciertamente, muy pronto, como dice el refrán.
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BIDI

8 avril 2012 - 2
Question : qu'est-ce qui freine, pour passer simplement du Soi à l'Absolu ?
Le Soi lui-même. Qu'est-ce qui peut freiner, si ce n'est le Soi ou l'ego, eux-mêmes ? L'ego ne peut connaître l'Inconnu. Il ne peut le vivre, il ne peut le conceptualiser, il ne peut le percevoir, il ne peut l'envisager. Quant au Soi, il est une contemplation. Et cet état de contemplation a souvent été vécu comme une finalité, comme un achèvement. Concevoir le Soi comme un achèvement et une finalité, est le frein. La résistance à l'Ultime n'est, en définitive, que cela. Et cela est, bien évidemment, sous-tendu par la peur : peur de l'Inconnu, peur de ce qui n'existe pas, pour celui qui est dans le fini et dans l'expérience du Soi. Cette peur ne peut être combattue et, le plus souvent, elle ne peut même être vue, ni intégrée. Il n'y a que dans un acte de reddition total, de capitulation totale, que la transcendance se fait. Le fait qu'il n'existe pas de pont, d'un état à l'Ultime, est certainement l'élément le plus traumatisant, et le plus insatisfaisant, pour l'ego comme pour le Soi. Le paradoxe de l'ego et du Soi, tout en étant limités et éphémères, est de se considérer, tous deux, comme éternels. Il y a une recherche de permanence, une recherche d'Éternité, qui ne pourra, bien sûr, jamais aboutir au sein du je, comme au sein du Soi. L'Absolu et l'Ultime ne peuvent coexister, en aucune manière, avec cela puisque cela est la négation même de l'Absolu. Il faut, en quelque sorte, reconsidérer et replacer l'ego lui-même, ou le Soi lui-même, dans ce qu'ils sont, et dans ce qu'ils ne seront jamais. Cet exercice n'est pas une pratique (ni mentale, ni spirituelle) mais bien une évidence qu'il faut éclairer, de manière logique et totale. Je le répète aussi, pour cette question : rien de ce qui t'es connu, ou connaissable, ne te conduira à l'Absolu, ni ne relève de l'Absolu. L'acceptation, pour l'ego ou le Soi, du néant, de la disparition, est le préalable indispensable à l'Onde de Vie, témoin de l'Absolu. Il y a donc un ensemble de procédures, situées dans le fini, qui consiste, justement, à voir ce qui est fini, et finissable. Afin de ne pas y adhérer, en aucune manière, à ne pas rendre pesant ce qui est déjà une pesanteur, à ne pas, en quelque sorte, l'alimenter. Le plus souvent, par cette forme d'enquête extrêmement logique (où vous définissez, par vous-mêmes, ce qui vous est connaissable ou ce qui vous est connu), cette enquête aboutira, nécessairement et fort logiquement, au point de basculement. Et donc l'Absolu se révèlera à vous. Bien sûr, cela ne va pas se passer sans quelques manifestations de colère, de tristesse, de joie, de troubles (Intérieurs ou extérieurs) mais reconnaissez que ce qui se manifeste, à ce moment-là, est là aussi limité et connu.
Rappelez-vous (et rappelle-toi) qu'il n'y a pas de but, qu'il n'y a même pas de chemin. Il y a juste la Vérité, nue, sans support, sans accroche, sans autre chose que soi-même : la Vérité, inconditionnée, inconditionnante. L'Absolu (du point de vue de l'image que peut s'en donner l'ego ou le Soi) est Amour et Lumière, et Vibration. Amour, Lumière et Vibration, sont ce qui apparaît au sein de l'ego, déployant le Soi. Mais tout ceci deviendra superflu, même s'il est vécu, et devra être considéré comme tel. Même les processus les plus violents de la Conscience elle-même (comme l'éveil du Canal de l'Éther ou Kundalini), en définitive et en Ultime, ne représentent qu'un spectacle, qu'une représentation, qu'une illusion de plus. Il vous restera alors à rencontrer, à vous rencontrer, dans le non-être, dans la non-conscience, dans ce que vous pouvez nommer, du point de vue de l'ego : le néant, qui se révèlera Absolu et Ultime. Mais il n'y a aucun chemin, aucun but. Seul le Soi croit cela, seul le Soi a structuré un certain nombre d'enseignements. L'Absolu ne connaît aucun enseignement, aucun enfermement, aucune limite, et aucune possibilité de structure. Même la forme de ce corps est vécue pour ce qu'il est : une illusion éphémère et pourtant acceptée. Mais vue tel qu'elle est.
La Liberté n'a pas de prix, et n'est pas un prix. La Liberté n'est pas non plus un état. L'Absolu est la seule Liberté, au-delà d'un état, au-delà d'une étape. Examinez tout ce qui est limitant, tout ce qui est condition. Examinez tout ce qui est relation, et même communication. Examinez ce que vous nommez Amour et Lumière, du côté de la personne ou du Soi, et réfutez tout cela. L'Absolu n'y est pas. Mais l'Amour et la Lumière sont, bien sûr et bien évidemment, la traduction de l'Absolu, ici et ailleurs, mais non pas l'Amour et la Lumière vus depuis la personne, ou vus depuis le Soi, mais bien, dans l'Essence et la nature même de ce qu'Est l'Absolu. Il n'y a rien à comprendre, il n'y a rien à saisir, rien qui puisse tenir parce que, par essence, éphémère. Sortez de toute idée, de tout bagage spirituel, laissez-les où ils sont : dans le Soi ou dans la personnalité. Vous avez à Être le non être, ailleurs que dans cela. À ce moment-là, à cet instant-là, le basculement se fera, sans aucune participation de votre part. Parce que c'est le temps.

Question : j'ai conscience que le mental maintient l'ego en perfusion, et lorsque ce mental se retire, c'est le sommeil qui s'installe ou un état de semi-conscience. Le Mariage Mystique est-il facilité par cet état de sommeil ?
Oui. Dès l'instant où il te semble sombrer ou partir dans ce que tu nommes sommeil, tu n'as jamais été aussi proche de l'Absolu. Parce que le sommeil est, en quelque sorte, en limité, la disparition du monde et la disparition du conscient. Mais un sommeil où n'existerait pas de rêve. Le sommeil est donc la manifestation, au sein du limité, d'une forme proche du sans forme de l'Absolu. Tout ce qui ralentit le mental, tout ce qui ne lutte pas contre lui, mais lui fait voir sa propre fatuité, est utile. Mais ne faites pas de cela une finalité. La méditation est juste destinée à être l'observateur de votre propre mental, vous faisant prendre une forme de distance par rapport à lui. Cela, bien évidemment, ne suffit pas à l'Absolu, mais pourrait faire partie des conditions préalables à ce que l'Absolu se révèle à vous. Si le mental disparaît, sans sommeil, totalement et entièrement, alors, l'Onde de Vie naît. La peur, les doutes, qui sont inscrits dans le complexe émotionnel et mental, se manifesteront mais, du fait même de l'endormissement du mental et de la Conscience, cela pourra se vivre beaucoup plus facilement et aisément.
Il est important que les questions que vous vous posez, ou que vous m'avez posées, aient une réponse. Non pas, encore une fois, pour satisfaire un quelconque ego, mais bien pour vous rendre à la lucidité, et à la stupidité, de vous-mêmes. Car il n'y a rien de plus stupide que quelque chose, ou une conscience, qui se croit aboutie au sein du limité. La conscience a besoin de limites. La Conscience même dite Illimitée, non séparative, de la Réalisation, connaît sa propre limite par sa propre disparition et sa propre inscription dans le corps. L'Absolu vous désinscrit du corps, et vous inscrit dans n'importe quelle réalité. Vous n'êtes plus tributaire d'une quelconque forme. Vous n'êtes plus assimilés, et assimilables, à une personne, ou à un Soi. Qu'y a-t-il de mieux, pour se le représenter, que l'état d'endormissement ou de sommeil ? Le sommeil (qui est représenté, par l'ego, comme l'ignorance) est, pour l'Absolu, l'approche de la vraie Connaissance, qui met fin à l'ignorance. Ces mots que j'emploie peuvent, pour le moment, se présenter sans sens, sans logique, mais ils impriment, en vous, leur absolue Vérité, et l'Ultime.

Question : j'ai toujours beaucoup de questions en moi, aujourd'hui, il ne m'en vient aucune, et pourtant, je suis sûre que j'ai toujours attendu ce moment. Est-ce la peur ? Pouvez-vous m'aider ?
En quoi aurais-tu besoin d'une quelconque aide ? Il n'existe nul sauveur et nulle aide. L'Absolu peut apparaître (en quelque sorte, réapparaître, puisqu'il n'a jamais disparu) dès l'instant où cesse toute question, toute activité. Si vous étiez capables d'arrêter l'ego (si tant est que je puisse employer cette expression) pendant dix secondes, l'Absolu serait là. Ce qui sous-entend, bien évidemment, que jamais vous n'avez pu arrêter l'ego. Vous pouvez le transformer, et vivre le Soi. Le Soi qui peut représenter, en quelque sorte, un achèvement de l'ego, mais qui, comme je l'ai dit dans mon préambule, ne vous permettra jamais d'être Absolu. L'Abandon du Soi lui-même est l'ultime possibilité, et l'unique possibilité. Dans l'Abandon du Soi lui-même, il y a le basculement, il y a l'Absolu qui vous trouve. Il faut donc passer du « je suis » , ou du Soi, au non « je suis » et au non Soi.
S'il n'y a pas de question, c'est qu'il reste en toi l'unique question : ai-je peur ? L'absence de question, bien sûr, au sein de l'ego et de la personne, n'est pas la fin du questionnement, mais bien plus, la difficulté de se poser l'ultime question, qui est celle de sa propre disparition, en tant qu'ego ou en tant que Soi. Et cela se réalise tout seul, rejoignant la Crucifixion et la Résurrection. Il faut, là aussi, acquiescer, de la même façon que, quand la forme prend fin, et que cela est annoncé, il vous faut aussi passer par certaines étapes. Il n'y a que lors de l'ultime étape, qui est l'acceptation, qu'il y a, réellement, capitulation et reddition de l'ego et du Soi. Et c'est à ce moment-là que la Liberté apparaît, et que la Libération réapparaît. Il n'y a pas d'autre alternative, il n'y a pas d'autre possibilité que cela. Réaliser l'Absolu est, donc, au-delà de toute Réalisation, au-delà de toute conscientisation. C'est donc transcender, de l'éphémère à l'Éternel, de la forme au sans forme, du limité à l'Illimité. Ce n'est pas simplement une révolution, ce n'est pas seulement une transformation, ce n'est pas, non plus, une finalité, mais l'Ultime. L'Ultime ne se révèle que quand tout le reste, tout ce qui est connu, tout ce qui vous est connu, en tant qu'expérience, en tant que, même, connaissance ou croyance, se résout de lui-même, dans ce que l'ego appelle le néant. Ce quelque chose ne peut être cherché, parce que dès qu'il est cherché, il fuit. Il ne peut être que trouvé dans l'évidence d'une non recherche, mettant fin à la quête, absurde, de ce qui Est, au-delà de toute projection, de toute conscience, de tout monde, de toute histoire. Il y a, pour ce qui est conscient, la possibilité de vivre cela comme un gouffre, sans fin, ce qui a été nommé le moment où l'Onde de Vie vient mettre fin aux doutes et aux peurs, inscrits dans ce qui est nommé chakras. Mais ce n'est pas vous qui le réalisez, ce n'est pas vous qui œuvrez : c'est l'Onde de Vie qui œuvre, témoin de l'Absolu et marqueur de l'Absolu. C'est dès l'instant où vous acceptez de ne plus contrôler, de ne plus maîtriser, de ne plus diriger, que l'Onde de Vie et l'Absolu prennent, en quelque sorte, le contrôle, la direction, de la Vie. Vous ne pouvez faire autrement. Vous ne pouvez prétendre connaître quoi que ce soit de cela. Il y a, à travers cela, une invitation à le vivre. Cette invitation à la transcendance est, très exactement, ce qui se produit en vous. Il est nécessaire de bannir de votre vocabulaire, comme de toute action, la culpabilité, les limites, les conditions, et bien sûr, les questions. Et c'est là où je veux en venir, pour toi : « heureux, les simples d'esprit », car l'absence de questions conduit à cela.

Question : Pourquoi je n'ai aucune question à poser ?
Alors, écoute ton propre silence et dans l'espace de ce silence, où n'est nulle question et nulle réponse, s'établit la résonance de ce qui est nommé « de cœur à cœur », bien au-delà de la localisation de ton cœur et de mon cœur, qui est le cœur en tant que Centre : espace et temps où s'établit la Vérité, au-delà de l'ego et de la personne, au-delà du Soi. Espace de Silence où n'existent nulle revendication et nulle justification. Dans ce moment, peut arriver ce qui doit arriver. Maintenant ou après, dans la perspective temporelle de l'ego, s'inscrit, en ton cœur et en mon Centre, le Silence, l'absence de question et l'embrasement de tes sens te conduisant à ton essence et à ta nature.Silence. La question peut être considérée comme absence de Silence. Toute question, comme toute réponse, dans nos entretiens que je nommerais (si vous le voulez bien) entre tien et mien. Parce qu'il n'y a rien, entre, nulle distance, il n'y a rien qui ne tienne. Les questions, comme les réponses, entretiennent un espace. Cet espace, en lui-même, n'est rien, mais il est aussi Ondes qui, au-delà de ce monde, sont un signal. Le Silence est, en quelque sorte, le signal de la résolution. Il est préparation, comme le sommeil, dès l'instant où il n'est comblé par rien d'autre, ni désir, ni projection. Alors oui, il est préparation, lui aussi.

Question : On a quand même une personnalité, donc on est quand même sujet à la maladie, à la tristesse. Dans ce cas là, peut-on se programmer et rentrer dans l'Absolu, ou ceci n'est-il pas possible ?
Qui est sujet ? La personne. Tant qu'il y a considération, de cette façon, en la croyance en une maladie, qui est malade ? L'Absolu ne connaît rien de tout cela. Tant que la conscience accorde crédit à une quelconque perturbation de la personne (nommée maladie, joie ou peine), vous considérez donc (et cette personne considère) qu'elle est inscrite dans une linéarité. Rien ne peut représenter un obstacle à l'Absolu, si ce n'est soi-même. Cette question dénote un comportement, de nature illusoire, d'adhésion à ses propres limites, à ses propres conditionnements. Comment peut-on adhérer à ses propres conditionnements, effectivement, et concevoir même que l'Absolu puisse exister ? Les propositions de cette question dénotent une volonté de comprendre l'incompréhensible, de s'approprier l'Absolu. Cela ne sera jamais, jamais, réalisable. Tant qu'il n'y a pas reddition, tant que l'ego veut comprendre, tant que l'ego croit qu'il est malade, qu'il existe une naissance, qu'il existe une mort, il s'inscrit lui-même, de manière formelle et forte, dans ses propres limites, dans ses propres conditionnements et dans sa propre stupidité. On ne peut pas envisager une réalité quelconque à la naissance et à la mort. On ne peut pas envisager une quelconque densité à la maladie et à la souffrance, si ce n'est en se plaçant soi-même au sein de ses propres limites et en les renforçant soi-même, c'est à dire en fermant la porte à double tour. Il n'y a aucune place pour l'Absolu, dans cela. La prison est fermée. Croire que ce qui est éphémère, comme une personne (dans ses joies comme dans ses peines, dans la maladie comme dans la mort), va pouvoir s'affranchir de cela, est la stupidité la plus totale. Seul l'ego est stupide. Vouloir résoudre, vouloir sortir de prison en restant en prison, est vraiment illogique. Vous n'êtes ni cette prison, ni ce corps, ni cette maladie, ni cette naissance, ni cette mort. Tant que vous posez cette équation, vous tournez en rond et vous n'en sortirez jamais. Voulez-vous, d'ailleurs, en sortir ? Là est la question. Assurément non. Quoi que vous disiez, quoi que vous déclamiez, quoi que vous revendiquiez, vous vous inscrivez, à travers cette question, dans l'ego et dans la persistance de l'ego, ce qui est tout aussi illusoire puisque l'ego n'a aucune persistance. Mais il n'est pas à un paradoxe près.
L'Absolu n'est en aucun cas une réflexion, n'est en aucun cas une compréhension, par l'ego ou par le soi. L'Absolu Est. Vous ne pouvez avoir une quelconque prétention à l'Absolu parce qu'il Est. Mais tant que vous ne faites pas taire l'ego (sans le contraindre mais simplement en le réfutant), vous n'êtes pas dans la logique de la Vie mais vous êtes dans la logique de la négation de la Vie. Vous êtes présents au sein d'une illusion appelée le corps, vous êtes présents au sein d'une succession de vies que vous appelez réincarnation. Vous y êtes depuis des temps immémoriaux. En êtes-vous jamais sortis ? Voulez-vous en sortir ? Réfléchissez : où est la logique ? Vous voulez vous saisir de l'Insaisissable. Vous voulez vous approprier ce que vous Êtes. Cela est absurde, totalement absurde. Vous donnez du poids et de la densité à votre propre éphémère en revendiquant l'Éternité. Cela ne peut fonctionner de cette façon. Que recherchez-vous ? Il n'y a rien à rechercher. Que poursuivez-vous ? Il n'y a rien à poursuivre, ni à suivre. Arrêtez, arrêtez-vous, posez-vous et déposez. Le miracle de la vie est là. Indépendamment de vous, et heureusement. Au delà de toute histoire et de toute condition. L'ego représente un ensemble de revendications et veut poser ses conditions. Ce qui est impossible.

Question : J'ai extrêmement peur de la notion de néant et l'idée de disparaître me terrorise. Comment puis-je me débarrasser de cette peur, car en même temps je suis très attirée par la notion d'Absolu, mais c'est encore très intellectuel. Comment me défaire de ce rejet de ce que je Suis vraiment ?
Il n'y a rien à rejeter. Il y a une incompréhension. Réfuter n'est rien rejeter, mais justement tout accepter. Il y a une incompréhension intellectuelle et mentale, totale. L'ego joue à ne pas comprendre, parce qu'il veut s'emparer de cette notion de néant. Il n'y a rien qui disparaît. Il y a bien plutôt ce qui apparaît. Seul l'ego croit à cela. Cette peur est sécrétée et tu donnes poids à cette peur. Tu te complais donc, en quelque sorte, dans ton propre jeu, revendiquant la séduction de l'Absolu, mais entretenant, par là même, ton déni de l'Absolu. Dis-toi bien que tu disparaitras un jour, que tu le veuilles ou non. Tu es faillible et tu es éphémère. Si tu te places dans l'ego, il ne peut apparaître que la peur. L'ego, qui se croit infaillible et immortel, est faillible et mortel. N'est-ce pas risible et à la fois pathétique ? Il n'y a rien de permanent dans ce que tu crois : il n'y a que de l'éphémère, il n'y a que de l'illogisme. Et tu voudrais t'appuyer sur cela pour dépasser quelque chose ? C'est strictement impossible. Meurs à toi-même. Considère ton aspect éphémère, accepte-le, en totalité. Accepter la condition éphémère de l'ego est la seule façon d'y arriver. L'Unité, et a fortiori l'Absolu et Ultime, ne peuvent exister tant que l'ego joue à ce genre de jeu. Car tu n'existes pas avant ta naissance et tu n'existes pas après ta mort. Comment peux-tu même penser qu'au sein de cela tu peux envisager de vivre l'Absolu puisque tu t'inscris toi-même dans ta propre disparition et dans ta propre peur de disparaître ? Alors que j'ai bien parlé d'apparition et non de disparition. L'ego inverse et retourne tout. Là est son problème. Mais tu ne peux lutter contre ça : tu ne peux qu'en rire. C'est-à-dire mettre une distance et non pas un rejet, parce que cela est et fait partie de ce que tu vis. Mais ce n'est pas la vie. Accepter cela, c'est déjà rire de soi et rire de son ego. Ne pas lui donner plus de poids qu'il n'en a, ne pas lui accorder de crédit et surtout ne pas le croire. Surtout quand il t'affirme que tu vas trouver ou que tu es attiré par l'Absolu. On ne peut être attiré par ce que l'on Est : ce n'est que l'ego qui fait croire ça. Il convient donc de changer de regard, de changer de stratégie et de ne pas croire tout ce que te dis ton ego, parce qu'il fera tout ce qui est en ses moyens (et il sait qu'il a toute la puissance pour le faire) pour t'éloigner de ce que tu Es. Il ne te sera d'aucun recours, ni d'aucune utilité, pour l'Absolu. Tu ne peux donc envisager, d'aucune manière, trouver une quelconque solution, tant que tu restes là où tu es. Il n'y a que toi qui peux accepter et agréer à la stupidité de ton ego, sans pour autant le rejeter. Le voir, le montrer, n'est pas le rejeter. Simplement le comprendre, et peut-être l'apprivoiser et surtout pas le contraindre, parce qu'il te re-proposera toujours la peur de l'Absolu, considéré, pour lui, comme néant.

Question : Pourquoi être Tout et Rien est-il si difficile et si facile à la fois ?
Si cela est le cas, réellement, dans ton vécu, alors ne me pose pas la question et ne te la pose pas. Parce que si cette question émerge, si cela est à la fois aussi simple et si cela n'est pas seulement une affirmation mentale, alors il n'y aurait pas cette question. Donc cette question ne fait que traduire le jeu de ton propre mental entre le Tout et le Rien. Tu peux discourir de l'Absolu jusqu'à plus soif, tu pourrais écrire une encyclopédie, ce n'est pas pour autant que tu le vivrais parce que tu ne peux rendre témoignage mental de l'Absolu. Tu ne peux qu'en décrire les effets, les symptômes, si tu préfères, qu'il procure au sein de cette forme. Tous ceux qui ont vécu l'Absolu ont employé le même langage : le langage de l'Amour, de la Liberté, le langage de l'Onde de Vie. Poser la question du Tout et du Rien qui est si simple et si difficile, n'est qu'une forme d'acceptation ou d'acception mentale d'une interrogation qui reste à ce niveau-là. Cela est simple, mais cela devient extrêmement compliqué dès que le mental s'en mêle, parce qu'il s'emmêlera nécessairement dans ses propres raisonnements et ne pourra jamais en sortir parce que l'Absolu n'est aucun raisonnement, il est juste logique et simple. Il est logique et simple que ce qui te permet même de t'exprimer est bien ce corps, cette langue, cette bouche. A-t-elle une quelconque existence au delà de la naissance et de ta mort ? Réfléchis à cela. Est-ce que tu pourrais poser cette question en étant morte ? Quelle question pourrait émerger du sommeil ou de la mort ? Le Tout et le Rien restent un concept mental qui sont les deux extrémités de ta propre limite. Le Tout n'est pas l'Absolu, sans ça, il s'appellerait le Tout. Tu assimiles, de façon hasardeuse, le Tout et le Rien, à l'Absolu, parce que cela agrée à ton mental qui se fournit ainsi un alibi et un prétexte d'interrogation au niveau mental. Mais tant que tu restes dans cette limite du Tout et du Rien, c'est comme si tu restais dans la limite du bien et du mal. Cette équation est insoluble dans le monde de l'action et de la réaction. Tu ne peux résoudre cette équation au niveau où tu es située. Le bien et le mal, le Tout et le Rien, peuvent être exprimés à travers des notions philosophiques, morales ou autres, mais elles restent à l'intérieur du cadre. La personnalité ne peut connaître que la personnalité. Elle peut en décrire tous les rouages, tous les mécanismes mais connaître les mécanismes et les rouages ne permettra jamais de t'échapper du mécanisme et du rouage. Réfléchis à cela. L'intitulé même de ta question renforce tes propres limites et tes propres freins. Tu te places, en quelque sorte et en définitive, dans une limite que j'appellerais mentale, inscrite dans sa logique de bien et de mal, de Tout et de Rien. Ce mental là espère maîtriser, contrôler, réduire, en quelque sorte, l'Absolu, à sa propre portée. Mais encore une fois, ce n'est pas ton mental qui va trouver l'Absolu, c'est l'Absolu qui va dissoudre ton mental, dès l'instant où tu accepteras de capituler, c'est-à-dire de perdre la tête. Celui qui a peur de la folie ne fait que refléter sa propre folie. Celui qui a peur du vide ne fait que refléter son propre vide. C'est une affaire de projection, ou si tu préfères, de fantasme, qui n'a de réalité qu'au sein de la personnalité, qui vient renforcer la personnalité. Et c'est sans fin. Réfléchis à cela.

Question : Il m'arrive encore d'être déstabilisée après avoir été spontanée ou dans la simplicité, en constatant que la personne ne m'a pas comprise ou a compris exactement l'inverse de ce que je pensais avoir exprimé. Je perds alors tous mes moyens, je suis de moins en moins clair dans mes explications, prise par la peur de passer pour incrédible. Je continue malgré tout à me laisser aller à la spontanéité et à la simplicité et depuis quelques temps, je fais en sorte de ne plus me justifier sur le moment, mais après. Comment trouver ce qui ne va pas dans ma façon d'être spontanée ?
Qui a besoin d'être justifié, à l'extérieur de soi ? Qui veut être compris tel qu'il s'est exprimé ? Tu es responsable de ce que tu exprimes, mais tu n'es aucunement responsable de ce qui est compris. Tant que tu attaches une importance à ce qui est compris, tu es dans une projection et donc dans un besoin d'approbation ou un besoin de récompense. Qu'est-ce qui, en toi, a besoin de récompense, d'approbation et de reconnaissance ? Qu'est-ce qui, en toi, est blessé par l'absence de reconnaissance, si ce n'est l'ego ? L'ego qui a besoin d'être reconnu comme valide. Mais est-ce qu'un ego peut valider un autre ego, qu'il l'ait compris ou pas ? Tant que tu te mireras dans le regard de l'autre, au travers d'une compréhension (l'autre n'est qu'un ego comme toi), aucun ego ne peut te rassurer, le tien comme celui d'un autre. Cette équation là ne peut être résolue, parce que l'ego sera toujours insatisfait. Là aussi, il te fait croire que tu peux arriver à une perfection. C'est impossible. Et quand bien même il y aurait le sentiment d'une perfection, cette perfection là ne te ferait aucunement sortir de ton propre ego. Cela le renforcerait parce qu'à ce moment là il y aurait reconnaissance, il y aurait récompense et il y aurait éloignement de l'Absolu. Donc le comment faire pour arriver à cela n'est certainement pas un conseil que je pourrais te donner. Mais bien, si je peux te donner un conseil, c'est : ne t'attache plus à cela. Parce que tu t'enfermes toi-même dans une relation et cette relation est une relation de distance. Il y a, à travers ce que tu poses, le besoin de reconnaissance, mais au-delà, le besoin d'être reconnue, et encore au-delà, le besoin d'empathie, qui ne sera jamais la fusion de l'Absolu, et encore moins l'Union Mystique. Tant que tu n'auras pas rejeté (et là je parle de rejet et non pas de réfutation) ce mécanisme de fonctionnement, ni le Soi, ni l'Absolu, ne pourront apparaître. Tu envisages la perfection au sein du connu. Aucun connu ne peut être parfait parce qu'il est éphémère. Et la perfection ne peut appartenir aucunement à un éphémère. Il peut donner un sentiment, le sentiment de quelque chose qui a été accompli parfaitement, comme dans une relation, comme le fait d'être compris dans ce qui a été exprimé. Je te répète : tu es responsable de ce que tu exprimes, mais tu n'es pas responsable de ce qui est compris. Ainsi, tu crées toi-même les propres circonstances de ta propre blessure et au lieu de fermer la plaie, tu la rouvres à chaque fois. Je précise toutefois que l'Absolu n'a que faire de ce jeu. Mais tant que tu joues à cela, à travers ce besoin de reconnaissance, ce besoin d'être reconnue, tu te places inlassablement sous la sphère de l'ego parce que l'Absolu n'a pas besoin d'être reconnu. À toi de savoir quel jeu et quelle partition tu entends jouer. Mais tu ne peux prétendre aux deux partitions.
Il ne peut exister aucun Absolu dans une relation verbale, dans une relation affective. Par contre, celui qui est Absolu peut envisager d'établir une relation Absolue, mais qui ne sera plus une communication, ni un affectif. Mais entre ces deux consciences alors s'établira, là aussi, une transcendance qui s'établit de cœur à cœur, de tête à tête, de petit bassin à petit bassin, de jambe à jambe, de corps à corps, jusqu'au point où l'autre devient soi. Ce n'est plus une relation, ce n'est plus une communication, c'est une Union Mystique qui ne s'accorde avec aucun jugement, avec aucun besoin de reconnaissance, ou d'être reconnu et surtout avec aucun besoin de justification. Il est donc urgent de saisir qu'il n'y a rien à prouver à l'extérieur de soi, de la même façon qu'il n'y a rien à trouver en soi, comme à l'extérieur de soi. Que toute recherche de preuves ou d'acquiescement n'est (comme je te l'ai dit) que le reflet de tes propres peurs d'être toi-même, indépendamment du regard de l'autre, indépendamment de la compréhension de l'autre. Il existe donc une forme de dépendance à l'autre. Parce que tu espères te trouver dans le regard de l'autre, ou dans l'assentiment de l'autre, ce qui est strictement impossible et t'éloigne de toi-même. Il n'y a donc rien à vouloir résoudre dans cette question que tu poses. Il y a juste à voir clair dans ce que tu poses, et ce qu'il y a donc à déposer, pour être Libre et envisager la Liberté.

Nous n'avons plus de questionnement nous vous remercions.
Je vous remercie donc pour nos entre tien et mien. Certainement à très bientôt, selon la formule consacrée.


BIDI

8 avril 2012-2

Pregunta: ¿Qué está frenando, simplemente vaya a la Ser en el Absoluto?
El Sí mismo. ¿Qué puede impedir, si no es el yo o el ego, ellos mismos? El ego no puede conocer lo desconocido. No puede vivir, no puede conceptualizar no puede percibirlo, se puede considerar. En cuanto a la Ser, que es una contemplación. Y este estado de contemplación a menudo ha sido visto como un fin, como conclusión. El diseño del auto como completa y final, es el freno. Resistencia a la ruptura es en última instancia. Y esto es, por supuesto, respaldado por el miedo: miedo a lo desconocido, miedo de lo que no existe, por el que está en lo finito y de la experiencia del Sí mismo. Este miedo sólo puede ser combatido y, en muchos casos incluso puede ser visto, ni integrado. No es sólo un acto de entrega total, la capitulación total, que se produce la trascendencia. El hecho de que no hay puente, de un estado a la Ultimate, es sin duda el más traumático e insatisfactorio, ya que para el ego al Sí mismo. La paradoja del ego y el yo, mientras que siendo limitado y no definitivo, es considerar, tanto en lo eterno. Hay una constante búsqueda, una búsqueda de la eternidad, lo que puede, por supuesto, nunca resultará en la que, como en el auto. El Absoluto y Ultimate no pueden coexistir de alguna manera con que, debido a esto es la negación misma de lo Absoluto. Debemos, de alguna manera, revisar y poner el propio ego, o el Ser mismo, en lo que son, y lo que nunca será. Este ejercicio no es práctico (o mental o espiritual), pero una clara necesidad de aclarar, de una forma lógica y completa. Repito también, para el caso: nada de lo que eres conocido o cognoscible, no conducen a la absoluta, ni es el Absoluto. Aceptando, por el ego o el yo, de la nada, de la desaparición, es un requisito previo para la ola de la vida, testigo de lo Absoluto. Así que hay un conjunto de procedimientos, que se encuentra en lo finito, que es, precisamente, para ver qué ha pasado, y finissable. A fin de no participar en ninguna manera, no para hacer lo que ya pesa un peso, no para, de alguna manera, el poder. La forma más común de esta investigación muy lógico (que se configura, por sí mismo, que usted o lo que es cognoscible se conoce a usted), esta investigación conduzca, necesaria y lógicamente, el punto de inflexión. Y por lo tanto, el Absoluto le demostrarán a ustedes. Por supuesto, esto no ocurrirá sin algunas manifestaciones de la ira, la tristeza, la alegría, los trastornos (interior o exterior) pero hay que reconocer que lo que parece, en ese momento, no es también limitada y conocida.
Recuerde (y recordar) que no hay una meta, ni siquiera hay camino. No es sólo la verdad, desnuda, sin ningún apoyo, ningún reclamo, no es otro que a sí mismo: la Verdad, inconditionnante incondicional. El Absoluto (en términos de imagen que puede dar el ego o el Ser) es Amor y Luz, y la vibración. Amor, Luz y vibraciones, que se muestran en el ego, la implementación del Yo. Pero todo esto se convertirá en superflua, incluso si se vive, y debe ser considerado como tal. Incluso los procesos más violentos de la conciencia misma (como el éter del Canal de despertar o Kundalini) y Ultimate en última instancia, sólo un espectáculo, una representación, una ilusión de más. A continuación, se reunirán para conocerlo, en el no-ser, en el no-consciente, en el que se puede nombrar, desde la perspectiva del ego: el vacío, lo que resultará absoluta y última. Pero no hay camino, no hay metas. Opina que sólo el Ser, el Ser, ha estructurado una serie de lecciones. El Absoluto no conoce la educación, la reclusión no, sin límite, y no hay posibilidad de la estructura. Incluso la forma de este cuerpo se experimenta por lo que es: una ilusión fugaz, pero aceptó. Pero visto como está.
La libertad no tiene precio, y no es un precio. La libertad no es un estado. El Absoluto es la única libertad, más allá de un estado, más allá de un solo paso. Consideremos todo lo que es limitante, todo lo que se proporciona. Examinar todo lo que se relaciona, e incluso la comunicación. Considere lo que usted llama Amor y la Luz, en el lado de la persona o el yo, y refutar todo esto. El Absoluto no está allí. Sin embargo, el amor y la luz son, por supuesto, y por supuesto, la traducción del aquí absoluto, y en otros lugares, pero no el amor y la luz como se ve desde la persona, o visto por sí mismo, pero, en Esencia y la naturaleza de lo Absoluto. No hay nada que entender, no hay nada que entender, nada que celebrar, ya que, por naturaleza, efímero. Salga de cualquier idea de cualquier trasfondo espiritual, dejarlos donde están: en el auto o de la personalidad. Usted tiene que ser el no-ser, más que eso. En ese momento, en ese instante, la conmutación por error, sin ninguna participación de su parte. Pues ya es hora.

