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viernes, 8 de junio de 2012

BIDI


BIDI - 2

16 mai 2012
Question : Je ne suis pas encore parvenu à extraire ma conscience du sommeil de rêve. Elle reste emprisonnée dans des vécus de ma personnalité. Que dois-je vivre ou comment m'y prendre ?
Qui travaille pendant que tu rêves ? Quand tu dors, sais-tu que tu dors ? Il te faudrait, pour cela, rester lucide. Poursuivre la dissolution est, justement, demeurer lucide, ne plus être dans le rêve (ce que certains appelle Turiya) qui n'est pas l'Absolu. Du point de l'Absolu (si tenté que je puisse parler ainsi) l'état de veille ou de rêve ne change rien. Ils sont des illusions, l'un comme l'autre. Ta vie passe, ton corps passe, le rêve passe, ce n'est donc pas éternel et aucunement lié au je suis. Turiya (ou le je suis, la Présence) est une étape. C'est ce qui est construit au-delà de la personnalité et qui doit s'effacer, par déconstruction ou plutôt dissolution, au moment opportun. Si ta conscience, ainsi que tu le vis, est piégée dans cette réalité, cela signifie simplement que le moment, dans le sens linéaire, n'est pas venu. Dans ce qui t'a été dit (de poursuivre un travail de dissolution), est-ce qu'il t'a été donné une échéance ? Non. La conscience va vivre, dans ton cas, ce qui est à vivre, pour elle, avant de disparaître. L'attachement, de ce que tu es, à certains modèles de croyance, t'enferme aussi sûrement que le reste. As-tu connu le Christ ? L'as-tu vu ou est-ce juste une croyance ? Je pourrais te parler de Krishna ou de Bouddha : les ai-je rencontrés autrement que par leurs écrits, autrement que par leurs croyances, autrement que par des religions ou au travers d'un idéal, d'une histoire ? Il te faut, même, tuer cela. Non pas de manière active, parce qu'il n'y a rien à faire disparaître, mais simplement réfuter, là aussi. Aller au-delà de cela. Tant que tu adhères à quoique ce soit d'autre que l'Absolu, l'Absolu est fermé pour toi parce que la croyance t'en éloigne. Le Christ est Turiya. Il est un modèle mais, comme cela a été dit (même par Bouddha) : à un moment donné, tu dois tuer le modèle. Le seul obstacle est là.