Pregunta: Soy consciente de que la mente sigue el ego de la perfusión, y cuando la mente se retira, es el sueño que está instalado o un estado de semi-conciencia. El matrimonio místico Es facilitado por este estado de sueño?
Sí. Desde el momento en que parecen hundirse en o desde lo que se llama sueño, que nunca ha estado tan cerca de lo Absoluto. Debido a que el sueño es de alguna manera limitada por la desaparición del mundo y la desaparición de la conciencia. Pero el sueño no existiría como un sueño. El sueño es la manifestación, dentro de la limitada, una forma cercana a la forma libre de lo Absoluto. Todo lo que ralentiza la mente, cualquier cosa que no lucha contra él, pero él muestra su propia vanidad, es útil. Pero no lo convierten en un objetivo. La meditación es sólo la intención de ser el observador de su propia mente, lo que hace que una forma de distancia de él. Esto, por supuesto, no basta con el Absoluto, pero podría ser parte de las condiciones previas que el Absoluto se revela a usted. Si la mente desaparece, sin dormir, total y completamente, entonces la ola de la vida que nace. El miedo, la duda, que están inscritos en el manifiesto del complejo emocional y mental, pero el hecho mismo de la voluntad de conciliar el sueño la mente y la conciencia, pueden vivir mucho más fácil y rápidamente.
Es importante que las preguntas que usted hace, o que me han preguntado, tengo una respuesta. No, de nuevo, para adaptarse a cualquier ego, pero para llegar a la lucidez y la estupidez, de ustedes mismos. Porque no hay nada más que una estupidez, o una conciencia, que se siente realizado dentro de la limitada. La conciencia necesita límites. Incluso llamó a la conciencia ilimitada, no de división, el Director, conoce sus propios límites por su propia muerte y su propia entrada en el cuerpo. El Absoluto se da de baja del cuerpo, y se inscribió en una realidad. Usted ya no depende de ninguna forma. Usted está más asimilada, y asimilados, a una persona, o por cuenta propia una. ¿Qué podría ser mejor, para que lo represente, el estado de somnolencia o sueño? El sueño (que es representado por el ego, como la ignorancia) es, por el Absoluto, el enfoque del verdadero conocimiento, que pone fin a la ignorancia. Estas palabras que uso son, por ahora, parecen sin sentido, sin sentido, pero que se imprimen, en el que, a su verdad absoluta, y Ultimate.

Pregunta: Tengo muchas preguntas siempre en mí, ahora que se me ocurre ninguno, y sin embargo estoy seguro de que siempre he esperado este momento. ¿Es miedo? ¿Me pueden ayudar?
¿Qué haría usted necesita alguna ayuda? No hay quien salve y ninguna ayuda. El Absoluto puede aparecer (en algunos reaparecen manera, ya que nunca se fue) tan pronto como siempre cualquier pregunta, cualquier actividad. Si fueron capaces de dejar el ego (si puedo usar ese término) durante diez segundos, el Absoluto estaría allí. Esto implica, por supuesto, que nunca han sido capaces de dejar el ego. Puede que a su vez, y vivir el Sí mismo. El auto que puede representar, de alguna manera, una realización del ego, pero, como dije en mi exposición de motivos, que nunca será absoluta. El abandono de sí mismo es la última posibilidad, y la única posibilidad. Abandonado en el propio yo, no están cambiando, no es el Absoluto que se encuentra. Por consiguiente, debemos pasar de la "I" o auto, no «yo soy» y no yo.
Si no hay ninguna duda, es que permanece en vosotros la pregunta uno: tengo miedo? La ausencia de la materia, por supuesto, dentro del yo y la persona no es el final del interrogatorio, sino más bien, la dificultad para hacer la última pregunta, que es el de su propia desaparición , como yo o como el Yo. Y esto viene por su cuenta, uniéndose a la Crucifixión y la Resurrección. Debemos, de nuevo, aceptar de la misma manera que cuando termina la forma, y ​​se anuncia, también es necesario pasar por ciertas etapas. Es sólo durante la etapa final, que es la aceptación de que existe, en realidad, la capitulación y rendición del ego y el yo. Y es entonces que la libertad aparece y reaparece como el de la Liberación. No hay alternativa, no hay otra posibilidad que eso. Darse cuenta de lo Absoluto es, por tanto, más allá de cualquier director, más allá de cualquier conocimiento. Por lo tanto, trascender lo efímero a lo eterno, de la forma a la limitada forma, a lo ilimitado. Esto no es sólo una revolución, no sólo es una transformación, no lo es, o bien, un propósito, pero el último. La última sólo se revela cuando todo lo demás, todo se sabe, todo lo que se conoce a usted, como una experiencia, ya que, además, el conocimiento o las creencias, se resuelve por sí mismo, en este el ego llama nada. Eso es algo que no se puede buscar, porque cuando haya resistido la prueba, huyó. Sólo se puede encontrar en la evidencia de un no-investigación, poniendo fin a la búsqueda, absurdo, que es, más allá de cualquier proyección, la conciencia de todo, todo el mundo, de toda la historia. Hay, por lo que es consciente, capaz de vivir como un abismo sin fin, que fue nombrado cuando la ola de la vida se termina con las dudas y temores, se inscribió en lo que se llama chakras . Pero no es que te das cuenta, no son ustedes los que trabajar: esta es la ola de la vida que trabaja, testigo de lo Absoluto y el marcador de lo Absoluto. Este es el momento en que acepta perder el control, no tiene control sobre, a no vivir, como la ola de la vida y el Absoluto son, de alguna manera, el control, la gestión de la Vida, . Usted no puede hacer otra cosa. No se puede pretender saber nada de eso. Allí, a través de esta, una invitación a vivir. Esta invitación a la trascendencia es, exactamente, lo que sucede en usted. Es necesario desterrar de su vocabulario, al igual que cualquier acción, la culpa, las limitaciones, condiciones y, por supuesto, las preguntas. Y ahí es donde voy a por ti: "¡Feliz el simple" porque la falta de preguntas que conducen a esto.

Pregunta: ¿Por qué tengo alguna duda?
Así que escucha a su propio silencio y el espacio de silencio, donde hay preguntas y respuestas que no, se puso la resonancia de lo que se llama "corazón a corazón", mucho más allá de la ubicación de tu corazón y mi corazón, que es el centro del corazón como: espacio y tiempo que establece la verdad, más allá del ego y la persona, más allá del yo. El silencio del espacio donde no hay demanda y la justificación ninguna. En ese momento, esto puede suceder tiene que suceder. Ahora o más tarde en la perspectiva temporal del ego, cabe en su corazón y en mi centro, el silencio, la ausencia de la materia y la quema de sus sentidos para llevar a su esencia y su naturaleza. Silencio. La cuestión puede ser considerada como falta de silencio. Cualquier pregunta, ya que cualquier respuesta, en nuestras conversaciones que yo llamo (si no te importa) entre el tuyo y el mío. Porque no hay nada entre, no hay distancia, no hay nada que no es tuyo. Cuestiones tales como respuestas, mantener un espacio. Este espacio, en sí mismo, no es nada, pero es también ondas que, más allá de este mundo, son una señal. El silencio es, de alguna manera, la resolución de la señal. Es la preparación, tales como el sueño, tan pronto como se llena por, o cualquier otra cosa deseo de proyección. Así que sí, que se está preparando, también.

Pregunta: ¿Todavía tiene una personalidad, por lo que aún está sujeto a la enfermedad, la tristeza. En este caso, podemos planear y volver a la absoluta, o esto no es posible?
¿Quién es el sujeto? La persona. Si bien no cuenta, de esta manera, en la creencia en una enfermedad que está enfermo? El Absoluto no sabe nada de ella. Medida que la conciencia le da crédito a cualquier perturbación de la persona (conocido como enfermedad, la alegría o el dolor), entonces se tiene en cuenta (y esta persona cree) que está inscrito en una linealidad. Nada puede ser una barrera para el Absoluto, si no a ti mismo. Esta pregunta refleja un comportamiento, la naturaleza ilusoria, para unirse a sus propios límites, su propio envase. ¿Cómo podemos cumplir con su embalaje, en realidad, e incluso pensar que la absoluta puede existir? Las propuestas de esta cuestión indican una voluntad de comprender lo incomprensible, para apropiarse de lo Absoluto. Esta será nunca, nunca, factible. Mientras que no hay rendición, como el ego quiere entender, ya que el ego cree que está enfermo, hay un nacimiento, una muerte que allí, él lo inscribió propia, de manera formal y firme en sus propios límites, en su propio envase y en su propia estupidez. No podemos concebir una realidad en el nacimiento y la muerte. No podemos considerar cualquier densidad a la enfermedad y el sufrimiento, si no es por sí mismo de pie dentro de sus propios límites y refuerza a sí mismo, es decir, cerrando la puerta dos vueltas de llave. No hay lugar para el Absoluto, en eso. La prisión está cerrado. Cree que lo que es efímero, ya que una persona (en sus alegrías y tristezas, en, en la enfermedad y la muerte), será capaz de superar esto, es la estupidez. Sólo el ego es una estupidez. ¿Quieres resolver, con ganas de salir de la cárcel por permanecer en la cárcel es realmente ilógico. No eres ni la cárcel ni el cuerpo, ni la enfermedad ni el nacimiento ni la muerte. Como os hago esta ecuación, te das la vuelta y nunca salir. ¿Usted, de hecho, de salir? Esa es la pregunta. Por supuesto que no. Lo que tú digas, hagas lo que declamar, lo que dicen, se registra a través de este tema, en el ego y la persistencia del ego, que es tan ilusorio como el ego tiene sin persistencia. Pero no es una paradoja.
El Absoluto es de ninguna manera un reflejo, no es en absoluto un entendimiento, por el ego o yo. Es lo absoluto. No se puede tener ninguna pretensión de lo absoluto porque lo es. Pero siempre y cuando no silenciar el ego (sin limitar, sino simplemente refutar), usted no está en la lógica de la vida, pero usted está en la lógica de la negación de la vida. Tú estás presente en una ilusión llamada el cuerpo, que están presentes en una sucesión de vidas que ustedes llaman la reencarnación. Usted está allí desde tiempos inmemoriales. ¿Alguna vez has lanzado? ¿Quieres salir? Piensa: ¿dónde está la lógica? Usted quiere captar el esquivo. Usted desea capturar lo que eres. Esto es absurdo, totalmente absurdo. Usted dar peso y densidad a su propia eternidad efímera reclamando. Esto no se puede trabajar de esta manera. ¿Qué estás buscando? No hay nada que encontrar. ¿Qué persigue? No hay nada que perseguir o seguir. Alto, alto, pregúntese a sí mismo y se caiga. El milagro de la vida está ahí. Independientemente de que usted, y felizmente. Más allá de toda la historia y todas las condiciones. El ego representa un conjunto de demandas y deseos de establecer las condiciones. Lo cual es imposible.

Pregunta: Estoy muy miedo de la noción de la nada y desaparecen idea me aterra. ¿Cómo puedo deshacerme de este miedo, porque al mismo tiempo, me siento muy atraído por la idea de la absoluta, pero aún así es muy intelectual. ¿Cómo deshacerse de este rechazo de lo que soy en realidad?
No hay nada que rechazar. Hubo un malentendido. Refutar es nada que rechazar, sino simplemente aceptar todo. Hay un total incomprensión intelectual y mental. El ego juega a no entender, porque quiere captar esta noción de la nada. No hay nada que desaparece. No es más bien lo que parece. Sólo el ego cree que. Este miedo se segrega, y dar peso a este temor. Disfrutas entonces, de alguna manera, en su propio juego, alegando que la seducción de lo Absoluto, pero manteniendo, de este modo, la negación de lo absoluto. Dígase a sí mismo que va a desaparecer un día, te guste o no. Usted es falible y que son fugaces. Si usted coloca en el ego, puede parecer que el miedo. El ego, que cree infalible e inmortal, es falible y mortal. ¿No es ridículo y patético? No hay nada permanente en lo que usted cree: no es que de lo efímero, no es tan ilógico. Y que le gustaría construir sobre esto por más que cualquier otra cosa? Es estrictamente imposible. Muere a ti mismo. Tenga en cuenta su aspecto efímero, lo aceptan en su totalidad. Aceptar la condición efímera del ego es la única manera de hacer eso. La unidad, por no hablar del absoluto y último, no puede existir como el ego juega en este tipo de juego, ya que no existen antes de que nacieras y no existe después de la muerte. ¿Cómo se puede siquiera pensar que dentro de ella se puede imaginar la vida del Absoluto como te registres en su propia muerte y en su propio miedo de desaparecer? Aunque no he hablado de la aparición y desaparición. El ego y todo vuelve atrás. Aquí está su problema. Pero se puede luchar contra ella: sólo se puede reír. Es decir, a una distancia y no un rechazo, y porque es parte de lo que vio. Pero no es la vida. Aceptar esto ya reírnos de nosotros mismos y reírse de su ego. No le dé más peso que él tiene, no en conceder créditos y sobre todo no me lo creo. Especialmente cuando usted dijo que se encuentra o que se sienten atraídos por el Absoluto. Uno puede ser atraído por lo que es: es sólo el ego el que nos hace creer que. Por tanto, es necesario cambiar la mirada, cambiar de estrategia y no creer todo lo que dices a tu ego, porque él hará lo que sea en sus escritos (y él sabe que tiene el poder de lo hacen) para que lejos de lo que eres. Allí habrá ningún recurso, ni de ninguna utilidad para el Absoluto. Por lo tanto, se puede considerar, de alguna manera, encontrar una solución, siempre y cuando se quede donde está. No es sólo usted quien puede aceptar y de acuerdo con la estupidez de su ego, sin rechazarla. Mira, el espectáculo no es el rechazo. Pero entender, y quizás el más manso y no forzarlo, porque siempre volver a proponer el temor de lo Absoluto, consideran, para él, como nada.

Pregunta: ¿Por qué ser Todo y Nada es tan difícil y tan fácil a la vez?
Si este es el caso, en realidad, en su experiencia, así que no me hago la pregunta y no lo pida. Porque si esta cuestión se plantea, si es a la vez simple y si no es más que una afirmación mental, entonces no habría ningún problema. Así que esta cuestión no hace sino reflejar la obra de su propia mente entre el Todo y la Nada. Usted puede hablar de lo absoluto a su corazón, usted podría escribir una enciclopedia, esto no quiere decir que iba a vivir porque no se puede dar testimonio de la mente absoluta. Sólo se puede describir los efectos, los síntomas, si se prefiere, se ofrece en esta forma. Todos los que vivieron el Absoluto han empleado el mismo lenguaje: el lenguaje del amor, la libertad, el lenguaje de la Onda de la Vida. Pregúntele al Todo y Nada es tan simple y tan difícil, es una forma de aceptación o aceptación de una cuestión mental que se mantiene a este nivel. Esto es simple, pero se vuelve muy complicado cuando la mente se involucra, porque necesariamente emmêlera en su propio razonamiento y no puede salir porque el Absoluto no es un razonamiento, es justo lógico y simple. Es lógico y simple como que incluso le permite expresarse a sí mismo es este cuerpo, este lenguaje, que la boca. Tiene una existencia más allá del nacimiento y su muerte? Piense en ello. ¿Es esto puede hacer esta pregunta, mientras que estar muerto? ¿Qué pregunta podría surgir de un sueño o la muerte? Todo y Nada es un concepto mental que ambos extremos de su propio límite. El no es todo el Absoluto, sin ella, que sería llamado el Todo. Se asimila, por lo arriesgado, Todo y la Nada, lo Absoluto, ya que es aceptable para su mente que lo que proporciona una coartada y un pretexto para cuestionar el nivel mental. Pero siempre y cuando permanezca dentro de ese límite de todo y nada, es como si te quedas dentro de los límites del bien y del mal. Esta ecuación es insoluble en el mundo de la acción y la reacción. Usted puede resolver esta ecuación en el nivel en que se encuentra. El bien y el mal, la Nada y el Todo, se puede expresar a través de nociones filosóficas, morales o de otro tipo, pero se mantienen dentro del marco. Personalidad sólo se puede conocer la personalidad. Se puede describir todos los trabajos, todos los mecanismos, pero los mecanismos y las ruedas nunca se saldrá del mecanismo y la rueda. Piense en ello. El mismo título de su pregunta refuerza sus límites y sus propios frenos. Lugares que de alguna manera y en última instancia, a un límite que yo llamaría mental, inscrita en la lógica del bien y del mal, y completamente solo. Esta cuenta aquí con la esperanza de aprovechar, controlar, reducir, en cierta medida, el Absoluto, en su propio ámbito. Pero, de nuevo, este no es tu mente se encuentra que el Absoluto es el Absoluto que se disuelve la mente, desde el momento en que acepta rendirse, es decir, la pérdida de cabeza. El que tiene miedo de la locura sólo refleja su propia locura. El que tiene miedo del vacío sólo refleja su propio vacío. Se trata de una cuestión de proyección, o si lo prefiere, de la fantasía, que no tiene una realidad que dentro de la personalidad, lo que refuerza la personalidad. Y es interminable. Piense en ello.

Pregunta: ¿Puedo ser desestabilizado después de haber sido de forma espontánea o en la sencillez, al constatar que la persona que no se entendió o se dio cuenta de exactamente lo contrario de lo que pensé que había expresado. A continuación, pierdo todo mi dinero, yo soy cada vez menos claro en mis explicaciones, tomada por el miedo a ser increíble. Pero sigo que me deje ir a la espontaneidad y la sencillez y por algún tiempo, me aseguro de que no me justifica en el momento, sino después. ¿Cómo encontrar lo que está mal con mi manera de ser espontáneo?
¿Quién tiene que estar justificada, fuera de nosotros mismos? ¿Quién quiere ser entendido tal como se expresa? Usted es responsable de lo que expresas, pero no son responsables de lo que se incluye. Como que le da importancia a lo que está incluido, usted está en una proyección y, por tanto, necesidad de aprobación o la necesidad de la recompensa. ¿Cuál es, en ti, necesita una recompensa, la aprobación y el reconocimiento? ¿Cuál es, en ti, se ve perjudicado por la falta de reconocimiento, si no es el ego? El ego que necesita ser reconocido como válido. Pero, ¿es este ego que puede validar otro yo, si entendía o no? A medida que mireras en los ojos de los demás, a través de la comprensión (el otro es simplemente el ego como usted), no hay ningún ego puede tranquilizar a la tuya como la de otro. Esta ecuación no puede resolverse aquí, porque el ego siempre va a estar insatisfecho. Una vez más, te hace pensar que puede llegar a la perfección. Es imposible. E incluso existe la sensación de perfección, que la perfección no hay manera de que iba a salir de su propio ego. Esto fortalecería porque en ese momento no habría reconocimiento, no serían recompensados ​​y no sería la eliminación de lo Absoluto. Por lo tanto la forma de lograr esto ciertamente no es un consejo que puedo darte. Pero, si puedo darte un consejo es: ¿usted se centra más en eso. Debido a que usted se adjunta en una relación y esa relación es una relación de distancia. Allí, a través de lo que pides, la necesidad de reconocimiento, pero más allá, la necesidad de ser reconocido, e incluso más allá, la necesidad de la empatía, que nunca volverá a ser la fusión de lo Absoluto, por no hablar de la unión mística. Como no se han rechazado (y aquí no hablo de rechazo y la refutación de) el mecanismo de operación, o el Ser o el Absoluto, no puede aparecer. Usted está pensando en la perfección dentro de lo conocido. No se sabe que no puede ser perfecto, porque es efímero. Y la perfección puede pertenecer a cualquier instante. Se puede dar una sensación, una sensación de algo que se hizo a la perfección, como en una relación como la que se incluyen en lo que se ha expresado. Lo repito: usted es responsable de lo que expresas, pero no es responsable de lo que se incluye. Así que usted puede crear sus propias circunstancias específicas de la lesión y su propio lugar de cerrar la herida, los robles que en todo momento. Señalo sin embargo, que el Absoluto tiene que hacer de este juego, pero a medida que se juega a través de esta necesidad de reconocimiento, que debe ser reconocido, se coloca sin descanso bajo la esfera del yo, porque que el Absoluto no necesita ser reconocido. Para saber qué partido y qué partición tiene la intención de jugar. Pero usted no puede reclamar a ambas particiones.
No puede haber absoluta en cualquier vía oral, en una relación emocional. Por contra, que es absoluto puede considerar el establecimiento de una relación absoluta, pero eso ya no es una comunicación o una emocional. Pero entre estas dos conciencias a continuación, establecer, de nuevo, una trascendencia que se establece a partir de corazón a corazón, cabeza a cabeza, la pelvis a la pelvis, pierna a la otra, de mano en mano, hasta el punto de donde el otro se convierte en. Ya no es una relación, no es una comunicación es una unión mística que es compatible con cualquier fallo, sin necesidad de reconocimiento, o el reconocimiento y especialmente sin necesidad de justificación. Por tanto, es fundamental entender que no hay nada que demostrar su valía fuera, de la misma manera que no hay nada encontrarse a sí misma, y ​​fuera de uno mismo. Que cualquier investigación o pruebas de aceptación es (como ya he dicho) que el reflejo de sus propios temores de ser uno mismo, independientemente de los ojos de los demás, independientemente de la comprensión de la otro. Existe, pues, una forma de dependencia a otra. Debido a que usted espera encontrar en los ojos de los demás, o el consentimiento de la otra, que es estrictamente imposible y te lleva lejos de usted. No hay nada para tratar de resolver esta cuestión que usted plantea. No es sólo para resolver lo que pides, y por ello es que se presente, que se considera libre y la libertad.

Tenemos más preguntas, gracias.
Así que gracias por vuestra y la mía entre nuestro. Ciertamente, muy pronto, como dice el refrán.

BIDI

9 avril 2012
Eh bien, BIDI est de retour parmi vous. Je me réjouis de vous retrouver pour nos entre tien et mien. Alors, dans un temps premier, nous allons, si vous le voulez bien, continuer à examiner, à peser et à soupeser vos questions, dans les mêmes circonstances et conditions que le jour précédent. Je demande donc, votre écoute et le fait d'entendre et de laisser venir ce qui vient à vous, sans interférer en aucune manière, sans vous opposer. Simplement, en accueillant comme je vous accueille. Nous pouvons envisager la première question.
Question : à notre arrivée dans cette Dimension, structure parfaite et Illimitée, comment est-il possible d'être arrivés si bas, dans cette Dimension, en Vibration et en Conscience. Pourquoi ?
Ce mécanisme est appelé la descente. Cette descente est liée à un point de vue, de plus en plus étroit et limité, engageant, en quelque sorte, la Conscience dans sa propre limitation (dans une auto limitation) qui va, progressivement (sur des temps extrêmement longs) amener celle-ci à s'isoler et se séparer de plus en plus. Cela a été décrit dans de nombreux textes très anciens, parlant d'ères et d'époques se succédant et amenant, progressivement, la Conscience à descendre, en quelque sorte, dans les bas-fonds de l'oubli. Mais ceci n'a qu'un temps. Dès l'instant où même le mental est capable de se regarder, en toute honnêteté, en toute lucidité, et de manière logique, il en vient, effectivement, à considérer cela comme un processus absurde, inique. La problématique étant de ne pas tenter de répondre à ce genre de question parce que, bien sûr, elle va vous emmener, non pas seulement à constater l'état de la Conscience mais, bien plus, à en trouver des causes. Or, je vous le rappelle, l'Absolu n'a pas de cause. Vouloir rechercher une cause (une explication) te renverra, systématiquement, à cette causalité et donc, à cette Dualité. Pose-toi la question de pourquoi il y a cette question. Qu'y a-t-il besoin d'expliquer ou de regretter ? Quel est cet éloignement de ce que tu Es, qui permet de s'interroger sur ce que tu considères comme triste ou comme anormal ? Ne considère pas ce qui est anormal mais ne vois que ce qui est normal. De la même façon que la Dualité consiste à voir le bien et le mal, l'Unité ne consiste qu'à voir l'Unité et à ne pas se laisser entraîner, en aucune manière et d'aucune façon, à disserter, à se poser des questions sur le bien et le mal parce que l'équation du bien et du mal, par nature même, est insoluble. Quels que soient les aspects importants, menés par une vie au sein du service, du dévouement, quelles que soient les conceptions philosophiques ou même, spirituelles (concernant le bien et le mal), elles ne déboucheront jamais sur une solution parce que la solution n'est pas de ce monde. Parce que la solution n'est pas dans la Dualité et qu'aucune solution ne peut exister tant qu'il existe un antagonisme. Je parlais, hier, des 2 extrémités d'une limite. Ce n'est pas parce que vous arrivez à une extrémité d'une limite que vous connaissez l'ensemble des limites, l'autre extrémité mais, surtout, que vous êtes aptes à dépasser cette limite. Il vous faut, littéralement, vous extraire de cette notion de causalité. Cette causalité permet d'expliquer ce monde et seulement ce monde. La causalité permet d'exprimer les lois de l'action / réaction, les lois de l'Âme mais, jamais, la loi de l'Absolu. Car l'Absolu ne connaît qu'une seule loi qui est celle de l'Unité Abandonnée elle-même, c'est-à-dire le principe même de l'Unité. Le facteur causal, quel qu'il soit (dans votre vie, dans l'histoire de la vie sur cette planète) renvoie nécessairement, là aussi, à un début et à une fin. La causalité, en elle-même, ne peut donc être inscrite au sein de l'Absolu et ne peut tirer, même, sa logique à partir de l'Absolu. La causalité (action / réaction, début et fin) s'inscrit dans une histoire et non pas dans la Vérité. Car toute histoire est inscrite dans un temps linéaire, au sein de certaines limites qui sont, aussi, les tiennes mais qui ne correspondent pas à la Vérité. L'histoire est, en quelque sorte, le squelette de ce qui reste de la vie. Les chairs sont parties. Il reste quelque chose qui est figé. Il reste quelque chose qui ne participe pas à la Vie. Aujourd'hui, il t'est demandé d'être la Vie. L'Appel de la Lumière fait résonner, en toi, non plus la causalité mais bien la soif d'Absolu. Même si ces mots te sont inconnus, même s'ils te semblent en dehors de toute causalité, et donc de toute possibilité, il n'en demeure pas moins vrai que c'est la seule et unique Vérité. Se poser en tant qu'Absolu (oser se poser en tant que cela) va mettre fin, de manière extrêmement rapide (de par l'enquête même sur ce qu'est le Soi, sur ce qu'est l'ego et donc, sur ce que n'est pas l'Absolu), va vous conduire aux portes de ce que l'ego appelle le néant et donc à expérimenter et à vivre l'expérience qui est Absolue. Certes, à des moments charnières, il a été opportun qu'on vous donne (ou qu'il vous soit donné puisque je ne n'y participais pas) un certain nombre d'éléments concernant l'histoire. Simplement pour vous montrer et vous démontrer à quel point l'histoire peut-être déformée, arrangée, détournée et être agencée de telle manière qu'elle vous détournera, toujours, de la Vérité. Parce qu'elles vous entraînent (ces histoires) à croire à des histoires et non pas à vous. L'être humain a besoin d'histoires tant qu'il inscrit sa conscience au sein de la causalité. Dès qu'il inscrit sa conscience au sein des sphères de l'Absolu (et même au sein du Soi), l'histoire n'a plus de sens. Elle n'a plus de direction. Elle n'a plus de logique et elle n'a plus de justification. L'histoire n'est que l'alibi qui est fourni à la vie qui refuse de se connaître. L'histoire n'est qu'un pis-aller voulant donner, au mental, la certitude qu'il peut expliquer son présent par un passé.
Or, aucun présent n'est explicable par le passé. Tout ce qui croit être expliqué, par une conséquence d'un passé, vous inscrit, encore plus, dans une Illusion. Bien sûr, ceux qui ont tendance à vouloir que l'histoire se répète et n'aboutisse pas à la fin de l'histoire, vont créer, en quelque sorte, des cérémonies, des commémorations, des principes d'anniversaires, qui vont donc maintenir, en quelque sorte, le poids du passé dans votre propre présent. Vous ne faites, d'ailleurs, pas mieux quand vous fêtez une nouvelle année, un anniversaire ou une fête (quelle qu'elle soit), à date fixe. Parce qu'à ce moment là, vous commémorez le passé. Vous faites vivre et revivre le passé dans votre présent où il n'a rien à faire. Parce que tant que le présent (que vous vivez) est coloré d'un quelconque passé, vous ne pouvez prétendre à l'Unité, vous ne pouvez prétendre à l'Absolu et ne pouvez vivre cet Absolu. Il faut donc, effectivement, déconditionner, dépoussiérer, éliminer, réfuter tout ce qui n'est pas l'Instant. L'Absolu n'est présent que dans l'Instant. La seule façon de le trouver (la seule façon de le manifester) est de vivre, en totalité, l'Instant. Il n'y a pas de passé. Il n'y a pas de futur. Il y a juste l'Instant où s'épanouit l'Absolu. Il n'y a qu'en arrêtant le temps, en quelque sorte (votre temps linéaire), que vous pouvez, réellement et concrètement, toucher l'Absolu et le vivre. Quel que soit l'élément que vous ayez vécu, quel que soit l'affect qu'il implique dans votre présent, vous n'êtes pas cela. Tant que vous accordez du crédit à cela, vous ne pouvez vivre l'Absolu. Faites en l'expérience. Encore une fois, ne me croyez pas. Expérimentez et voyez, par vous-mêmes, si cette logique s'applique dans la vie. Sortez donc de l'histoire. Sortez donc de toute histoire car vous n'êtes pas une histoire, aucune des histoires. Entretenir l'histoire, entretenir une légende personnelle, vous éloigne, de manière importante, de l'Absolu et de la Vérité. Tout ce que vous faites revivre (en pensées, en émotions, en rites, en rituels, en commémorations, en dates) n'a aucun sens pour l'Absolu. À vous de voir.
Pose-toi, simplement, la seule et unique question qui vaille la peine : que Suis-je ? Et, quand tu verras, par toi-même, que tu ne peux définir le « que Suis-je » ou le « Je suis », tu abandonneras le « Je suis » pour le non-être. Quoi que dise l'ego. Parce que cette approche de l'Absolu est d'une logique implacable. Cette enquête (si elle est menée à son terme) vous conduira, comme la Vibration, au-delà de toute manifestation, au-delà de l'être et du non-être, pour vous établir, dans un premier temps, au sein du non-être dans lequel existe l'Ệtre et qui confère (si l'on peut dire) l'Absolu. Vous devez être, en quelque sorte, pleins. Pleins, non pas d'interrogations mais pleins de certitude de l'Absolu, non pas en tant que croyance mais en tant que réfutation de ce qui est relatif, réfutation de ce qui est éphémère, réfutation de ce qui est limité. À chaque minute de votre vie, retenez bien que ce n'est pas une dépersonnalisation ou un retrait de la vie mais, bien plus, une transcendance de la personnalité qui vous fait pénétrer dans la Vie. Pas celle que vos yeux vous donnent à voir. Pas celle que vos mots vous définissent. Pas celle que vous pouvez toucher mais, celle que vous êtes, au-delà de tout sens. Il faut donc se détourner de la causalité. Ce détourner de la causalité (exprimé autrement) peut être donc, de ne pas juger, même le principe de chute, même la causalité qui a créé cette conscience limitée. Le non jugement est le fait de non porter un regard séparé et divisé. Il n'y a pas de meilleure façon que de vivre l'Absolu. Je vous rappelle que, dans l'Absolu, il ne peut exister nulle limite, nulle séparation, nulle conscience autre que celle que vous êtes (regroupant l'ensemble des autres Consciences) et débouchant, de manière inéluctable, à la Conscience qui n'est pas l'inconscience. Sortez donc (et sors donc) de la causalité. La causalité correspond au corps. Il correspond aux lois de l'âme. Ce corps a faim : il faut le nourrir. L'âme a soif d'expériences : il faut lui fournir des expériences. L'âme aime aimer, au sens de la possession, au sens de l'expérimentation, dans la matrice (telle que vous la nommez). L'âme est donc inscrite dans la causalité. Vous n'êtes pas la causalité. Vous n'êtes, donc, ni ce corps, ni cette âme, ni cet esprit, ni cette vie, ni ce passé. Vous êtes la Vie. Si vous positionnez votre regard de cette façon, vous constaterez qu'il ne s'agit absolument pas d'un déni de la vie mais, bien plus, d'une rentrée dans la Vie et que, extrêmement rapidement, les processus en cours, actuellement, seront vôtres. Il n'y a pas d'autre solution. Il n'y a pas d'autre alternative. Il n'y a pas d'autre possibilité que celle d'être Absolu ou de réfuter l'Absolu (du point de vue de l'ego ou du point de vue du Soi). Réfléchissez, simplement (si tant est que vous puissiez le définir) : qu'existe-t-il au sein de la personnalité, qu'existe-t-il au sein de l'âme, comme objectif ? Regardez cet objectif et comprenez, dans un second temps, qu'il ne peut exister d'objectif futur. Parce que tout futur vous éloigne, encore une fois, de votre Présence et de l'Absolu. Bien sûr, la loi d'action / réaction va tout faire pour vous maintenir dans ses filets. Elle vous donne à comprendre (et à saisir) les lois : celles de l'incarnation, celles du karma, celles de l'astrologie, celles de l'énergie. Elle va vous donner un ensemble d'explications, directement reliées à la causalité, et tout fonctionne comme cela dans ce monde. Mais je finirai en te disant que tu es au-delà de toute causalité. Que veux-tu être ? Que veux-tu manifester ? Ce que tu Es, en Vérité, ou la causalité dans laquelle tu es affecté ? À toi de voir.

Question : pourquoi ce monde de la Dualité a-t-il été créé ? Est-ce parce que, dans le monde de l'Absolu, de l'Illimité, l'ennui existe ?
Je te répondrais que celui qui pose cette question s'ennuie vraiment. La Félicité, l'Extase et l'Intase de l'Absolu ne peut, en aucun cas, être un ennui. Le seul ennui est ici. Tout vous ennuie : les besoins physiologiques, le besoin de gagner sa vie, le besoin d'entretenir et de porter sa Conscience, en permanence, sur un corps, sur des relations, passant par des outils incomplets appelé le langage. D'un autre côté, le monde de l'Absolu ne peut exister. L'Absolu n'est pas un monde. Il n'est pas un univers ni même un multivers. Il est au-delà de tout ce qui est créé. Il est le support de toute création. Ce n'est pas l'ennui qui a causé quoi que ce soit. L'Absolu ne peut, en aucun cas, être un ennui d'aucune sorte puisqu'avec quelques mots, on peut le définir comme : Illimité, parfait, plein, vide, Éternel, Jouissance, Extase et Intase, sans temps et sans espace. En quoi l'ennui pourrait naître de cela ? Pas plus qu'il n'existe un besoin d'expérimenter. Parce que qui dit expérience, au sein du limité, conduit à introduire, systématiquement, une notion d'évolution ou d'involution et, donc, un principe même de causalité. Tant que vous pensez ainsi, effectivement, le monde de l'Absolu peut vous sembler ennuyeux. L'expérience, somme toute, n'est que la recherche de l'Absolu. Comment est-ce que ce qui est Absolu pourrait se limiter, lui-même, pour, après, revendiquer l'Absolu ? D'autant plus que la perfection est initiale et non pas finale. Quel intérêt y aurait-il, pour l'Absolu, à se rendre relatif ? Alors, bien sûr, du point de vue du relatif, il est très séduisant de parler d'expérience (de se connaître soi-même à travers l'observateur, à travers l'existence d'un sujet et d'un objet) mais c'est une vue fragmentaire. L'Absolu, étant hors de tout temps, hors de toute linéarité, tout simplement, pour lui, le monde n'existe pas. Tout simplement, pour lui, le limité n'a aucune substance. L'ennui est plutôt d'avoir l'ensemble de ses occupations, même en observant la beauté parce que observer la beauté vous obligera, dans le linéaire, un jour ou l'autre, un instant à l'autre, à vous occuper, ne serait-ce que de vos besoins physiologiques. À moins de rentrer en Samadhi (comme certains êtres l'ont réalisé), à moins de rentrer dans l'Absolu en maintenant une forme, je ne vois pas pour quelle raison il y aurait un quelconque ennui. Je peux vous assurer que c'est vous qui êtes l'ennui. Quel que soit votre enthousiasme, quelles que soient vos capacités de Joie, quelles que soient vos installations au sein du Samadhi, cela n'est pas Absolu. Il n'y a que la sortie du temps linéaire de l'espace, de l'espace-temps (non pas comme un déni mais bien comme une acception logique), il n'y a qu'à ce moment là, que vous dépassez et transcendez l'ennui de ce monde.
L'Absolu n'est pas un monde. Je dirais qu'il est la Transcendance du monde et, donc, même si les mondes semblent exister à l'intérieur de l'Absolu (présence du relatif au sein de l'Absolu), ceci n'est qu'une vue (encore une fois) parcellaire et limitée. L'Absolu n'a besoin d'aucune expérience, d'aucune mémoire. Il est, de toute Éternité, perfection et beauté, se suffisant à Lui-même, sans aucune projection, sans aucune expérience. L'expérience (sur ce monde comme en d'autres mondes) n'est, en définitive, qu'un éloignement (Vibratoire, spatial et temporel) vous faisant croire tout ce que vous pouvez croire (ou n'osez croire). Mais l'ensemble de ces croyances ne représente, en définitive, qu'un manque de Lumière, qu'un manque d'Amour. L'être humain passe son temps à projeter l'amour et il dit qu'il aime. Mais vous ne pouvez Aimer et vous ne pouvez le dire parce que votre nature (et votre Essence) est Amour. Et vous ne pouvez connaître ce que vous êtes, du point de vue limité. Vous ne pouvez que projeter (sur l'écran de la conscience) un objet. Devenir le témoin (ou l'observateur) de ce que vous avez projeté (d'une œuvre créée, d'un travail créé, d'une étude menée, d'une relation de couple, d'une relation de mère à enfant) mais vous ne pouvez connaître ce que vous Êtes. Vous ne pouvez que extérioriser, au sein de ce monde, une action et une réaction et essayer (au sein de cette action et de cette réaction) de trouver, en quelque sorte, un fil conducteur qui n'existe pas entre le limité et l'Illimité.
Le seul ennui, c'est d'être relatif. Ệtre Absolu ne s'accompagne d'aucun ennui. Seule la conscience de l'ego pose cette question parce que l'ego est inscrit dans une réalité dite tridimensionnelle et donc dans un espace-temps donné, donnant l'impression qu'il y a des expériences à mener, une avidité (avidité qui permettrait de toucher l'Illimité) ce qui, bien évidemment, ne peut jamais arriver. Aucune expérience de ce monde, aucun travail de ce monde, aucune évolution illusoire de ce monde, ne vous amènera à vivre l'Absolu. Il n'y a que quand vous renoncez, il n'y a que quand vous abandonnez le Soi lui-même, que l'Absolu se dévoile et devient ce que vous Ệtes. Rappelez-vous : il n'existe aucune solution de continuité. L'Absolu est un bouleversement, non pas seulement un changement de point de vue (comme je l'ai dit hier) mais, bien plus, un bouleversement où vous êtes obligés de faire cesser (d'une manière comme d'une autre), sans les dénier, l'ensemble des manifestations de causalité dont la première des causalités est ce corps. Vous êtes dans ce corps mais, en aucun cas, vous n'êtes ce corps, fût-il un Temple. Bien sûr, il faut nourrir le Temple, l'entretenir. Et là commence l'ennui, même si vous aimez vous laver. Parce que, bien évidemment, il y a reproduction. Alors, bien sûr, il est des consciences qui aiment la reproduction parce que cela donne une certitude de refaire les mêmes gestes, de reproduire les mêmes actes : manger à telle heure, se coucher à telle heure, se lever à telle heure (excepté le week-end). Tout cela vous amène, immanquablement, à une routine où rien n'est neuf. Si vous regardez bien, tout est ancien, tout est usé. Seul le monde est beau parce qu'il manifeste (dans ce qu'il vous donne à voir) les cycles, les saisons. Le soleil se lève, toujours, au même endroit. Il se couchera, le soir, au même endroit. C'est une certitude (du moins jusqu'à un certain point) et vous l'avez vécu jusque là. L'ennui est ici. Certainement pas dans l'Absolu. Et il n'existe pas de monde de l'Absolu.

Question : les résistances à vivre l'Absolu ont toujours été plus fortes alors que le choix premier est de vivre dans l'Absolu, ici, sur Terre. Pourquoi ?
Tu ne peux pas vivre l'Absolu. Tu ne peux vivre que la Vie. L'Absolu est au-delà de toute vie. Il est proposé de vivre l'Absolu au sein d'un relatif appelé cette forme, ce corps et cette vie, parce que les circonstances (les cycles de ce monde) touchent un palier, une Transcendance, là aussi. Quand l'éphémère de cette vie disparaît (puisqu'il est inscrit entre la naissance et la mort), ce qui subsiste, à ce moment là, reste enfermé. Avec d'autres règles, d'autres lois mais, c'est encore un enfermement. Aujourd'hui, c'est différent. Il y a donc une plus grande facilité à s'extraire, en quelque sorte, d'un point de vue dualitaire. Ce qui a été ouvert, au niveau de la Lumière (l'Éveil au Soi, la réalisation du Soi), n'a certainement pas été une erreur mais bien une étape majeure vers l'Absolu. Bien sûr, il est toujours possible de croire (et d'espérer) que le Soi va devenir Absolu. Le Soi ne peut, en aucun cas, devenir Absolu. Parce que le Soi, c'est mettre fin à la séparation de l'ego et inscrire la Conscience et la Vie dans la non séparativité, dans la non distanciation. Il y a, réellement, possibilité de Communion, de réunion, mais non de dissolution. L'Absolu vous donne à vivre toutes les vies de tous les mondes. L'accès à l'Absolu ou, plutôt, l'Éveil à l'Absolu (qui a toujours été là), est rendu beaucoup plus facile, aujourd'hui, par la disparition de ce qui avait été appelé, je crois, les franges d'interférences de l'astral qui vous occultaient, littéralement, la Vérité. Saisis bien qu'il n'est pas question de vivre l'Absolu, mais d'être l'Absolu. Ệtre Absolu est au-delà de tout état d'être. C'est, aussi, pouvoir se placer de n'importe quel point de vue de cette forme occupée qui est le corps, comme tout autre corps. C'est donc la Liberté, la vraie. Non pas celle de penser, dans la prison, qu'on peut sortir de la prison. Non pas celle d'échafauder des hypothèses ou des justifications au fait d'être en vie, parce que tout cela tourne en rond. Il n'existe pas de sortie. L'ego et la notion d'évolution vont vous faire croire (et vous faire adhérer) au fait que cela sera meilleur demain. Mais il n'y a absolument rien de meilleur possible demain. D'ailleurs, demain n'existe pas, ni hier. Tant que vous considérez qu'il existe un demain, tant que vous considérez qu'il existe un hier, l'Absolu ne peut frapper à votre porte. Je parle là, bien sûr, de ce que vous nommeriez les Lois de l'Esprit parce que rien n'empêche le corps d'être inscrit dans un emploi du temps et que cet emploi du temps se déroule, tranquillement, sans rien faire dans le sens d'un investissement de la Conscience, tout en faisant parfaitement bien ce qui est à faire.
C'est un changement de regard, c'est un changement de point de vue. C'est un changement, intérieur, de positionnement où, justement, vous sortez de toute position. Où vous n'adoptez plus une position mais bien quelque chose au-delà de toute chose, dans l'Amour que vous Êtes et dans la Lumière que vous Êtes, sans avoir besoin de projeter un quelconque amour, une quelconque lumière. Rappelez-vous : vous êtes Amour Lumière. Vous n'êtes pas l'amour que vous projetez. Vous n'êtes pas la lumière que vous pouvez voir. Parce qu'en définitive, l'air ne peut voir l'air et l'eau ne peut voir l'eau. Vous êtes exactement dans la même situation : vous ne pouvez voir ce que vous Êtes. Vous ne pouvez que voir ce que vous n'êtes pas et donc réfuter tout ce que vous voyez au sein de ce que vous n'êtes pas. Et là, vous aurez la surprise de constater qu'il n'existe plus de frein à l'Absolu et que le traceur (ou le marqueur) de l'Absolu, l'Onde de Vie, partira à l'assaut de ce Temple Illusoire (qu'est le corps), de ses corps inférieurs, vous donnant à vivre l'Onde, de l'Intérieur, et non plus de l'extérieur, dans un corps. Vous êtes, je dirais (si l'on peut dire), en pleine phase de vérification, de validation de l'Absolu. Personne ne vous demande de croire à ce qui est incroyable. Personne ne vous demande d'adhérer à ce à quoi vous ne pouvez adhérer. Il n'y a que vous qui pouvez rendre témoignage à vous-mêmes, au-delà du témoin de l'objet, au-delà de l'observateur et de l'observé et au-delà de toute projection dans n'importe quel mot. .

Question : quelle est la croyance qui me freine à m'abandonner à l'Absolu ?
La plus irrésistible des croyances : toi-même. Tant que tu crois à la moindre parcelle de ce corps, tant que tu crois au moindre élément de l'histoire, tu es inscrit dans l'éphémère. Aucun éphémère ne te permettra d'accéder à l'Absolu. Bien sûr, il existe des conditions préalables, liées à la structure même de la vie sur ce monde, inscrites, bien sûr, dans la personnalité (dans l'ego) et aussi dans le Soi. Sans rentrer dans des détails trop complexes, ce qui freine est la négation de l'Absolu parce que l'ego a, toujours, pour objet (pour fonction), pour appréhender quelque chose qui lui est inconnu, de le faire sien dans la description, dans un vécu, dans une expérience. L'Absolu ne peut pas être ramené à l'ego, à la personne ni même au Soi, puisque l'Absolu Est, baigne tout, incorpore tout. Vouloir s'en saisir, vouloir le connaître, est impossible. La plus grande des résistances se situe, bien sûr, à ce niveau et nulle part ailleurs. La croyance en toi-même est le frein le plus puissant. Mais tu n'es pas, non plus, ce frein. D'ailleurs, qui freine si ce n'est ce que toi-même a construit, ce que toi-même a envisagé ? J'ai envie de te dire qu'il ne faut plus rien envisager, dans aucun futur et dans aucun passé, pour vivre l'Absolu et donc être Absolu. La croyance au fait de vivre l'Absolu conduit à l'Ệtre Absolu. Il y a, en quelque sorte, un signal porteur (marqueur ou témoin) de l'instauration de quelque chose d'inconnu : c'est l'Onde de Vie et la Transcendance des centres d'énergies inférieurs. Mais ne donnez pas, non plus, de poids à tout cela parce que si vous y accordez plus de poids que nécessaire, cela va aussi se cristalliser. Cela va aussi vous limiter et concourir à maintenir les limites de l'enfermement. La meilleure attitude, bien sûr, est la spontanéité de l'enfant. C'est celui qui est totalement immergé dans l'expérience. Sans jugement, sans point de repère, sans projection. Tant qu'il existe un jugement, un repère, une projection, tu n'es pas l'enfant. Et, donc, l'Absolu ne peut venir frapper à ce que tu Es. C'est à toi qu'il appartient de créer les circonstances préalables à l'Absolu. Ceci est, en partie, ce dont j'ai parlé : l'enquête sur tout ce que tu n'es pas parce que cela est éphémère. Cela consiste à éliminer tout ce qui constitue ta vie et ce monde. Non pas pour le fuir, j'insiste. Mais bien pour le réfuter en tant que supposition invalide (et invalidée) par la logique elle-même, au-delà de tout mental. Le sommeil, l'enquête, la compréhension de ce que représente le témoin, le témoignage, le sujet, l'objet, l'expérimentateur et ce qui est expérimenté, s'inscrivent, en définitive, dans une futilité. Accepter cette futilité, c'est déjà un grand pas. Non pas de vous mais de l'Absolu vers vous.

Question : quelque chose s'installe en moi que je ne connais pas, et je me sens étrange, ou même étrangère. Je vis à la fois la conscience du rien et une plénitude. Je me sens portée par la vie et je laisse faire. Il y a comme un effacement de moi-même et une distance par rapport à ce monde. Je n'ai pas de peur, pas de mots, pas d'attente. Pourriez-vous m'éclairer sur ce que je ne vois pas en moi ?
Accepte que moins tu verras en toi, plus tu seras Absolue. Ce qui ne peut être perçu, ce qui est donc a-perçu, ce qui ne peut être mis en mots, ni même en Vibration, cette étrangeté, ainsi que tu le nommes, est la mort de l'ego. Il faut vider, il faut se laisser nettoyer et lessiver. Cette phase est plus ou moins longue. Elle appelle, ainsi que tu le dis, une certaine forme de neutralité. La Maison est propre, tu peux donc Épouser ton Double. Ce Mariage qui, est une approche, peut se dérouler sur un temps, illusoire, mais qui est vécu comme tel. C'est l'état où il n'y a plus rien à observer, où rien n'est observable, où rien n'est vu, où rien n'est perçu. Cela pourrait sembler vide, mais ce n'est pas vide. C'est très exactement, lorsque cela donne l'impression de durer, la préparation, en quelque sorte, à tes propres Noces, et donc à l'Absolu. Si je peux l'exprimer ainsi, profite de cela, parce que profiter de cela, c'est ne rien faire, ne rien redouter, ce qui met fin à tout doute, à tout espoir, et aussi à toute impatience. Dans cet état de vacuité (que certains mouvements ont recherché, que certaines philosophies ont recherché) s'installe l'Absolu. Tu as donc saisi, et vécu, et accepté, qu'il n'y a rien à chercher, rien à trouver. Ce néant, qui n'en est pas un, est irrémédiablement la fin de l'ego.
Le vase est prêt à être rempli. L'Époux et l'Épousé se tient à la porte, il n'en est jamais parti. Profite, si je peux m'exprimer ainsi, de cette vacuité, qui est, en quelque sorte, une antichambre de l'Absolu. Parce que si tu es vide de toi-même, tu peux donc être plein de ce que tu Es. Se vider de soi-même est, très exactement, ce qui est nommé l'Abandon du Soi. C'est transcender le « je suis », c'est le moment où la conscience constate qu'il n'y a rien à observer, que rien n'est observable, et que le fait même d'observer est une gêne. Il y a donc mécanisme de Noces Mystiques, en progression. Accepter et vivre de ne plus être plein de pensées (c'est-à-dire d'Illusion), de ne plus être plein d'espoir (qui est projection dans le futur), t'installe, en quelque sorte, dans un état au-delà de l'espoir, qui pourrait être nommé l'Espérance mais qui est, avant tout, plénitude. C'est, en quelque sorte, les derniers jeux de l'Illusion. Ce qui permet de saisir que rien ne peut être vide, et que rien ne peut être plein, et que cela ne se situe pas entre les deux. Cette phase ne peut pas être appelée un état parce que, justement, aucun état n'est installé. La vacuité est la plénitude, la plénitude est vacuité. Ces deux mots, au-delà de tout signifiant, sont ceux qui représentent le mieux cette phase préalable à l'Ultime.
Surtout ne fait rien, surtout n'entreprend rien. Ceci dit, ne t'empêche pas de faire ce qui est à faire, dans la vie de ce corps, de ses obligations. Mais simplement, ne t'implique pas, fait du mieux que tu peux.
Ce que tu vis n'est pas une attente, ce que tu vis n'est pas un vide ou un plein, c'est les deux. C'est dans cette phase que l'Onde de Vie peut créer ta Vérité, car tu Es l'Onde de Vie. Il y a donc un processus de désidentification, une mort, sur le plan symbolique, de tout ce qui n'est pas Vrai. C'est cette phase-là que tu vis. Surtout, ne juge rien. Contente-toi, encore pour peu de temps, d'être celui qui observe ce qui vit cela. Très bientôt, tu iras au-delà. Ce « très bientôt » n'est pas inscrit dans un linéaire, temporel, ni dans un autre espace, mais bien dans une forme d'acuité de toi-même. Certaines expériences intermédiaires sont possibles, dans cet état, dans cette phase, venant, si l'on peut dire, te conforter dans le fait que tu ne sois pas ce corps, et encore moins cette personne. Alors, profite et jouis de cette phase, car elle est prélude au Mariage Mystique. Laisse faire, totalement.

Question : l'Absolu est au-delà donc des hiérarchies de Dimensions (5ème, 11ème, 18ème, etc), ce serait comme le retour à LA SOURCE ? Donc, si l'on va vers l'Absolu, quelle est l'intérêt de la 5ème Dimension ?
Tu présupposes, à tort, que l'Absolu est assimilable à LA SOURCE. LA SOURCE, de par ce mot même, te signifie une origine et une fin. L'Absolu est au-delà de l'origine et de la fin. La Dimension, quel que soit son numéro, n'est qu'une représentation, une gamme de Vibrations, une gamme d'exploration de la conscience. L'Absolu et LA SOURCE se rappellent à toi, mais rappelle-toi, toi, que tu es totalement libre de t'établir où bon te semble. Simplement, il doit t'être rappelé l'existence de LA SOURCE, par l'expérience de LA SOURCE, par l'accès à l'Absolu. Si tu Es l'Absolu, tu as toute latitude et Liberté pour y demeurer, ou te manifester dans quelque Dimension que ce soit. Si ta gamme de fréquences, ta gamme de vie, la partition que tu joues, est incomplète, et toutefois, te permettant de voir la complétude existant dans l'Absolu, tu es libre de croire qu'il existe des expériences à mener en d'autres mondes, en d'autres Dimensions, en d'autres états. Cela fait partie de ta liberté, mais je te l'accorde, cela n'a strictement aucun intérêt du point de vue de l'Absolu. Alors, qu'est-ce qui t'empêche d'être l'Absolu, puisque, bien évidemment, il y a un empêchement ? L'empêchement est directement relié au doute et à la peur. Tu ne peux connaître l'Absolu du point de vue où tu es. Le point de vue d'où tu es doit disparaître, il doit s'annihiler. Rappelle-toi qu'il n'est pas possible d'envisager une quelconque continuité entre le connu et l'Inconnu. Tu ne peux rester dans le connu et vivre l'Inconnu. Il te faut laisser l'Inconnu te prendre, et tu t'apercevras ensuite, que le limité est encore présent. Mais avant, cela n'est qu'une supposition, cela n'est qu'une croyance, parce que tu ne l'as pas vécu. Simplement, nombre de structures vous ont dit qu'il vous sera fait selon votre Vibration, si tu préfères, selon votre partition. La partition que tu joues est tributaire d'un instrument, et pas d'un autre instrument. Veux-tu être tel instrument, ou veux-tu être, dans le même temps, le même espace, et dans toutes les Dimensions, l'ensemble des instruments ? Mettant fin à toute barrière, à toute limite. Aucune expérience ne sera jamais utile à l'Absolu, mais elle demeure et reste utile à celui qui joue sa propre partition, Illusoire ou reliée. L'Absolu est la Liberté totale, mais la Liberté fait peur parce que la Liberté est, justement, ce qui est Inconnu. Tant que tu revendiques la Liberté au sein d'un quelconque enfermement, tu te mens à toi-même. Et tant qu'il y a mensonge, la Vérité ne peut être.
Tu ne peux donc prétendre à supposer, ou imaginer, que l'Absolu est LA SOURCE. L'Absolu est LA SOURCE, mais est bien plus que LA SOURCE. Parce que l'Absolu n'a ni origine, ni fin, ni localisation, ni non localisation. La Vibration, la Conscience est Vibration, cela vous a été dit. Permettant de vivre, de conscientiser, les roues d'énergie (les lampes), l'éveil de la Kundalini, et même la perception de l'Onde de Vie. Mais tant que tu perçois, tu n'es pas ce qui est perçu. L'Absolu est l'installation au sein du perçu, et non pas de la perception. C'est le moment où il n'y a plus aucune distance, aucune supposition sur l'Absolu parce que le limité, l'ego comme le Soi, ne peut que se représenter la Vérité. Mais toute représentation ne sera jamais qu'un spectacle, une projection, une Illusion de plus, plus ou moins palpable, plus ou moins approchante. Donnant un sentiment plus ou moins réel, mais ce n'est pas l'Absolu. Indépendamment du témoin et du marqueur de l'Absolu, c'est-à-dire l'Onde de Vie, et ses effets sur l'extase ou l'intase, il y a aussi un autre marqueur, qui lui, se situe dans la Conscience qui débouche sur la non-Conscience. C'est, justement, le moment où il n'y a plus de question. Parce que la question elle-même est conçue comme illusoire, tout autant que ma réponse. Tant que vous prononcez des mots et que je prononce des mots, il y a Illusion. Mais ces Illusions seront, en définitive, moins tenaces que celles qui étaient là avant nos entre tiens et miens (ndr : néologisme à partir du mot entretien). Ce n'est donc pas un jeu stérile, mais c'est bien une pratique, au sens le plus noble. Cette pratique, pouvant être jugée par l'ego comme intellectuelle, va vous amener, à votre vitesse, à réaliser l'état qui a été décrit lors de la question précédente. Ne suppose rien de l'Absolu, parce que tout ce que tu supposeras ne pourra qu'être établi à travers ton expérience et ton connu. Ne projette rien sur l'Absolu, parce qu'en projeter quoi que ce soit est déjà s'en éloigner. L'Absolu ne peut être connu, il ne peut être formulé, il ne peut être Vibré, il ne peut être mis en mots. Par contre, il est possible d'utiliser Vibration et mots pour saisir ce qu'il n'est pas. À ce moment-là, il y a une espèce de rapprochement qui s'effectue, c'est cette phase ultime.
Ne rien supposer, c'est aussi ne rien faire, ne rien entreprendre. Parce que tout ce qui sera fait, ou entrepris, vous mettra en distance de l'Absolu qui, je vous le rappelle, est toujours là. S'il y a des résistances ou des freins, regardez-les, et c'est tout : laissez-les passer, ne faites rien. Bien sûr, vous pouvez toujours faciliter les conditions initiales (si l'on peut dire), par tout ce qui vous est agréable. Mais ne vous perdez pas dans ce qui est agréable, n'en faites pas un but. Pratiquer un yoga pour simplement être bien, ne vous mènera jamais à l'Absolu. Mais soyez conscients que être bien vous permet de vous installer dans une réceptivité, si l'on peut dire, plus grande. Ne faites pas des mots, non plus, une finalité. Ne faites pas des Vibrations, non plus, une finalité mais bien, plutôt, des moyens et des outils, de vous approcher de ce que vous ne connaissez pas, et qui, pourtant, bien sûr, est votre nature. Cela exige de votre part, et cela exige de ta part, une honnêteté, une intégrité, une Humilité, une Simplicité, cela vous le savez, mais surtout, une Transparence, parce qu'il ne peut y avoir de transcendance sans Transparence. La Transparence est créée par Ki-Ris-Ti, par le Double, par l'Union Mystique. Un opaque, résistant : le corps, l'identité, l'ego, le Soi, rencontre la Transparence du Feu. De cette rencontre résulte la Transparence. La Transparence, c'est ne rien arrêter, ne rien retenir de ce qui peut passer (que cela soit une pensée, que cela soit une émotion, que cela soit un symptôme du corps, que cela soit une relation) : ne figez rien, restez fluides. Observez, si vous le voulez, mais vous n'êtes pas l'émotion, vous n'êtes pas la pensée, vous n'êtes pas la relation, vous n'êtes pas le corps. Laissez faire. C'est que je peux te dire. Sans rien rejeter : ce n'est pas parce que tu rejettes une pensée qu'elle va disparaître. Par contre, si tu la regardes passer, sans t'y attacher, elle disparaîtra, c'est toute la différence.

Question : à partir du moment où j'accepte que je ne suis pas tout ce que je connais du moi-je et du Soi, de quelle ouverture, au-delà de ma conscience actuelle, ai-je besoin (à part de laisser agir l'Onde de Vie et le Manteau Bleu de la Grâce) pour basculer dans l'Absolu (au-delà du « je suis ») ?
Rien de plus, et une seule chose par rapport à ce que tu as dit : accepter que tu n'Es rien de tout ce que tu connais, est une première étape. Mais as-tu pensé à le réfuter ? Ce n'est pas parce que tu dis seulement : « je ne suis pas ce corps », que tu vis l'Absolu. Réfuter le « je ne suis pas ce corps » est au-delà de l'acceptation. Ce n'est pas un jeu de mots, c'est une réalité de la conscience. La conscience qui te conduit, si l'on peut dire, à laisser s'exprimer et s'imprimer l'Absolu, est une réfutation de tout ce que tu connais et non pas, simplement, accepter la négation de ce que tu connais. Dans l'acte d'acceptation de ce que tu n'Es pas, il n'y a pas réfutation, il y a donc encore une distance. La réfutation, par contre, de ce que tu n'es pas, est au-delà de l'acceptation. La réfutation est un acte actif, l'acceptation est un acte que je pourrais qualifier de passif. Il y a donc une phase préalable active, cette phase est conduite par la conscience elle-même, de l'ego ou du Soi. La réfutation est donc une dynamique. Comme je l'ai dit, c'est une enquête. Cette enquête n'est pas un jeu du mental, mais bien un exercice (je n'aime pas ce mot) spirituel.
Dès l'instant où l'enquête est réalisée, elle débouche sur quoi ? Sur une identification. La désidentification par la réfutation va donc te conduire, sans effort, sans rien faire, à être Absolu. La spontanéité accompagne la Transparence. La spontanéité est l'absence de réflexion, ce qui ne veut pas dire faire n'importe quoi mais faire, ou être, ce qui est indépendant de toute référence à un passé, et donc à une expérience passée. C'est la Voie du Cœur. Parce que le Cœur ne trompe jamais, contrairement au mental. Je ne parle pas de l'intuition, parce que l'intuition fait toujours référence à ce qui est bon ou mauvais, pour toi. Nous sommes au-delà, de ce qui est bon et de ce qui est mauvais. Le bon et le mauvais, pour toi, cette intuition et ce discernement, dont se gargarisent des êtres dits spirituels, est une Illusion de plus. La spontanéité résulte de la Transparence. Il y a donc, à ce moment-là, en quelque sorte, une espèce de transpercement du Cœur, de l'arrière vers l'avant, et de l'avant vers l'arrière. Le fait d'être transpercé met en résonance, bien au-delà de ce qui est perçu dans le corps, Transparence et spontanéité. Shuntant littéralement l'expérience passée, et donc le mental. Cela s'appelle aussi le Don de Soi, ou l'Abandon du Soi. Cela fera, je crois, l'objet d'un développement par une conscience, si l'on peut dire, plus qualifiée que moi (ndr : voir sur notre site l'intervention d'ANAËL du 9 avril). Là aussi, il n'y a donc rien à faire, mais bien à laisser faire.
Même s'il y a un côté actif dans la réfutation, après, il convient de laisser faire. Parce que tu ne peux rien faire, rien entreprendre, pour connaître ce qui t'es Inconnu. Tu ne peux que passer de l'un à l'autre, mais ce passage n'est pas illustré par quelque chose qui te permettrait de passer : c'est donc bien une transcendance, et non pas une transformation. Il y a donc, effectivement, cette enquête à réaliser. Une fois l'enquête réalisée, laissez être, et laissez faire. L'enquête débouche, systématiquement, sur ce qui pourrait être nommé un paradoxe, entre néant et plénitude. Sur une interrogation, que je qualifierais d'ultime, interrogation ultime mettant fin à toute interrogation et à toute question. C'est à ce moment-là qu'est réalisée l'absurdité totale de l'ego et du Soi, pas avant.

Question : j'aimerais stabiliser l'état de non observation plus qu'un tout petit instant. Comment ?
Simplement en cessant de vouloir observer, de manière incessante, toute chose. Fixe-toi sur le mécanisme même de l'observation, et non pas sur ce qui est observé. Qu'est-ce qui observe ? Où est l'observateur ? Est-ce ces yeux qui voient ? Est-ce cette réflexion ? Où est situé l'observateur ? C'est passer de la perspective de ce qui est observé, à une autre perspective. Tant qu'il y a observation, de quoi que ce soit ou de qui que ce soit, le temps se déroule. Et donc, il y a un rappel, au travers de ta question, à vouloir figer ce qui n'est pas figeable : le temps s'écoule. C'est donc à toi, par cette question de « qui observe ? » (et non pas : qu'est-ce qui est observé ?) que naîtra l'immobilité. Parce que tu vas rechercher l'observateur, et tu t'apercevras qu'il n'y a pas plus d'observateur que de choses observées. Et que l'observateur n'est qu'une projection, d'autre chose, qui est derrière l'observateur. À ce moment-là, tu pourras basculer. Pas avant. Le Soi est l'observation la plus parfaite de la Lumière, où des mécanismes de Conscience et de Vibrations sont présents, concourant à établir la Joie, concourant à établir une satisfaction. Permettant de croire qu'il y a une quête qui a été accomplie, achevée et réalisée. Il faut dépasser cela, et aller au-delà de cela. La meilleure façon, effectivement, est de ne rien faire, de laisser faire. Et de sortir, même, de la dynamique apparente de l'observation, de ce qui est observé, de l'observateur lui-même. Car qui est derrière tout ça ? Ou plutôt : qu'est-ce qui est derrière tout ça ? Tant que tu observes, tu n'es pas l'observateur. Tant que tu es l'observateur, tu n'es pas ce qui est derrière l'observateur. Enquêter sur cela est une pratique, majeure. De cette enquête, réalisée honnêtement, découlera la phase ultime, découlera aussi l'Onde de Vie, et la perméabilité des roues (des chakras) à l'Onde de Vie.
Ne t'occupe pas de l'Onde de Vie, tu ne peux ni la maîtriser, ni la contrôler, ni la diriger. Tu vas donc l'observer. Et tu vas te placer, donc, du point de vue de l'observateur, qui va se poser la question : est-ce bien, est-ce mal ? Tant que tu joues ce jeu, l'extase ne peut naître. Vient un moment où tu saisis que tu ne peux influer aucunement sur l'Onde de Vie, mais tu es toujours observateur. Pose-toi alors la question de « qu'est ce qui est observé ? », de « qui est l'observateur ? » et tu deviendras l'Onde de Vie. Laissant naître, alors, l'extase, marqueur indicible de l'Absolu. Ce qui est à stabiliser, c'est ce qui est déjà stabilisé, et qui n'a jamais bougé, qui n'a jamais disparu. C'est, très exactement, l'Absolu : là, où il n'y a plus d'observateur, là, où il n'y a plus d'observé, et là, où il n'y a plus, non plus, ce qui se tient derrière l'observateur. Parce que l'Absolu est à la fois l'observé, l'observateur, et ce qui est derrière l'observateur. Là aussi, il n'y a plus de distance, ni de différence.

Nous n'avons plus de questionnement, nous vous remercions.
Alors, je nous propose de mettre, de manière tran, un terme à nos entre tiens et miens. Je laisserai plus qualifié que moi exprimer ce que représentent ce Don de Soi et cet Abandon du Soi. J'interviendrai dans un autre moment, dans votre route vers cet accomplissement. Il vous reste à lire ce que je vous ai dit. N'en faites pas une parole de certitude ou d'évangile. Essayez de voir ce qui est juste, ce qui n'est pas juste. Non pas dans un aspect discriminant mais, de la même façon que je l'ai exprimé, en forme d'enquête. Je donnerai les instructions, dans peu de jours, qui nous permettront d'achever cet entre tien et mien afin d'aller dans le Principe et l'Essence même, de ce qui a été dit. C'est-à-dire, d'aller au-delà du dialogue, au-delà du diabole et au-delà du symbole, pour, en quelque sorte, réunir les trois éléments dans la même indicible Vérité de l'Absolu. Je rends Grâce à votre écoute. Et je vous rends Grâce d'avoir supporté, et porté, les mots que j'avais à vous donner. Puisqu'il me faut bien me nommer, BIDI vous salue, et vous dit, dans votre temps, à bientôt.



BIDI

09 de abril 2012

Bueno, BIDI está de vuelta aquí. Espero veros por nuestro entre los suyos y los míos. Por lo tanto, en un primer momento, lo haremos, si se quiere, que siga examinando, pesar y sopesar sus preguntas, en las mismas circunstancias y condiciones que el día anterior. Me pregunto, ¿la escucha y el oído y dejar que pase lo que viene a ti, sin interferir de ninguna manera, sin la oposición. Simplemente por el alojamiento como le doy la bienvenida. Podemos considerar a la primera pregunta.