Il y a, à travers l'adhésion à une croyance, un idéal à poursuivre. Cet idéal à poursuivre t'inscrit dans un temps et le temps semble long. Supprime l'idéal, il n'y aura plus de temps. Supprime la croyance, tu n'auras plus besoin de temps. C'est les croyances qui empêchent la dissolution, fût-il ton modèle le plus idéal, fût-il rencontré en rêve, fût-il rencontré de manière mystique. Parce que ceux qui le rencontrent, réellement, de manière mystique, n'ont qu'un objectif : fusionner, se Marier avec lui (ou avec elle, si c'est une autre entité). De là, naît la dissolution. Comme vous l'ont dit les Anciens : Communion, Fusion et Dissolution, dans cet ordre là, au sein de Turiya. Donc tu ne peux pas considérer un modèle comme extérieur à toi. Tant qu'il est considéré comme un idéal extérieur, un modèle à acquérir, tu entretiens la Communion, tu empêches la Fusion et encore plus la Dissolution. Voilà l'obstacle. Oublie tout : tous les modèles, tous les cadres, toutes les croyances. C'est la seule façon de vivre la Dissolution. Ou alors fusionne avec le Christ, ou alors fusionne avec ton père, ou alors fusionne avec ta sœur, mais fusionne avec quelque chose afin que cela n'ait plus d'existence extérieure à ce que tu es. Là, tu vivras la Dissolution, mais pas avant parce qu'il y a persistance de l'idée de quelque chose d'extérieur, qui a une existence autonome, à l'extérieur de toi. Mais comme l'ont dit, même les Archanges : le monde est en toi. Les Archanges sont en toi, je suis en toi, parce que tu es absolu. Tant que tu mets une distance dans un rôle ou une fonction, extérieurs à toi (dans le Christ, dans ton père, dans ta sœur ou dans qui tu veux), il y a une distance et donc il ne peut exister la moindre Dissolution. Il ne peut exister que la persistance d'un niveau. L'Absolu n'est pas un niveau. C'est simple, là aussi. Tant qu'il y a projection en un idéal, religieux ou autre, vous ne pouvez être vous-même, même avec ce qui vous a été nommé le Double. Le Double n'est pas fait pour être vu, il est fait pour se Dissoudre. C'est une aide à l'Absolu mais ce n'est pas une finalité parce que les deux sont les mêmes. Ne projette rien à l'extérieur. Ce que tu Es n'a pas à être projeté : c'est déjà en toi (même le Christ, même ton père). Il n'y a rien d'extérieur à ce que tu Es. Ce qui est extérieur est une simple projection de la conscience, un rêve, au même titre que l'état de veille. Si tu acceptes cela, la Dissolution est acquise parce qu'elle a toujours été là. C'est simplement ton regard, ta façon de voir, ton point de vue, issu de tes croyances ou de tes affects. Il n'y a rien d'autre que cela. C'est le seul obstacle.
Question : Je vis des états chaotiques. La réfutation me permet de prendre une distance mais le mental, les émotions et la volonté sont toujours très présents. Comment demander l'aide des Etoiles, des Anciens ou des Archanges sans en faire des sauveurs extérieurs ? Comment être en Communion avec eux sans que ce soit une projection de mon mental ?
Il faut d'abord que tu acceptes qu'il n'y a pas de personnalité, qu'il n'y a rien d'extérieur. Qu'est-ce qui a besoin d'aide si ce n'est, comme tu l'as dit, la personnalité qui a besoin d'un sauveur ? Mais à partir du moment où il n'y a pas de personnalité, qui y aurait-il à sauver ? Qui y aurait-il à aider ? Change de vision puisque tout est déjà en toi, absolument tout. Là aussi, n'imagine pas quoique ce soit d'extérieur à toi créant une distance, encore plus grande, entre ce que tu Es et ce qui se projette. Le chaos est un très bon signe parce que le chaos signe une réorganisation, au-delà de tout ordre, dans la Liberté. L'apparence de la personnalité passe par sa propre mort. La Lumière Dissout la personnalité, qui n'a aucune existence. Ne donne pas poids à ce qui n'existe pas. Tu n'es ni ton mental, ni cette personnalité. Tu les crois. Là, est le problème. En tant que témoin de la réfutation, tu saisis parfaitement d'où viennent les plaintes. Comment ces plaintes peuvent-elles être agissantes, même en les voyant, si tu ne leur donnes pas ton accord ? Et cet accord vient de l'incapacité temporaire à ne pas être cela. Il y a une culpabilité. Quelle est cette culpabilité ? Celle du mal faire, celle du mal être, attribuée à des causes extérieures, à une causalité, à des évènements survenus. Parce qu'au travers de cela, s'exprime quoi ? Le sentiment (je dis bien sentiment parce que ce n'est pas vrai) de solitude. Le besoin de complétude. La recherche, à l'extérieur, d'une complétude, pour mettre fin à une solitude qui n'existe pas. C'est la personnalité qui t'emmène, à travers ses déboires, à croire que tu es seule. Les affects et les sentiments qui remontent, regardés pour ce qu'ils sont : quelque chose qui passe et qui n'est pas toi. Ne confonds pas la réfutation avec le fait de ne pas les voir. Réfuter conduit à voir les choses et les éléments, tels qu'ils sont, mais pas à ne plus les voir. Observe patiemment que, souvent, tu te sers de la réfutation, justement, pour ne pas voir. Si tu acceptes cela, la personnalité aura moins de poids, le mental encore moins.
C'est le mental qui te fait croire qu'il y a solitude, qu'il y a isolement, qu'il faut chercher à l'extérieur. Même le Double est en toi, sans cela comment pourrait-il exister dans le Christ ou dans quoique ce soit d'autre ? Il n'y a que l'Absolu. Ne te laisse pas décourager par ce que te dicte le mental, par ce qu'il te fait croire. Il voudrait que tu sois cette personnalité qui souffre, qui manque, qui est isolée. Ce n'est pas vrai.
L'abondance a toujours été là, tout a toujours été là. Ne crois pas ce que te disent tes affects et tes sentiments. Ne t'en détourne pas mais accepte de les voir : ils sont là mais ce n'est pas toi. Réfuter, n'est pas les dénier. Tu n'es rien de ce qui passe. Tu peux être sûre et certaine que quand quelque chose passe (comme une humeur ou un sentiment) cela n'est pas toi mais c'est secrété par ce sac de nourriture, ou par ta propre histoire, par tes propres blessures. Mais tes blessures ne sont pas les tiennes, même si elles te sont propres. Elles s'inscrivent dans autre chose que ce que tu Es, dans, justement, cette personnalité, dans, justement, ce mental. Si tu te tiens tranquille, sans demander une aide, sans projeter une aide, sans imaginer que quoique ce soit ne peut venir de l'extérieur, que quoique ce soit puisse venir de l'extérieur, si tu te penches sur ce que tu Es, sur l'Intérieur, tu vas t'apercevoir que toutes tes ressources sont là et ne dépendent ni du poids d'une blessure (réelle ou supposée), ni d'un quelconque manque, ni d'une quelconque aide extérieure. Comprends et saisis que, déjà, tout est en toi, sans aucune exception. Tu n'es pas remplie de souffrance, de sentiments et d'affects. Tu n'es remplie par rien d'autre que ce que tu Es : Absolu. Tu es la source de toi-même. Il n'y a pas d'amour extérieur. Sois Amour. Ne te pose pas la question de ton passé, de tes blessures, de tes manques : ils n'existent pas. Et l'aide est déjà là parce qu'elle n'a pas à venir : elle est déjà installée. Laisse se dérouler ce qui déroule. Laisse se dérouler. Tu n'es pas ce qui se déroule. Reste au centre, sans demander et sans projeter, sans va et vient, immobile, là où, pour l'instant, tout te semble vide et tu verras que ce n'est qu'un regard de l'ego parce qu'en réalité, c'est là qu'est l'Absolu : le plein. Mais, pour cela, accepte de voir ces sentiments, ces impressions, ces émotions, ce sentiment de vide. Vois-les mais ne les reconnaît pas : ils ne t'appartiennent pas. C'est très simple mais, bien sûr, la personnalité ne veut pas du simple. Elle envisage des prières, des demandes, des supplications parce qu'elle a peur d'être insignifiante. Et elle l'est. Donc elle n'a pas à avoir peur de ce qu'elle Est. Tu n'es pas insignifiante. Tout ce que tu Es est signifiant, au-delà de tout sens et de toute signification de ce monde. Tu es l'éternité.
Question : l'expérience et le choix de vie que l'on fait peut nous amener vers l'Absolu même si nous ne sommes pas ce que l'on fait ?
Non. L'Absolu ne dépend d'aucun choix, d'aucune vie, d'aucune réalité de ce monde. L'Absolu est le même, que cela soit sur la croix du Christ, que dans l'enfant qui meurt de faim, que dans le vieillard qui meurt de vieillesse, ou que celui qui meurt d'une balle. Il n'y a aucune différence. Croire qu'il y a des circonstances de cette personnalité, précises (de cheminement spirituel ou autre) qui favorisent l'accomplissement, si tenté que l'on puisse parler ainsi, l'établissement, de l'Absolu, est une erreur. Croire que parce qu'on va être à l'abri de tous les besoins (affectif, financier, moral, familial, social) va suffire à être Absolu est une dramatique erreur. L'Absolu ne dépend d'aucune condition de ce monde. C'est un leurre. Il n'y a que la personnalité qui peut être satisfaite dans le fait de ne manquer de rien, d'argent, d'affect. L'Absolu n'a que faire de tout cela. Il n'y a aucun âge, aucune condition, aucun karma, aucune situation, qui s'oppose à l'Absolu, si ce n'est vous-mêmes, au travers de justifications, d'alibis (qui ne tiennent pas), d'histoires spirituelles (qui ne tiennent pas), de peurs cachées, d'évidences cachées. Il n'y a pas de chemin vers l'Absolu, aucun. Il n'y a aucun moyen de s'approcher de l'Absolu par une quelconque circonstance de vie. Le Soi peut vous donner l'apparence mais même l'Abandon du Soi est nécessaire et indispensable. Je dirais même qu'à la limite, il serait beaucoup plus facile pour celui qui n'a pas de résistance. C'est-à-dire, celui dont le corps s'en va, dont les possession s'en vont, a plus de chance de dévoiler l'Absolu. Il y a certains pays où des êtres ont tout abandonné et n'ont jamais rien trouvé. Il y a des pays où des êtres n'ont jamais rien demandé et pourtant ils sont Absolu. Ne voyez pas cela comme une progression. Ne vois pas cela comme quelque chose qui facilite ou évite. Ce n'est pas vrai. Seul le mental peut croire cela : qu'il y a de circonstances favorisantes. C'est faux. Seul l'Abandon du Soi, le changement de regard et de perspective, le non attachement, réalisent la Vérité de l'Absolu, qui a toujours été là.
Croire qu'il y a une distance, crée la distance. Croire qu'il y a un chemin, crée un chemin. Croire qu'il y a indignité, vous rend indignes. Supposer que cela est loin, le rend loin. C'est pourtant, là aussi, extrêmement simple : ne supposez rien, n'acceptez rien. Laissez toute la place. Disparaissez. Tant que vous croyez exister à travers un attachement, une recherche, un affect, vous vous éloignez de l'Absolu. Lui, il a toujours été là, il n'a jamais bougé : c'est vous qui avez bougé. C'est vous qui vous êtes éloignés, dans cette personnalité, dans l'illusion, dans le soi.