Pregunta: A su llegada en el tamaño, estructura y perfecta ilimitado, ¿cómo es posible haber conseguido tan bajo en esta dimensión, en vibración y conciencia. ¿Por qué?
Este mecanismo se llama el descenso. Este descenso está vinculado a un punto de vista, cada vez más estrecha y limitada, con la participación, de alguna manera, la conciencia de su propia limitación (en una limitación de la libre) que poco a poco (más de tiempo extremadamente largo) lo entiendo para aislar y separar más y más. Esto ha sido descrito en muchos textos antiguos, hablando de épocas y períodos de éxito y que lleva gradualmente a descender la conciencia, de alguna manera, en las profundidades del olvido. Pero esto es sólo el tiempo. En el momento en que la mente es incluso capaz de verse a sí mismo, con toda honestidad, lucidez, y de manera lógica, que viene, en efecto, considerar este un proceso absurdo, injusto. El problema no es tratar de responder a estas preguntas porque, por supuesto, que le llevará no sólo para conocer el estado de la conciencia, pero, más importante aún, para encontrar las causas. Pero te recuerdo, el Absoluto no tiene una causa. ¿Quiere buscar una causa (explicación) le enviará de vuelta, de manera sistemática, esta causalidad y por lo tanto, esta dualidad. Hágase la pregunta de por qué existe esta pregunta. Lo que él necesita para explicar o lamentar? ¿Qué es este alejamiento que Es tú, lo que plantea preguntas sobre lo que consideran que es anormal o triste? No considerar lo que es anormal, pero no ven que esto es normal. De la misma manera que la dualidad es ver bien y el mal, la unidad es sólo para ver a la unidad y no quedar atrapados en cualquier forma y de cualquier manera, para dar una conferencia, a la hacer preguntas sobre el bien y el mal, porque la ecuación del bien y del mal, por naturaleza, es insoluble. Cualesquiera que sean los aspectos importantes, encabezados por una vida en servicio, dedicación, independientemente de la filosofía o incluso espiritual (en el bien y el mal), nunca se llegue a una solución porque la solución n no es de este mundo. Debido a que la solución no está en la dualidad y no hay solución puede existir, mientras que hay un antagonismo. Me habló ayer de los dos extremos de un límite. No es porque se llega a un extremo de un límite que usted conozca todos los límites, el otro extremo, sino que es más importante, es probable que se exceda este límite. Usted debe, literalmente, se extrae a partir de esta noción de causalidad. Esta causalidad puede explicar este mundo y esto sólo. La causalidad puede expresar las leyes de la acción / reacción, las leyes del alma, pero nunca la ley de lo Absoluto. Para el Absoluto sólo conoce una ley que es el de la propia Dependencia descatalogados, es decir, el principio mismo de la Unidad. El factor causal, lo que sea (en tu vida, en la historia de la vida en este planeta) se refiere necesariamente, de nuevo, un principio y un fin. La causalidad, en sí mismo, no puede ser incluido en el Absoluto y no puede llegar, incluso, su lógica de lo Absoluto. Causalidad (acción / reacción, principio y fin) es parte de una historia y no la verdad. Por cada historia está escrita en un tiempo lineal, dentro de ciertos límites que son, también, pero el suyo no se corresponde con la verdad. La historia es, de alguna manera, el esqueleto de lo que queda de la vida. Las piezas de carne. Sigue siendo algo que está congelado. Es algo que no participa en la vida. Hoy en día, se le pidió que fuera la vida. La llamada de la luz vibra en ti, no la causalidad, pero la sed de lo absoluto. A pesar de estas palabras son desconocidos para usted, incluso si aparecen sin ningún tipo de causalidad, y por lo tanto cualquier posibilidad, no es menos cierto que esta es la única Verdad. Levántate como el Absoluto (se atreven a pedir ya que esto) va a terminar, muy rápido (incluso en la encuesta lo que el auto, por lo que el ego y por lo tanto, lo que no es el Absoluto), le llevará a las puertas de lo que el ego llama a la nada y luego de experimentar y experimentar lo que es absoluto. Ciertamente, en los momentos clave, era oportuno dar a usted (o que se le de, porque yo no participo) una serie de temas relacionados con la historia. Sólo para mostrar y demostrar cómo la historia puede ser distorsionada, arreglado, desviados y se dispondrán de modo que le desvían, siempre, de la Verdad. Debido a que tome usted (estas historias) a creer en los cuentos, no tú. Los seres humanos necesitan historias de cuando entró en la conciencia de la causalidad. Tan pronto como entró en su conciencia dentro de las esferas de lo Absoluto (e incluso dentro del mismo), la historia no tiene sentido. No tiene dirección. No tiene ninguna lógica y que no tiene justificación. La historia es que la coartada que viene a la vida que se niega a conocer. La historia sólo está dispuesto a dar lo mejor en segundo lugar, la mente, seguro que él puede explicar esto por su pasado.
Sin embargo, no esto se explica por el pasado. Todo lo que se cree que se explica, por un resultado de un pasado, usted está registrado, aún más, en una ilusión. Por supuesto, aquellos que tienden a querer que la historia se repite y no conduce a la final de la historia, va a crear, de algún modo, las ceremonias, aniversarios, cumpleaños, principios que por lo tanto, mantener, de alguna manera, el peso de la historia en su propio presente. Usted, sin embargo, no mejor cuando usted está celebrando un nuevo año, un cumpleaños o aniversario (sea lo que sea), la fecha fija. Debido a que en ese momento a recordar el pasado. Usted vive y revive el pasado en su presente, donde no tiene nada que hacer. Porque si bien esto (que vive) es de color en cualquier pasado, usted puede reclamar la unidad, usted puede reclamar el Absoluto y el Absoluto no puede vivir. Por lo tanto, en realidad, el desembalaje, quitar el polvo, la eliminación, desmintiendo todo lo que no es instantáneo. El Absoluto está presente sólo en el instante. La única manera de encontrarlo (la única forma de demostrarlo) es vivir en su totalidad, la instantánea. No hay pasado. No hay futuro. No era sólo la instantánea florece el Absoluto. No sólo detener el tiempo, por así decirlo (el tiempo lineal), que puede de hecho y prácticamente tocar el Absoluto y los vivos. Cualquiera que sea el artículo que usted ha vivido, a pesar de el efecto que implica en su presente, no es eso. Mientras que dar crédito a esto, no se puede vivir del Absoluto. Disfrute de la misma. Una vez más, no me creen. Experimentar y ver, por sí mismo, si esta lógica se aplica en la vida. Salid de la historia. Salid de cada historia, porque usted no es una historia, no hay historias. Historia del servicio, mantener una leyenda personal, lejos, tan importante, y la Verdad Absoluta. Todo lo que volver a vivir (en pensamientos, emociones, ritos, rituales, celebraciones, con las fechas) no tiene ningún sentido de lo Absoluto. Su llamada.
Pregúntate a ti mismo, simplemente, la única pregunta que vale la pena: ¿Qué soy yo? Y cuando ves, por sí mismo, puede definir el "qué soy" o "I", se abandona la "I" para el no-ser. A pesar de todo lo escrito yo. Debido a este enfoque para el Absoluto es una lógica innegable. Esta encuesta (si se lleva a término) le llevará, como la vibración, más allá de toda manifestación, más allá de ser y no ser, para establecerse, inicialmente, en el no-ser en el que no se está haciendo y que le da (si se puede decir) el Absoluto. Usted debe ser, de alguna manera completa. Completo, no de preguntas, pero la plena certeza de lo Absoluto, no como creencia, sino como una refutación de lo que es relativo, la refutación de lo que es efímero, la refutación de que es limitado. Cada minuto de su vida, recuerde que esto no es una despersonalización o la retirada de la vida, sino, más, la trascendencia de la personalidad que le lleva a la vida. No es lo que da a sus ojos para ver. No es lo que define sus palabras. Nadie te puede tocar, pero que son, más allá de todo sentido. Por lo tanto, debe alejarse de la causalidad. Esto a su vez de la causalidad (se exprese lo contrario) puede ser así, no juzgar, ni siquiera el principio de la caída, aunque la causalidad que ha creado esta conciencia limitada. La sentencia no es el hecho de no usar un vistazo separado y dividido. No hay mejor manera de vivir el Absoluto. Les recuerdo que en el Absoluto, no puede haber ningún límite, no hay separación, no hay otra conciencia que eres (que reúne a todas las otras conciencias) y que conduce, de manera ineludible a la conciencia que n ' no es la inconsciencia. Sal (y salir) de la causalidad. Corresponde al cuerpo causal. Corresponde a las leyes del alma. Este cuerpo tiene hambre: debe ser alimentado. El alma anhela experiencias: debemos proveer experiencias. El alma ama al amor, el sentido de posesión, el sentido de la experimentación, en la matriz (como lo que sea). El alma se coloca en la causalidad. Usted no es causalidad. Usted es, por tanto, que ni el cuerpo ni alma, ni mente, ni la vida de este, o lo que pasó. Tú eres la vida. Si se vuelve la mirada de esta manera, usted verá que esto no es en absoluto una negación de la vida, sino, más, una re-entrada en la vida y, muy rápidamente, los procesos en ejecución, En la actualidad, será tuya. No hay alternativa. No hay alternativa. No hay otra posibilidad que ser absoluta o refutar el Absoluto (desde la perspectiva del ego o desde la perspectiva del Ser). Piensa, simplemente (si se lo puede definir): existe dentro de la personalidad, existe en el alma, una meta? Seguir este objetivo y entender, en un segundo tiempo, no puede existir en la meta en el futuro. Debido a que cualquier futuro lejos que, una vez más, su presencia y el Absoluto. Por supuesto, la ley de acción / reacción hará todo lo posible para mantenerlo en sus redes. Se da a entender (y aprovechar) las leyes: las de la encarnación, la de karma, las de la astrología, como la energía. Le dará una serie de explicaciones, directamente relacionada con la causalidad, y todo funciona así en este mundo. Pero voy a terminar diciendo que están más allá de toda causalidad. ¿Qué te gustaría ser? ¿Qué demuestran? ¿Eres lo que, en verdad, o la causalidad en la que se le asigna? Para que usted vea.

Pregunta: ¿Por qué es este mundo de dualidad fue creado? ¿Será porque en el mundo de lo Absoluto, el Ilimitado, es el problema?
Yo respondería que la persona que esta pregunta es realmente aburrido. Bliss, el éxtasis y Intase de lo absoluto no puede, bajo ninguna circunstancia, ser una molestia. El único problema es aquí. Todo lo aburrido: necesidades fisiológicas, la necesidad de ganarse la vida, la necesidad de mantener y elevar su conciencia, de forma permanente, en un cuerpo, las relaciones, a través de las herramientas llamadas idioma incompleto. Por otro lado, el mundo de la absoluta no puede existir. El Absoluto no es un mundo. No es un mundo, o incluso un multiverso. Está más allá de todo lo creado. Es el apoyo de toda la creación. No es el aburrimiento que provocó nada. El Absoluto no puede, bajo ninguna circunstancia, ser una molestia de ningún tipo ya que con pocas palabras, se puede definir como: El orgasmo ilimitado, perfecto, lleno, vacío, Señor, el éxtasis y Intase sin tiempo y el espacio sin . ¿Qué problema podría surgir de esto? No más de la que hay una necesidad de experimentar. Porque, ¿quién dice la experiencia, dentro de la limitada, dirigida a introducir, de forma sistemática, una noción de la evolución o involución y, por tanto, un principio de causalidad. Al pensar así, de hecho, el mundo de lo absoluto puede parecer aburrida. La experiencia, después de todo, es que la búsqueda de lo Absoluto. ¿Cómo es que lo que es absoluto puede limitarse a sí mismo, porque, después de ganar el Absoluto? Sobre todo porque la perfección es inicial y final no. ¿Qué interés habría para el Absoluto, para seguir adelante? Así que, por supuesto, en términos de la relación, es muy tentador hablar de la experiencia (conocerse a sí mismo a través de la observación, a través de la existencia de un sujeto y un objeto), pero es una vista fragmentaria. El Absoluto, estar fuera de cualquier momento, sin ningún tipo de linealidad, simplemente, para él, el mundo no existe. En pocas palabras, para él, la limitada no tiene sustancia. El problema es que en lugar de tener todas sus ocupaciones, incluso mediante la observación de la belleza porque la belleza será necesario que observar, en el día lineal, uno u otro momento, a otro, hay que preocuparse, incluso la de sus necesidades fisiológicas. Por lo menos atrás en el samadhi (como algunas personas lo han hecho), por lo menos para volver a la absoluta en una forma actual, no veo por qué no habría ningún problema. Les puedo asegurar que son ustedes los que están aburridos. Cualquiera que sea su entusiasmo, cualquiera que sea su capacidad de alegría, independientemente de sus instalaciones en el Samadhi, esto no es absoluta. No es la salida del tiempo lineal en el espacio, el espacio-tiempo (no como una negación sino como un sentido lógico), existe en ese momento, se superar y trascender el tedio de este mundo.
El Absoluto no es un mundo. Yo diría que es la trascendencia del mundo y, por lo tanto, incluso si el mundo parece existir en el Absoluto (la presencia relativa en el Absoluto), esto es sólo un punto de vista (incluso una vez) fragmentada y limitada. El Absoluto no necesita ninguna experiencia, ninguna memoria. Es, de la eternidad, la perfección y la belleza, es suficiente para sí mismo, sin ningún tipo de proyección, sin experiencia. La experiencia (en este mundo como en otros mundos) es en última instancia, a una distancia (vibratorio, espacial y temporal) lo que usted cree que pienses lo que pienses (o se atreven a creer). Sin embargo, todas estas creencias es en última instancia, la falta de luz, la falta de amor. Los seres humanos pasan su tiempo de proyectar el amor y dice que ama. Pero se puede amar y se puede decir, porque su naturaleza (y de su esencia) es el amor. Y no se puede saber lo que son, el punto de vista limitado. Sólo se puede proyectar (en la pantalla de la conciencia) de un objeto. Conviértete en el testigo (u observador) de lo que hemos planeado (de una obra, un trabajo creado, un estudio, una relación, una relación de madre a hijo) pero usted no puede saber lo que eres. Usted puede externalizar que, en este mundo, acción y reacción y tratar (en esta acción y la reacción de esto) para encontrar, de alguna manera, un hilo que no existe entre lo limitado y lo "Unlimited.
El único problema es que es relativo. Absoluto siendo acompañada por algún problema. Sólo la conciencia del ego haciendo esta pregunta porque el ego es parte de la llamada realidad tridimensional y por lo tanto en un determinado espacio-tiempo, dando la impresión de que hay experimentos para llevar a cabo, la avaricia (codicia que lo haría tocar el) ilimitado que, por supuesto, nunca puede suceder. No hay experiencia de este mundo, no hay trabajo de este mundo, no hay evolución de este mundo ilusorio, le llevará a vivir el Absoluto. Es sólo cuando usted da para arriba, no es que cuando usted da el Ser mismo, que el Absoluto se revela y se convierte en lo que eres. Recuerde: no hay solución de continuidad. El Absoluto es un trastorno, no sólo un cambio de perspectiva (como dije ayer), pero mucho más, un trastorno en el que se ven obligados a parar (una forma como otra) sin negar que, todos los eventos causales de las causalidades primero es este cuerpo. Usted está en este cuerpo, pero en cualquier caso, es este cuerpo, ya sea un templo. Por supuesto, usted debe alimentar el Templo, para mantenerla. Y ahí empieza el problema, incluso si te gusta de lavar. Porque, por supuesto, no se están reproduciendo. Así que, por supuesto, hay conciencia de que les gusta la reproducción, ya que proporciona la certeza de hacer los mismos gestos, repitiendo los mismos actos: comer en un momento determinado, a la cama a una hora determinada, se levanta en el momento (excepto fin de semana). Todo esto nos lleva, inevitablemente, a una rutina donde no hay nada nuevo. Si te fijas bien, todo es viejo, todo lo que se usa. Sólo el mundo es bello porque muestra (en lo que le da a ver) los ciclos, las estaciones. El sol se levanta, siempre, en un solo lugar. Se acuesta en la noche en un solo lugar. Es una certeza (al menos hasta cierto punto) y que ha vivido hasta ahora. El problema está aquí. Ciertamente no en el Absoluto. Y no hay un mundo de lo absoluto.

Pregunta: resistencia a la vida absoluta siempre han sido más fuerte cuando la primera opción es vivir en el Absoluto, aquí en la Tierra. ¿Por qué?
No se puede vivir del Absoluto. No se puede vivir esa vida. El Absoluto está más allá de toda la vida. Se propone vivir el Absoluto, dentro de un familiar llamó a esta forma, el cuerpo de esta y esta vida, porque las circunstancias (los ciclos de este mundo) afectan a un aterrizaje, la trascendencia, también. Cuando la fugacidad de la vida desaparece (como está escrito entre el nacimiento y la muerte), lo que queda, en este momento, permanece bloqueado. Con otras reglas, otras leyes, pero sigue siendo una prisión. Hoy en día es diferente. Así que hay un más fácil de extraer, más o menos, un punto de vista dualitaire. ¿Cuál fue abierta en la luz (la Ilustración a la Ser, la auto-realización), ciertamente no ha sido un error, pero un gran paso hacia el Absoluto. Por supuesto, todavía es posible creer (y espero) que se convertirá en el Ser Absoluto. El Ser no puede, bajo ninguna circunstancia, se convierten en absoluto. Debido a que el auto es poner fin a la separación de la conciencia del ego y el registro y la vida en la no separación, no en la distancia. Hay, en realidad, puede comunión, reunión, pero no se disuelve. El Absoluto te ofrece vivir todas las vidas de todos los mundos. El acceso a lo absoluto, o, más bien, el despertar de lo Absoluto (que siempre ha estado ahí), se hace mucho más fácil hoy en día por la desaparición de lo que había sido llamado, creo, franjas de interferencia de la astral oscurecido, literalmente, la verdad. Incautados, mientras que no se trata de vivir el Absoluto, pero para ser el Absoluto. Ser Absoluto está más allá de cualquier estado del ser. También es capaz de colocar los términos de esta forma es el cuerpo ocupado, al igual que cualquier otro organismo. Esta es la Libertad, es cierto. No es que el pensamiento, en la cárcel, podemos salir de la cárcel. No es la persona a especular o prueba de estar vivo, porque todo da vueltas en círculos. No hay salida. El ego y la noción de evolución se tratan de hacernos creer (y que se ajusten a) el hecho de que será mejor mañana. Pero no hay absolutamente nada mejor posible mañana. Por otra parte, no hay mañana, no ayer. Al considerar que hay un mañana, ya que consideran que no es el ayer, el Absoluto no puede llamar a su puerta. Estoy hablando, por supuesto, lo que nommeriez las Leyes del Espíritu, porque nada impide que el cuerpo es parte de un calendario y horario que se desarrolla, en silencio, sin hacer nada en el hacia una inversión de la conciencia, mientras que muy bien lo que hay que hacer.
Este es un cambio del punto de vista, es un cambio de perspectiva. Este es un cambio, en el interior, el posicionamiento, precisamente donde se sale de cualquier posición. Cuando usted adopta una posición más, pero algo más allá de todas las cosas, en el amor ¿Están usted y la Luz que son, sin la necesidad de proyectar cualquier amor, cualquier luz. Recuerde: usted es luz del amor. Tú no quieres a tu proyecto. Tú no eres la luz se puede ver. Debido a que en última instancia, el aire no puede ver el aire y el agua no puede ver el agua. Usted está en la misma situación: usted no puede ver lo que eres. Sólo se puede ver lo que no eres y por lo tanto rechazar todo lo que ves en la que no lo son. Y ahí se sorprendió al ver que hay más de freno a la absoluta y el marcador (o marcador) de lo Absoluto, la ola de la vida, dejará de atacar el Templo ilusorio (lo que el cuerpo), la parte inferior del cuerpo, que le da para vivir la onda, del Interior, y no desde fuera, en un cuerpo. Usted está, yo diría que (por así decirlo), en pleno proceso de verificación, validación de lo Absoluto. Nadie le está pidiendo a creer lo que es increíble. Nadie le está pidiendo que se adhieren a lo que no puede unirse. No es sólo usted quien puede dar testimonio de sí mismos, más allá del control del objeto, más allá del observador y lo observado y más allá de cualquier proyección en cualquier palabra. .

Pregunta: ¿Cuál es la creencia de que me impide entregarme al Absoluto?
Las creencias más convincentes: tú mismo. Siempre y cuando usted cree en cada pedacito de ese cuerpo, como usted cree en el más mínimo elemento de la historia, usted es parte de lo efímero. No, no podrá acceder fugaz a lo Absoluto. Por supuesto, hay requisitos previos, relacionados con la estructura de la vida en este mundo, incluido, por supuesto, en la personalidad (el ego) y también en el auto. Sin entrar en detalles demasiado complejos, lo que dificulta es la negación de lo absoluto, porque el ego tiene, siempre, al objeto (la función), para entender algo que es desconocido para él, para estar en la descripción , vivía, en un experimento. El Absoluto no puede ser reducido al ego, la persona o incluso hasta el auto, ya que el Absoluto Oriente, todo bañado, incorpora todo. Quiere apoderarse de él, queriendo saber, es imposible. La mayor resistencia es, por supuesto, a este nivel y en ninguna otra parte. La creencia en uno mismo es el sistema de seguridad más potente. Pero usted no es, tampoco, que los frenos. Por otra parte, lo que dificulta, si no que usted mismo construyó, lo que te cuenta? Quiero decirte todo lo que usted debe considerar, sin futuro y sin pasado para vivir y ser lo Absoluto Absoluto. La creencia en la vida absolutos conduce a ser absoluto. Hay, de alguna manera, una señal portadora (marcador o control) de la introducción de algo desconocido: esta es la ola de la vida y la trascendencia de los centros de energía más bajos. Pero no le dé, ya sea, el peso todo porque si se le da más peso de lo necesario, sino que también se cristaliza. Esto también ayudará a que se limite y mantener los límites de confinamiento. La mejor actitud, por supuesto, es la espontaneidad del niño. Este es el único que está totalmente inmerso en la experiencia. Sin juicio, sin un punto de referencia, sin proyección. Si bien no es un juicio, un hito, una proyección, no eres el hijo. Y, por lo tanto, el Absoluto no puede venir a llamar a lo que eres. Es su responsabilidad de establecer que las circunstancias anteriores a la absoluta. Esto es, en parte, como ya he mencionado: la investigación sobre todo lo que no es debido a que es efímero. Esto es para eliminar todo lo que es su vida y este mundo. No a huir, insisto. Sin embargo, para refutarlo como un supuesto válido (e invalidó) por la propia lógica, más allá de todo mental. El sueño, la investigación, comprensión de lo que es el testimonio, el testigo, sujeto, objeto, el experimentador y lo que es experimentado, en forma, en última instancia, inútil. Aceptar esta futilidad, este es un gran paso. No es usted de mas para vosotros de lo Absoluto.

Pregunta: ¿algo que se instaló en mí que yo no lo sé, y me siento extraña, o extranjera, incluso. Vi tanto la conciencia de la nada y la plenitud. Me siento apoyado por la vida y yo se lo permite. No es una eliminación de mí mismo y una distancia de este mundo. No tengo miedo, no hay palabras, sin esperas. ¿Podría usted ilustrarme sobre lo que no veo en mí?
Aceptar menos de lo que verá en ti, más te va a ser absoluta. Lo que no se puede ver, que es una percepción, que se puede poner en palabras, o incluso en la vibración, esta extrañeza, y su nombre, es la muerte del ego. Debe quedar claro, que debe permitir la limpieza y lavado. Esta fase es más largo o más corto. Llamó, y decir que, de alguna forma de neutralidad. La casa está limpia, así que usted puede duplicar su boda. Este matrimonio, que es un enfoque, puede tener lugar a través del tiempo, ilusoria, pero que se experimenta como tal. Es el estado donde no hay nada que observar, en el que nada es observable, en donde no se ve nada, donde no se ve nada. Esto puede parecer vacío, pero no está vacío. Aquí es exactamente donde se da la impresión de la preparación permanente, de alguna manera en su propia boda y por lo tanto a lo Absoluto. Si puedo ponerlo de esa manera, tomar, disfrutar de ella porque no está haciendo nada, nada que temer, que termina de toda duda, la esperanza de todo, y también a cualquier impaciencia. En este estado de vacío (que algunos movimientos han intentado, como algunos han tratado de filosofía) instala el Absoluto. Tienes que antes, y vivió, y aceptado, de que no hay nada que buscar, no se encontró nada. Esta nada, que no es uno, es de forma irrevocable el final de los egos.
El vaso está listo para ser llenado. El marido y la mujer está en la puerta, nunca se ha ido. Los beneficios, si se me permite decirlo, este vacío, es decir, de alguna manera, una antesala de lo Absoluto. Porque si estás vacío usted mismo, usted puede estar llena de lo que eres. El vaciado de uno mismo es, exactamente, lo que se llama abandono de uno mismo. Es trascender el "yo" es el momento en que la conciencia descubre que no hay nada que observar, que nada se observa, y que el acto mismo de observar es una vergüenza. Así pues, la boda mística mecanismo, arriba. Aceptar y ya no vivan estar lleno de pensamientos (es decir, de la Ilusión), por no tener esperanza (que es la proyección hacia el futuro), se instala, de alguna manera, en un estado más allá de la esperanza, que podría ser llamado Esperanza, pero es sobre todo la integridad. Esto es, de alguna manera, los últimos juegos de la ilusión. ¿Qué capta que nada puede estar vacío, y nada puede ser completa, y que no se caiga entre los dos. Esta fase no puede ser llamado una condición porque, de hecho, ningún estado está instalado. El vacío es la plenitud, la plenitud es el vacío. Estas dos palabras, más allá de cualquier significado, son los que mejor representan esta fase previa a la última.
Sobre todo no hace nada, no hace nada en particular. Dicho esto, no le impide hacer lo que debe hacerse en la vida de este cuerpo, de sus obligaciones. Pero simplemente, no quiere decir, lo mejor que puedas. Lo que viste no es una expectativa, que vives no es un vacío o lleno, es a la vez. Es en esta fase que la ola de la vida puede crear su verdad, porque tú eres la ola de la vida. Por lo tanto, un proceso de desidentificación, una muerte, simbólicamente, de todo lo que no es cierto. Esta es la fase en la que viven. Por encima de todo, no juzgar. Hemos de tener aún por un corto tiempo, siendo el uno para ver lo que vio. Muy pronto, podrás ir más allá. Este "muy pronto" no es parte de un temporal lineal, o en otro espacio, pero en una forma de aguda a ti mismo. Algunos experimentos son posibles intermedios en este estado, en esta fase, que viene, por así decirlo, se refuerza el hecho de que no somos este cuerpo, y mucho menos éste. Así que aproveche y disfrute de esta fase, debido a que es un preludio para el matrimonio místico. No importa, por completo.

Pregunta: el Absoluto es por lo tanto, más allá de las jerarquías Dimensiones (5 º, 11, 18, etc), sería como volver a la fuente? Así que si vas a lo Absoluto, lo que es el interés de la 5 ª Dimensión?
Ustedes presupuestos, erróneamente, que el Absoluto es comparable a la fuente. FUENTE, por esta misma palabra, que significa un origen y un fin. El Absoluto está más allá del origen y el fin. El tamaño, independientemente de su número, es sólo una representación, un rango de vibración, un intervalo de exploración de la conciencia. El Absoluto, y FUENTE LA se acuerde, pero recuerde, usted, usted es totalmente libre para establecer como mejor le parezca. Sólo tiene que te recuerda la existencia de fuente, la fuente de la experiencia, a través del acceso a lo Absoluto. Si usted es el Absoluto, usted tiene la flexibilidad y libertad para vivir, o aparecer en cualquier tamaño que sea. Si su rango de frecuencia, la amplitud de su vida, se juega la calificación, es incompleta, sin embargo, lo que permite ver la totalidad existente en el Absoluto, usted es libre para creer que existe para llevar a cabo experimentos en los d otros mundos, otras dimensiones, en otros estados. Esto es parte de su libertad, pero te voy a conceder, esto no tiene absolutamente ningún interés desde el punto de vista del Absoluto. Entonces, ¿qué le impide ser el Absoluto, ya que, obviamente, no es un impedimento? La prevención está directamente relacionado con la duda y el miedo. Usted no puede conocer lo absoluto en términos de dónde se encuentre. El punto de vista desde donde se tiene que ir, tiene que destruir. Recuerde que no es posible pensar en una continuidad entre lo conocido y lo desconocido. Usted no puede quedarse en lo conocido y lo desconocido de la vida. Hay que dejar que el extraño que tome, y se dará cuenta entonces, que la limitada todavía está presente. Pero antes, es sólo una conjetura, esto es sólo una creencia, porque usted no vivió. Simplemente, muchas estructuras han dicho que se hará de acuerdo a su vibración, si se prefiere, en función de su puntuación. La partición que se juega depende de un instrumento, y no otro instrumento. ¿Va a ser un instrumento, o va a ser, al mismo tiempo, el mismo espacio, y en todas las dimensiones, todos los instrumentos? Poner fin a cualquier barrera, cualquier límite. Sin experiencia alguna vez será útil para el Absoluto, pero sigue siendo útil y es el que juega su propia partición, o conectado ilusorio. El Absoluto es la libertad total, pero la libertad es miedo, porque la libertad es precisamente lo que se desconoce. Mientras que reclamó la libertad dentro de cualquier caja, te mientes a ti mismo. Y aunque no mienten, la verdad puede ser.
No puedes pretender asumir, o imaginar, que el Absoluto es la fuente. El Absoluto es el origen, pero es mucho más que la fuente. Debido a que el Absoluto no tiene principio ni fin, la ubicación no, ni ubicación. Vibración, la conciencia es la vibración, se ha dicho. Para vivir, crear conciencia, las ruedas de la energía (lámparas), el despertar de la Kundalini, e incluso la percepción de la ola de la vida. Pero como puede ver, usted no es lo que se percibe. El Absoluto es la instalación en la percepción, no percepción. Esto es cuando ya no hay ninguna distancia, ninguna suposición acerca de lo Absoluto, porque el ego limitado como el yo, sólo puede representar la verdad. Sin embargo, cualquier representación no será nunca un espectáculo, una proyección, una ilusión de más, palpable, más o menos, se aproxima más o menos. Dando una sensación más o menos real, pero no es el Absoluto. A pesar de que el testigo y el marcador de lo Absoluto, es decir, la onda de la vida, y sus efectos sobre el éxtasis o intase, también hay otro marcador, el cual está ubicado en el la conciencia que conduce a la no-conciencia. Es precisamente cuando no hay otras preguntas más. Porque la pregunta en sí es visto como algo ilusorio, así como mi respuesta. Mientras que pronunciar las palabras y las palabras que yo hablo, no es una ilusión. Pero estas ilusiones son en última instancia, menos duros que los que vinieron antes que el tuyo y el mío entre nuestro (nota: el neologismo palabra de la entrevista). Esto no es un juego estéril, pero es una buena práctica, en el sentido más noble. Esta práctica puede ser juzgado por el ego como intelectual, le llevará a su ritmo, a darse cuenta de que el estado ha sido descrito en la pregunta anterior. Se asume que nada de lo absoluto, porque todo lo que supposeras sólo puede establecerse a través de su experiencia y su conocido. No proyectar nada en lo absoluto, porque en cualquier proyecto que ya está fuera de ella. La absoluta puede ser conocido, no se pueden formular, no puede ser vibratorio, se puede poner en palabras. Por contra, es posible utilizar la vibración y las palabras para capturar lo que no lo es. En ese momento, hay una especie de reconciliación que se lleva a cabo, es esta última fase.
No dé nada por hecho, también es no hacer nada, no hacer nada. Debido a que todo se hará, o llevado a cabo, se distancia de lo Absoluto, que, les recuerdo, todavía está allí. Si hay resistencias o los frenos, los mira, y eso es todo: los dejaron pasar, no hacer nada. Por supuesto, usted todavía puede facilitar las condiciones iniciales (si se puede decir), por todo lo que es aceptable para usted. Pero no se pierdan en lo que es aceptable, no hacer un gol. La práctica de yoga a estar bien, no dan lugar a lo Absoluto. Pero tenga en cuenta que puede ser bueno para establecerse en la receptividad, por decirlo así, más. ¿Es que no las palabras, ya sea, un propósito. No hagas las vibraciones, ya sea, sino un propósito, más bien, los medios y herramientas, para llegar más cerca de lo que usted no sabe, y sin embargo, por supuesto, es su naturaleza. Esto requiere de ti, y esto requiere de ustedes, la honestidad, la integridad, la humildad uno, la sencillez uno, que usted sabe, pero sobre todo, una transparencia, porque no puede haber ninguna trascendencia, sin transparencia. La transparencia es creada por Ki-Ris-Ti, el doble, la unión mística. Una opaca, resistente: el cuerpo, la identidad, el ego, el yo, cumplimiento de la transparencia del Fuego. Como resultado de esta reunión de Transparencia. La transparencia es nada para detener, no recuerdo nada de lo que puede suceder (esto es un pensamiento, esto es una emoción, esto es un síntoma de que el cuerpo, ya sea una relación): no se congelan, siendo fluido. Mira, si quieres, pero no son la emoción, no estás pensando, no eres la relación, no somos el cuerpo. Vamos a ello. ¿Es que te puedo decir. Sin rechazar cualquier cosa: no es porque se rechaza una idea que va a desaparecer. Por contra, si nos fijamos en que se vaya sin que se adjunta, que va a desaparecer, esta es toda la diferencia.

Pregunta: Desde el momento que aceptar que no soy todo lo que sé de mí y del Ser, el grado de apertura, más allá de mi conciencia actual, ¿tengo que (aparte de dejar en la ola de la vida y la de Blue Coat of Grace) para cambiar a la (Absoluto más allá de la "I")?
Nada más, y una cosa comparado con lo que dijo: ¿No está usted acepta que nada de lo que usted sabe, es un primer paso. Pero ¿ha pensado para refutar? No es porque sólo dicen: "Yo no soy este cuerpo", que vive el Absoluto. Refutar el "yo no soy este cuerpo" está más allá de la aceptación. No es un juego de palabras, se trata de un hecho de conciencia. La conciencia que conduce, si se quiere, para dar voz e imprimir el Absoluto, es una refutación de todo lo que sabes y no simplemente aceptar la negación de lo que sabe. En el acto de aceptación de lo que no estás, no hay réplica, así que todavía hay una distancia. La refutación, por contra, lo que no lo son, está más allá de la aceptación. La refutación es un acto activo, la aceptación es un acto que lo haría pasivos a largo plazo. Así que hay una fase activa previa, esta fase se debe a la propia conciencia, el ego o por cuenta propia. La refutación es un proceso dinámico. Como ya he dicho, esto es una investigación. Esta encuesta no es un juego de la mente, sino un ejercicio espiritual (no me gusta esa palabra).
Desde el momento en que la investigación se haya completado, se lleva a qué? Sobre la identificación. La desidentificación de la refutación se va a llevar, sin esfuerzo, sin hacer nada, a ser absoluta. La espontaneidad acompaña a la transparencia. La espontaneidad es la ausencia de reflexión, lo que no significa hacer otra cosa que hacer o ser, que es independiente de cualquier referencia a un pasado, y por lo tanto una experiencia pasada. Este es el camino del corazón. Debido a que el corazón nunca miente, al contrario de la mente. Yo no hablo de la intuición, la intuición, porque siempre se refiere a lo que es bueno o malo para usted. Estamos más allá de lo que es bueno y qué es malo. Lo bueno y lo malo, para usted, esta intuición y el discernimiento, que se deleitan con los seres espirituales llamados, es una ilusión de más. El resultado espontáneo de la Transparencia. Así que, en ese momento, de alguna manera, una especie de perforar el corazón, de atrás hacia adelante y de adelante hacia atrás. Ser traspasado sintoniza, mucho más allá de lo que se percibe en el cuerpo, la transparencia y la espontaneidad. Literalmente derivación experiencia pasada, y por lo tanto, la mente. Esto también se llama el don de sí, o el abandono de uno mismo. Esto, creo yo, el tema de un desarrollo de la conciencia, por así decirlo, (nota: ver nuestro sitio web de la intervención Anael 9 de abril) más cualificados que yo. Una vez más, no hay nada que hacer, pero que lo hagan.
Incluso si una parte activa en la réplica, después, hay que dejarlos. Debido a que usted no puede hacer nada, hacer nada, para saber lo que está desconocido. Sólo se puede cambiar de uno a otro, pero este pasaje se ilustra con algo que le pasaría: por lo tanto, una trascendencia, no de transformación. Así que ahí está, en efecto, esta encuesta se llevó a cabo. Después de la encuesta, vamos a ser, y dejar ir. La investigación conduce sistemáticamente a lo que podría llamarse una paradoja, entre el vacío y la plenitud. En una consulta, lo que yo llamaría la última pregunta definitiva poner fin a todo cuestionamiento y cualquier pregunta. Fue en ese momento se dio cuenta de lo que lo absurdo del ego y el yo, no antes.