Quand nous vous disons de rester tranquilles et de ne rien faire, occupez-vous de votre personnalité, si vous voulez (à l'améliorer, à la pacifier), mais vous n'êtes pas cela. Vivez le Samadhi, si cela vous fait plaisir, mais vous n'êtes pas cela non plus. Au travers de mes mots, j'espère que vous saisissez un peu plus ce qu'est la réfutation : ni ceci, ni cela. Qu'est ce qui vous empêche de pratiquer ? Qu'est ce qui vous empêche de mettre en œuvre ? Qu'est ce qui vous faire croire que c'est un jeu mental ? Qu'est ce qui vous dit que c'est stupide ? Posez-vous la question. Si ce n'est votre propre ego, votre propre mental, qui va vous dire, à tout bout de champ, que « ce n'est pas vrai », que « ça n'existe pas », que « ce n'est pas possible », que « c'est trop simple, trop facile ». Réfutez et vous verrez. Réalisez votre enquête mais ne cherchez pas l'action / réaction de ce monde : elle est sans fin. Ne cherchez pas de cause, en définitive à ce qui n'a jamais eu de cause. Il n'y a pas de début. Il n'y a pas de fin. C'est une illusion totale. Vous êtes Éternels, Éternité. Éternels : toujours présents. Tout le reste n'est que des accessoires, des pirouettes, des spectacles et des escroqueries. Voulez-vous jouer à être un escroc ou voulez vous être Vrais et Transparents ? Voulez-vous être une Joie qui ne disparaît jamais, une béatitude qui n'est pas fonction des circonstances, de vos amours ou de vos désamours, de votre argent ou de ne pas votre argent, d'un toit ou pas de toit ? Vous n'avez rien besoin de prévoir parce que votre vie se déroulera de la meilleure des façons, sans aucun obstacle, dans l'Absolu. Là est la seule cause des souffrances apparentes, des manques apparents, des blessures apparentes, des maladies. Il n'y en a pas d'autre. Si vous laissiez ce sac de nourriture évoluer pour lui-même, en l'entretenant, sans vous poser de question, il irait très bien. De la naissance à la mort, il vivrait ce qu'il a à vivre. C'est parce que vous êtes identifiés à lui qu'il est malade, qu'il est mal et souffrant, autrement, il n'a aucune raison valable d'être altéré. Essayez cela : réfutez ce corps et vous verrez qu'il ira parfaitement bien. Parce que l'ego va vous faire croire que réfuter, c'est renier, c'est rejeter : c'est faux. C'est ce que vous dit votre mental, sans arrêt. Il n'y a que ça qui vous empêche de pratiquer la réfutation, ou alors de vous la faire envisager sous un côté narquois : « tout est illusion ». Et de rire mais pas du vrai rire, de celui de l'illusion qui se moque. Il n'y a pas d'autre obstacle que vous-même. L'Absolu n'a pas besoin de vous. Il est ce que vous Êtes. Saisissez cela. Tout le problème n'est qu'une question de placement, de point de vue, comme je l'ai dit : c'est une erreur de point de vue, une erreur de vision. C'est une vision qui est sujette à votre histoire, à vos affects, à vos émotions, à votre mental, à tout ce qui est illusoire. Dépassez cette vision. Vous n'êtes pas ce qui voit. Il n'y a rien à voir, à ce niveau. Si vous faites silence de tout ça, vous constaterez, avec stupéfaction, que l'Absolu est déjà là. Il n'a pas à apparaître, excepté pour la personnalité qui s'en va. Là, est là Dissolution. Là, est la facilité. C'est sortir de la complexité. Sortir de la difficulté. Sortir de la connaissance, la fausse, celle qui dépend d'un acquis, d'une croyance, d'une réflexion, d'une supposition. L'Absolu est connaissance. Elle fait de vous un Libéré. Pas la connaissance de la personnalité, qui ne vous libèrera jamais, qui vous enfermera, de plus en plus, dans l'action / réaction, dans la souffrance, dans la douleur. Soyez Libres. Osez être Libres. Qu'est-ce qui vous en empêche ? Bien sûr, il y a des règles et des lois qui s'appliquent à ce monde mais vous n'Êtes pas cela. Vous êtes l'Absolue félicité de la Lumière Éternelle de l'Amour. Rien de plus et rien de moins. C'est juste que vous avez cru à votre personnalité, à votre rôle, à cette vie, à son début et à cette fin.
Question : Ayant fait l'expérience de l'Onde de Vie, pouvez-vous me dire s'il y a beaucoup de pelures d'oignon à enlever pour arriver à l'Absolu ?
Mais si tu enlèves toutes les pelures et toutes les couches de l'oignon, qu'est-ce qui reste ? Rien. Il n'y a rien à enlever. Il y a juste à voir, à réfuter. Réfuter n'est rien enlever. C'est accepter l'Absolu, inclusif, en totalité. Il n'exclut rien mais, simplement, l'illusion est vue pour ce qu'elle est : une illusion. Si l'Onde de Vie est là, ne t'occupe de rien, ne fais rien, reste tranquille, surtout ne t'occupe de rien. Tu seras toujours beaucoup plus maladroite que l'Onde de Vie. Tu seras même ridicule par rapport à l'action de l'Onde de vie. Devient simplement cette Onde de Vie, c'est tout. Ne cherche rien d'autre. Ne te pose pas la question d'autre chose. Réfute ce qui arrive et tu verras, par toi-même, que plus rien n'arrive. C'est la Libération. C'est la Liberté. Il n'y a rien à imaginer travailler. Il y a simplement à accepter ce qui se manifeste, ce qui émerge, ce qui sort. Mais ne va pas chercher par toi-même, sans ça, tu entretiens la dualité et tu détournes l'Onde de Vie. Croire qu'il y a quelque chose à purifier, quelque chose à se débarrasser, est une illusion, là aussi. Accepter cela, c'est ne plus être la personnalité : c'est laisser œuvrer l'Onde de Vie, en totalité. C'est ne pas être affecté, c'est ne pas croire qu'il y a un travail, c'est ne pas imaginer ou supposer qu'il y a des couches d'Ombre. C'est dépasser toutes ces notions de croire qu'il y a une pacification à réaliser, qu'il y a un travail à mener, qu'il y a une purification de l'ego ou un allègement de l'ego ou du Soi. C'est sortir de tous ces jeux stériles, toutes ces escroqueries spirituelles, justement.
Vous êtes Libérés parce que l'Onde de Vie a été Libérée. Ne vous préoccupez plus de toutes ces ombres, elles n'existent pas. Ne leur donnez pas plus de poids et de consistance. Changez de regard. Il n'y a rien de bien, rien de mal, il n'y a que l'Absolu, Lumière, Amour, Vérité. Tout le reste ne sont que des fantasmes morbides. À vous de décider. Vous croyez-vous ce sac de nourriture ? Vous croyez-vous ces blessures ? Vous croyez-vous cette histoire ? Vous croyez-vous ces souffrances, ces pertes, ces manques ou êtes-vous réellement absolus ? Montrez- le. Prouvez- le. Mais le prouver n'est pas une action, encore moins une démonstration, parce que c'est ce que vous Êtes, tous. N'adhérez plus à vos propres poids : ils n'existent pas. Il n'y a pas d'autre solution, il n'y a pas d'autre Vérité, à part l'ultime. Et si vous avez soif d'expériences, alors menez vos expériences, dans le Soi ou dans la personne, à vous de voir, au-delà simplement du désir, au-delà même du besoin. Restez-vous dans l'apparence et le manque ou rendez-vous dans ce que vous Êtes, cette plénitude absolue, là où il ne peut exister aucune peur et aucun manque ? À vous de voir.
Question : Vous irez là où vous porte votre Vibration, ne faites rien et restez tranquilles, sont des indications que je reçois sur le moment avec une certaine compréhension et qui deviennent de plus en plus confuses. Le doute et la confusion se manifestent invariablement. Comment le je fait le sabotage ?
Parce que tu lui donnes du crédit. Tu le laisses jouer. Tu l'autorises à jouer. Tu l'autorises à s'interroger. Tu l'autorises à douter.
Est-ce que tu Es cela ? Quelle conclusion ? Dans les phrases que tu as énoncées, c'est très simple. Tu iras là où te porte ta Vibration. Ta Vibration te porte donc à t'établir dans quelque chose. Il y a donc un déplacement, que vous avez nommé Ascension. L'Absolu n'est pas Vibration. Ça veut dire que vous n'irez nulle part puisque vous y Êtes déjà. La confusion vient de là. Pour le je, il n'y a pas de problème : il disparaît totalement dans ce qui est là. Cela ne change rien que la disparition du je soit le fait de la mort du sac de nourriture ou de la mort du monde : c'est la même chose. Si vous y voyez une différence, c'est que vous êtes insérés dans ce monde et que vous êtes attachés à ce monde qui est projection et maya, illusion. Sans ça, cela ne doit vous poser aucune problème, aucune recherche, aucune appréhension pour quiconque. Ce qui se pose problème et qui a une appréhension, c'est l'ego, qui doute, qui n'existe que par le monde, que par la projection dans l'illusion. La Vibration, c'est la certitude d'aller où elle vous porte, dans le Soi, dans ce qui est nommé des Dimensions, des planètes, des systèmes. Celui qui dépasse la Vibration est Absolu, ici-même, dans cette forme. Il n'y a pas de principe d'incarnation qui tienne et qui soit limitant, sauf pour celui qui est dans l'ego et qui y croit. La confusion vient de là. C'est le mental qui crée la confusion. Dès l'instant où tu cherches à comprendre des phrases comme celles-ci, sans les vivre, bien sûr que cela reste mental. Il ne sert à rien de les lire, si ce n'est pas vécu. Vous n'en trouverez aucune satisfaction. De même, j'encourage ceux qui voudront me lire ou m'écouter, ailleurs qu'ici, qu'ils arrêtent tout de suite car cela ne sert à rien, pour leur ego, pour leur mental, pour leur Soi. Seul l'Absolu m'intéresse. Si l'Absolu ne vous intéresse pas, alors passez votre chemin. Restez Libres de croire ou d'être ce que vous voulez mais si mes paroles vous dérangent, si ma voix vous dérange, alors, vous êtes en bonne voie. Si vous ne comprenez rien, alors, c'est parfait. Si tous vos repères volent en éclat, c'est plus que parfait : le fruit est mûr. Mais ne vous fatiguez pas à lire ou écouter ce qui vous dérange, à moins que le masochisme soit une partie de votre personnalité. Ce que je dis n'intéresse pas tout le monde, bien sûr, et encore moins ceux qui sont encore soumis à l'escroquerie spirituelle ou aux dogmes de la personnalité ou au miroitement du Soi. Je ne m'adresse qu'à ceux qui acceptent de ne plus rien comprendre parce que je dis ne peut être que vécu. Comprendre ne sert à rien.
Question : S'il ne sert à rien de se poser davantage de questions, alors dites-moi exactement ce que je dois entendre.Pourquoi voudrais-tu entendre quelque chose ?
Je n'ai jamais dis d'entendre, j'ai dis d'écouter. L'entendre vient après. Tu sous-entends, par là, qu'il te manque quelque chose que tu n'aurais pas entendu. La seule chose que tu ne peux entendre, c'est toi-même. Tu peux t'entendre parler, mais as-tu entendu ce que tu Es ? Ou crois-tu Être ce que tu apparais, dans cette forme, dans ce corps, dans cette vie ? Il n'y a rien à entendre, de même qu'il n'y a rien à attendre, ni à comprendre. L'Être se passe de toute compréhension, de toute attente. La seule chose à entendre, éventuellement, est le Son, ce Son primordial, qui traduit, en quelque sorte, dans ta Conscience, au-delà de l'Unité, le retour au sein de l'Absolu que tu Es, de toute Éternité. En cela, il ne faut plus écouter quoique te dise ta tête, quoique te dise une autorité extérieure, fût-elle la mienne, qui n'a pas plus d'autorité, que la tienne, sur toi. Il faut réapprendre à écouter, et pour cela, il ne faut rien entendre, ni ne se fier à autre chose qu'au Silence, et au Son Ultime, traduisant, en toi, ce qui se révèle et se dévoile et qui, en fait, a toujours été là. Je n'ai donc rien à te faire entendre, car même ce que je te dis, même ce que je te dis à toi, est simplement destiné à te tourner vers Toi, et absolument rien d'autre. Tant qu'il existe une volonté de comprendre ou d'entendre quoique ce soit, cela démontre simplement que l'Attention et la Conscience est tournée vers l'extérieur, essayant d'y trouver quelque chose à entendre et à comprendre. Celui qui comprend est toujours celui qui est éphémère. Celui qui veut comprendre est toujours ce qui est encore plus éphémère. Ce que tu Es n'est pas une compréhension.

Ce que tu Es, est, de toute éternité, dès l'instant où tu conçois et perçois, au-delà de toute conception et de toute perception, de manière médiate, de manière instinctive (dans le sens le plus élevé), ce que tu Es. Tu n'as donc rien à entendre. Il y a juste à Être, au-delà de l'Être, au-delà de la volonté, au-delà de tes sens, au-delà des Vibrations qui te sont perceptibles, au-delà de toute attente. Dès l'instant où tu deviens capable de faire ce Silence de tout ce qui n'est pas ce Son, alors, à ce moment-là, la Vérité éclate au-delà de toute vérité parcellaire et fragmentaire. Le témoin de cela (mais non pas le témoin de toi-même) est simplement une manifestation, au-delà de toute manifestation, dont rien ne peut être dit, dont la Béatitude et l'Extase est l'approche : reflet et témoin incomplet, signant le retour à ton Éternité, à ton Immortalité, à ton origine avant La Source. Dès cet instant, il n'y a plus rien à entendre, il n'y a plus rien à comprendre et encore moins à attendre, parce que tu es arrivé d'où tu n'es jamais parti : tu es sorti, définitivement, de la Maya. Ce que te donne le Maya à vivre, à expérimenter, se fait sans l'intervention de ce que tu es devenu : le Non-être. La Conscience ne peut être effleurée par quoique ce soit, se traduisant, dès cet instant, par la non conscience et le non-Être. Maintenant, toutefois, un corps illusoire, un esprit illusoire, te donnant simplement à témoigner de ce non-être, par la présence de Ce corps, par la présence de ces pensées qui ne sont pas ce que tu es, mais un reflet. Etant reflété, tu donnes à voir, tu donnes à percevoir (à ceux qui ne le sont pas, révélés, à cet instant) une image. Cette image devient comme transparente, ne pouvant, en quelque sorte, être saisie ni appréhendée par celui qui regarde au travers des sens communs, donnant un sentiment d'étrangeté. Et au-delà de cela, débouchant sur une interrogation, sur un refus ou, en tout cas, par la perte d'un équilibre précaire, pour celui qui est installé dans la personnalité ou dans le Soi. À ce moment-là, le travail (qui se fait sans travail), l'alchimie qui se réalise, est engagée, indépendamment de toute volonté, de cette apparence que tu donnes à voir, de ce témoignage que tu donnes, simplement par irradiation du non-être au sein de ce monde, de cette illusion. Ainsi donc, dès cet instant tu peux vivre l'Absolu, tout en maintenant cette forme. Le seul intérêt, si tant est que l'on puisse parler ainsi, est de donner à voir à celui qui ne l'est pas (au travers de la gêne, au travers de l'Amour, au travers d'un changement d'équilibre, quel qu'il soit), la possibilité de se poser la question, même en niant de ce que tu es devenu dans le Non-être. Dès cet instant, l'Absolu permet à celui qui est Non Absolu, installé dans l'éphémère, d'être dérangé, dans tous les sens du terme, œuvrant en lui de manière silencieuse, de par le refus, de par l'Amour ou de par tout autre chose, l'amenant à translater sa Conscience ailleurs, à se poser la question, même, de qui est Conscient, de qui observe et de qui refuse ce qui est montré, donné, à voir.
Il n'y a donc rien à entendre, mais c'est le principe même de l'écoute qui permet de connecter, de manière silencieuse et invisible, au-delà de toute Vibration, de communiquer, en quelque sorte, des éléments de l'incommunicable. La meilleure façon d'écouter cela, et peut-être d'entendre, c'est de faire le Silence de tous les sens, de tout désir, de toute compréhension, de tout Être. Ce qui est à retenir, et ce qui est le plus important, c'est justement ce qui est dérangé. Celui qui est dérangé a plus de chance de communiquer avec l'Absolu. Cette communication n'est pas une communication, ni une relation : c'est une interrogation et surtout le fait d'être dérangé. Il n'y a pas d'autre façon que de bouger les certitudes illusoires de l'ego. Il n'y a pas d'autre façon que de réfuter, au départ, l'Absolu lui-même, pour voir que, finalement, à travers la réfutation des autres éléments, ne peut rester justement que ce qui a été réfuté dès le début. L'Absolu n'est ni perception, ni Vibration, ni concept. Il n'est rien de ce qui est connu. Face à l'inconnu, quelle est la réaction de celui qui croit se connaître, dans le je ou dans le Soi ? C'est le refus, c'est la négation même de ce qui lui est présenté, donné à écouter. De ce principe de non compréhension et d'interrogation découle toute la suite. L'Absolu ne peut être conceptualisé, en aucune manière, il ne peut être approché, en aucune manière, par ce qui est connu, par l'intelligence, par les sens, par la Vibration ou par n'importe quoi d'autre. C'est donc, justement, cet aspect dérangeant qui déplace un équilibre précaire, qui va permettre, le plus souvent, de réaliser cet Absolu qui a toujours été, qui est toujours et qui sera toujours. Quoique devienne ce monde, quoique devienne ce Corps, quoique devienne cette pensée. Là est la seule Vérité. Elle est l'Ultime Vérité, Absolue, Totale.
Question : Je ressens que l'Onde de Vie a reflué en moi. Cela s'est accompagné d'une diminution de la distance que j'avais par rapport à l'hyper activité du mental et aux émotions. Ai-je quelque chose à réfuter ou à chercher en moi ?
Qu'est-ce qui peut refluer ? Je n'ai pas compris le sens de ce mot. Un flux ne peut pas refluer, en ce qui concerne cela. Un reflux signifie un mouvement inverse. Ce qui est monté ne peut redescendre ou alors ce n'est pas monté. Cela ne s'appelle pas un reflux. Dès l'instant où, le mental, le je, ou même le Soi, porte sa conscience (celle du je ou celle du Soi) sur l'Onde de Vie et désire quoique ce soit, celle-ci s'arrête. Tu ne peux posséder l'Onde de Vie, tu ne peux la désirer, sinon, il n'y a pas de reflux, il y a un arrêt, parce qu'à ce moment-là, ce qui a voulu s'accaparer, s'approprier, l'Onde de Vie, n'est rien d'autre que la personnalité. L'Onde de Vie évolue : elle monte, sans aucune intervention de la personne. L'intervention de la personne la fait cesser. Les peurs et les doutes la font cesser. Le désir ne peut la faire réapparaître et re-monter. Là est le sens des mots qui ont été employés : rester tranquille et ne rien faire. Parce que toute action sur l'Onde de Vie qui nait aux pieds du Gourou (c'est-à-dire tes propres pieds, le Sat-Gourou) se traduit, pour toi et l'Onde de Vie, comme un désir de s'accaparer, de s'approprier. Toute appropriation, quelle qu'elle soit, ne fait que faire disparaître l'Onde de Vie. De la même façon qu'il existe des barrages, tout ce qui est doute, tout ce qui est peur, tout ce qui est peur de perdre le je, se traduit par l'arrêt de l'Onde de Vie. Aucune culpabilité, aucune responsabilité à manifester : simplement, là aussi, en être conscient, en être lucide, l'accepter même et l'Onde de Vie renaîtra et remontera. Elle ne peut pas refluer parce que sa nature est de monter et non de redescendre. Il ne peut exister de reflux, il existe simplement un défaut d'alimentation qui se produit dès l'instant où le je intervient.