Pregunta: Me gustaría estabilizar la no observación de más de un breve momento. ¿Cómo?
Simplemente por dejar de querer ver, tan implacable, de todo. Establece abajo en el mismo mecanismo de observación, no en lo que se observa. ¿Qué notas? ¿Dónde está el observador? ¿Son esos ojos que ven? ¿Es esta forma de pensar? ¿Dónde está el observador? Es pasar de la perspectiva de lo que se observa desde otra perspectiva. Mientras que la observación, nada ni nadie, el tiempo fluye. Y por lo tanto, no es un retiro, a través de su pregunta, quiero arreglar lo que no es que se puede establecer: el paso del tiempo. Así que es usted, por esta cuestión de "que observa? "(No: lo que se observa?) Que va a nacer todavía. Debido a que se encuentra el observador, y te darás cuenta de que no hay más que un observador de las cosas observadas. Y que el observador es sólo una proyección de algo más, que se encuentra detrás del observador. En ese momento, puede cambiar. No antes. El Ser es la observación más perfecto de la luz, donde los mecanismos de la conciencia y las vibraciones están presentes, lo que contribuye a establecer la Alegría, que contribuye a lograr la satisfacción. Para sugieren que existe una búsqueda que se ha realizado, completado y realizado. Debemos ir más allá de eso e ir más allá de eso. La mejor manera, de hecho, es no hacer nada, dejarlo ir. Y a cabo, incluso, de la dinámica aparentes de la observación de lo que se observa, el observador mismo. Porque, ¿quién está detrás de todo esto? O más bien: ¿qué hay detrás? Como se observa, no es el observador. A medida que el observador es usted, usted no es lo que está detrás del observador. Investigar esto es una gran práctica. Esta encuesta, llevada a cabo con honestidad, el flujo de la fase final, resultará que la ola de la vida, y la permeabilidad de la rueda (chakra) a la ola de la vida.
No te preocupes por la ola de la vida, usted no puede controlar ni el control de la o dirigirlo. Así podrá observar. Y usted coloque, entonces, desde el punto de vista del observador, que le hará la pregunta: ¿es realmente, es un error? A medida que juegues a este juego, el éxtasis puede nacer. Llega un momento en que la captura que no se puede ejercer influencia alguna sobre la ola de la vida, pero siempre observador. Luego pregúntate a ti mismo la pregunta "¿qué se observa? "" ¿Quién es el observador? "Y usted se convertirá en la onda de la vida. Dejando a nacer, entonces, el éxtasis, el marcador inefable del Absoluto. ¿Cuál es a estabilizarse, eso es lo que ya está estabilizado, y que nunca ha cambiado, que nunca ha desaparecido. Esto es, exactamente, la absoluta: allí, donde hay más de un observador allí, donde hay más observado, y allí, donde hay más, no más , que se encuentra detrás del observador. Debido a que el Absoluto es tanto lo observado, el observador y lo que está detrás del observador. De nuevo, hay más distancia, y la diferencia de que no.

Tenemos más preguntas, gracias.
Así que propongo que ponemos para Tran, un plazo entre nuestro deseo y el mío. Voy a dejar más cualificado que yo para expresar lo que representa y el don de la auto abandono de uno mismo. Que intervenir en otro tiempo, en su ruta a este logro. Tienes que leer lo que he dicho. No haga ni una palabra de certeza o evangelio. Trate de ver lo que es correcto, lo que no es justo. No en un factor determinante pero, de la misma manera que se expresa en la forma de investigación. Le doy las instrucciones, en pocos días, que nos permitan completar esta entre el suyo y el mío para ir en el principio y la esencia misma de lo que se dijo. Es decir, ir más allá del diálogo, más allá de la diabol y más allá del símbolo, para, de alguna manera, reunir a los tres elementos de la misma verdad inefable de lo Absoluto. Doy las gracias por su escucha. Y te doy gracias por aguantarme, y se lleva, las palabras que tenía que darle. Desde que me debe designar, BIDI saludo a usted, y usted dijo en su tiempo, nos vemos pronto..

BIDI

13 avril 2012 - 1
BIDI est donc, de nouveau, avec vous. Après nos entretiens, après vos questions et ce que je vous ai rendu comme réponses, je me doute qu'il doit exister, en vous, d'autres questions. Alors, j'aurai d'autres réponses. Saisissez qu'au-delà de cet échange, au-delà de vos questions et de mes réponses, l'Absolu demeure. Bien évidemment, vous l'avez compris, l'ensemble de mes réponses n'est destiné qu'à vous faire interroger sur l'Absolu. Absolu que vous ne pouvez, ni définir, ni même comprendre, ni même approcher (comme je l'ai dit). Par contre, je pourrais, tout à fait, vous vendre, en quelque sorte, les avantages à être, avant tout, Absolu, et les inconvénients à demeurer dans le Je ou dans le Soi.
Le premier avantage, c'est que, quoi que vous disiez, quoi que vous pensiez et quoi que vous expérimentiez, le Je et le Soi finiront avec votre départ de ce corps et donc, ni le Je, ni le Soi, ne pourront vous satisfaire, aucunement, au-delà de la durée éphémère de ce que vous appelez cette vie. L'Absolu confère, en quelque sorte, très exactement l'inverse et l'opposé de cela. C'est la fin de la mort. C'est la fin de l'oubli.
Le deuxième avantage (qui est, certainement, pour cette vie éphémère et ce Je / Jeu éphémère) qui laisse l'Absolu Ệtre, c'est que, bien évidemment, au sein de l'Absolu, il ne peut exister aucune des fluctuations que vous vivez chaque jour de votre vie : un jour, vous êtes heureux ; un jour, vous êtes malheureux ; un jour, vous vivez le Soi ; un jour, le Soi s'éloigne de vous. Et cela est impossible dans l'Absolu. L'Absolu vous confère donc une forme de pérennité et je dirais même plus, une sécurité totale, bien au-delà du Soi. Du point de vue de l'Absolu, on peut même se poser la question de pourquoi doutez-vous ? Pourquoi n'osez-vous pas ? J'irais même plus loin : le Je a tendance à vouloir rechercher l'Éveil, l'Illumination, la Réalisation. Il s'y emploie, je dirais (pour ceux qui sont en démarche dite spirituelle), à plein temps. Mais c'est ridicule dans la mesure où l'Absolu (qui est vous-mêmes) vous ouvre ses portes et, instantanément, dès que vous supposez et proposez la possibilité de l'Absolu, et bien, Il est là. Mais, l'Ego ne vous permettra jamais de supposer cela parce qu'il est bâti, justement, sur la négation de l'Absolu. Et le Soi est, je dirais, tellement narcissique, tellement imbu de lui-même, que, lui non plus, ne permettra, jamais, à l'Absolu de s'immiscer dans cette espèce d'auto satisfaction de celui qui se croit Éveillé (ou Réveillé) à quoi que ce soit.
Nous sommes dans des temps, sur cette Terre (que vous vivez), particuliers et intenses. Toute la question est de savoir combien de temps vous allez, en quelque sorte, résister à l'évidence, résister à la pérennité et préférer, en quelque sorte, les allées et venues entre la joie et la tristesse, l'auto satisfaction et, en quelque sorte, le déni de l'évidence de l'Ultime et de l'Absolu. Si vous vous posez, sincèrement, la question (et je vous engage à vous la poser et non pas à me la poser), vous constaterez, par vous-mêmes, qu'il est, à ce niveau là, une espèce de stupidité de l'intelligence humaine qui est très éloignée de la Vérité de l'expérience et de cet état Ultime (qui n'est pas un état). Vous passez votre temps à aller d'un état à l'autre, d'un centre d'intérêt à un autre. Et, si je vous dis que l'Absolu répond, en bloc et d'un seul coup, à l'ensemble de toutes vos interrogations, l'Ego va penser que c'est ennuyeux et que c'est ennuyant. Alors, bien sûr, il va passer son temps (au lieu de se réfuter lui-même) à réfuter l'Absolu et à s'en éloigner, à travers une recherche, hypothétique, d'une quelconque Réalisation, d'une quelconque évolution ou d'une quelconque transformation, au sein d'une linéarité qui, de toute façon, ne laisse aucune évidence à l'Infini.
En résumé, vous êtes dans un corps limité, vous êtes dans des pensées limitées, vous rêvez de l'Illimité. Vous êtes finis, vous rêvez d'Infini mais dès que l'Infini arrive, vous rebroussez chemin. Parce que, bien évidemment, il n'y a pas de solution de continuité (comme cela a été dit) et donc, pour vous, c'est tout à fait déplorable, tout à fait illusoire, tant que vous demeurez au sein de cet Ego (cette petite personne qui est née un jour et qui mourra, de toute façon, quoi que vous fassiez, quoi que vous réalisiez). Et vous recommencez à chaque fois.
Hier, UN excellent AMI (qui est votre Ami) vous a délivré des phrases (ndr : voir intervention de UN AMI du 12 avril 2012). Ces phrases sont des résonances importantes pour vous permettre d'oser et de vous poser la question de pourquoi vous n'osez pas. Quelle est cette peur ? Quel est ce doute qui est inscrit dans ce corps (qui n'est qu'un sac de nourriture, qui est destiné à nourrir autre chose, bien sûr, à sa mort) ?. Et vous persistez à vous imaginer être ce corps et tout ce qui ne dure pas (qui n'a qu'un temps au sein de ce monde), qui est inscrit entre votre venue dans ce monde et votre départ de ce monde. Et vous rêvez d'Illimité à travers une relation avec un être aimé. Et vous rêvez de permanence de quelque chose qui serait Éternel mais en prenant bien garde de vous installer dans l'éphémère. Est-ce que vous vous rendez compte de ce ridicule, de ce qui est pensé, de ce qui est imaginé et de ce qui est projeté ? Voulez-vous sortir du ridicule ? Voulez-vous, enfin, être cette Joie Éternelle, cette Extase permanente ? Seriez-vous autant effrayés par votre propre plaisir ? Seriez-vous autant effarés de n'être que cette Source de plaisir, indicible, permanent, Éternel ?
Voilà où se situe le cadre, entre nous, aujourd'hui. Je vous dis donc : bonjour et bienvenus dans l'Éternité. Nous allons donc échanger, à bâtons rompus, sur les questions que vous m'avez posées et les réponses que j'y ai apportées. Là aussi, je vous demande de ne pas chercher à comprendre mais à vous imprégner de nos échanges. Les questions sont infinies. Les réponses le sont tout autant. De la même façon que vous vous cachez derrière vous-mêmes, de la même façon qu'au-delà de l'observateur et du témoin, il y a quelque chose qui est là et qui n'a jamais bougé, de la même façon (au-delà de vos questions et des réponses), il y a, aussi, cet Absolu. C'est cela que nous allons essayer de laisser s'installer, en déroutant, en quelque sorte, votre Ego, votre personnalité et votre Soi, de son état, afin d'abandonner cet état au profit de quelque chose dont rien ne peut être dit. Mais qui, dès l'instant où il s'installera, vous montrera la vanité et la superficialité de tout ce que vous aviez entrepris auparavant et qui, pourtant, était (dans certains cas, vous le savez) nécessaire. Mais, même ce nécessaire ne doit pas être une finalité. Il vous faut lâcher les béquilles, lâcher tout ce que vous tenez, tout ce à quoi vous pensez être arrivés. Vous n'êtes arrivés nulle part. Parce qu'il y a nulle part où arriver. Arriver quelque part signifie qu'il faut être parti. Mais, parti de quoi ? Et parti d'où ? Ceci étant posé, je vous écoute.
Question : comment se maintenir dans l'Éternel Présent ?
En réfutant ton propre mental. Il est là. Tu ne peux le nier. Ne l'écoute pas. À quoi donnes-tu du crédit ? Est-ce que tu vas donner du crédit, éternellement, à ce qui te susurre des tas de choses qui sont fausses ? Le mental ne sert qu'à évoluer sur ce monde. À donc, entrer en réaction permanente et à s'ajuster à ce que te propose la vie. Mais il ne t'est d'aucune utilité pour aller au-delà de cela. Alors, ne crois pas ce qu'il te dit. Crois-le quand il s'agit d'être logique, dans le faire de la vie ordinaire. Est-ce pour autant qu'il faut le croire quand il intervient dans les moments où tu ne l'as pas sollicité ? Qui est le maître ? Qui décide ? Ne t'oppose pas à ton propre mental : tu le renforceras de plus en plus et c'est ce à quoi tu as joué depuis de très nombreuses dizaines d'années. Le Je /Jeu est terminé. Ne t'oppose pas à lui. Il sera toujours plus fort que toi, au sein de ton Ego. Alors, ne l'écoute pas. Ne lui réponds pas. Ne lui accorde aucune validité. Tu constateras, par toi-même, qu'alors, petit à petit, il lâchera prise. Réfute-le, sans t'y opposer. Le mental se sert même de la méditation et, même, de ta propre observation au-delà du mental. Il va vouloir être, en quelque sorte, le propriétaire de tout ce que peut émettre, à l'Intérieur de toi, ce qui a dépassé ce mental et te renvoie, en permanence, à toi-même. Et, en permanence, en quelque sorte, à une certaine forme d'inutilité de toi-même. Il y a donc, simplement, à ne plus lui accorder le moindre crédit. Il finira bien par se taire. Mais, surtout, ne lui demande pas de se taire parce que, pour lui, tout est prétexte à interagir et à réagir. Le but est, justement, de ne pas interagir et de ne pas réagir. Ne l'écoute pas. Tout ce qu'il peut te dire concernant ce que tu Es, est faux. Il n'y a pas d'autre moyen. Vous avez tous remarqué (dans la vie qui est vécue sur ce monde) que dès l'instant où on accorde du crédit à quoi que ce soit, il y a toutes les chances pour que ce à quoi la conscience est dirigée se manifeste, d'une façon ou d'une autre. Et vous constatez, d'ailleurs, que se manifeste, beaucoup plus facilement, ce qui a tendance à être négatif que ce qui a tendance à être positif. Beaucoup voudraient être riches : beaucoup sont pauvres. Beaucoup voudraient être en bonne santé : et beaucoup sont malades. Cela devra (et devrait, déjà) attirer votre attention sur la stupidité de croire à ce genre de choses. Le Je (l'Ego, la personnalité) va chercher, en permanence, à se prémunir, à prévoir et le mental y excelle. Il va, même, vous parler de Lumière. Il va, même, vous parler de bien-être. Il va, même, vous parler de Réalisation. Mais il vous ment. Et, surtout, vous n'êtes pas lui. Quand vous dites : « je mange », qui mange ? Vous ou ce corps ? Quand vous dites : « je conduis », qui conduit ? Quand vous dites : « j'ai un mari », quel est ce « je » qui a un mari ? Est-ce que ce mari est en vous ? Ou est-ce que ce mari est à l'extérieur de vous ? Comprenez que « je » ne peut rien avoir, ni ne rien être. Il n'est juste qu'un intermédiaire et vous donnez tout le poids à cet intermédiaire. Il en est ainsi pour tout ce qui se manifeste dans la pensée, dans les idées, dans les concepts et je vais, même, plus loin : dans tout ce qui est perçu. Le principe même de l'identification vous amène à la projection. Et la projection est une extériorisation et est donc, par nature (et par manifestation même), éphémère. Ne vous occupez pas de ça.

Question : qui est-ce qui réfute ?
L'Ego lui-même. Parce que la réfutation, pour lui, semble ne pas présenter de danger. Il va considérer cela comme un jeu. Mais, très vite, il va devoir déchanter parce qu'à force d'avoir réfuté tout ce qui, jusqu'à présent, constituait son univers, et bien, il va disjoncter. Il va capituler. Et c'est à ce moment là que vous apparaîtra derrière ce « Je », le Soi. Continuez à réfuter. L'Onde de Vie apparaîtra (ou pas). Laissez faire ce qui se fait. Vous ne pouvez connaître l'Absolu. À aucun moment. Vous ne pouvez que le vivre. Il est déjà là. Rappelez-vous que l'Absolu n'a pas besoin de réfuter quoi que ce soit. Il n'a pas besoin de nier quoi que ce soit puisqu'il est largement plus vaste (puisqu'Infini) que l'Ego, que la personne, que le mental, que ce qui est perçu ou que ce qui est conçu. Donc, ne vous posez pas la question de savoir si c'est l'Absolu qui réfute. L'Absolu ne réfute rien. Il n'est absolument pas concerné par votre scène de théâtre, ni même par le régisseur, ni même par l'éclairagiste, ni même par l'acteur, ni même par celui qui regarde. Il n'a que faire du théâtre, en vérité. Quand vous aurez pris, en quelque sorte, conscience que vous n'êtes, ni le décor, ni la scène, ni l'acteur, ni le spectateur, ni le théâtre, il restera quoi ? Ce que vous Ệtes, au-delà de toute escroquerie. Mais, il n'y a pas d'autre façon (ni d'autre possibilité) de mettre fin à l'Illusion du théâtre. Tant que vous êtes dans le théâtre, vous souffrez, que vous le vouliez ou non : à propos de ce corps, à propos de vos affects, à propos de votre fatigue ou de votre bien-être. Si le théâtre n'est plus, qu'est-ce qui pourrait souffrir ? Il n'y a plus de contenant. L'Absolu est, en quelque sorte, la Guérison Ultime. Et vous refusez cette Guérison Ultime. Quelque part, le « Je » et le Soi sont des masochistes. Et vous savez très bien que, dans ce monde, de masochisme à masochisme apparaît le sadisme, le bien et le mal. Vous n'êtes, ni le bien, ni le mal. Si vous êtes ici, c'est que vous adhérez au bien : le vôtre ou celui de l'autre mais le bien n'est que construit à partir de l'expérience de ce monde. Aucune expérience de ce monde n'est l'expérience de l'Absolu. Parce que l'Absolu ne sera, jamais, une expérience. Il ne peut l'être. Vient un moment où il faut vous poser la question de vos propres expériences. Bien sûr, le « Je » (et le Soi) ne veut absolument pas entendre parler d'expérience. Il veut bien les vivre. Mais si cette expérience devient la Vie et met fin à toute expérience, cela va terroriser l'Ego et le Soi (qui se croit arrivé). Qu'est-ce que vous voulez croire ? Qu'est-ce que vous voulez vivre ? Mais tant que vous croyez, vous ne vivez pas.

Question : l'observateur serait-il l'Ego qui évalue et qui juge ? Puis-je le réfuter ?
Non. L'observateur n'est, en aucun cas, l'Ego. Il est le Soi, le « Je suis ». Prendre conscience de l'observateur c'est, déjà, ne plus être acteur sur la scène de théâtre (dans un décor) mais être assis, confortablement, dans le fauteuil et regarder. Mais, même ça, effectivement, est à réfuter. Mais, n'appelle pas l'observateur : l'Ego. Tu lui attribues un rôle qu'il n'a pas. L'Ego cherche à se transférer dans le Soi. De toute façon, c'est très simple : l'Absolu n'est, en rien, de ce que tu connais. La meilleure des réfutations est celle qui ne cherche pas à identifier, à discriminer le décor, de l'acteur, du spectateur, ou du théâtre. Alors, bien sûr, il y a une forme de dynamique. Il est plus facile de réfuter le décor. Ensuite l'acteur. Ensuite le spectateur. Et, à la fin, le théâtre. Parce qu'il est beaucoup plus difficile de réfuter, en totalité, le théâtre, dès le départ. Parce que l'Ego (le Soi) considère qu'il y a un départ, et donc un chemin, et donc une arrivée. Il y a donc un certain nombre d'actes et de scènes à jouer. Et cela est très plaisant, même pour l'observateur. La plus grande des angoisses survient quand on s'aperçoit que l'on est, ni l'acteur, ni le décor, ni le spectateur, ni même le théâtre dans lequel se déroulerait cette hypothétique pièce de théâtre. C'est une tragédie. Mais, si vous vivez l'Absolu, cela ne sera plus une tragédie mais, bien, une comédie. Veux-tu être le drame ou veux-tu être la comédie ? Tout se résume à ça.

Question : faut-il commencer par réfuter les manifestations du passé ou celles du présent ?
Mais, réfuter le passé veut dire que tu accordes encore un poids au passé. Le passé n'a aucun poids. Il n'est même pas à réfuter : il n'existe pas. Par contre, sa supposée action dans le présent existe, si tu le poses ainsi. Donc, qu'est-ce qui est à réfuter, dans ce cas là ? C'est tout ce que tu connais. Ce que tu connais n'est pas ce que tu as connu (qui n'est qu'un poids mort). Ce qui est actif, dans le « Je » et dans le Soi, c'est uniquement ce qui est connu dans le présent. La Présence, le « Je suis » ou le « Je suis Un », le Soi, n'est pas, simplement, le présent. Il est, justement, ce qui dépasse et transforme, largement, ce présent. Tant que tu es dans le « Je », tu es dans ce que l'on appelle un présent mince, c'est-à-dire que ce présent est tellement mince qu'il serait rempli de pseudos certitudes (venant de ton passé, de ton éducation, de tes vies passées), te donnant l'impression de maîtriser ce présent mince. La méditation ouvre au sein d'un présent large, c'est-à-dire que les pensées ne sont plus aussi rapides. Il y a comme une possibilité d'observer ses propres pensées, ses propres idées, permettant de s'en défaire très facilement (ou, en tout cas, beaucoup plus facilement). Le présent large débouche sur la Présence, sur le « Je suis ». Ne t'occupe pas de ce qui est mort. Hier est mort. La seconde d'avant est morte. Quoi que viennent te dire tes pensées, quoi que viennent te dire tes peurs ou tes souffrances, quelle que soit la causalité de ce que tu vis aujourd'hui, tu n'es, aucunement, une causalité. N'accorde pas de poids à ce qui n'en a plus véritablement. La réfutation concerne la totalité de ce qui a été nommé l'éphémère ou le limité. Un instant passé est éphémère et est mort. Pourquoi veux-tu le faire vivre ? Ce qui est à réfuter est, essentiellement, ce qui se situe, d'abord, dans ce présent mince et, ensuite, dans un présent large. Cela va t'installer dans l'Éternel Présent qui est la Présence. Mais, tant que tu donnes crédit à quoi que ce soit de ton passé, tu te places, toi-même, dans la loi d'action / réaction et dans ce qui est nommé le karma. Le karma concerne la personnalité (mortelle et éphémère). Jamais le Soi. Quant à l'Absolu, il ne peut même pas envisager une quelconque véracité à cela.

Question : dans mes moments d'Alignement, quand je lâche ce que je crois, ce que je connais, il me semble être comme en suspension et ce qui vient à moi est néant. Dans la vie de tous les jours, je ressens le néant, de façon fugitive, comme la sensation que tout m'est égal et de ne pas avoir à m'en faire. Si je lâche l'attachement à la Joie, je ne sais même pas si ce qui affleure à ma Conscience m'est connu ou pas et cela m'est égal. Qu'en est-il ?
Merci pour ton témoignage mais ce n'est pas une question. C'est un constat. Maintenant, qui veut constater ? Encore une fois, l'Ego et la personnalité qui cherchent à s'emparer (comme une espèce d'autosatisfaction) d'être arrivée à créer cela. Là aussi, va au-delà de ça. Ne te contente pas d'observer un quelconque résultat, une quelconque progression. Va au bout. Tant que tu te mires et te regardes toi-même, l'Absolu ne peut naître. Il est déjà là. C'est toi qui attends qu'il naisse. Mais rien ne peut naître. Ne te regarde pas jouer. Même ce jeu là doit cesser. Oublie même ça. Totalement. L'Absolu y est. Le Soi va, toujours, se gargariser de la merveilleuse distance existant entre ce qu'il était avant (dans le « Je ») et ce qu'il est devenu. Mais l'Absolu ne peut être, ni avant, ni devenu. Il Est. Tu n'es rien de ce qui joue. Tu n'es rien de ce qui est arrivé. Et pour cause. Dès qu'il y a autosatisfaction (de quoi que ce soit), tu peux être sûre que ce n'est pas l'Absolu. Donc, en quelque sorte : laisse tomber tout cela. Ne constate même pas cela.

Question : comment se fait le choix de l'accès à la 5ème Dimension à celui à l'Absolu ?
Pourquoi ? Tu as un choix à faire ? Qu'est-ce qui pose cette question, si ce n'est le mental qui cherche à se saisir d'une compréhension, pour mieux choisir ? Mais le mental ne peut choisir. Cela vous a été développé, largement, par les Structures qui se sont exprimées (ndr : les différents intervenants de l'Assemblée des Anciens, des Etoiles, le Conclave Archangélique, ...) : par la Vibration. Mais l'Absolu est au-delà de toute Vibration. Tant que tu te poses la question du choix, il y a mental, bien sûr, puisque le mental est, en permanence, une question de choix. Et l'Absolu ne peut t'apparaître. L'Absolu n'est pas un choix. Il Est. Ce qui est le choix, c'est celui qui croit avoir le choix : le mental, la personnalité ou le Soi. Il n'y a aucun choix pour l'Absolu. Le choix est l'iIllusion du libre arbitre. L'absence de choix est la Liberté. Dans la Liberté, il y a la Grâce, l'Extase, le Plaisir (dans son sens le plus exacerbé, le plus intense, le plus Intérieur). Dans le libre arbitre, il y a la gravité, la lourdeur, le sentiment de connaître quelque chose. Mais tout ce qui est connu (de ce point de vue limité) n'est qu'une ignorance. Là aussi, c'est un théâtre. Se poser la question du choix te renvoie à l'activité du mental. Systématiquement. Logiquement. Tant que tu te poses la question (ou que tu me la poses), tu ne peux pas laisser émerger, en quelque sorte, la réponse. Elle reste enfouie et l'Absolu semble disparaître ou, en tout cas, s'éloigne. Si ce n'est que ce n'est pas lui qui s'éloigne mais c'est toi qui t'éloignes.

Question : l'Onde de Vie m'a chauffée une partie de la nuit. Je me suis approchée de l'Absolu ?
L'Onde de Vie est, en quelque sorte, le témoin et le marqueur de quelque chose qui se fait jour (qui a toujours été là), qui est, effectivement, l'Absolu. C'est l'Onde de Vie qui procure (si l'on peut dire) l'état d'Extase, la fin du questionnement. Et, effectivement, du point de vue du Soi, l'installation dans le « Non-Je suis », dans le « Non-Soi », dans l'Absolu. Il y a donc, juste, à laisser agir, à laisser faire, ne rien diriger et, à un moment donné, spontanément, au sein du Soi, tout naturellement, l'Onde de Vie deviendra ce que tu Es. À ce moment là, aucun limité et aucun fini (inscrits dans ce corps, dans cette personne et dans ces pensées) ne sera vécu comme réel. Tu seras Absolu. Le plus redoutable (mais qui est, en même temps, le plus simple), dans cette phase là (cette ultime phase avant l'absence de phase), c'est justement d'accepter de ne plus rien faire, d'accepter de ne plus regarder, afin que l'Onde de Vie (si l'on peut l'exprimer ainsi) prenne possession de toi. Parce que c'est toi qui réagis à l'Onde de Vie. Elle, elle a été toujours là. Sans ça, il n'y aurait aucune vie. Il faut donc inverser la notion du sens du mouvement : ce n'est pas toi qui vis l'Onde de Vie mais l'Onde de Vie qui te vit. Ça changera tout. Comme vous l'ont dit les Anciens : reste tranquille et en Paix. Si tu te places, un petit peu, dans le fauteuil du spectateur, tu vas constater que ce qui se déroule, sur la scène, change l'acteur. Et tu vas constater aussi que le spectateur commence à voir s'effacer la scène, le décor et l'acteur jusqu'à se demander, même, s'il est assis et s'il existe un théâtre. Quand cette ultime question cesse, le théâtre disparaît. On pourrait dire, en quelque sorte : quand l'Onde de Vie travaille, ne travaille pas, ne t'en occupe pas. Ne la réfute pas, bien sûr, mais va au-delà.

Question : y'a-t-il un inconvénient, pour le « Je », à entretenir encore le mental dans une activité professionnelle, même réduite ?
Absolument pas. Il n'existe aucun obstacle à l'Absolu. Se servir du mental dans une activité mentale me semble logique et normal. Ce qui est illogique et anormal, c'est quand le mental intervient dans ce qui ne le concerne pas. Le mental ne peut être un obstacle à l'Absolu. Quoi qu'il fasse, dans l'ordinaire de ce qui est à faire de ce corps et des occupations de ce Je, aucune gêne ne peut naître. La seule gêne qui soit conçue, est celle qu'élabore le « Je », lui-même, pour se justifier. Ceci n'est qu'une justification qui n'a aucun sens. L'Absolu n'a que faire du mental et de ses activités. Donc, croire que le mental va être un obstacle à l'Absolu est, là aussi, un jeu du mental.

Question : pourriez-vous développer sur la phrase : « tu ne peux t'approprier ce que tu Es » ?
Effectivement, tout ce qui est projeté (donc le « Je » et, a fortiori, le Soi) ne peut se contempler lui-même. Peux-tu te voir sans faire appel à un miroir ? Les yeux ne sont pas tournés vers l'intérieur. Donc, tu ne peux te voir, excepté à l'aide d'un miroir. L'ensemble des autres « Je », l'ensemble des décors et l'ensemble des théâtres, ne sont que des décors et des miroirs. Tu ne peux te voir à travers autre chose qu'un miroir. Mais aucun miroir n'est réel. Du point de vue où tu es, tu ne peux t'approprier quoi que ce soit. L'Absolu est naturel. Il est cet Ultime. Tant que le limité croit qu'il peut s'approprier quoi que ce soit, il est dans le leurre. Si je peux employer cette image : tu ne peux que te translater, en transcendant, de l'image au Vrai (ou à l'Absolu). Mais tu ne peux te voir toi-même parce que tout ce qui est vu demeurera circonscrit à un cadre de références donné, à des suppositions données, à des référencements donnés, par rapport à l'expérience passée qui est morte. L'Inconnu ne peut être connu à partir du connu. Le connu sera, toujours, un miroir : un miroir aux alouettes. C'est-à-dire qu'il y a, toujours, la nécessité de se mirer et de s'admirer. C'est le jeu de l'Ego et du Soi. C'est quand cesse ce jeu de projections (c'est-à-dire quand il n'y a rien à voir, rien à mirer ou à admirer), quand il n'y a plus aucune place pour le « Je » et pour le Soi, que l'Absolu te trouvera. En résumé, tu ne peux trouver l'Absolu. Tu ne peux, même, le chercher, ni le comprendre. Tant que l'Ego ne l'a pas compris, il peut se voir répéter cette phrase des milliers de fois (si ce n'est des millions de fois), il ne le voit pas, il ne l'entend pas. Parce qu'il a besoin de comprendre. Parce qu'il a besoin de se référer à un connu. En résumé : le connu ne veut pas lâcher le connu. C'est tout le drame de l'Ego. C'est tout le drame de la personne qui se croit une personne. Aucun résultat n'est possible dans ce cadre là. Et, pourtant, c'est dans ce cadre là que tu t'enfermes, que le monde t'enferme.

Question : existe-t-il des préférences ou affinités dans l'Absolu ?
Tant qu'il demeure un Absolu, au sein d'un relatif (c'est-à-dire tant que ce corps est présent, quelle que soit sa vie), les préférences vont demeurer. Tu préfères telle saveur plutôt qu'une autre. Mais ce n'est pas toi qui préfères, c'est ce corps. Alors, laisse ces préférences évoluer comme elles évoluent. Elles ne font que traduire l'action du principe vital en toi. Cela concerne aussi bien les aliments que les préférences, quelles qu'elles soient, d'amitié ou d'amour, même personnelles. Mais ne t'occupe pas de ça. Il n'y a que quand la forme se termine, que l'Absolu retrouve, je dirais, son équanimité et sa permanence en toute chose. Le regard, tant que tu es encore dans un limité, sera toujours coloré par ce limité. Mais tu sais que ce n'est qu'une coloration et que celle-ci n'a pas plus de sens que de préférer le chou-fleur à la carotte. Ce n'est qu'une forme différente, un agencement différent, de couleurs, de saveurs, de molécules et d'atomes mais ce n'est que quelque chose qui rentre dans ta forme. C'est une différence d'appréciation (comme tu l'as dit) mais qui ne change absolument rien à l'Absolu. Ce corps de nourriture a besoin de nourriture, quelle que soit la nourriture. En définitive, quelle importance ?

Question : qu'en est-il des émotions ?
Une émotion appartient à l'action / réaction. Elle est inscrite dans le karma et donc (quelle que soit l'émotion, même la plus élevée) ne restera, en définitive, qu'au sein de ce qui est nommé l'astral, c'est-à-dire du corps de désir. Le corps de désir est éphémère. Aucune émotion ne peut te conduire à l'Absolu, même si tu le penses et le crois. Tout sépare ces 2 mondes. Absolument tout. L'émotion va créer une aspiration vers le beau, vers la volonté d'améliorer quelque chose. Une musique qui t'émeut n'est que la traduction de l'existence d'une personnalité. Il faut en être conscient. Ce qui ne veut pas dire qu'il faille supprimer ces émotions car, comme pour le mental, elles sont là. Il est plus agréable de voir quelque chose de beau que quelque chose de laid (selon les critères de la personne). Les émotions ne sont pas les mêmes. Mais cela ne concerne, en rien, l'Absolu. Faire de l'émotion un appui à une quelconque évolution (ou à une quelconque transcendance) est un mensonge. Aucune émotion ne peut conduire à l'Absolu. Jamais. De la même façon que le mental ne doit plus être un obstacle, l'émotion est un obstacle à l'Absolu. L'émotion est un ersatz de Lumière. L'émotion est une copie, mal copiée, de l'Amour. L'émotion peut créer un frisson mais qui n'est, en rien, le frisson de l'Extase. Encore une fois, c'est une imitation. C'est ce principe même d'imitation qui a été mis en avant par les religions, par les spiritualités. L'Absolu ne sera, jamais, une émotion.