L'Onde de vie n'est pas un je, encore moins une mascarade. C'est l'Ultime. C'est rétablir ce qui avait été perdu : l'Absolu. Il faut donc faire cesser toute notion de quête, toute notion de chemin, toute notion de quelque chose à acquérir ou à posséder. C'est cela qu'il faut faire disparaître du conscient, aussi bien dans le je que dans le Soi. L'Onde de Vie ne nécessite aucune attention. Vous pouvez faciliter mais non désirer. Vous pouvez permettre mais non demander. La demande ou le désir ne fait que traduire une volonté de l'ego. Ce qui doit se taire, disparaître du devant de la scène, c'est l'acteur. Il n'y a pas d'acteur. À un moment donné, même le spectateur devient gênant parce que le spectateur va troubler ce qui se déroule. Et ce qui se déroule, dont l'Onde de Vie est le témoin, c'est la disparition de la personne, la disparition de l'Individu. L'Absolu prend toute la place, bien sûr, au niveau de l'ego ou de la personne. Cela n'est pas ce sentiment qui effleure, mais bien un sentiment de disparition. Ce qui est intolérable pour celui qui est attaché à sa forme, à son mental, à sa perception. Le flux renaîtra parce que c'est inexorable, au moment où vous n'aurez plus de je, au moment où vous ne pourrez plus manifester quoique ce soit de ce sac de nourriture, parce qu'il n'existera plus, parce que le monde n'existera plus pour la conscience. Donc, ne te pose pas la question de pourquoi cela s'est arrêté, parce que cela va aussi mettre encore plus de distance à l'Onde de Vie et à ton Absolu. Tu peux aussi agir, non pas sur l'Absolu et sur l'Onde de Vie, mais, directement, sur les doutes et les peurs. Cela ne veut pas dire chercher pourquoi il y a ce doute, pourquoi il y a cette peur, parce que le pourquoi s'inscrit dans ton histoire, dans l'adhésion à ton histoire. Il faut simplement regarder, avec objectivité, en face, accepter qu'il y a doute et peur, accepter que tu n'es ni ce doute ni cette peur ni cette personne. C'est le principe de l'enquête et de la réfutation. À ce moment-là, tu n'as pas à te poser la question de l'Onde de Vie, puisque elle a toujours été là. Elle ne s'interrompt pas, sauf pour la conscience, la conscience qui a empêché ta propre Libération.
La conscience est, en définitive, même au sein du je Suis ou du je Suis Un, l'élément freinant parce que dans le je Suis, il y a encore une identité, il y a encore un individu, même si celui-ci n'est plus séparé, mais il n'est pas intégré. Si tu acceptes cela, ce n'est pas la peine d'aller chercher la cause de cette peur, de ce doute, mais bien de regarder cela et de l'accepter pour le transcender, parce que le je lui-même, dans sa totalité, même s'il affirme l'inverse, n'est que construit par la peur. Dès l'instant où tu ne cherches pas de cause, dès l'instant où tu ne cherches pas d'explication, et encore moins de compréhension, simplement d'être l'observateur ou le témoin, cela suffit à l'identification, à la reconnaissance de cette peur, de ce doute. Dès cet instant là, tu ne tournes plus ta conscience, ton je, vers l'Onde de Vie et celle-ci renaît. Comme il vous a été dit, il n'y a strictement rien à faire pour l'Onde de vie. Il y a à faire au niveau de ce qui fait, c'est-à-dire ce corps, ces pensées. Mais la finalité ne doit pas être l'Onde de Vie, sans ça, elle ne naîtra jamais ou ne renaîtra jamais. L'Onde de Vie n'a pas besoin du je ni du Soi, parce que l'Onde de Vie s'élance et traverse le corps, dès l'instant où il n'existe nulle résistance à l'Absolu. Tu ne peux rien faire pour cela tant que le je est présent, tant que le Soi est présent, parce que le je comme le Soi ont toujours voulu contrôler et maîtriser, ce qui est impossible pour l'Onde de Vie. Il y a là un changement d'attitude, un changement de regard, un changement de conscience, qui ne peut être ni conçu ni accepté par le je ou par le Soi. Si tu intègres cela, si tu l'acceptes, alors l'Onde de Vie renaîtra, mais pas avant. Ce qui s'est éloigné, ce n'est pas l'Onde de Vie, c'est toi. Saisis cela, et tout ira bien, parce que tout est bien. La distance n'existera plus pour le je, parce que le je s'effacera de lui-même. Ne le nourris pas, ne nourris pas les doutes et les peurs, reconnais-les, simplement. Le je a toujours tendance à considérer que les peurs et les doutes font partie de ce qu'il est, mais tu n'es pas ce je, tu n'es pas ce doute et ces peurs. Tu n'es rien de ce qui passe et te traverse. Reste tranquille.
Question : La Joie, le jeu, les couleurs, résonnances de mon Enfant Divin, me permettent d'accueillir les expériences en douceur, avec le Cœur. Mais une résistance physique signale un blocage, une mémoire en rapport avec mon divorce. Qu'ai-je à réfuter ?
Mais l'expression même : « mémoire », « mon divorce », prouve que tu es identifiée à cela.
Qui a divorcé si ce n'est le Je ? Est-ce que ce qui se tient immobile, divorce un jour de quoique ce soit ? La souffrance exprimée n'est que le reflet de l'ego, de cette fameuse mémoire qui te montre et te démontre que, quelles que soient les joies de l'Enfant Intérieur, tu demeures, là aussi, viscéralement attachée à ton histoire. C'est cela qui crée la souffrance. La justification de l'Enfant Intérieur, des couleurs, de la Joie et du jeu, est altérée par quoi ? Tu le dis toi-même : parce que tu as donné une consistance à ce qui est éphémère, et donc ainsi, se cristallise, dans ce sac de nourriture, ce que tu lui a attribué : le poids d'une mémoire. Mais la mémoire n'existe que dans le je. Tu es encore tributaire d'une histoire parce que ton corps le manifeste. Et si ton corps manifeste quoique ce soit, c'est que tu participes à ce jeu. Ce qui est resté en travers de la gorge, ce qui fait croire qu'il y a une histoire et une mémoire qui vient altérer ce que tu Es, de toute Éternité, n'est que l'adhésion à ta propre histoire, à ton propre je, à ton propre Soi. Ton corps te montre que tu lui es attaché, viscéralement, sans ça, jamais il n'aurait manifesté la moindre douleur, la moindre souffrance, où alors, cette souffrance quelle qu'elle soit, ne pourrait être vécue comme une souffrance. L'attention et la puissance que tu donnes à ce que tu as vécu (et que tu appelles mémoire qui viendrait briser, soi-disant, l'Enfant Intérieur), n'existe pas. L'Absolu n'est pas l'Enfant Intérieur : il est la Spontanéité, la Transparence. La Spontanéité ne peut être altérée par une quelconque histoire ou une quelconque mémoire. C'est la personnalité qui joue ce jeu, toujours. On peut dire que tu as laissé se manifester quelque chose qui, justement, te permet de comprendre, parce que tu le vois et tu le vis, que l'Enfant Intérieur est bloqué par ce divorce. Et d'ailleurs, tu as dit : « mon divorce ». Saisis-tu ? Tu te rends toi-même tributaire des circonstances extérieures qui ont plus de poids que l'Absolu. Tu as fixé, en quelque sorte, une souffrance. Tu t'es identifiée à ce divorce, au lieu d'y voir autre chose, qui est la Liberté. Il y a du ressentiment, et donc, le corps le dit. Bien sûr, il y a un fautif : le divorce. Bien sûr, il y a un autre fautif : la mémoire. Mais que viennent faire le divorce et la mémoire dans l'Absolu ? L'Enfant Intérieur est-il aussi fragile que cela pour être altéré par une histoire ou une mémoire ? Tant que cela existe, d'une manière comme d'une autre, que tu le veuilles ou pas, cela traduit clairement l'attachement. Vois-le, mais ne mets pas la cause sur, parce qu'il n'y a pas d'autre cause que toi-même, il n'y a pas d'ennemi extérieur à part toi-même. Comment est-ce que celui qui n'existe pas et celle qui n'existe pas, qui ont partagé le même rêve, la même illusion, peuvent souffrir de l'illusion, elle-même, quand elle s'arrête ? Quel est le regard que tu portes dessus ? Le manque et le vide ? Ou la Liberté ? Tout ce qui arrive à cette vie, que tu Vis, a un sens, mais pas un sens au niveau psychologique. Ne t'arrêtes pas à cela. Pas dans le sens d'une mémoire qui cristallise.
Mais même ce que tu appelles épreuve ou souffrance n'a qu'une seule finalité : vaincre les résistances, quelles qu'elles soient. La souffrance n'est jamais une punition. Elle ne vient jamais de l'extérieur, que de Soi. Dès l'instant où tu acceptes et que tu vois cela, de la façon juste, sans jugement, ni de toi, ni de l'autre, il n'y a aucune raison pour que le corps cristallise, il n'y a aucune raison pour que ce qui affecte ce corps, t'affecte. Sinon tu es attachée à ce corps. Que fais-tu de ce qui est nommé l'Amour, de ce qui est nommé le Pardon, de la Grâce, par rapport à toi-même ? Que ne t'es-tu pas pardonné ? Quels culpabilité et ressentiment exprimes-tu et pourquoi ? Non pas dans l'histoire, non pas dans la mémoire, non pas dans une explication, mais bien, réellement, dans ce que tu Es, dans ce qui est troublé et qui t'empêche d'être Libre. Si tu saisis cela, alors tu verras clair, sans justifier la perte d'un Enfant Intérieur ou d'une Spontanéité ou des couleurs, parce que ça, ce sont des prétextes de la personnalité qui préfère être dans l'Enfant Intérieur et dans les couleurs, dans le jeu, plutôt qu'Absolu. Maintenant, si tu considères que tu es cette histoire et cette mémoire, alors oublie ce que j'ai dit et agis dans l'Action / Réaction qui vous est connue, psychologique, énergétique. Mais vous ne ferez qu'entretenir le sac de nourriture, d'une façon comme d'une autre, jusqu'à sa fin. Vous le nourrirez jusqu'à plus soif et il souffrira. Tout ce que vous voulez éviter, se renforcera. La mémoire vous affectera, l'histoire vous affectera parce que vous y résistez. Ce qui est à réfuter, c'est, très exactement, que tu n'es ni ton divorce, ni cette souffrance dans ce corps. Qu'est-ce qui la perçoit ? Qu'est-ce qui la ressent, en toi ? Toute la problématique est là. Le Cœur de l'Être, la Présence ou l'Absolu, ne peut être affecté. Ce qui est affecté, sera toujours le je. La justification de l'Enfant Intérieur ne tient pas.
Question : Il y a quelques années, j'ai perdu toutes ambitions et plaisirs dans ce monde, suite à un divorce et des pertes financières, choses que j'ai combattues comme étant négatives. Maintenant, mon point de vue change.
Où est la question ? Ceci est une affirmation et un constat, c'est très bien. Ce que tu as perdu, t'a Libéré. Tu en as conscience, aujourd'hui.
Toute souffrance, toute perte, n'est destinée qu'à vous montrer vos propres insuffisances, vos propres manques, ce qui est perdu en vous et non pas ce que vous avez perdu à l'extérieur. Parce que ce que vous avez perdu à l'extérieur n'est que le reflet de ce à quoi vous étiez attachés, ce que vous désiriez posséder. La perte vous met, en quelque sorte, à nu, vous montre vos propres limites, vos propres cadres, vos propres enfermements. L'ambition peut parfois être nécessaire, mais si elle n'est pas nécessaire pour toi, elle sera cassée. Il n'y a pas de punition ni de karma là dedans. Il y a juste la Vérité. De quoi as-tu besoin ? Pourquoi veux-tu te prouver la Vérité de ce qui Est ? Seul est vrai ce que tu vis, là, de suite. Pas ce que tu as vécu. Pas ce que tu souffres ou a souffert. Tu n'es pas le résultat de ton passé, aucunement. Seule la persistance du je est inscrite dans ce passé qui se manifeste dans ce présent. Il faut sortir de la linéarité. Aimer, c'est cela. Ce n'est pas posséder une femme ou un mari. Il n'y a rien à posséder et si ce que vous croyez posséder était retiré, là aussi il n'y a pas de fautif : il y a juste des mouvements de vie, des illusions qui s'entrechoquent et qui, de toute façon, auraient fini au moment de la fin de ce sac de nourriture. Tu n'emportes pas tes regrets. Tu n'emportes pas tes joies. Tu n'emportes aucune mémoire. Tu n'emportes que ce que tu as trouvé, c'est-à-dire si tu t'Es trouvé. Le je se considère, comme toujours, immortel. Bien évidemment, c'est faux. Seul est immortel, ce que tu Es. Ne regarde pas derrière. Installe-toi dans le Non-je, dans le Non-Soi. Si tu es capable d'arrêter, dans un temps très court, la référence au passé, à l'histoire, à ton histoire et, voire même, de dépasser la causalité que je t'ai exprimé, tu découvres quoi ? Tu laisse se découvrir l'Absolu. Cette forme ne te concerne plus, tu y es pourtant inscrit. Ce monde ne te concerne plus, et pourtant tu y agis et réagis. La perte de quoique ce soit ne fait que montrer la fragilité de la vie et de ce je. Cela te montre simplement que rien n'est éternel sur ce monde, sauf toi. Rien ne peut durer de ce qui est inscrit dans le temps de ce monde, sauf ce qui ne bouge pas, ce qui est immobile. Tout le reste ne sont que des expériences qui ne changent rien à la Vérité, qui ne change rien au centre, en ce que tu Es. Si tu vois clairement cela, alors il n'y a plus de problème, ni maintenant, ni hier, ni demain, ni lorsque ce sac de nourriture aura disparu.
Question : Après avoir observé, puis réfuté les sensations et Vibrations du corps et les pensées, je m'installe dans mon Temple cardiaque pour y trouver la paix et vivre l'état de Présence, qui satisfait le Soi. J'ai réfuté cet état, le Soi, pour que le non Soi, l'Absolu, se révèle à moi, mais cela sans succès. Que dois-je réfuter d'autre pour que le Soi lâche prise ?
Dans ce que tu exprimes, il y a encore un observateur qui veut observer le non Soi. Il n'y a pas de dissolution. Ce qu'il y a à observer, c'est dépasser la Vibration elle-même. Cela est rendu possible par l'Onde de Vie, sans ton intervention. Pour cela, ne porte ta conscience nulle part, parce que dès l'instant où tu portes ta conscience sur une région de toi, de ce corps, qui te fait éprouver, ressentir la paix et la Présence, il faut, là aussi, délocaliser la conscience. Non pas comme une volonté d'aller ailleurs, mais ne plus être tributaire d'une quelconque localisation de la conscience, elle-même, dans ce corps. Il faut, en quelque sorte, t'oublier toi-même. La présence est certainement l'état de l'expérience qui est, si je peux m'exprimer ainsi, au plus proche de l'Absolu. Dans l'Absolu, la conscience n'est plus. Il n'y a plus de place pour l'observateur, ni pour le corps, et encore moins pour la Vibration Supramentale. Cela passe par la Dissolution ou, si tu préfères, la disparition de l'observateur. Il n'y a donc pas d'autre chose supplémentaire à réfuter. Une fois que la réfutation a été effectuée, que tu as réalisé ton enquête, surtout ne désire rien, ne fais rien, ne considère pas que le Soi (ou la Présence, même) va te conduire au non Soi. Ce n'est pas une suite logique, ni une autre étape. Il faut, en quelque sorte, faire un sacrifice symbolique qui se réalise de lui-même, dès l'instant où la conscience n'est plus portée sur quoique ce soit. Le Soi va appeler ça le vide ou la vacuité ou le néant. Il faut, en quelque sorte, attendre, après la réfutation et l'enquête, qu'il y ait (en quelque sorte, et c'est imagé) ce pincement au cœur. Et là, pendant cette expérience particulière, réfuter. Mais non pas réfuter comme l'observateur de ce qui a été vécu, à un moment donné ou à un autre. Tu ne peux pas te servir d'une expérience, qui date d'hier ou d'un autre temps, qui a été réalisée, pour réfuter. Il faut que cette réfutation se produise dans l'instant même de Présence mais pas en dehors parce que si tu réalises cette réfutation en dehors du moment où il est vécu, cela ne sert strictement à rien parce que le Soi n'est pas le je, le Soi n'est pas dépendant d'une histoire ou d'une mémoire, puisqu'il se définit, justement, comme l'installation dans l'Ici et Maintenant, dans le présent. Mais l'Absolu n'est pas le présent, surtout si ce présent est passé et remonte à hier.

La réfutation ne peut se produire, dans ce cas précis, qu'au moment où est vécu la Présence, et pas en dehors. Si tu saisis le mécanisme, dans l'instant où se manifeste la Présence et le présent (dans la Vibration, dans la perception de ce qui est nommé les Couronnes du Cœur, même dans la Vibration, dans le Feu du Cœur, ou ce qui vous a été décrit, récemment, en tant que tremblement et frissonnement), c'est à ce moment là que peut se vivre la Dissolution. Mais non pas comme un passage d'un état à un autre, mais bien dans la désidentification, même, de cela. Et cela est naturel. Il faut se servir, si je peux dire, de ces moments là, au moment où ils sont vécus. C'est la différence de stratégie de l'enquête et de la réfutation, selon que celle-ci est menée dans le je ou dans le Soi. Il n'y a pas à rechercher, ni à exprimer, ni manifester, le moindre effort parce que c'est, justement, l'absence d'effort qui permet à l'Absolu de se révéler. Il n'y a pas d'autre exercice, pour le Soi, que celui là. Une fois que tu as vécu le je suis, à de multiples reprises, il faut aussi réfuter cela en extrayant simplement ta conscience du je suis, sans placer la conscience ailleurs : elle se dissoudra d'elle-même. Et cela te fera connaître, au retour dans la forme, l'évidence, la béatitude, l'extase et le rire. Ne te projette pas, non plus, dans des idées sur le non Soi. Rappelle-toi qu'il ne peut être approché, ni connu. La disparition de tout ce qui n'est pas lui ne peut que le laisser, lui, présent et se manifester, lui, dès cet instant et après. Tu pourras passer du Soi au non Soi avec encore plus de facilité que du Soi au je ou du je au Soi. Parce que, dès que ce mécanisme est initialisé, la possibilité de passage, aussi bien de l'ultime au Soi que du Soi au je, devient évidence. Ne considère pas le non Soi comme un aboutissement du Soi parce qu'il est tout, sauf cela. Si tu fais ainsi, tout cela te semblera, et sera vécu de manière évidente, sans difficulté.
Question : Comment passer facilement de l'état d'homosexualité à l'hétérosexualité ?
Quelle importance cela revêt-il et quelle importance cela a-t-il, réellement ? Pourquoi y attaches-tu tant d'importance ? Quelle est la gêne qui est exprimée ? L'intérêt n'est pas cela, parce que s'il y a intérêt, ici, cela concerne exclusivement, quoi ? L'amour personnel entre deux êtres, entre deux consciences. L'Absolu n'a rien à voir avec cela. Cela concerne l'âme ou, si tu préfères, le complexe inférieur qui est soumis au désir, au besoin, à l'amour qu'exprime le corps, qu'exprime l'âme. Cela concerne le je. Ni le Soi, ni l'Absolu, parce que le Soi n'est pas perturbé par les choix du corps ou de l'âme. Si le Soi Est, si le je Suis Est, aucune interrogation de ce genre ne peut naître parce que le Soi n'a que faire du complexe inférieur, quelque soit le désir exprimé ou la quête exprimée : il n'est pas concerné. La sexualité ne concerne que cette Dimension, quelque soit ce qui en est retiré ou trouvé, en terme de plaisir ou d'amour. Cela ne représente aucun intérêt, et n'a aucune action sur le Soi. Simplement, quand le Soi se réalise, quand tu es réalisé, la sphère dite sexuelle ou amoureuse peut se manifester, ou disparaître, ou, aussi, se transformer. Mais ce n'est plus une priorité, ce n'est plus une vitalité et, encore moins, une essentialité. Le Soi n'est pas une affaire de sexe, ni d'amour, au niveau de l'âme. Quant à l'Absolu, celui qui est Absolu ne peut être perturbé, ni dans un sens ni dans l'autre, par ce qui se déroule dans le complexe inférieur : il n'a que faire de cela. Ce n'est pas un rejet, ce n'est pas un déni de la vitalité, mais c'est bien une transformation de la vitalité. Parce qu'à ce moment-là, et seulement à ce moment-là, ce qui est appelé le sexe ou les organes génitaux ne sert plus à la génitalité : ils alimentent le Cœur. Le Feu Vital n'est plus simplement une vitalité, mais un Feu Transmuté par ce que l'Onde de Vie a profondément changé les choses. Même s'il y a Extase, même s'il y a jouissance.
Le sexe n'a rien à voir là dedans, même si ça passe par cet endroit. Cela rejoint le Cœur, non pas le cœur imagé mais le Cœur Vibral. Et l'Absolu est au-delà de ça. Donc, ne te pose pas cette question. Pose-toi la question essentielle, le reste suivra, ou ne suivra pas, sans aucune incidence sur quoique ce soit. Tout simplement, parce qu'aussi bien dans le Soi que dans l'Absolu, même avec une forme, tout cela ne représente réellement que ce que c'est : la quête de ce qui manque, homme ou femme. Mais il ne manque rien. C'est la séparation qui a créé le manque et cette recherche de vitalité. En Êtreté, comme dans l'Absolu, tout est Jouissance, tout est sexualité, sans aucun des tabous que vous connaissez et sans pratiquer quoique ce soit. C'est superflu. Le Soi, l'Absolu, va transcender et faire disparaître tout ce qui est lié à l'animalité, qui était justement la non connexion au Soi, à l'Absolu. Dans ce cas-là, dans le Soi comme dans l'Absolu, il n'y a plus de notion de sexe, parce que même ce qui était prévu comme être du sexe n'est qu'une élévation du Feu Intérieur vers le Cœur, dont l'Absolu n'a que faire.
Question : Il m'arrive parfois d'avoir l'impression d'être comme un bébé, flottant seul dans l'immensité, sans conscience, sans repère, sans rien, tout en sachant du fond de mon être que l'Absolu est là. N'est-ce pas contradictoire ?
Non, puisque l'Absolu que tu Es, est présent et manifesté aussi dans une forme.
Il y a un Absolu avec forme et un Absolu sans forme. Cette forme, c'est ce sac de nourriture et sa conscience. L'Absolu ne sera pas perturbé par la disparition de ce corps et de la Conscience de ce corps. C'est cela qui est réalisé : il n'y a aucune contradiction. Il n'y a rien à rajouter par rapport à cela : c'est très simple. Le Soi va se servir d'images, comme le bébé, comme le rien, mais ce n'est que la traduction de l'Absolu quand il n'est plus et que retourne l'Être au Soi, ou en Êtreté. À ce moment-là, tu réalises ce qui est appelé les Leelas du Seigneur. Ce sont des jeux. Il y a une jouissance réelle de vivre cela, ensuite d'en témoigner et de l'observer, mais c'est tout. Cela te démontre qu'une fois que l'Inconnu devient ta Demeure, à ce moment-là, tu peux passer de l'un à l'autre, et de l'autre à l'un, sans difficulté. C'est ça qui te créé la contradiction. Mais tu deviens capable d'identifier l'Absolu et le Soi et la Présence, sans aucune difficulté. Mais c'est cela même qui crée le sentiment de contradiction, qui n'existe pas.