BIDI

13 avril 2012 a 1

BIDI es, de nuevo, con usted. Después de nuestras discusiones, preguntas y después de que le he dado una respuesta lo dudo que debe haber en usted otras preguntas. Así que voy a tener otras respuestas. Ingrese que más allá de este intercambio, más allá de sus preguntas y mis respuestas, los restos absolutos. Por supuesto, lo has adivinado, todas mis respuestas sólo tiene por objeto hacer que te preguntes sobre el Absoluto. Absoluta de que no se puede, o definir, o incluso de comprender, o incluso de aproximación (como dije). Por contra, podría, bien, usted vende, de alguna manera, los beneficios de ser, sobre todo, absoluta, y las desventajas de permanecer en el I o en el auto.

La primera ventaja es que, digas lo que digas, hagas lo que piensas y lo que a la experiencia del yo y voy a terminar con su partida de este cuerpo y por lo tanto, ni yo, ni el yo, no lo harás cumplir, no, más allá de la duración temporal de lo que se llama a esta vida. Las subvenciones absolutas, de alguna manera, exactamente frente a la y el contrario de eso. Este es el final de la muerte. Este es el fin del olvido.

La segunda ventaja (es decir, sin duda, por esta vida efímera y lo que yo / jue efímera) que deja el ser absoluto es que, obviamente, en el Absoluto, no puede haber fluctuaciones que usted vive todos los días de tu vida: un día, usted es feliz un día, usted no está satisfecho, un día, se vive el Ser, un día, el auto lejos de ti. Y esto es imposible en el Absoluto. El Absoluto se dota de una forma de continuidad y diría más, la seguridad total, mucho más allá de uno mismo. Desde el punto de vista del Absoluto, uno puede incluso hacer la pregunta ¿por qué has dudado? ¿Por qué no te atreves? Yo iría aún más lejos: yo tiendo a querer buscar la iluminación, la iluminación, la realización. Esto lo hace, yo diría que (para los que están enfoque espiritual se conoce), a tiempo completo. Pero esto es ridículo ya que el Absoluto (que es uno mismo) abre sus puertas y, al instante, tan pronto como se sospecha, y sugieren la posibilidad de lo absoluto, y así, Él está allí. Pero el ego no le permite asumir que porque se basa precisamente en la negación de lo absoluto. Y el Sí mismo es, yo diría, tan narcisista, tan imbuido de sí mismo, que él también, ¿no, nunca, a lo Absoluto a intervenir en este tipo de satisfacción propia de quien cree que Despierta (o despertar) a cualquier cosa.

Estamos en el tiempo en esta Tierra (que vive), específica e intensa. Toda la cuestión es cuánto tiempo se quiere, de alguna manera, resistirse a la evidencia, y la durabilidad para soportar prefieren, de alguna manera, las idas y venidas entre la alegría y la tristeza, la satisfacción del mismo y, de alguna manera, la negación de la evidencia de la última y el Absoluto. Si usted se pregunta, la verdad, la pregunta (y me animo a pedirte que no me pregunten), se encuentra, por sí mismo, es decir, en este nivel, una especie de estupidez la inteligencia humana está lejos de la verdad de la experiencia de este estado y Ultimate (que no es un estado). Usted dedica su tiempo al pasar de un estado a otro, de un foco a otro. Y, si te digo que las respuestas absolutas, y en bloque a la vez, el conjunto de todas sus preguntas, el ego va a pensar que es aburrido y es molesto. Así que, por supuesto, va a pasar su tiempo (en lugar de refutar sí mismo) para refutar el Absoluto y en el abandono, a través de la investigación, hipotético, de cualquier Director, de cualquier desarrollo o cualquier forma de procesamiento dentro de una linealidad que, de todos modos, sin dejar evidencia de lo Infinito.

En resumen, usted está en un cuerpo limitado, está limitado en sus pensamientos, usted sueña de lo ilimitado. Haya terminado, usted sueña, pero tan pronto como el Infinito Infinito llega, te vuelves. Porque, por supuesto, no hay solución de continuidad (como se ha dicho) y por lo tanto, para usted es absolutamente deplorable, totalmente ilusoria, todo el tiempo que permanezca en esta ego (la pequeña persona que nació y morirá un día de todos modos, hagas lo que hagas, lo que te das cuenta). Y cada vez que se inicia.

Ayer un buen amigo (que es tu amigo) ha emitido frases (Nota: véase AMIGO Una intervención de 12 de abril de 2012). Estas frases son las resonancias importantes para permitir que usted se atreve y se pregunta por qué no te atreves. ¿Qué es este miedo? Lo que es esta duda que es parte del cuerpo (que es sólo una bolsa de comida, que está destinado a alimentar otra cosa, por supuesto, a su muerte)?. Y todavía se imagina que este cuerpo y todo lo que no dura (que tiene sólo una vez en este mundo), lo que está escrito entre usted vino a este mundo y su partida de este mundo. Y su sueño es ilimitado a través de una relación con un ser querido. Y soñar con la permanencia de algo que podría ser el Señor, pero teniendo cuidado para sentirse cómodo en la corta vida. ¿Te parece ridículo, lo que se piensa, de lo que se imagina y lo que se proyecta? ¿Se puede salir del ridículo? ¿Vas a ser la eterna alegría, el éxtasis este permanente? ¿Estaría usted tanto miedo de su propio placer? ¿Le asusta que todo se de esta fuente de placer, indescriptible, Señor permanente?

Ahí está la conexión entre nosotros, hoy en día. Así que le digo: Hola y bienvenidos a la Eternidad. Así que vamos a intercambiar, senderismo, en las cuestiones que usted ha hecho y las respuestas que he hecho. Una vez más, les pido que no para tratar de entender, pero para disfrutar de nuestros intercambios. Las preguntas son infinitas. Las respuestas son tan importantes. De la misma manera que se esconden detrás de ti mismo, de la misma manera que más allá del observador y testigo, hay algo que está ahí y no se movió, de la misma manera ( más allá de preguntas y respuestas), hay, también, el Absoluto. Esto es lo que vamos a tratar de dejar que se establecen en confuso, de alguna manera, tu ego, tu personalidad y yo, Estado, a abandonar este estado a favor de algo que nada puede ser , dijo. Pero, tan pronto como se movía, se mostrará la vanidad y la superficialidad de lo que había hecho antes y, sin embargo, era necesario (en algunos casos, ya sabes). Pero incluso esto no tiene que ser un propósito. Usted debe dejar de lado las muletas, dejar ir todo lo que usted espera, todo lo que usted piensa que usted llegó. Estás llegó a ninguna parte. Porque no hay nada para conseguirlo. Llegar a algún lugar significa que se ha ido. Pero de qué? Partido y dónde? Dicho esto, estoy escuchando.

Pregunta: cómo mantenerse en el eterno presente?
Al refutar su propia mente. Él está allí. No se puede negar. No le hagas caso. ¿Qué le da crédito? ¿Te vas a dar crédito, para siempre, por lo que susurran un montón de cosas que están mal? La mente sólo sirve para moverse en este mundo. En tanto, reaccionan permanente y ajustarse a lo que la vida. Pero usted no es de ninguna utilidad para ir más allá. Así que no creo que lo que él os diga. Créalo cuando se trata de ser lógico, en la toma de la vida ordinaria. ¿Es esta una razón para creerle cuando viene en los momentos en los que no hayan solicitado? ¿Quién es el maestro? ¿Quién decide? No impida que su propia mente: que renforceras creciente y esto es lo que jugó durante muchas décadas, muchos años. El juego de I / ha terminado. No se oponen a él. Siempre va a ser más fuerte que tú, en tu ego. Así que no escuchan. No le respondáis. No se da ninguna validez. Se le nota, por sí mismo, y luego, poco a poco, por lo que es dejar ir. Refuta que, sin que se oponen a ella. La mente hace uso de la meditación, e incluso de su propia observación más allá de la mente. Él quiere ser, de alguna manera, el dueño de todo lo que puede irradiarse hacia el interior de ustedes, que superó a la mente y el enviado de distancia, de forma permanente, a ti mismo. Y, siempre, de alguna manera, a una cierta forma de la inutilidad de ti mismo. Así que simplemente ya no le dan ningún crédito. Él va a estar en silencio. Lo más importante es no pedirle que se callara porque, para él, todo es una excusa para interactuar y reaccionar. El objetivo es, precisamente, no interactúan y no reaccionan. No le hagas caso. Todo lo que puedo decir acerca de lo que Es, es falso. No hay ninguna otra manera. Todos ustedes han notado (en la vida que se vive en este mundo) tan pronto como damos crédito a nada, no hay muchas posibilidades de que lo que la conciencia se dirige ocurre, por una manera u otra. Y puede ver, además, que se manifiesta mucho más fácilmente, lo que tiende a ser negativo, que tiende a ser positivo. A muchos les gustaría ser ricos: muchos de ellos son pobres. A muchos les gustaría estar sano: y muchos están enfermos. Esto debería (y debería) llamar la atención sobre la estupidez de creer en estas cosas. El yo (el ego, la personalidad) busca, constantemente, para vigilar, prevenir y sobresale la mente. Él va, bueno, usted habla de la Luz. Él se va, así, se habla de bienestar. Él va, bueno, usted habla de la realización. Pero él te miente. Y, lo más importante es que no lo son. Cuando usted dice: "Yo como," el que come? Usted o el cuerpo? Cuando usted dice "yo echo" que lleva? Cuando dices: "Tengo un marido", lo que es este "yo" que tiene un marido? ¿Este es tu marido? ¿O es que su marido está fuera de ti? Entender que "yo" no puede tener nada, o nada. Es sólo un intermediario y le dará la debida importancia a ese intermediario. Esto es para todo lo que ocurre en la mente, en las ideas, de conceptos y lo haré aún más: en todo lo que se percibe. El principio mismo de la identificación le llevará a la proyección. Y la proyección es una exteriorización y es, por naturaleza (y la manifestación), efímero. No te preocupes por eso.

Pregunta: ¿Quién es el que refuta?
El propio ego. Debido a la refutación, para él, parece no ser peligroso. Se toman esto como un juego, pero muy pronto se habrá desilusionado, porque a fuerza de haber refutado todas las que, hasta ahora, era su mundo, así, va a risa. Él capitular. Y es entonces que aparece detrás de la "I", el Sí mismo. Continuar de refutar. La ola de la vida aparece (o no). No importa lo que pase. Usted no puede conocer lo absoluto. En ningún momento. Sólo se puede vivir. Ya está ahí. Recuerde que el Absoluto no es necesario refutar nada. No tiene por qué negar nada porque es mucho más extensa (puisqu'Infini) que el ego, la persona, la mente, que lo que se percibe o lo que se pretende. Así que no pregunte si es el Absoluto que refuta. El refuta nada de lo Absoluto. No es en absoluto que ver con el teatro, o incluso por el comisionado, o incluso por la iluminación, o incluso por el actor, o incluso por el espectador. Sólo está actuando, de verdad. Cuando usted ha tomado, de alguna manera, que usted está enterado, ni la decoración ni la escena, o el actor o el espectador, o al teatro, seguirá siendo lo que? ¿Qué eres, más allá de cualquier estafa. Pero no hay otra forma (u otra opción) para poner fin a la ilusión del teatro. Mientras estás en el teatro, que tiene, le guste o no sobre el cuerpo, sobre sus emociones acerca de su cansancio y su bienestar. Si el teatro ya no es, ¿qué sufrir? Hay más contenedor. El Absoluto es, de alguna manera, la sanidad final. Y usted se niega esta última sanidad. En algún lugar, el "yo" y el yo son masoquistas. Y usted sabe muy bien que en este mundo del masoquismo el masoquismo sadismo aparece, bien y mal. Usted es, ni bueno ni malo. Si estás aquí es que se adhieren a la bien: el suyo o el otro pero que la propiedad está construida a partir de la experiencia de este mundo. No hay experiencia de este mundo es la experiencia de lo Absoluto. Debido a que el Absoluto nunca, la experiencia. Puede ser. Llega un momento en que usted tiene que preguntarse acerca de sus propias experiencias. Por supuesto, el "yo" (y yo) absolutamente no quieren oír hablar de la experiencia. Él quiere que ellos viven. Pero si la experiencia se convierte en vida y pone fin a toda experiencia, que aterrorizan el Ego y el Ser (que se cree que sucedió). ¿Qué quiere usted creer? ¿Qué quieres vivir? Pero mientras que usted cree, usted no vive.

Pregunta: ¿sería yo del observador que evalúa y juzga? Yo refutarlo?
No. El observador es, en todo caso, el ego. Es el Ser, el "yo". La conciencia del observador, ya hay ya no será un actor en el teatro de la etapa (en la decoración), pero estar sentado cómodamente en la butaca y el reloj. Pero ni siquiera eso, en realidad, es refutar. Pero no llama al observador: el ego. Se atribuye un papel que no tiene. El ego busca transferir al Yo. De todos modos, es muy simple: el Absoluto es, en modo alguno, lo que sabe. La mejor refutación es la que no se trata de identificar, discriminar la escena, el actor, el espectador, o el teatro. Así, por supuesto, no es una forma de la dinámica. Es más fácil de refutar la decoración. Entonces el actor. Entonces el espectador. Y al final, el teatro. Debido a que es mucho más difícil de refutar, en su totalidad, el teatro, desde el principio. Porque el ego (el yo) considera que hay una salida, y por lo tanto un camino, y por lo tanto su llegada. Así que hay una serie de actos y escenas de juego. Y esto es muy agradable, incluso para el observador. La mayor angustia se produce cuando uno se da cuenta de que uno es, ni el actor ni la decoración ni el espectador, o incluso el teatro en el que se llevaría a cabo esta obra hipotético. Es una tragedia. Pero, si usted vive el Absoluto, esto no será una tragedia, pero, bueno, una comedia. ¿Va a ser el drama o va a ser actuar? Todo se reduce a ella.

Pregunta: ¿debemos comenzar por refutar los acontecimientos del pasado o del presente?
Sin embargo, refutando el pasado significa que le dará más peso a las del pasado. El pasado no tiene peso. No es ni siquiera de refutar: no hay. Por contra, su supuesta acción en el presente existe, y si usted plantea. Entonces, ¿qué es refutar, en este caso? Eso es todo lo que sabes. Lo que usted sabe no es lo que sabía (que sólo es un peso muerto). ¿Cuál es activo en el "yo" y en el Sí mismo, es sólo lo que se conoce en este. Presencia, el "yo" o "soy uno", el Sí mismo no es simplemente esto. Es precisamente lo que excede y se transforma, por lo general, este presente. Mientras usted está en el "yo", se encuentra en lo que ahora se llama un fino, es decir, que esto es tan delgada que se llena de certezas pseudo-(de su pasado su educación, sus vidas pasadas), que le da una sensación de control que esta delgada. Meditación abre en una amplia ahora, es decir que los pensamientos no son tan rápido. Hace como una oportunidad de observar sus propios pensamientos, sus propias ideas, para deshacerse de muy fácilmente (o, en todo caso, mucho más fácil). Esto lleva a la presencia de ancho, el "yo". No te preocupes por lo que está muerto. Ayer ha muerto. El momento antes de que esté muerto. Sean cuales sean sus pensamientos vienen a decir, lo que sus temores venido a decir que usted o su sufrimiento, independientemente de la causalidad que se vive hoy en día, no lo eres, no, la causalidad. No dar importancia a lo que ya no es cierto. La refutación se refiere a la totalidad de lo que fue llamado el de corta duración o limitado. Un momento fugaz y es pasado está muerto. ¿Por qué mantenerlo vivo? ¿Cuál es para refutar es, en esencia, que es, en primer lugar, en este delgado, entonces, en un presente de ancho. Esto hará que se asentaron en el eterno presente es presencia. Pero, como dar crédito a algo en tu pasado, te asiento en la ley de acción / reacción, y en lo que se llama karma. Karma de la personalidad (mortal y efímera). Nunca el Yo. En cuanto a la absoluta, que ni siquiera se puede considerar algo de verdad en eso.

Pregunta: En mis momentos de alineación, cuando se me cae lo que creo, lo sé, ya me parece estar suspendido y lo que viene a mí no es nada. En la vida cotidiana, no siento nada, tan fugaz, como la sensación de que todo es igual y no tener que preocuparse. Si te dejo ir el apego a la alegría, yo ni siquiera sé si eso es a ras de mi conciencia me es conocida o no, y no me importa. ¿Qué?
Gracias por su testimonio, pero no es un problema. Es un hecho. Ahora, ¿quién quiere ver? Una vez más, el ego y la personalidad que buscan apoderarse (como una especie de complacencia), que se las arregló para crear. Una vez más, va más allá de eso. No se limite a observar cualquier resultado, cualquier aumento. Va a durar. Como nos fijamos en los patrones y tú mismo, el Absoluto no puede nacer. Ya está ahí. Son ustedes los que esperan que se nace. Pero nada puede nacer. No afecta a jugar. Aunque este juego tiene que parar. Olvídese siquiera eso. Completamente. El Absoluto es. El Sí mismo es siempre, hacer gárgaras la distancia maravillosa entre lo que era antes (en el "yo") y lo que él hizo. Pero el Absoluto no puede ser, ni antes ni ahora. Que es. No eres más que juega. No eres nada de lo que sucedió. Y por una buena razón. Cada vez que hay complacencia (de nada), puede estar seguro de que no es el Absoluto. Por lo tanto en un sentido: abandonar todo eso. Ni siquiera lo veo.

Pregunta: ¿Cómo es la opción de acceso a la 5 ª Dimensión que con el Absoluto?
¿Por qué? Usted tiene una opción? Lo que plantea esta cuestión, si no la mente que busca captar un entendimiento para una mejor elección? Pero la mente no puede elegir. Esta voluntad se ha desarrollado, en gran parte, por las estructuras que se han expresado (nota: las distintas partes de la Asamblea de Ancianos, Estrellas, el Cónclave Arcangélico, ...) por la vibración. Pero el Absoluto está más allá de cualquier tipo de vibración. Cuando se preguntan la cuestión de la elección, no son mentales, por supuesto, ya que la mente es siempre una cuestión de elección. Y el Absoluto puede mostrar. El Absoluto no es una opción. Que es. ¿Cuál es la mejor opción, es una persona que cree que tiene la elección: la mente, la personalidad o yo. No hay otra opción para el Absoluto. La elección es iIllusion del libre albedrío. La ausencia de elección es la libertad. En la Libertad, que es la gracia, el éxtasis, el placer (en su forma más exacerbada, el más intenso, la mayoría del Interior). En el libre albedrío, no es la gravedad, la pesadez, la sensación de saber algo. Pero todo lo que se conoce (esta perspectiva limitada) es la ignorancia. De nuevo, es un teatro. La cuestión de la elección que se refiere a la actividad de la mente. De forma sistemática. Como es lógico. Como usted mismo la pregunta (o me-up), no se puede dejar que surja, de alguna manera, la respuesta. Ella está enterrado y la absoluta parece desaparecer o, al menos, de distancia. Si no, no es a él a pie de distancia, pero son ustedes los que a pie.

Pregunta: La ola de la vida que era una parte caliente de la noche. Me acerqué a la absoluta?
La ola de la vida es, de alguna manera, el testimonio y el marcador de algo que está surgiendo (que siempre ha estado ahí), que es, de hecho, el Absoluto. Esta es la ola de la vida, lo que ofrece (por así decirlo) un estado de éxtasis, el fin del interrogatorio. Y, de hecho, desde el punto de vista del Ser, la instalación en el "no-yo", en el "no autónomos" en el Absoluto. Así que, sólo para salir de ella, dejar así las cosas, el plomo nada y, en algún momento, de forma espontánea, en el Sí mismo, como es natural, la ola de la vida se convertirá en lo que eres. En ese momento, no se meta limitada y no hay (incluido en este cuerpo, en esta persona y los pensamientos de estos) será experimentado como real. Va a ser absoluta. El más formidable (pero que es, al mismo tiempo, la manera más fácil), en esta fase (la fase final antes de que el fallo de fase), se acaba de acordar no hacer nada, a aceptar no mirar, de modo que la onda de la vida (si podemos decirlo así) se apodera de ti. Porque son ustedes los que reaccionan a la ola de la vida. Ella, ella siempre estaba allí. Sin ella, no habría vida. Por tanto, debemos revertir la noción de la dirección del movimiento: esto no es lo que vio la ola de la vida, pero la ola de la vida que has visto. Se va a cambiar todo. Como le decían los antiguos: descanse en paz y tranquilidad. Si el asiento un poco, en la silla del espectador, verá que lo que está sucediendo en el escenario, cambia el actor. Y usted también verá que el espectador comienza a ver la escena se desvanezca, la decoración y el actor para hacer, incluso si él está sentado y si hay un teatro. Cuando esta última pregunta cesa, el teatro desaparece. Se podría decir, de alguna manera: cuando la ola de la vida en el trabajo, no funciona, no me importa. No niego, por supuesto, pero va más allá.

Pregunta: ¿hay una desventaja a la "I", sin embargo, mantener la mente en una actividad profesional, incluso reducida?
Por supuesto que no. No hay ningún obstáculo para el Absoluto. El uso de la mente en la actividad mental parece lógico y normal. Esto es ilógico y anormal es cuando la mente se toma en lo que no le concierne. La mente no puede ser un obstáculo para el Absoluto. Haga lo que haga, en lo ordinario de lo que es a este cuerpo y actividades de este yo, sin vergüenza puede surgir. La única incomodidad que está diseñado, está siendo preparado por el "yo" en sí, justificarse a sí mismo. Esto sólo es una justificación que no tiene sentido. El Absoluto no tiene ningún uso de la mente y sus actividades. Por lo tanto, creemos que la mente será un obstáculo para el Absoluto es, de nuevo, un juego de la mente.

Pregunta: ¿Podría hablarnos de la frase, "no puedes captar lo que eres"?
De hecho, todo lo que se proyecta (de ahí el "yo" y, a fortiori, el Sí mismo) no puede contemplar. ¿Puedes ver sin necesidad de utilizar un espejo? Los ojos no se volvió hacia adentro. Así que no puedes ver, excepto por medio de un espejo. Todos los otros "yo", todos los conjuntos de todos los teatros y son sólo adornos y espejos. Usted no puede ver a través de algo distinto de un retrovisor. Pero sin espejo es real. Desde la perspectiva de dónde se encuentre, usted no puede obtener la propiedad de nada. El Absoluto es natural. Es el último. A medida que la limitada cree que puede robar cualquier cosa, es el señuelo. Si puedo usar esta imagen: no se puede traducir que, más allá de la imagen en True (o el Absoluto). Pero tú no puedes ve a sí mismo porque todo lo que se ve seguirá siendo limitada a un marco de referencia dado a los supuestos de datos, que figuran en las referencias cruzadas, a partir de la experiencia pasada que está muerto. Lo desconocido puede ser conocido a partir de lo conocido. El más conocido es siempre un espejo: un señuelo. Es decir que siempre hay la necesidad de admirar y ser admirado. Este es el juego del ego y el yo. Eso es cuando se detiene un conjunto de proyecciones (es decir, cuando no hay nada que hacer, nada que admirar o disfrutar), cuando no hay espacio para la "I" y por el Ser, el Absoluto se encuentra usted. En resumen, usted no puede encontrar el Absoluto. Usted puede incluso, para él, ni lo entiendo. A medida que el ego no ha entendido, se puede repetir esta frase miles de veces (si no millones de veces), él no lo ve, no oye. Porque él tiene que entender. Debido a que necesita para referirse a un conocido. En resumen: lo conocido, no voy a dejar ir de lo conocido. Este es el drama del ego. Eso es todo el drama de la persona que se siente una persona. No hay resultados son posibles en este marco. Y sin embargo, es en este contexto en el que estás encerrado, te callas el mundo.

Pregunta: ¿Hay alguna preferencia o afinidades en lo absoluto?
Mientras que se mantiene un absoluto, en una relativa (es decir como este cuerpo está presente, independientemente de su vida), las preferencias se mantendrá. ¿Prefieres este aroma sobre otro. Pero esto no es lo que prefieren, es este cuerpo. Entonces los que estén evolucionando las preferencias a medida que evolucionan. Se limitan a reflejar la acción del principio vital en usted. Esto se refiere tanto a las preferencias alimentarias de ningún tipo, la amistad o el amor, incluso personal. Pero no te preocupes por eso. Es sólo cuando el patrón termina, encontró que el Absoluto, yo diría, su ecuanimidad y su permanencia en todas las cosas. La mirada, ya que aún se encuentran en un derecho limitado, siempre será de color por ese limitado. Pero usted sabe que es sólo un color y que no tiene ningún sentido más que prefieren la coliflor a las zanahorias. Esta es sólo una forma diferente, un diseño diferente, los colores, los sabores, las moléculas y los átomos, pero esto es algo que cabe en el formulario. Esta es una diferencia de opinión (como usted ha dicho), pero eso no cambia nada a lo Absoluto. El cuerpo necesita alimento alimentos, cualquiera que sea la comida. En última instancia, a quién le importa?

Pregunta: ¿Qué pasa con las emociones?
La emoción es parte de la acción / reacción. Se enumeran en el karma y por lo tanto, (cualquiera que sea la emoción, incluso la más alta) seguirá siendo, en última instancia, que dentro de lo que se llama el plano astral, es decir, el cuerpo de deseo. El cuerpo del deseo es efímero. Ninguna emoción puede llevar a la absoluta, incluso si usted piensa y cree. Todo lo que entre estos dos mundos. Todo. La emoción va a crear un anhelo por la belleza, el deseo de mejorar algo. La música que te mueve es que la traducción de la existencia de una personalidad. Se debe tener en cuenta. Eso no significa que debemos eliminar estas emociones, porque, como con la mente, que están allí. Es agradable ver algo hermoso que algo feo (de acuerdo con los criterios de la persona). Las emociones no son los mismos. Pero esto, de ninguna manera, el Absoluto. Hacer una emoción para apoyar los cambios (o de cualquier trascendencia) es una mentira. Ninguna emoción puede llevar a la absoluta. ¿Alguna vez. De la misma manera que la mente ya no debería ser un obstáculo, la emoción es un obstáculo para el Absoluto. La emoción es un sucedáneo de la Luz. La emoción es una copia, mal copiado, amor. La emoción puede crear una emoción, pero es, en modo alguno, la emoción de éxtasis. De nuevo, esto es una imitación. Este es el principio de la imitación, que fue presentada por las religiones, espiritualidades. El Absoluto no es, una emoción.

BIDI

13 avril 2012 - 2
Question : Laisser faire permet-il d'atteindre le dépouillement de soi-même, ce que vous avez appelé "se laisser nettoyer et lessiver " ?
Oui, tant que tu crois et joue le jeu d'améliorer quoique ce soit, tu t'éloignes de l'Absolu ou, du moins, il s'éloigne de toi. Parce que tant que tu es pris à jouer avec toi-même, tant que tu es pris à jouer avec une pseudo évolution, une pseudo compréhension, tu ne fais que rester dans l'ignorance. "Laisser faire" est très exactement cela. Tant que tu es persuadé, ou que tu te persuades, que tu dois faire ceci ou cela, pour être mieux, pour être bien, pour être quelqu'un de plus valable, tu demeureras quelqu'un. Comment peut-il en être autrement ? L'Absolu n'a rien à voir avec un quelqu'un et surtout pas toi. Rappelle-toi : l'Absolu est plaisir total, totalement à l'inverse de ce qui se passe quand tu t'occupes de toi parce que la satisfaction ne sera toujours qu'éphémère. L'ego te demandera toujours autre chose, toujours plus, ou selon, toujours moins.

Question : Lors d'un protocole, j'ai senti mon cœur s'emballer. J'ai réfuté cette manifestation en disant que ça ne n'appartenait pas. Ça s'est arrêté mais alors mon mental s'est activé. Aurais-je mieux fait de laisser aller cette manifestation complètement ?
Qu'est ce qui s'est manifesté ? Une modification de ton cœur, organe. Plutôt que de réfuter la manifestation ou la modification de l'organe, réfute l'organe. C'est toute la différence. C'est cela qui a permis la manifestation ou l'intervention de ton propre mental. Tu ne peux être une manifestation quelconque de ce qui n'existe pas, donc réfuter une manifestation de quelque chose qui n'existe pas, renforce ce qui n'existe pas. Ne te trompe pas de cible. La manifestation est un phénomène agréable ou désagréable qui prend naissance, comme tu l'as dit, quelque part dans ton cœur. Tu as donc réfuté la manifestation de cette anomalie et elle a disparu. Le mental s'est appuyé là-dessus, c'est-à-dire sur le cœur, pour se mettre en branle. Ce type de réfutation a, en quelque sorte, renforcé l'illusion d'être ce cœur qui bat. Tu l'as fait revenir à une normalité, donc à une existence : il n'a pas disparu, ce qui fut une joie pour le mental. Mais cela fait partie de l'expérience. Et tant que tu constates que l'expérience (quelle qu'elle soit) ne fait que renforcer ce qui est expérimenté, même si ce type d'expérience s'arrête, à un moment donné, tu seras lasse des expériences et l'Absolu pourra être. Si le cœur accélère, tu considères donc bien qu'il y a un cœur. Il est difficile de concevoir une accélération de quelque chose qui n'existe pas. L'émotion n'est que la conséquence, c'est pour ça que nous parlons du mental, avant de parler de l'émotion. Parce que le mental s'appuie sur quoi ? Sur l'expérience passée. Le mental n'a pas, a priori, de manifestation corporelle, excepté quand il devient trop lourd, où il cristallise. L'émotion fait participer le corps, d'une façon ou d'une autre. Tu ne peux réfuter une émotion. Tu peux réfuter ce qui a une traduction de cette émotion, dans le mental, parce que tu t'adresses, dans ce cas là, à une conséquence (dans le cas de l'émotion) mais pas à la cause. Il y a une espèce de basculement, de passage de l'un à l'autre, entre l'émotion et le mental. Souvent, l'émotion met en branle le mental. Ou le mental, lui-même, quand il est suffisamment persuasif, peut déclencher une émotion. Je m'explique : le souvenir d'une souffrance passée, comme un deuil, est donc bien un processus mental puisqu'il fait appel à un souvenir, à une mémoire et à une histoire. Le souvenir peut suffire à déclencher l'émotion. Réfuter l'émotion ne réfutera pas le souvenir et renforcera même le souvenir. C'est exactement ce qui s'est passé.

Question : avoir la tête vide et l'impression de ne plus savoir à quoi se raccrocher est une manifestation de l'ego qui lâche ?
C'est plutôt une manifestation de l'Absolu qui approche parce que, si tu considères que c'est l'ego qui lâche, tu considères que l'ego existe. Et donc, tu t'observes. Maintenant (sur le plan de l'enchaînement ou des étapes ou des états qui conduisent à ne plus vivre d'étape), le sommeil, le vide, l'impression de ne plus avoir de logique, participent indéniablement à une espèce de mise en marche (mais vue de l'extérieur) vers l'Absolu. Au mieux, tu te vides de toi-même, au mieux, l'Absolu peut prendre la place. Tant qu'il existe la moindre partie de toi, l'Absolu ne peut pas être. Il n'y a aucune raison que le spectateur regarde la scène, s'il y a un rideau et que rien ne se joue. C'est une première étape.

Question : pourquoi, pour certains, le sommeil s'inscrit dans une certaine futilité et pour d'autres apporte une qualité d'Abandon à l'Absolu ?
Parce que, pour chacun, je peux vous donner une réponse qui est diamétralement opposée parce que je m'adresse à votre relatif. Et, pour chaque relatif, effectivement, une proposition, pour l'un, peut être une proposition strictement à l'opposé, pour l'autre. Parce que, dès qu'il y des mots, dès qu'il y a question et réponse, effectivement, la réponse peut vous convenir ou ne pas vous convenir. Ce qui est vrai dans ton relatif, n'est pas vrai dans le relatif de l'autre, parce qu'il y a effectivement, de votre point de vue, l'un et l'autre. Mais même ce questionnement, que tu te poses, est important. Car il te permet de voir la non compréhension, ou la non logique apparente, d'une réponse qui peut être à l'opposé pour la même question. Mais la même question ne concerne pas la même personne : il y a encore deux personnes. Pour certaines personnes, ne rien faire, peut s'illustrer par la qualité d'un sommeil et donc de la Libération qui survient à ce moment là. Est-ce que, pendant le sommeil, on se pose la question du monde ? Est-ce que, pendant le sommeil, on se pose la question de la personne ? Est-ce que, pendant le sommeil, on se pose la question d'une quelconque Réalisation ? Donc, le sommeil est Absolu. Simplement, le je n'en a aucun souvenir, sinon le je resterait à dormir éternellement et l'Absolu prendrait tout la place. Le mot futilité ne s'applique pas au sommeil, mais à ton sommeil, dans ce cadre précis, et uniquement dans ce cadre puisque c'est ce cadre que je cherche à te montrer. Comme les Anciens et les Étoiles vous l'ont dit longuement : personne ne peut passer la porte à votre place. Prendre conscience qu'il existe un théâtre et tout son contenu est essentiel, comme si, en quelque sorte, du point de vue de l'ego, il fallait créer encore plus d'ego, plus de je, pour se détourner, finalement, du je. L'expérience conduit à l'expérience. Mais l'excès d'expérience va finir par tuer l'expérience. Demande à un enfant de construire une maison avec des pièces de bois, si tu ne lui donnes pas suffisamment de pièces pour construire, il va dire qu'il ne peut pas construire la maison. Donne-lui le nombre juste de pièces, il va construire la maison. Donne-lui, maintenant, trois fois plus de pièces que nécessaire, que va-t-il se passer ? Il fera une maison, soit deux maisons, soit trois maisons. Mais donne lui, maintenant, dix fois plus de pièces. Va-t-il construire dix fois la même maison ? Non. Il va se lasser. C'est exactement le même principe pour l'ego et pour le Soi. Le contenant, le corps (le corps de nourriture comme le corps de désir), ne peut pas contenir plus que lui-même. Regardez même l'existence du désir, quel qu'il soit : il est comblé à un moment donné et il a besoin d'être reproduit, et le sentiment de satisfaction s'éloigne de plus en plus. Ainsi en est-il de tout je. Quand tu ne réponds plus au désir mais que tu te poses la question de "d'où vient ce désir", c'est déjà un premier pas. Les nourritures de l'ego, quelles qu'elles soient, surtout sur un cheminement spirituel, vont nourrir l'ego, c'est leur but. Mais viendra un moment où, trop nourri, l'ego constatera, avec pertes et fracas, qu'il n'a pas avancé d'un pouce, parce qu'il ne peut avancer, il ne peut que s'effacer. C'est le propre du corps de désir. Il se remplit mais il y a des limites et donc il se re-vide, et il se re-remplit, et il se re-vide. Après, il va chercher à se remplir d'autres choses. Il se remplit et il se re-revide et vient un moment où la stupidité de cette conduite apparaît crûment, plus ou moins rapidement, selon votre temps. Mais tout désir est fait pour être rassasié mais quand il est rassasié, naît un autre désir. Voilà donc la stupidité de toute quête spirituelle. Il n'y a rien à chercher. Il n'y a rien à trouver. Saisissez cela. Vous rajoutez du sens (ou vous essayez de trouver du sens) à ce qui n'a aucun sens, puisqu'éphémère. C'est le propre de l'ego et du jeu de la personnalité.

Question : Est-ce normal d'avoir envie d'activités comme peindre un mut, jardiner, etc ... ?
Le je a besoin d'être occupé. Il n'y a ni normalité ni anormalité. Il y a juste à changer de regard. Tu n'es pas ce qui peint. Tu n'es pas ce qui jardine. Laisse faire cela. Fais-le, si cela t'occupe, s'il y a une impulsion. Ne juge pas l'impulsion. C'est comme pour l'émotion : ton corps réclame de la nourriture, tu lui donnes. Ton corps réclame d'évacuer des liquides, tu vas aux toilettes. Tu ne te poses pas la question de savoir si c'est normal ou pas. Fais-en de même pour tout ce qui te tient à cœur, si l'on peut dire, de ce corps ou de ces émotions ou de ce mental. Mais tu n'es pas cela. Change de point de vue. Si jardiner ou peindre impliquait une Libération, cela se saurait. Par contre, cela est aussi une dérivation du mental. Il n'y a donc pas ni à culpabiliser, ni à trouver ça normal ou anormal, ni même à se poser la question du pourquoi. Simplement, essaye de te placer, dans un premier temps, dans l'observateur : qu'est ce que tu en retires ? Et ensuite, accepte que ce qui en est retiré (d'agréable ou de satisfaction) n'est pas plus toi qu'autre chose. Ce qui se joue, là, est toujours du théâtre. Aucune activité de ce monde (sociale, spirituelle, affective) ne te Libèrera. Le plus souvent d'ailleurs, c'est même l'inverse, à travers le désir et la reproduction, ou le sens du devoir ou de l'honneur, ou ce qui est encore pire : la volonté de bien, au niveau spirituel, avec le sens d'une mission, avec le sens de quelque chose à accomplir qui entretient l'ego ou le Soi. Mais quoiqu'il se fasse, ou ne se fasse pas, le plus important est de saisir que tu n'es rien de ce qui s'accomplit. Soit consciente que tu joues. Soit conscience que tu te fais plaisir. Mais que cela n'est, en rien, une quelconque Libération, ni même une quelconque Réalisation. Bien sûr, dans d'autres registres, l'acteur, l'artiste, va être persuadé de mener à bien un sacerdoce, une mission, un service. L'Absolu n'a que faire de tout ça. Il se rit même de tout ça parce que, tant que vous êtes pleins de cela, vous n'êtes pas Absolu. Il n'est pas question d'arrêter mais, comme cela a été dit, de laisser faire, tout en étant lucide. Et, dès que tu es lucide, tu constateras par toi-même que bien des choses changeront. En résumé, ce n'est ni normal, ni anormal.

Question : si je me pose la question « qui suis-je ? » j'ai le ressenti de devenir vide, mon corps se met à vibrer et c'est comme si je flottais. Qu'est ce qui provoque ça ?
Je qualifierais cela, si on peut le nommer ainsi, de base à l'Absolu, mais même cela doit disparaître. C'est, l'on peut dire, la dernière construction. Parce qu'effectivement, te poser la question du : « qui suis-je ? » débouche, inévitablement, non pas sur le Soi mais sur le non soi, ce que le Soi ou l'ego va traduire par le vide, le néant, le vertige qui est le préalable à ce que l'Absolu se révèle à toi. Tu n'es pas ce vide. Tu n'es pas, non plus, ce que tu perçois dans ce moment là. Passe de l'autre côté ou, comme cela a été dit, derrière. L'Absolu est là.

Question : qu'entendez-vous par « l'Absolu est là, derrière » ?
Si tu veux une précision sur l'Absolu, c'est impossible. Derrière, c'est-à-dire dit autrement : il n'y a pas de théâtre. Derrière est la notion d'être comme en embuscade. L'Absolu attend que tu passes. Il attend que tu sois vide pour Être, mais il a toujours été là, sauf pour toi. Aucun relatif ne pourrait exister sans l'Absolu. Le relatif disparaît, dès l'instant où il se sait relatif et s'accepte relatif. Ce n'est pas une volonté, ni l'expression d'un désir, mais c'est la perspicacité de l'illusion, du décor de théâtre, de l'acteur et du spectateur et du théâtre. À ce moment là, l'éclat de rire arrive, tu es prête. Ce qui était derrière est devant. C'est-à-dire qu'il ne peut plus être ignoré. Tu es Absolu.

Question : Existe-t-il des affinités entre les consciences, dans l'Absolu ?
Oui, en fonction peut-être, parfois, de lignées d'origine, si l'on peut dire de quelque chose qui n'a pas d'origine mais qui, néanmoins, est passé par un endroit (qui n'est pas une mémoire) mais une coloration. Mais rappelle-toi que l'Absolu n'est pas une conscience. La conscience est déjà une projection. Et toute projection retrouve une affinité à travers une autre projection, c'est-à-dire une autre conscience. Comme pour la personnalité, là aussi, au sein de la conscience, il faut laisser faire. Ne pas donner plus de poids que cela n'a, qui est lié à cette fameuse coloration. L'Absolu ne peut être affecté par quelque jeu de la conscience. Il le voit, mais n'y participe pas. De la même façon qu'il te faut voir ton ego, non pas pour le juger, mais pour le réfuter. Tu ne peux réfuter ce que tu ne vois pas. Tu ne peux réfuter que ce que tu vois. L'inconnu ne peut être connu. C'est la seule chose que tu ne peux pas réfuter, et c'est en ce sens que c'est la seule enquête et la seule possibilité de vivre Absolu. L'ego pourra toujours te dire que ce n'est pas vrai. Je répondrais alors : comment peux-tu le savoir puisque tu ne l'as pas vécu ? C'est une projection et ce n'est pas un vécu. L'ego n'existe que par supposition, ou par passé (expériences passées).

Question : Quelle place peut avoir la foi dans le processus d'accès à l'Absolu ?
La pire des places, parce que la foi est issue de la croyance. Il n'existe qu'une certaine forme de foi qui vous a été ébauchée par certaines Étoiles (ndr : en particulier, dans les interventions de HILDEGARDE DE BINGEN des 31 mars 2012, 25 octobre 2010). Mais il existe, il faut le dire, très peu de consciences capables d'une telle foi. Le plus souvent, la foi n'est qu'un alibi pour une bonne conduite. Tant que la foi n'est pas une expérience, elle demeure une croyance. La foi peut aboutir, pour certaines consciences, à se transformer en cette fameuse Tension vers l'Abandon et donc dans l'Abandon du Soi qui est, je vous le rappelle, là aussi, une réfutation de l'ego. Donc, si la foi te conduit à la réfutation de l'ego, c'est parfait. Mais, le plus souvent, elle ne fait que renforcer l'ego, le plaçant dans une fausse humilité et dans une fausse simplicité parce que c'est exclusivement au sein de ce monde et ne permettant aucunement l'accès à l'Absolu. Cela reste linéaire, cela s'appelle la volonté de bien, cela s'appelle les bonnes actions. La foi, le plus souvent, vous éloigne de l'autonomie, et encore plus de la liberté, parce qu'elle vous contraint dans des règles. L'Absolu ne peut être limité par aucune règle, surtout spirituelle. C'est un leurre de l'ego. Je dirais : une escroquerie camouflée. Il me semble d'ailleurs que, dans votre tradition occidentale, il a été dit que celui qui avait la foi à soulever les montagnes, s'il n'avait pas l'Amour, n'y gagnait rien. Le problème, c'est que l'ego parle toujours d'amour, il en fait une revendication. Mais vous savez peut-être, pour l'avoir vécu, que l'amour humain est conditionné et conditionnant, alors que l'Amour Vibral est inconditionné et inconditionnant. Cela a été dit hier par UN grand AMI (ndr : canalisation de un AMI du 12 avril 2012). Donc, l'amour humain est une projection dans l'être aimé, dans une recherche, mais il n'est pas vécu, en soi, pour soi : sans ça, cela s'appellerait la Réalisation. La Libération est toute autre chose. Elle est, en quelque sorte, le vécu de l'Amour total, au-delà de tout Soi, par l'Onde de Vie, par le Manteau Bleu et s'accompagne, bien sûr, d'une absence de focalisation, de projection ou d'une quelconque localisation, même, dans une forme limitée existante. Il y a, en quelque sorte, dans cet Amour Absolu, inconditionné et inconditionnant, ce que je nommerais une permutabilité. Vous êtes vous, mais vous êtes chacun d'entre vous. Ce n'est pas un idéal, mais c'est la stricte vérité de ce qui est vécu. La foi va vous donner la compassion. La foi va développer le sens du service, du dévouement, qui est une première étape, mais qui est relative. Mais ne faites pas de la foi un objectif. Elle est un élément qui peut servir ou desservir.

Question : Est-ce la foi qui me donne parfois le sentiment d'être reliée à l'Éternité, à quelque chose qui a à voir avec l'Absolu ?
Absolument pas. La foi, tout au plus, peut être ce que je viens d'exprimer : cette fameuse Tension vers l'Abandon. Mais la Tension vers l'Abandon n'est pas l'Absolu. C'est une impression, comme tu l'as dit. C'est quelque chose qui te donne le sentiment de. Mais l'Absolu ne sera jamais une impression ou un sentiment. Considérer cela, c'est considérer qu'il existe un mouvement. L'Absolu n'est pas un mouvement. Le mouvement perçu par l'Onde de Vie en action n'est que, en quelque sorte, l'ajustement ou le ré-ajustement de l'ego, ou du Soi, à l'Absolu. Si je peux employer cette expression, l'Absolu Est, et il est donc immobile. La traduction, au niveau de ce qui est éphémère, est le mouvement. Le sentiment de l'Éternité n'est pas l'Éternité : c'est une émotion. Tant qu'il existe émotion, l'Absolu ne peut être : il reste un idéal placé ailleurs qu'en toi. Il va se traduire, toujours, par la mise en action et en mouvement de quelque chose visant, là aussi, à reproduire cela. Cela s'appelle le corps de désir.

Question : comment l'Onde de Vie et le Manteau de la Grâce peuvent dissoudre ce que l'on n'est pas si l'Absolu est au-delà de l'Onde de Vie et du Manteau de la Grâce ?
Il n'a jamais été dit que le Manteau Bleu de la Grâce était l'Absolu, bien évidemment. L'Onde de Vie, vous la percevez. Qu'est ce qui perçoit, si ce n'est ce corps, cet ego ou ce Soi ? L'Absolu n'est aucune perception. Par contre, ils en sont (comme cela a été dit) des formes de témoignages traduisant, si l'on peut dire, une forme d'action (ou plutôt d'interaction) entre l'Absolu et le reste. Mais rappelez-vous qu'il n'y a pas de possibilité de passage de l'un à l'autre, même s'il existe, effectivement, cette interaction. À un moment donné, il faut ne plus exister, il faut donc disparaître, ce qui veut bien dire sortir du paraître et même sortir de l'Être. L'Absolu est toujours là, mais il vient à vous dès l'instant où vous êtes vide. Mais, pour aller vers ce vide, il faut bien construire quelque chose parce qu'il est très difficile, pour l'ego qui n'a pas construit ces maisons (un certain nombre), de se lâcher totalement, si l'on peut dire, à l'Absolu. Il passe par des espèces d'étapes, des espèces de conscientisation, où la conscience semble de plus en plus large, amenant à la non séparativité du Soi, à la transformation de l'ego vers le Soi. Et puis, à un moment donné, tout cela aussi doit être lâché. Mais l'Absolu ne sera jamais le Manteau Bleu de la Grâce, ni même le Soleil, ni même vous. Et pourtant, la conscience de l'humain, même enfermée dans un relatif qui est ce corps et ce corps de désir, peut vivre l'expérience de l'Absolu, parce que ce n'est pas une expérience : c'est la Vie. Le témoignage en est l'opposé même du témoignage de l'ego. L'ego, vous le savez, calcule, réfléchit, en termes de dualité bien / mal, plaisir / déplaisir, positif / négatif. L'Absolu n'est rien de tout ça. Il est permanence. Rien ne peut affecter l'Absolu. Si vous êtes affectés, vous n'êtes pas Absolu. À un moment donné, tout cela doit être aussi lâché, et tout cela doit apparaître et puis, disparaître. Apparaître, comme la scène de théâtre : avec une scène plus éclairée, des décors plus affinés, un acteur plus perspicace et la prise de conscience du spectateur, voire même du théâtre. Ce qui permettra d'être Absolu, quand le théâtre n'existera plus. L'éclairage (qui est porté par la perception et la Vibration) permet une espèce de mouvement qui va, en quelque sorte, s'éloigner de l'ego, pour aller vers le Soi. Il y a, réellement, un changement au sein du linéaire. Ce changement du linéaire est une impulsion qui conduira, à un moment donné, à ne plus être tout cela. Tant que vous demeurez persuadés (parce que vous l'avez vécu, ou pensez le vivre) que les Vibrations vont faire autre chose que vous conduire au Soi, vous ne vivrez pas l'Absolu. Il vous faut donc aussi, comme cela a été dit, renoncer à tout pouvoir spirituel, à toute manifestation dite spirituelle. Il faut aller, de la même façon, au-delà du son, comme cela a été dit par UN grand AMI dans le Yoga de l'Éternité. Ce yoga n'est pas un yoga : il est simplement le bon sens, la logique. Rappelez-vous que la logique de l'ego ne s'inscrit toujours que dans l'action / réaction. Le Soi vous permet de vivre l'Action de Grâce, la Fluidité, la Synchronicité, l'Unité. Allez au-delà. Acceptez de perdre ce qui jamais n'a été conquis, finalement, puisque, de toute façon, cela sera éphémère. Qui peut dire ce que va devenir sa kundalini, quand ce corps disparaîtra ? Que va devenir la Couronne Radiante du cœur, quand il n'y aura plus de corps ? Est-ce que vous saisissez ?


BIDI

13 avril 2012-2

Pregunta: Que permite llegar a la cuenta de ti mismo, lo que llama "vamos a limpiar y lavar"?
Sí, como usted piensa y jugar el juego para mejorar cualquier cosa, que se aleje de lo Absoluto, o por lo menos se aleja de ti. Debido a que a medida que se capturan a jugar con uno mismo, ya que están atrapados jugando con una evolución seudo, una comprensión pseudo estás permanecer en la ignorancia. "Let it go" es exactamente eso. Mientras usted está convencido o convencida de que tú, que tienes que hacer esto o lo otro, para bien, para bien, para ser alguien más válido, usted seguirá siendo alguien. ¿Cómo puede ser de otra manera? El Absoluto no tiene nada que ver con nadie y no especialmente para usted. Recuerde: el Absoluto es el placer total, totalmente diferente a lo que ocurre cuando usted toma el cuidado de usted, porque la satisfacción siempre será efímera. El ego siempre le pedirá algo más, nunca, o como, ni mucho menos.

Pregunta: En un protocolo, sentí que mi corazón se acelera. Me refutó este evento diciendo que no le pertenece. Se detuvo, pero luego mi mente se ha activado. ¿Habría hecho mejor para que este evento por completo?
¿Qué se muestra? Un cambio en su corazón y el cuerpo. En lugar de refutar el evento o cambio en el cuerpo, el cuerpo rechaza. Esta es toda la diferencia. Esto es lo que ha permitido a la protesta o la intervención de su propia mente. No puede ser de cualquier manifestación de lo que no existe, desmintiendo así una manifestación de algo que no existe, que refuerza que no existe. No se meta error. El evento es un fenómeno agradable o desagradable que surge, como usted ha dicho, en algún lugar en tu corazón. Así que han refutado la manifestación de esta anomalía y desapareció. La mente se ha basado en ella, es decir, en el corazón, para ponerse en marcha. Esta refutación, por así decirlo, refuerza la ilusión de ser el corazón palpitante. Has hecho un retorno a la normalidad, por lo que una vida: no ha desaparecido, que fue un placer para la mente. Pero eso es parte de la experiencia. Y al notar que la experiencia (sea lo que sea) no hace sino reforzar lo que se vive, aunque este tipo de experimento se detiene, en algún momento, usted estará cansado de experiencias y el Absoluto puede ser. Si el corazón se acelera, entonces se tiene en cuenta que hay un buen corazón. Es difícil ver una aceleración de algo que no existe. La emoción es sólo el resultado, es por eso que hablamos de la mente, antes de hablar de la emoción. Debido a que la mente se basa en qué? En la experiencia pasada. La mente no es así, a priori, manifestación corporal, excepto cuando se hace demasiado pesada, donde se cristaliza. La emoción implica el cuerpo, una u otra manera. Usted no puede refutar una emoción. Usted puede refutar lo que una traducción de esa emoción en la mente, porque se habla, en este caso, una consecuencia (en el caso de la emoción), pero no a la causa. Hay una especie de vuelco, pasando de uno a otro, entre la emoción y la mente. A menudo, la emoción se inicia la mente. O la mente misma, cuando es lo suficientemente convincente, puede provocar una emoción. Me explico: el recuerdo del sufrimiento pasado, como el duelo, por lo tanto es un proceso mental, ya que utiliza una memoria, una memoria y una historia. La memoria puede ser suficiente para provocar la emoción. Refutar la emoción no refuta la memoria e incluso mejorar la memoria. Esto es exactamente lo que pasó.

Pregunta: con la cabeza vacía y tengo la impresión de no saber lo que para pasar el rato es una manifestación del ego que cobarde?
Es más bien una manifestación de lo Absoluto que el enfoque ya que si se tiene en cuenta que es el ego el que suelta, se tiene en cuenta que el yo existe. Y por lo tanto, que observó. Ahora (en términos de la secuencia o los pasos o estados que conducen a ninguna de las etapas ya no viven), el sueño, el vacío, la sensación de no tener una lógica, sin lugar a dudas involucrado en una especie de oficial caminar (pero desde el exterior) a lo Absoluto. A lo sumo, te vacían, en el mejor de los casos, el Absoluto puede tener lugar. Siempre y cuando haya alguna parte de ti, el Absoluto no puede ser. No hay ninguna razón por la que el espectador mira la escena, donde se juega de una cortina y nada. Este es un primer paso.

Pregunta: ¿por qué, para algunos, el sueño se encuentra en una cierta vanidad y otros trae una calidad de abandono en el Absoluto?
Debido a que para cada uno, te puedo dar una respuesta que es diametralmente opuesto, porque estoy hablando a su pariente. Y, para cada relación, en efecto, una propuesta para una, puede ser, por estrictamente opuesta el uno al otro. Debido a que a partir de ahí las palabras, cada vez que hay preguntas y respuestas, en realidad, la respuesta podría ser para usted o no de acuerdo. Lo que es cierto en su relación, no es cierto con respecto a la otra, porque no es en realidad, desde su punto de vista, tampoco. Pero incluso estas preguntas, usted se pregunta, es importante. Porque te permite ver la falta de comprensión, o de la lógica no es evidente, una respuesta que puede ser contraria a la misma pregunta. Pero el mismo problema no es la misma persona, aún hay dos personas. Para algunas personas sin hacer nada, puede ser ilustrado por la calidad del sueño y por lo tanto la liberación que se produce en ese momento. Es que durante el sueño, se plantea la cuestión del mundo? Es que durante el sueño, se plantea la cuestión de la persona? Es que durante el sueño, nos hacemos la pregunta de cualquier realización? Así que el sueño es absoluta. Simplemente, no me acordaba, de lo contrario me iba a dormir para siempre y tomar todo el Absoluto en su lugar. La futilidad de la palabra no se aplica a dormir, pero su sueño, en este contexto específico, y sólo en este contexto ya que es el contexto en el que tratan de mostrar. Como los ancianos y las estrellas lo he dicho desde hace mucho tiempo: nadie puede salir por la puerta para usted. Consciente de que hay un teatro y todo su contenido es esencial, como si, de alguna manera, desde la perspectiva del ego, era necesario para crear aún más el ego, más de lo que, para apartar, por último, de I. La experiencia conduce a la experiencia. Pero el exceso de la experiencia con el tiempo va a matar de la experiencia. Pide a un niño para construir una casa con trozos de madera, si no le dan suficiente espacio para construir, que va a decir que no se puede construir la casa. Déle el número correcto de las piezas, se va a construir la casa. Dale ahora tres veces tantas partes como sea necesario, ¿qué pasará? Va a ser una casa o dos casas o tres casas. Pero dale, ahora, diez veces más monedas. ¿Creará diez veces la misma casa? No. Él se cansará. Este es exactamente el mismo principio para el ego y el yo. Contenedores, el cuerpo (el cuerpo de los alimentos como el cuerpo del deseo), no puede contener más que a sí mismo. Mira, incluso la existencia del deseo, cualquiera que sea: está lleno de una sola vez y él tiene que repetirse, y el sentimiento de satisfacción cada vez más lejos de. Por lo tanto, es todo lo mismo. Cuando usted no desea responder, pero uno se pregunta a la pregunta "¿de dónde viene este deseo" es un primer paso. Los alimentos del ego en absoluto, sobre todo en un viaje espiritual, va a alimentar el ego, que es su objetivo. Pero llegará un momento en que han comido demasiado, yo constatera, con pérdidas y el ruido, no ha movido ni un centímetro, porque no puede moverse, puede ser borrado. Este es el deseo del propio cuerpo. El lugar se llena, pero hay límites y por lo tanto volver a vacío, y volver llena-, y volver a aspirar. Después, se tratará de llenar con otras cosas. Él lo llena y re-revisado el año pasado y llega un momento en que la estupidez de esta conducta aparece crudamente, más o menos rápidamente, dependiendo de su tiempo. Pero todo deseo está hecho para ser satisfecho, pero cuando está lleno, surge otro deseo. Así que la estupidez de toda búsqueda espiritual. No hay nada que buscar. No hay nada que encontrar. Entrar en ella. Agregue el significado (o tratando de encontrar un sentido) en el que no tiene sentido, puisqu'éphémère. Es característico del ego y la personalidad del juego.

Pregunta: ¿Es normal que se quiera actividades como pintar un mut, jardinería, etc ... ?
Tuve la necesidad de estar ocupado. No es normal ni anormal. No sólo tiene que cambiar su look. Usted no se ha pintado de lo que pase. Usted no es lo que cultiva un huerto. Vamos a hacer esto. ¿Es que, si te importa, si el pulso. No juzgues el pulso. Es como la sensación: su cuerpo está pidiendo comida, usted le da. Su cuerpo necesita líquidos para evacuar el lugar, ir al baño. Usted no pidió la cuestión de si esto es normal o no. Que sea el mismo para todo lo que tienes en el corazón, por así decirlo, de este cuerpo o de las emociones o la mente. Pero tú no eres eso. Intercambio de puntos de vista. Si la jardinería o la pintura implicó una liberación, esto sería. Por contra, también es una derivación de la mente. Por lo tanto, ninguna razón por la culpa, o que es normal o anormal, o incluso pedir a la pregunta de por qué. Simplemente tratando de poner en primer lugar, en el observador: ¿qué retirarse? Y luego, aceptar que lo que se elimina (agradable o satisfacción) no es más que otra cosa. Lo que está en juego, siempre existe el teatro. No hay actividad de este mundo (social, espiritual y emocional) hace libres. En la mayoría de los casos, por otra parte, es incluso lo contrario, a través del deseo y la reproducción, o un sentido del deber o el honor, o lo que es peor: el deseo del bien, espiritualmente, con el sentido de la misión, con un sentido de algo que hacer lo que mantiene el ego o el yo. Pero lo que está hecho o no, lo más importante es entender que no eres nada de lo que se llevó a cabo. Tenga en cuenta que usted juega. Tenga en cuenta que te haces feliz. Pero es, de ninguna manera, cualquier liberación, ni cualquier director. Por supuesto, en otros registros, actor, artista, se convenció de llevar a una vocación, una misión, un servicio. El Absoluto no tiene ningún uso de él. Incluso se ríe de todo porque, como ustedes están llenos de ella, no son absolutos. Usted no quiere parar pero, como se ha dicho, para que, al mismo tiempo lúcido. Y, cuando estás lúcido, verás por ti mismo que va a cambiar mucho. En resumen, no es ni normal ni anormal.

Pregunta: Si me preguntan "¿quién soy yo? "Tengo la sensación de ser vacío, mi cuerpo comienza a vibrar, y es como si estuviera flotando. Lo que hace que?
Yo lo llamaría, si se puede llamar así, como base para el Absoluto, pero incluso eso tiene que ir. Es decir, se puede decir, la última generación. Porque de hecho, plantea la pregunta de "¿quién soy? "Conduce, inevitablemente, no es el mismo pero en el no-yo, el yo o el ego se traducirá en el vacío, la nada, el vértigo que es el requisito previo de que el Absoluto se revela a usted. Usted no es ese vacío. Usted no es, tampoco, lo que percibimos en ese momento. Pasando en el otro lado o, como se ha dicho atrás. El Absoluto está allí.

Pregunta: ¿Qué quieres decir con "el Absoluto hay detrás?"
Si desea una aclaración sobre el Absoluto, es imposible. Detrás, es decir, en otras palabras: no hay teatro. Está detrás de la noción de ser, como en una emboscada. El Absoluto espera que gasta. Él espera que esté vacío de ser, pero él siempre estaba ahí, a excepción de usted. Ningún pariente no podría existir sin el Absoluto. La relación desaparece tan pronto como él conoce y acepta en relación en relación. Esto no es un compromiso ni una expresión de deseo, pero es la idea de la ilusión, la escenografía, el actor y el espectador y el teatro. En ese momento, la risa viene, ya está listo. ¿Qué hay detrás es en el frente. Es decir que ya no puede ser ignorada. Usted es absoluta.

Pregunta: ¿Hay alguna similitud entre la mente, en el Absoluto?
Sí, dependiendo tal vez, a veces, las líneas originales, por así decirlo, algo que no era original, pero que, sin embargo, pasó por un lugar (que no es un memoria), pero un color. Pero recuerde que el Absoluto no es una conciencia. La conciencia es ya una proyección. Y cualquier proyección encontrado una afinidad a través de otra proyección, es decir otra conciencia. En cuanto a la personalidad, también, en la conciencia, hay que dejarlos. No le dé más peso que lo hizo, que se relaciona con ese color famosa. El Absoluto puede ser afectado por cualquier juego de la conciencia. Él ve, pero no participa. De la misma manera que usted debe ver a su ego, no para juzgar, sino para refutarla. No se puede refutar lo que no se ve. Usted no puede refutar lo que se ve. Lo desconocido puede ser conocido. Esta es la única cosa que no se puede refutar, y es en el sentido de que es la única encuesta y la única manera de vivir absoluta. El ego siempre te dirá que esto no es cierto. Yo respondería: ¿cómo puede saber porque no estuvo a la altura? Es una proyección y no es una experiencia. El ego no existe más que por hipótesis, o en el pasado (experiencias pasadas).

Pregunta: ¿Qué papel puede tener fe en el proceso de acceso a lo Absoluto?
Los peores lugares, porque la fe viene de la creencia. Hay un cierto tipo de fe que ha sido descrito por algunas estrellas (nota: en particular, en las intervenciones de Hildegarda de Bingen el 31 de marzo de 2012, 25 de octubre 2010). Pero, todo hay que decirlo, muy pocas mentes capaces de tal fe. Mayoría de las veces, la fe es una coartada para el buen comportamiento. Como la fe no es un experimento, sigue siendo una creencia. La fe puede dar lugar a algunas mentes, para convertirse en la famosa a la tensión y, por tanto abandono en el abandono de uno mismo, es decir, les recuerdo, una vez más, una refutación del ego. Así que si la fe te lleva a la refutación del ego, es perfecto. Pero más a menudo, sólo refuerza el ego, poniéndolo en una falsa humildad y en un aparentemente simple, porque sólo en este mundo y no permitir ningún acceso a lo Absoluto. Este es lineal, se llama la voluntad del bien, se llama las buenas obras. La fe, en la mayoría de los casos, lejos de uno mismo, y aún más libertad, porque te obliga a entrar en las reglas. El Absoluto puede ser limitado por ninguna norma, sobre todo espiritual. Es una ilusión del ego. Yo diría que una estafa disfrazada. También me parece que en la tradición occidental, se decía que quien tenía la fe para mover montañas, si no hubiera Cupido, no ganó nada. El problema es que el ego siempre habla de amor, que hace una afirmación. Pero ustedes saben, por experiencia personal, que el amor humano es condicional y acondicionamiento, mientras que el amor es incondicional y inconditionnant Vibral. Se dijo ayer por un gran amigo (nota: una línea de IAM, de 12 de abril de 2012). Por lo tanto, el amor humano es una proyección en el Amado, en una búsqueda, pero no se vive, en sí mismo, por sí mismo: sin ella, se llama realización. La liberación es otra cosa. Es, de alguna manera, la experiencia total del amor, más allá de todo uno mismo, por la ola de la vida, por el Blue Coat y se acompaña, por supuesto, una falta de concentración, la proyección o en cualquier lugar, incluso en una forma limitada existente. Hay, de alguna manera, en este amor absoluto, incondicionado y inconditionnant, lo que yo llamaría una permutabilidad. ¿Tiene usted, pero son todos ustedes. Este no es un ideal, pero es la verdad de lo que se experimenta. La fe le dará la compasión. La fe se desarrollará un sentido de servicio, dedicación, que es un primer paso, pero eso es relativo. Pero no hacen un lente de la fe. Es algo que puede servir o ser servidos.

Pregunta: ¿Es la fe que a veces me da la sensación de estar conectado a la eternidad, algo que tiene que ver con el Absoluto?
Por supuesto que no. La fe, en el mejor de los casos, puede ser lo que he expresado: que la tensión famosa a abandonar. Pero la tensión con el abandono no es el Absoluto. Esta es una impresión, como usted ha dicho. Esto es algo que te da la sensación. Pero el Absoluto no es un sentimiento o sensación. Considere esto, consideramos que hay un movimiento. El Absoluto no es un movimiento. El movimiento percibido por la ola de la vida en la acción es que, de alguna manera, el ajuste o reajuste del ego, o el Ser, el Absoluto. Si puedo usar esta expresión, el Absoluto Oriente, y lo sigue siendo. La traducción, en lo que es efímero, es el movimiento. El sentimiento de eternidad la eternidad no es: es una emoción. Si bien no es la emoción, el Absoluto no puede ser: sigue siendo un ideal que ha colocado en otro lugar. El resultado será, de nuevo, por el accionamiento y movimiento de algo diseñado, de nuevo, para reproducirse. Esto se llama el cuerpo del deseo.

Pregunta: ¿Cómo la ola de la vida y el escudo gracia puede disolver lo que no es que el Absoluto está más allá de la ola de la vida y el Manto de la Gracia?
Nunca se dijo que el Blue Coat of Grace era el Absoluto, por supuesto. La ola de la vida, usted lo ve. Lo que la percepción, si no es este cuerpo, el ego o el Sí mismo? El Absoluto no es la percepción. Por contra, son (como se ha dicho) las formas de testimonio de la traducción, por así decirlo, una forma de acción (o más bien la interacción) entre el Absoluto y el resto. Pero recuerda que no hay posibilidad de transición de uno a otro, aunque hay, en efecto, esta interacción. En un momento dado, tenemos que ya no existen, que debe desaparecer, lo que significa salir de la mirada e incluso fuera del ser. El Absoluto está todavía allí, pero él viene a usted tan pronto como vacío. Pero, para ir a este vacío, tenemos que construir algo, porque es muy difícil para el ego que no ha construido estas casas (un número), para dejar ir completamente, si se puede decir, el Absoluto. Se pasa por etapas de las especies, la conciencia de las especies, donde la conciencia parece cada vez más grande, lo que lleva a la no separación del yo, la transformación del ego al Sí mismo. Y luego, en algún momento, todo esto también se deben quitar. Pero el Absoluto nunca será el manto azul de la Gracia, o incluso el Sol, o incluso usted. Sin embargo, la conciencia del ser humano, incluso encerrado en un pariente de quién es este cuerpo y este cuerpo del deseo, se puede vivir la experiencia de lo absoluto, porque esto no es una experiencia: es la vida . El testimonio es todo lo contrario del testimonio del ego. El ego, ya sabes, calcula, piensa en términos de dualidad, bueno / malo, placer / displacer, positivo / negativo. El Absoluto es nada de eso. Ha llegado el momento. Nada puede afectar a la absoluta. Si se ve afectado, no son absolutos. En un momento dado, todo esto también hay que dejar, y todo esto debe aparecer y luego desaparecer. Aparecen, como el teatro: una escena con más ilustrados, las decoraciones más refinadas, un actor más perceptivo y la conciencia del espectador, o incluso el teatro. ¿Qué va a ser absoluta, cuando el teatro ya no existen. La iluminación (que es transportado por la percepción y la vibración) permite a un tipo de movimiento que, de alguna manera, alejarse del ego, para ir al auto. Hay, en realidad, un cambio en el lineal. Este cambio de la cantidad de movimiento que dará lugar, en algún momento, a no ser todo eso. Mientras que usted cree (porque usted ha vivido o vive lo mismo) que la vibración se hacer otra cosa que lo llevará a la Ser, no vivirá el Absoluto. Así que hay también, como se ha dicho, a renunciar a todo poder espiritual, en los eventos llamados espiritual. Tenemos que ir, de la misma manera, más allá del sonido, como se ha dicho por un gran amigo en el Yoga de la Eternidad. Este yoga no es yoga: se trata simplemente de sentido común, la lógica. Recuerde que la lógica de que el ego siempre está inscrita en la acción / reacción. El auto te permite vivir de Acción de Gracias, la fluidez, la sincronicidad, la Unidad. Ir más allá. Para desechar lo que no se ha vencido, finalmente, porque, de todos modos, será efímero. ¿Quién puede decir lo que se convertirá en su kundalini, cuando este cuerpo desaparezca? ¿Qué pasará con la Corona Radiante del corazón, cuando haya más cuerpos? ¿Usted escribe?

BIDI

13 avril 2012 - 3
Question : le rire est-il une émotion ? Faut-il le réfuter ?
Le rire peut être émotion. De la même façon, il peut être cynique. Il peut être, aussi, la traduction de la Joie. Il n'y a pas un rire mais l'Absolu Est rire. Mais le rire du Je n'est pas le rire du Soi et, encore moins, le rire de l'Absolu. Tout dépend de quoi ris-tu ou de qui ris-tu ? Si ton rire est une cause ou une conséquence, ce n'est pas la même chose que le rire de l'Absolu. Il n'y a donc pas un rire.