 

BIDI - 2

16 de mayo 2012

Pregunta: Yo aún no he conseguido extraer mi sueño el sueño la conciencia. Queda atrapado en experiencia de mi personalidad. ¿Qué debo hacer o cómo hacerlo?
Trabajar mientras se está soñando? Cuando duermes, ¿sabe usted que duerme? Le tomaría por eso, mantenerse lúcido. Continuar con la disolución es, precisamente, para permanecer lúcido, ya no está en el sueño (lo que algunos Turiya llamada) que no es el Absoluto. Desde el punto de lo Absoluto (si se me trató de hablar así) de vigilia sueño o ninguna diferencia. Son ilusiones, al igual que la otra. Su vida pasa, el cuerpo sufre, el sueño se va, esto no está vinculado a ninguna y eterno yo. Turiya (o yo, presencia) es un paso. Esto es lo que se construye más allá de la personalidad y obligados a ceder el paso, o más bien la deconstrucción de la disolución de una manera oportuna. Si su conciencia, como se vio, está atrapado en esta realidad, sólo significa que ahora, en el sentido lineal, no llegó. En lo que se ha dicho (para continuar con un trabajo de disolución), es lo que le ha dado una fecha límite? No. La conciencia va a vivir, en su caso, lo que es vivir por ella antes de desaparecer. El archivo adjunto, de lo que son, en algunos modelos de la creencia, tan cierto como que cerró el resto. ¿Sabía usted que Cristo? ¿Ha visto o es sólo una creencia? Te podría decir acerca de Krishna o Buda he conocido que no sea a través de sus escritos, que no sea por sus creencias, las religiones que no sean por oa través de un ideal, de una historia? Es necesario, además, acabar con él. No es tan activo, porque no hay nada para hacer que desaparezcan, sino que simplemente refutar, también. Ir más allá de eso. Mientras usted se adhirió a otra cosa que el Absoluto, el Absoluto se cierra a usted porque la creencia en ti mismo de inmediato. Cristo es Turiya. Se trata de un modelo, pero, como se ha dicho (incluso por Buda): en algún momento, usted tiene que matar a la modelo. El único obstáculo está ahí.

Allí, mediante la adhesión a una creencia, un ideal que se persigue. A proseguir en esta ocasión parte ideal y el tiempo parece largo. Elimina el ideal, no habrá más tiempo. Elimina la creencia, que no tendrá tiempo. Se trata de las creencias que impiden la disolución, ya sea el modelo más idóneo, a pesar de que se reunieron en un sueño, se encontró en un camino místico. Debido a que los que corresponden, en realidad, de una manera mística, tienen un único objetivo: la fusión, a casarse con él (o ella, si otra entidad). De ahí la disolución. Como le decían los antiguos: la comunión, fusión y disolución, en ese orden, en Turiya. Así no se puede considerar como un modelo fuera de ti. Como se considera un modelo ideal al aire libre para adquirir, usted va a mantener la comunión, se impide la fusión y la disolución más. Este es el obstáculo. Olvídese de todo: todos los modelos, todos los ejecutivos, todas las creencias. Olvida hasta su padre y su hermana. Esta es la única manera de vivir de la disolución. O se une con Cristo, o se fusiona con su padre después, y después se fusiona con su hermana, sino que se fusiona con algo para que ya no tiene una existencia externa que son. Allí, usted va a vivir a la disolución, pero no antes, porque no es la persistencia de la idea de algo externo, que tiene una existencia independiente fuera de ti. Pero como se dijo, incluso los Arcángeles: el mundo es usted. Los Arcángeles es usted, yo estoy en ti, porque son absolutos. A medida que guardó en un papel o función, externa a usted (en Cristo, en tu padre, tu hermana o en el que desea), hay una distancia y por lo tanto no puede haber ninguna disolución. Sólo puede existir un nivel persistente. El Absoluto no está nivelado. Es simple, también. Si bien hay una proyección ideal, religioso o de otra manera, puedes ser tú mismo, a pesar de lo que usted ha sido nombrado el doble. El doble no está hecho para ser visto, se hace que se disuelva. Esta es una ayuda a la absoluta, pero esto no es un objetivo debido a que ambos son los mismos. No es la planificación de cualquier cosa en exteriores. Es lo que no tienen que estar protegidos: ya está en ti (esto es, Cristo, incluso su padre). No hay nada externo que lo eres. Lo que está fuera es una mera proyección de la conciencia, un sueño, al igual que el estado de vigilia. Si se acepta esto, la disolución se adquiere, ya que siempre estuvo ahí. Es sólo sus ojos, la forma de ver, su punto de vista, derivado de sus creencias o sus emociones. No hay nada más que eso. Este es el único obstáculo.

Pregunta: Yo vivo en estados caóticos. La refutación me permite tomar distancia, pero las emociones y la mente, están siempre presentes. Cómo buscar la ayuda de las estrellas, los veteranos o Arcángeles sin salvadores externos? ¿Cómo estar en comunión con ellos sin que sea una proyección de mi mente?
En primer lugar debemos aceptar que no eres la personalidad, no hay nada externo. Lo que necesita ayuda si lo es, como usted ha dicho, la personalidad que necesita un salvador? Pero desde el momento no hay personalidad, ¿quién lo salvará? ¿Quién lo ayuda? El cambio de la visión, porque todo ya está en ti, de todo. Una vez más, no me imagino nada fuera de ti mismo para crear una distancia, aún más, entre lo que eres y lo que se proyecta. El caos es una muy buena señal, porque la reorganización del caos signo, más allá de cualquier orden, en la Libertad. El aspecto de la personalidad a través de su propia muerte. La luz disuelve la personalidad, que no tiene existencia. No da importancia a lo que no existe. No eres ni tu mente ni personalidad. Usted les cree. Aquí está el problema. Como testigo de refutación, lo entiendo perfectamente dónde hacer las denuncias. ¿Cómo estas quejas pueden ser la acción, incluso verlos, si no les dan su consentimiento? Y este acuerdo es de la incapacidad temporal a no ser que. Hay un sentimiento de culpa. ¿Cuál es la culpa? Eso de hacer el mal, que el mal se atribuye a causas externas, una causalidad a los hechos ocurridos. Debido a que a través de este, lo que se expresa? La sensación (y me refiero a sentir porque no es cierto) de la soledad. La necesidad de integridad. La investigación, en las afueras, un completo, para poner fin a un aislamiento que no existe. Es la personalidad que le lleva a través de sus problemas, creo que es el único.








 Afectos y los sentimientos que se remontan, buscaron lo que son: algo que sucede y que no eres tú. No debe confundirse con la refutación no los ve. Refutar llevó a ver las cosas y los elementos, como son, pero no los veo. Pacientemente observa que, a menudo, se utiliza la refutación, precisamente, para no ver. Si se acepta esto, la personalidad se llevan menos peso, y mucho menos la mente. Es la mente te hace pensar que la soledad, el aislamiento allí, a mirar hacia afuera. Incluso el doble está en ti, de lo contrario ¿cómo podría haber en Cristo o en cualquier otra cosa? No es el Absoluto. No se desanime por lo que la mente te dice, por lo que crees. Él quiere que usted sea la persona que sufre, que no se encuentra, que está aislado. Esto no es cierto.