Question : les vibrations que j'ai senties en me posant la question « qui suis-je », persistent encore aujourd'hui, c'est à la fois agréable et désagréable. Cela va-t-il durer ?
Ça durera jusqu'au moment où tu décideras de ne plus être ni ce corps ni cette Vibration et, encore moins, un corps parcouru d'une Vibration. Cela ne s'arrêtera jamais mais disparaîtra quand tu deviendras ce qui est après (ou derrière) le corps et la Vibration. Cela s'appelle Absolu. La Vibration est appelée à devenir très intense, au sein de ce corps, comme vous l'a dit l'une des Étoiles, voilà peu de temps. Jusqu'au moment où l'ego (ou le Soi) capituleront, rendront les armes. À ce moment-là, tu ne seras plus ce corps mais tous les corps, sans aucune exception. Tu ne seras plus cette Vibration mais toutes les Vibrations, sans exception. Autre nom : Délocalisation, multi localisation, Dissolution et donc, Absolu. L'Absolu naîtra à ce moment-là. Là aussi, on peut dire : « reste tranquille et laisse faire, tu n'es pas cela ».

Question : est-il plus juste de dire : « je ne suis pas cela » ou « je ne suis pas ce corps » ?
Je parlai de cela dans le relatif, c'est-à-dire de ce corps ou de ses manifestations. Vous êtes juste cela : l'Absolu. Mais vous n'êtes pas cela : ces manifestations, ce corps ou ces Vibrations. Mais juste, la Vibration (si l'on peut dire) juste, qui concoure à t'affranchir de la Vibration elle-même.

Question : arriver à l'Absolu indique-t-il qu'il nous reste peu de temps à vivre dans cette vie ?
Tu ne peux arriver à l'Absolu : c'est l'Absolu qui arrive à toi. Ce n'est pas la même chose. Tant que tu considères que tu dois arriver à l'Absolu, l'Absolu n'arrivera jamais. Se poser la question de la persistance de ce corps, de cette personne, lorsque l'Absolu arrive, n'a aucun sens, parce que cette question disparait d'elle-même. Seul l'ego ou la personne peut poser cette question mais tu ne peux te saisir de l'Absolu et, encore moins, arriver jusqu'à lui. Cela traduit simplement la volonté de persistance de l'ego qui, pourtant, est mortel, un jour ou l'autre. Quelle est la persistance de cette question, une fois que ce sac de nourriture n'est plus là ? Tu ne peux concevoir l'Absolu, ou même te le représenter, comme un but ou comme quelque chose où tu dois arriver, ou un état que tu dois établir. Il est déjà là. Il est déjà établi. C'est simplement l'ego qui l'empêche d'être là, alors qu'il est déjà là. La question de la subsistance de l'éphémère ne traduit que la peur et le doute, comme toujours. Ose dire : « je suis Absolu ». Ose Être. Mais ne te pose pas la question d'y arriver, parce que tu construis un mur infranchissable.

Question : l'Absolu est-il contenu dans notre ADN ?
L'Absolu n'est contenu dans aucune forme. La forme éphémère, que tu es, peut vivre les manifestations de l'Absolu. Tu peux Vivre et Être Absolu. Mais vouloir parler d'ADN, c'est te raccrocher à une forme. Est-ce que la Terre a un ADN ? Elle a une signature. L'ADN n'est rien d'autre qu'une signature, un codage, si tu préfères, électromagnétique. L'Absolu est tout sauf un codage électromagnétique. Tu cherches, encore une fois, à te raccrocher à une connaissance (que tu crois posséder) mais qui n'est qu'une croyance. Connais-tu la structure de l'ADN ? Donc, tu mets en avant un mot, un concept, une idée, dont tu n'as aucune notion et tu en fais une connaissance au sein de l'ignorance, qui ne sert strictement à rien et qui ne fait que nourrir l'ego. Oubliez tout cela. Oubliez tout ce qui vous est connu ou qui vous donne l'impression d'être connu, ce qui est pire. De la même façon, si je te demande ce qu'est une couleur, la réponse scientifique sera de définir une longueur d'onde, la réponse de l'artiste sera de définir des émotions, etc, etc. Mais est-ce que quelqu'un sait réellement ce qu'est une couleur ? Une fois de plus, ce n'est qu'une projection. Il y a un besoin viscéral, dans l'ego (ce même besoin, coloré différemment, existe dans le Soi) : de vouloir tout ramener à un connu. L'Absolu n'est pas connu et ne peut être connu. Il ne peut que être vécu. C'est le moment où cesse toute projection, c'est le moment où cesse toute volonté d'identification à un corps, à une histoire, à une vie passée et à un monde. Osez et vous verrez. La seule chose qui soit à accomplir, le seul accomplissement, est celui qui vous donne à voir qu'il n'y a rien à accomplir. La Libération est cela.

Question : si j'ose dire : "Je suis Absolu", qu'est-ce que je fais à ce moment-là ?
À toi de le faire mais supprime le "si". L'ego va toujours supposer et va toujours mettre un "si", parce qu'il cherche à anticiper, à comprendre. Tu ne peux comprendre et tu ne peux anticiper et tu peux encore moins supposer.

Question : S'il n'y a rien à faire, pourquoi l'Absolu n'arrive pas de façon plus « automatique » ?
Parce que la Source (comme l'Absolu) respecte ce que tu crois, ce que tu penses et ne peut interférer. L'Absolu est toujours présent. Mais il devient présent à toi, dès l'instant où tu es vide de toi,
et pas avant. L'Absolu (si l'on peut supposer, ce qui est aberrant) qui voudrait s'établir, coûte que coûte, pour restaurer Sa Vérité Absolue, se heurterait au déni. Tous ceux (toutes les Consciences enfermées) qui adhèrent au libre-arbitre, sont Libres de le vivre. Tant qu'elles veulent rester dans l'expérience, dans la projection, elles sont Libres. Le problème, lié à l'enfermement, c'est que l'ensemble de ces croyances et de ces volontés d'expérience, a construit un mur, de plus en plus imperméable, que vous avez, en partie, fait écrouler. L'Absolu est déjà là, bien sûr, au-delà de toute falsification et de toute altération. Aucune vie ne pourrait être manifestée sans ce principe de respect. Mais c'est la Conscience qui s'est elle-même distanciée, ensuite, de l'Absolu, en jouant le jeu de la falsification. Devenir Autonome et être Libéré, c'est dépasser à la fois la notion de culpabilité (en soi comme pour la Terre ou qu'en l'autre) et aussi, Transcender toute notion de responsabilité. L'Absolu n'est pas une Conscience, quelle qu'elle soit.
Question : est-ce la même chose de dire : "Je suis l'Absolu" et "Je suis Un" ?
Non. "Je suis Un" conduit au Soi, à l'expérience de l'Éveil et à la Réalisation. Mais l'Absolu, comme nous l'avons vu, n'a strictement rien à voir, de près ou de loin, avec l'Éveil, avec la Réalisation, ou avec le Soi, puisque l'Absolu est, si l'on peut dire, le non-Soi. C'est la perte du sentiment de toute individualité, de toute personnalité, de toute localisation dans un corps, dans un temps, dans un espace. Chose que l'ego ne peut même imaginer, ni même le Soi. Donc, jamais le "Je suis Un" ne conduira à l'Absolu. Jamais le Soi ne conduira à l'Absolu. Saisissez bien que les mots que vous employez (comme lors d'une question précédente où il était question d'arriver à l'Absolu) sont une hérésie et ne font que traduire l'erreur de vision, l'erreur de compréhension, puisque, de toute façon, il ne peut exister la moindre compréhension en ce qui concerne l'Absolu.

Question : si l'Absolu vient à nous, la seule chose à « faire » c'est d'oser s'Abandonner à Lui ?
Il n'a jamais été dit ça. Oser être Absolu, n'est pas oser s'Abandonner à l'Absolu. C'est l'Abandon du Soi. Ne mélangeons pas les mots. Ne rajoutons pas d'autres mots. Oser être Absolu, n'est pas oser s'Abandonner à l'Absolu. Comment pourrait-on s'Abandonner à l'Absolu ? On ne peut qu'Abandonner le Soi lui-même. On s'Abandonne à la Lumière, à l'Intelligence de la Lumière, qui créée l'Éveil, qui construit le Soi, le Corps d'Êtreté, à travers les processus que vous avez vécus ou lus. L'Absolu est, en quelque sorte, une déconstruction finale de tout ce qui a été construit. Oser être Absolu, n'a rien à voir avec oser s'Abandonner. L'Abandon du Soi n'a rien à voir avec cela.

Question : est-il correct de penser : "je réfute la Vibration" ?
De quelle Vibration parle-t-on ? Vous n'êtes pas la Kundalini. L'Onde de Vie monte, elle déclenche une Vibration extrêmement intense (parfois gênante ou douloureuse) de ce corps. Vous n'êtes ni ce corps, ni cette Vibration. Nous ne sommes plus, cette fois-ci, dans une réfutation mais bien dans l'apparition de la Transcendance. Ce n'est que quand (en quelque sorte et de façon imagée) vous dépassez cela, qu'effectivement, vous passez la Porte. Et vous vous apercevez après, seulement après, qu'il n'y a pas de Porte. Mais pas avant. Nier la Porte, avant de l'avoir passée, ne veut rien dire.

Question : rire de la peur de l'ego à poser une question, est-ce s'approcher de l'Absolu ?
De la même façon qu'on n'arrive pas à l'Absolu, on ne s'en approche pas. C'est lui qui approche, dès l'instant où l'ego, ou le Soi, a fait le tour, si l'on peut dire, de sa propre question, sur sa propre existence. En ce sens, oui, de votre point de vue, vous approchez de l'Absolu. Les perceptions, même Vibratoires (intenses, actuelles pour certains d'entre vous), sont, en quelque sorte, une prémonition, une anticipation, l'antichambre (bien que cela n'existe pas vraiment) de l'Absolu. C'est un encouragement.

Question : serait-il possible d'avoir une synthèse de ce qu'il faut faire ou ne pas faire ?
La synthèse vous a été donnée et exprimée par votre grand Ami (ndr : intervention de UN AMI du 12 avril 2012). L'important ne sera jamais la synthèse, ni l'analyse, mais bien l'intégration, qui est, en fait, une désintégration.

Question : qu'est-ce qu'il ne faut jamais réfuter ?
Tout ce qui est connu doit être réfuté. La seule chose qui ne peut être réfutée, est l'Absolu. Justement : la seule chose que réfute l'ego. Rappelez-vous que réfuter n'est pas le déni, ni la négation, mais percevoir clairement que ce n'est qu'une vérité relative n'ayant aucune consistance, ni aucune durée. C'est une désidentification, une non-implication et une cessation, en quelque sorte, de toute projection.

Question : y-a-t'il une différence entre la réfutation et le « ne pas » ?
La réfutation présente un aspect plus profond, parce que vous pouvez nier quelque chose sans le comprendre. La réfutation n'est pas nécessairement une compréhension, mais est, avant tout, une logique élémentaire. Ce qui est à réfuter, c'est ce qui est connu, parce que limité. L'Absolu n'étant ni connu, ni limité, il convient donc d'éliminer ce qui est connu et limité. Alors, restera seulement l'Absolu. C'est le principe de l'enquête, tel qu'il vous a été expliqué. Ne vous posez pas la question de l'Absolu. N'espérez pas, même en vous posant ces questions, comprendre l'Absolu. Ne vous occupez pas de l'Absolu, non plus : il est là. Contentez-vous de réfuter ce qu'il n'est pas, c'est-à-dire ce que vous connaissez. Et laissez faire ce que ce corps veut vivre. Quelles que soient ses activités, elles ne vous concernent pas.

Question : dire « je suis absolue », a le même effet sur l'ego qu'une réfutation ?
C'est différent. Réfuter est une démarche active. « Je suis absolue » n'est ni une démarche, ni une affirmation. D'ailleurs, si tu prononces cette phrase : « je suis absolue », sans l'être, tu constateras très vite le mensonge. Oser être Absolue, c'est l'Être. Si cela est vrai, il n'y a aucun mensonge. Il n'y a, non plus, de même, aucun ego et aucun Soi qui est présent pour le contester. L'ego refusera toujours de prononcer cette simple phrase. Essaye et tu verras. L'ego acceptera toujours la réfutation parce que c'est d'ailleurs son seul cadre d'action : oui / non, bien / mal, vrai ou faux. Tu ne fais que déplacer, en quelque sorte, la conscience, de façon à ce que l'ego arrive, lui-même, tout seul, à un non-sens. Lui permettant de se nier lui-même, ce qui, pour lui, est intolérable. À ce moment-là, le « je suis » apparaît. Fais la même chose, le « je suis » le vivra, lui aussi, comme intolérable. Alors, le non-Soi apparaitra. Il a toujours été là, mais le principe même de la réfutation va conduire à l'Absolu de façon naturelle. Quand je dis conduire, c'est le fait d'éliminer tout le reste qui permet à l'Absolu qui a toujours été là, d'être là. Il n'y a pas de mouvement, il n'y a pas de déplacement, il n'y a pas de chemin, il n'y a pas de but. C'est cela que vous fait découvrir la réfutation, aussi bien de ce que constitue le connu de l'ego, que le connu de la réalisation.

Question : c'est plus puissant de réfuter ce que je suis ?
Dans la mesure où tu n'es pas ce que tu crois, ce que tu vois, ce que tu sens, ce que tu perçois, et encore moins cette histoire présente dans ce corps. Que veux-tu faire de plus ? Il y a, comme cela a été dit, une impérieuse désidentification préalable.

Question : pendant l'alignement la vibration était extrêmement forte dans la poitrine, un son suraigu enveloppait tout le corps, un trou béant est apparu sur le point Ki-Ris-Ti. Qu'était-ce ?
L'Absolu frappe à la porte. Le vide a été créé. Les conditions initiales (si je peux les nommer ainsi) se sont accomplies. Le vide est suffisamment vide, presque entièrement vide
. Même cela doit être oublié. Ne vous concentrez pas sur la Vibration. Vivez-le, mais vous n'êtes pas non plus cela. Ne la niez pas parce qu'elle est là. Et vous aurez beau la réfuter, elle ne disparaitra pas, quand vous arrivez (si je puis dire) à ce stade. Quand la Vibration devient intense, voire violente, comme décrite par l'Étoile GEMMA, vous installez, en vous, un mécanisme particulier d'Extase et d'Intase, de même que de stase qui est, comme vous le savez, le témoin de l'Absolu. Bien sûr, même au sein de l'Extase, quelle qu'en soit la durée, la permanence ou l'irrégularité, cela ne vous donne pas un blanc-seing, pour vous établir, de façon définitive, dans le non-Soi. C'est-à-dire que l'Absolu est là. Parce que cela prend, là aussi, apparemment, un certain temps pour toucher le point d'inflexion, le point de basculement, c'est-à-dire établir totalement la transcendance. Dès cet instant là, ne vous occupez plus de cela. De la même façon que l'intelligence de la Lumière a agi, l'Onde de Vie fait son œuvre, jusqu'au moment où vous devenez l'Onde de Vie, c'est-à-dire l'Absolu. L'Absolu ne peut être connu, il ne peut être que vécu. Vous ne pouvez pas donc, de manière logique, dire que l'Onde de Vie est l'Absolu. Mais l'Onde de Vie en est la traduction, là où vous êtes.
Question : mon corps s'est alors contracté. Pourquoi ?
Est-ce que ton pourquoi te permettra d'avancer vers quoi que ce soit ? Il te fera reculer. C'est le mental et l'ego qui veulent inlassablement comprendre. Tant qu'il y aura la moindre velléité de vouloir comprendre, tu ne peux être Absolu, simplement parce qu'il y a cette question. Rester tranquille et être en Paix, c'est accepter l'Abandon du Soi, oser être Absolu. L'Absolu ne s'installe que si rien de toi ne demeure. Étant Absolu, que peut signifier ce qui se passe dans ce corps ? C'est un spectacle. Le corps est une marionnette. Donc, qu'il y ait un fil qui se tende, qui se casse ou qui lâche, n'a aucune incidence sur l'Absolu. Témoigner de l'Onde de Vie vous a été signifié comme important, non pas pour vous, mais pour l'Onde de Vie elle-même. Par contre, vouloir en traduire quoi que ce soit d'autre (dans ses trajets et ses effets) ne rime à rien. Comme les Anciens vous l'ont dit, les trajets sont réels. Et si vous vous interrogez les uns les autres, vous allez vous conforter dans ces trajets, mais vous allez vous éloigner de l'Absolu. Ne vous occupez pas de cela. Est-ce que vous vous occupez de savoir où sont les uretères, pour aller au petit coin ? Est-ce que vous vous occupez de savoir comment fonctionne la marche, une fois que l'apprentissage est réalisé ? Non, vous marchez. Il en est de même pour l'Onde de Vie. Ne confondez pas l'analyse des mécanismes, avec le vécu des mécanismes. D'ailleurs, pour analyser un corps, comme cela a été fait par l'anatomie, il a bien fallu que ce corps soit mort. Ce n'est pas le but de l'Onde de Vie, n'est-ce pas ? Donc cessez de faire mourir ce qui est.

Question : quand on sent des vibrations, on peut dire : « je ne suis pas cette vibration » ?
Vous pouvez l'affirmer autant de fois que vous voulez, elle ne disparaîtra jamais. Il est question de l'Abandon du Soi, à ce moment là. Le mieux est, effectivement, comme cela a été dit, de rester tranquille. Ne vous occupez de rien, le Double est là. Ne vous occupez pas du Double. Ne vous occupez de rien. Faites ce que vous avez à faire, sans vous impliquer, mais faites-le. Je parle des activités ordinaires ou celles qui sont impulsées par l'âme. Elles ne vous concernent pas plus que ce qui se passe au niveau de la Vibration. Nous ne sommes plus, si l'on peut dire, à ce stade là, ultime, qui précède la disparition de tout stade, dans un processus de réfutation ou de déni, ou d'acceptation. C'est dans ces moments là que le plus important est, effectivement, le yoga de l'Eternité, qui peut se résumer ainsi : ne faites rien, restez tranquille, soyez en Paix. Et c'est tout. Vous êtes Absolu.


BIDI

13 avril 2012-3

Pregunta: ¿Es la risa una emoción? ¿Es necesario para refutarla?
La risa puede ser la emoción. Del mismo modo, puede ser cínico. Puede ser, también, la traducción de la Alegría. No es una risa, pero el Absoluto está riendo. Pero me río no es la risa de uno mismo y, menos aún, la risa de lo Absoluto. Todo depende de qué te ríes o que te ríes? Si tu risa es una causa o una consecuencia, no es lo mismo que la risa de lo Absoluto. No es una risa.

Pregunta: Tengo las vibraciones que siente me pide la pregunta "¿quién soy yo," todavía existen hoy en día, es a la vez agradable y desagradable. Va a durar esto?
Durará hasta que usted decida ya no será ni este cuerpo ni la vibración de esto, y mucho menos un cuerpo cubierto con una vibración. Esto nunca va a terminar, pero desaparecen cuando usted se convierte en lo que es después de (o detrás) del cuerpo y la vibración. Se llama Absoluto. Vibración será muy intensa en este cuerpo, como usted ha dicho una de las estrellas, aquí en breve. Hasta que el ego (o yo) capitular, se rendirá. En ese momento, usted no será este cuerpo, pero los cuerpos de todas, sin excepción. No será todo esto, pero la vibración vibraciones, sin excepción. Otro nombre: Traslado, la ubicación de varios, la disolución y por lo tanto, absoluta. El Absoluto nació en ese momento. Una vez más, podemos decir: "estar en silencio y dejar que suceda, tú no eres eso".

Pregunta: ¿es más exacto decir: "Yo no soy esa" o "Yo no soy este cuerpo"?
He hablado de esto en la relación, es decir, a este cuerpo o de sus manifestaciones. Usted es sólo eso: el Absoluto. Pero usted no es esto: estos acontecimientos, el cuerpo de este o de vibraciones que estos. Pero así, la vibración (por así decirlo), justo, lo que contribuye a liberarse de la propia vibración.

Pregunta: llegar a la absoluta, dice que tenemos poco tiempo para vivir en esta vida?
Se puede llegar a lo Absoluto: el Absoluto que le está sucediendo. Esta no es la misma cosa. Al considerar que ha llegado a lo Absoluto, el Absoluto no va a suceder. La cuestión de la persistencia de este cuerpo, esa persona, si el Absoluto que pase, no tiene sentido, porque este problema va a desaparecer por sí misma. Sólo el ego o la persona puede hacer esta pregunta, pero no puede hacerse con el absoluto y, menos aún, llegar a él. Esto simplemente refleja la voluntad de la persistencia del ego, sin embargo, es mortal, un día u otro. ¿Cuál es la persistencia de este problema, una vez que la bolsa de comida se ha ido? No se puede concebir el Absoluto, o incluso que lo represente como un fin o como algo donde tienes que llegar a, o el estado que se debe establecer. Ya está ahí. Ya está establecido. Es el ego que le impide estar ahí, entonces ya está ahí. La cuestión de los medios de subsistencia de lo efímero sólo refleja el miedo y la duda, como siempre. Puede decir: "Yo soy absoluto".
Dare to Be. Pero no pido que hagan, ya que construir un muro impenetrable.

Pregunta: ¿Es el Absoluto contenida en nuestro ADN?
El Absoluto no está contenido en ninguna forma. La forma efímera, que son, pueden vivir las manifestaciones de lo Absoluto. Usted puede vivir y ser absoluto. Pero con ganas de hablar sobre el ADN, es lo que se aferran a un formulario. ¿La Tierra tiene el ADN? Ella tiene una firma. El ADN es nada más que una firma, codificación, si lo prefiere, los campos electromagnéticos. El Absoluto es otra cosa que un código electromagnético. Mirando de nuevo te aferras a los conocimientos (se cree), sino que es sólo una creencia. ¿Sabe usted la estructura del ADN? Así que antes de poner en una palabra, un concepto, una idea que no tienes ni idea, y os tomaré todo el conocimiento en la ignorancia, que es absolutamente inútil y que sólo alimentar el ego . Olvídelo. Olvídese de todo lo que se conoce a usted o que le da la impresión de ser conocido, que es peor. Del mismo modo, si te pregunto de qué color es la respuesta científica para definir una longitud de onda, la respuesta del artista es el de definir las emociones, etc, etc. Pero, ¿es que nadie sabe a ciencia cierta de qué color? De nuevo, esto es sólo una proyección. Hay una necesidad visceral, en el ego (la misma necesidad, de diferentes colores, son en el Sí mismo): quieren reducir todo a un conocido. El Absoluto no se conoce o no puede ser conocida. Sólo se puede vivir. Esto es, cuando cada vez cualquier proyección, este es el momento en que todo dejará de identificarse con un cuerpo, una historia, una vida pasada y un mundo. Pruébalo y verás. La única cosa que hacer, el único logro es el que te da para ver que no hay nada que hacer. La liberación es eso.

Pregunta: ¿Si se me permite decir: "Yo soy absoluta", ¿qué debo hacer en este momento?
Para que lo haga, pero quitar el "si". El ego siempre va a asumir y siempre poner un "si", porque se trata de anticipar, comprender. No se puede entender y no se puede prever y que puede suponer incluso menos.

Pregunta: Si no hay nada que hacer, ¿por qué el Absoluto no puede ser más "automático"?
Debido a que la fuente (el Absoluto) respetar lo que usted cree, lo que piensa y no puede interferir. El Absoluto está siempre presente. Pero no es esto a usted, el momento en que se vacía, y no antes. El Absoluto (si se puede suponer, lo cual es absurdo) que puedan depositarse todos los costos, para restaurar su Verdad Absoluta, entraría en conflicto con la negación. Todo el mundo (todas las conciencias adjunto) que aceptan el libre albedrío, son libres para vivir. Como el tiempo que quieran permanecer en la experiencia, en la proyección, que son gratis. El problema relacionado con el parto, es que todas estas creencias y los deseos de la experiencia, se ha construido un muro, más resistente al agua, que, en parte, a desmoronarse. El Absoluto ya está ahí, por supuesto, más allá de cualquier falsificación y la manipulación. Ninguna vida puede ser revelada sin este principio de respeto. Pero es la conciencia que se ha distanciado, a continuación, el Absoluto, el juego de la falsificación. Hazte autónomo y ser liberado, que está más allá de la noción de culpa (en sí mismo como la Tierra o en el otro) y también trasciende cualquier noción de responsabilidad. El Absoluto no es una conciencia que sea.

Pregunta: ¿Es esto lo mismo que decir: "Yo soy el Absoluto" y "Yo soy"?
No. "Soy un" conduce a la Ser, la experiencia de la iluminación y la realización. Sin embargo, el Absoluto, como hemos visto, no tiene nada que ver, de cerca y de lejos, con la iluminación, con el Director, o con el auto, ya que el Absoluto es, si puede decir, el no-yo. Es la pérdida de todo sentido de individualidad, de cualquier personalidad, cualquier lugar en un cuerpo, en un tiempo en el espacio. Lo que el ego no puede ni siquiera imaginar, ni siquiera yo. Por lo tanto, siempre el "yo soy un" sólo conducirá a lo Absoluto. El Yo nunca conducen a lo Absoluto. Introduzca pesar de que las palabras que usa (como en una pregunta anterior que implicaba el absoluto) es una herejía y se limita a reflejar el error de la visión, el malentendido, ya que de todos modos, no puede haber ningún entendimiento con respecto a lo Absoluto.

Pregunta: si el Absoluto viene a nosotros, lo único que puede "hacer" es atreverse a renunciar a él?
Nunca se dijo que. Atreverse a ser absoluta, sin atreverse a abandonar el Absoluto. Es el abandono de uno mismo. No mezcle las palabras. No añada más palabras. Atreverse a ser absoluta, sin atreverse a abandonar el Absoluto. ¿Cómo podemos abandonar la absoluta? No podemos abandonar el Ser mismo. Nos entregamos a la Luz, la luz de la inteligencia, quien creó el Despertar, que construyó el Ser, el cuerpo de la esencia, a través del proceso que han experimentado o leer. El Absoluto es, de alguna manera, una deconstrucción final de todo lo que fue construido. Atreverse a ser absoluto, no tiene nada que ver con atreverse a abandonar. El abandono de uno mismo no tiene nada que ver con eso.

Pregunta: ¿Es correcto pensar: "Yo opongo a la vibración"?
Vibración ¿Cómo podemos hablar? Usted no es el Kundalini. La ola de alzas de vida, se activa una vibración muy intensa (a veces doloroso o vergonzoso) de este cuerpo. No eres ni el cuerpo ni la vibración de este. Ya no estamos, en esta ocasión, en una réplica, pero en el aspecto de la trascendencia. Sólo cuando (y algo metafóricamente) que lo supere, sí, se pasa la puerta. Y después te das cuenta de que sólo entonces no hay ninguna puerta. Pero no antes. Denegar la puerta, antes de que fuera aprobada, no significa nada.

Pregunta: ¿se ríen de el miedo del ego para hacer una pregunta, es que para acercarse a la absoluta?
Del mismo modo que no puede el Absoluto, que no se acerque. Fue él quien se acerca desde el momento en el ego o el yo, ha sido de alrededor, por así decirlo, de su propia pregunta, sobre su propia existencia. En ese sentido, sí, desde su perspectiva, se acerca a lo Absoluto. Las percepciones, incluso pelucas (intenso, presentes en algunos de ustedes) son, de alguna manera, una premonición, una anticipación, la sala de espera (aunque esto en realidad no existe) de lo Absoluto. Se trata de un estímulo.

Pregunta: ¿Sería posible tener una visión general de lo que debe hacer o no hacer?
El resumen se le dio, y expresó su gran amigo (nota del editor: Una intervención AMIGO del 12 de abril de 2012). Lo importante es que nunca la síntesis o análisis, sino la integración, que es en realidad una desintegración.

Pregunta: lo que nunca debería ser refutada?
Todo lo que se sabe que ser refutada. Lo único que no puede ser refutada, es el Absoluto. Precisamente: lo único que rechaza el ego. Recuerda que no refutar la negación o la negación, pero está claro que perciben que es sólo una verdad relativa, sin coherencia ni tiempo. Esta es una desidentificación, una participación que no y el cese, de alguna manera, para hacer proyecciones.

Pregunta: ¿Cómo puedo ver una diferencia y la refutación del "no"?
La refutación tiene un aspecto más profundo, porque se puede negar algo sin entenderlo. La refutación no es necesariamente un entendimiento, pero es, ante todo, una lógica elemental. ¿Cuál es refutar, es lo que se conoce, porque limita. El Absoluto no se conoce ni se limitan, por lo que es necesario eliminar lo que se conoce y limitado. Así que sólo los restos absolutos. Este es el principio de la investigación, como se explicó en su caso. No le pida a la cuestión de lo Absoluto. No hay que esperar, incluso haciéndose estas preguntas, entender al Absoluto. No te preocupes por el Absoluto, ya sea: está ahí. Stick a refutar lo que él no es, es decir lo que sabe. Y deja que haga lo que quiere este cuerpo para vivir. Cualesquiera que sean sus actividades, que no le concierne.

Pregunta: decir "Yo soy absolutamente" tiene el mismo efecto sobre el ego que una refutación?
Es diferente. Refutar es un proceso activo. "Estoy absolutamente" no es ni un proceso ni una afirmación. Además, si usted pronuncia esta frase: "Estoy absolutamente", sin ser, verá muy pronto la mentira. Atreverse a ser absoluta es el ser. Si esto es cierto, no hay mentira. No es, tampoco, bueno, no hay ego y que está presente en el concurso. El ego siempre se negará a pronunciar la simple frase. Pruebe y vea. El ego siempre va a aceptar la impugnación, ya que es en realidad su único curso de acción: sí / no, bueno / malo, verdadero o falso. Todo lo que hacemos es movimiento, de alguna manera, la conciencia, de modo que el yo se, a sí mismo, solo, sin sentido. Lo que le permite negarse a sí mismo, que para él es intolerable. En ese momento, el "yo" aparece. Haga lo mismo, el "yo" va a vivir, también, como intolerable. A continuación, el no-yo aparezca. Siempre estuvo ahí, pero el principio mismo de la impugnación dará lugar a la absoluta naturalidad. Cuando digo que el plomo es que todo lo demás que permite eliminar el Absoluto que siempre estuvo ahí, para estar allí. No hay movimiento, no hay movimiento, no hay camino, no hay una meta. Eso es lo que te hace descubrir la refutación, tanto de lo que se conoce del ego, conocido como el logro.

Pregunta: ¿Qué es más potente para refutar lo que soy?
En la medida en que no eres lo que piensas, lo que ves, lo que sientes, lo que usted percibe, por no hablar de la historia en este cuerpo. ¿Qué hacer? Allí, como se ha dicho, una desidentificación pre convincente.

Pregunta: Durante la alineación de la vibración fue extremadamente alta en el pecho, un sonido estridente envolvía todo el cuerpo, apareció un enorme agujero en el borde Ki-Ris-Ti. ¿Qué era?
Los golpes en la puerta del Absoluto. El vacío se ha creado. Las condiciones iniciales (si se les puede llamar así) se han cumplido. El vacío es lo suficientemente baja, casi en su totalidad vacía. Incluso esto se debe olvidar. No se enfoque en la vibración. Vívelo, pero no eres eso. No lo niegues porque está ahí. Y que haya hermosa refutarla, no va a desaparecer cuando llegue (por así decirlo) en esta etapa. Cuando la vibración es intensa, incluso violenta, como lo describe el GEMMA Estrella, la instalación, usted, un mecanismo particular de éxtasis y Intase, así como la inmovilización, es decir, como usted sabe, el testigo el Absoluto. Por supuesto, incluso en el éxtasis, sea cual sea su duración, permanencia o irregularidad, esto no le da patente de corso, para establecerse, de forma permanente, en los territorios no autónomos. Es decir que el Absoluto está allí. Debido a que toma, de nuevo, al parecer un cierto tiempo para llegar al punto de inflexión, el punto de inflexión, es decir, establecer plenamente la trascendencia. A partir de ese momento no, ¿tiene más de eso. De la misma manera que la inteligencia de la Luz se ha pronunciado, la ola de la vida es en el trabajo, hasta que se la ola de la vida, es decir, el Absoluto. El Absoluto se puede conocer, sólo puede ser vivida. No puede, por tanto, lógicamente, que la ola de la vida es el Absoluto. Pero la ola de la vida es la traducción, ¿dónde estás.

Pregunta: mi cuerpo se contrae. ¿Por qué?
Es su razón por la que pasarán a algo? Allí se quedarán atrás. Es la mente y el ego quiere incansablemente entender. Mientras haya la más mínima inclinación de querer entender, que no puede ser absoluta, simplemente porque no es la cuestión. Permanezca quieto y estar en paz, es aceptar el abandono de sí mismo, se atreven a ser absoluta. El Absoluto establecido que si lo haces no queda nada. El ser absoluto, que puede significar lo que está sucediendo en este cuerpo? Es un espectáculo. El cuerpo es una marioneta. Así que hay un hilo que tiende, que se rompe o se suelta, no tiene efecto en lo absoluto. Sea testigo de la ola de la vida le ha servido como importante, no para usted, pero por la ola de la vida misma. Por contra, se traducirá en otra cosa (en su camino y sus efectos) no tiene sentido. Veteranos como usted ha dicho, los viajes son reales. Y si se preguntan unos a otros, se refuerzan estos viajes, pero vas a salir de lo Absoluto. No te preocupes por eso. ¿Te importa saber dónde están los uréteres, para ir al baño? ¿Te interesa saber cómo caminar, una vez que el aprendizaje se realiza? No, usted camina. Es lo mismo con la ola de la vida. No hay que confundir el análisis de los mecanismos, con vivir los mecanismos. Por otra parte, para analizar un cuerpo, como se ha hecho por la anatomía, se hizo necesario que este cuerpo está muerto. Este no es el propósito de la ola de la vida, ¿no? Así que deja de hacer lo que se está muriendo.

Pregunta: ¿Cuándo usted se siente las vibraciones, se puede decir: "Yo no soy esa vibración"?
Se puede decir tantas veces como quieras, nunca va a desaparecer. Se trata del abandono de uno mismo, en ese momento. Lo mejor es, en efecto, como se ha dicho, estar en silencio. ¿Te preocupas de nada, es el doble. No importa el doble. No te preocupes por nada. Haz lo que tienes que hacer sin involucrarse, pero hazlo. Hablo de las actividades ordinarias o los producidos por el alma. No se refieren a que más de lo que sucede en el nivel de vibración. Ya no estamos, por así decirlo, en esa etapa, final, que precede a la desaparición de cualquiera de las fases en un proceso de refutación o negación o aceptación. Es en estos momentos que lo más importante es, sin duda, el yoga de la Eternidad, que puede resumirse de la siguiente manera: no hacer nada, mantener la calma, estar en paz. Y eso es todo. Usted es absoluto.

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