La abundancia siempre estuvo ahí, todo lo que siempre ha estado ahí. No creas lo que dicen sus emociones y sus sentimientos. No te apartes de ella, pero se compromete a verlos: ellos están ahí, pero no eres tú. Refutar, no se puede negar esto. No eres nada de lo que pasa. Usted puede estar seguro y seguro de que cuando sucede algo (como un estado de ánimo o sentimiento) que no lo es, pero es secretada por la bolsa de comida, o su propia historia, por sus propias lesiones. Pero sus heridas no son suyos, incluso si están limpias. Ellos son parte de algo distinto de lo que son, precisamente en que la personalidad, precisamente en este espíritu. Si estás solo, sin la búsqueda de proyecto de asistencia sin ayuda, sin imaginar que cualquier cosa puede venir de fuera, que cualquier cosa puede venir de fuera, si te apoyas en lo que eres en el interior, encontrará que todos los recursos están ahí y no dependen del peso de una lesión (real o supuesto), ni la falta alguno, ni ninguna ayuda externa. Incautados y entiendo que, ya, todo lo que está en vosotros, sin excepción. Usted no está lleno de sufrimiento, sentimientos y afectos. Estás lleno de nada más que lo que son los siguientes: Absoluta. Tú eres la fuente de ti mismo. No hay amor afuera. Be Love. No hacerse la pregunta de su pasado, sus heridas, sus defectos: no existen. Y la ayuda que ya está ahí, ya que no llegó: ya está instalado. Autorizado a proseguir este lugar. Admitirse a trámite. No se lo que está sucediendo. Permanece en el centro, sin preguntar y sin planificación, sin ida y vuelta, todavía, en donde, por ahora, todo parece vacío y se verá que esto es justo al lado el ego, porque en realidad Aquí es donde el Absoluto: completo. Pero para ello, accedió a tener esos sentimientos, esos sentimientos, esas emociones, esa sensación de vacío. Ver ellos, pero no los reconoce: que no te pertenecen. Es muy simple, pero, por supuesto, la personalidad no es la simple. En él se prevé oraciones, peticiones, súplicas, porque ella tiene miedo de ser insignificante. Y lo es. Por lo tanto, no tiene por qué tener miedo de lo que es. Usted no es insignificante. Es todo lo que quieren decir es, más allá de todo sentido y el significado de todo el mundo. Usted es la eternidad.








Pregunta: La experiencia y las opciones de vida que hacemos nos puede llevar a la absoluta, aunque no somos lo que hacemos?
No. El Absoluto es independiente de cualquier elección, ni vida, ni la realidad de este mundo. El Absoluto es el mismo, ya sea en la cruz de Cristo, en la que el niño se muere de hambre, que el viejo se muere de vejez, o que el que muere con una bala. No hay ninguna diferencia. Cree que hay circunstancias de que la personalidad, precisa (de espiritual o de otro tipo) que promueven el logro, si se trató de hablar, así, el establecimiento de lo Absoluto, es un error. Creer que porque vamos a estar libre de todas las necesidades (emocional, económica, moral, social familiar), será suficiente para absoluta es un error dramático. El Absoluto es independiente de cualquier condición de este mundo. Es una ilusión. No es que la personalidad que pueden ser satisfechas en el hecho de que no te pierdas nada, el dinero, el afecto. El Absoluto no tiene ningún uso de él. No hay una edad, sin condiciones, no hay karma, no hay situación, que se opone a lo Absoluto, si uno mismo no, a través de justificaciones, excusas (que no lo hacen), historias espirituales (que no), los miedos ocultos, de las pruebas ocultas. No hay un camino hacia el Absoluto, no. No hay manera de acercarse a lo absoluto por cualquier circunstancia de la vida. El yo puede darle la apariencia, pero incluso el abandono de uno mismo es necesario e indispensable. Yo diría que, en última instancia, sería mucho más fácil para alguien que no tiene fuerza. Es decir, uno cuyo cuerpo se va, cuya posesión se va, es más probable que revelan el Absoluto. Hay algunos países donde la gente ha dejado todo y nunca he encontrado nada. Hay países donde la gente nunca ha pedido nada y sin embargo, son absolutos. ¿No ve esto como una progresión. No lo veo como algo que facilita o impide. Esto no es cierto. Sólo la mente puede creer esto: hay circunstancias que promueven. Esto es falso. Sólo el abandono de uno mismo, el cambio del punto de vista y perspectiva, no el archivo adjunto, se dan cuenta de la verdad absoluta, que siempre ha estado ahí. Crea que hay una distancia, la distancia crea. Crea que hay un camino, creando un camino. Cree que no había indignidad, le hace indigno. Supongamos que esto es muy, muy hace. Sin embargo, esto es, de nuevo, muy simple: no asuma nada, no aceptar cualquier cosa. Que todo el lugar. Desaparecer. Mientras usted cree que existen a través de un archivo adjunto, un registro, un afecto, que se aleja de lo Absoluto. Él, que siempre estuvo ahí, nunca se movió: es usted quien se ha mudado. Es usted quien está distante, en que la personalidad, en la ilusión, en el hogar.



Cuando les decimos que quedarse quieto y no hacer nada, cuidar de ti mismo, si lo desea (para mejorar, para pacificar a), pero no es eso. Experimente el Samadhi, si eso te agrada, pero no eres eso. A través de mis palabras, espero que consigas un poco más de lo que la refutación: ni esto ni aquello. ¿Qué le impide practicar? ¿Qué impide a implementar? ¿Cuál crees que es un juego mental? Lo que dijiste es estúpido? Pregúntate a ti mismo la pregunta. Si esta es tu propio ego, su propia mente, que le dirá a cada paso, "no es cierto" que "no existe", que "no es posible ", que" es demasiado simple, demasiado fácil. " Refutar a ver. Haga su investigación, pero no buscan la acción / reacción de este mundo: es interminable. No busques, porque en última instancia, lo que nunca ha habido un caso. No hay principio. No hay un final. Esto es una total ilusión. Usted es la eternidad eterna,. Eterno: siempre está presente. Todo lo demás es sólo los accesorios, piruetas, espectáculos y estafas. ¿Quieres jugar a ser un ladrón o si quiere ser verdadera y transparente? ¿Quieres ser una alegría que no desaparece nunca, una felicidad que no son las circunstancias, su amor o su Desamours, su dinero o no su dinero, un techo o en el techo no? No es necesario para predecir debido a que su vida se llevará a cabo de la mejor manera posible, sin ningún tipo de barreras en el Absoluto. Esa es la única causa de sufrimiento aparente falta de lesiones visibles, evidentes, las enfermedades. No hay nadie más. Si usted dejó esta bolsa de alimentos de evolucionar, en el mantenimiento de ella, sin hacer preguntas, que estaría bien. Desde el nacimiento hasta la muerte, él estaría viviendo lo que tiene que vivir. Esto se debe a que se identifican con él, está enfermo, es el mal y el sufrimiento, de lo contrario no hay ninguna razón válida para ser alterado. Prueba esto: refutar este cuerpo y verás que va a quedar bien. Debido a que el ego de hacernos creer que refutan, niegan, rechazan: que está mal. Eso es lo que le dijiste a tu mente, constantemente. No es lo que le impide la práctica de la refutación, o bien para que se lo considera desde un lado astuto, "todo es ilusión". Reír y reír, pero no real, el de la ilusión de que se burla. No hay obstáculo que no sea usted. El Absoluto no es necesario. Es lo que eres. Entrar en ella. Todo el problema es sólo una cuestión de colocación, el punto de vista, como ya he dicho, esto es un error para ver, un error de visión. Esta es una visión que está sujeta a tu historia, tus emociones, tus emociones, tu mente, todo lo que es ilusorio. Superar esta visión. Usted no está viendo esto. No hay nada que hacer en este nivel. Si el silencio de todo eso, usted ve, con asombro, que el Absoluto ya está ahí. No parece, a excepción de la personalidad que va. Hay disolución. Hay facilidad. Está fuera del complejo. Fuera de problemas. Fuera de conocimiento, lo falso, que depende de un hecho, una creencia, una reflexión, una suposición. El Absoluto es el conocimiento. Te hace un Freed. No tenía conocimiento de la personalidad, que nunca te libere, te callas, cada vez más, en la acción / reacción, en el sufrimiento, de dolor. Be Free. Atrévete a ser libre. ¿Qué te detiene? Por supuesto, hay reglas y leyes que se aplican a este mundo, pero usted no es esa. Tú eres el gozo absoluto de la luz eterna del amor. Nada más y nada menos. Es sólo que usted cree que su personalidad, su papel en esta vida, al principio y con este fin.




















Pregunta: Después de haber experimentado la ola de la vida, ¿me puede decir si hay una gran cantidad de pieles de cebolla que ser removido para llegar a la absoluta?
Pero si se quita toda la cáscara y todas las capas de la cebolla, ¿qué queda? Nada. No hay nada que quitar. No sólo tiene que ver, para refutarlo. No rechazar nada a la basura. Se incluye la aceptación de la absoluta, en su totalidad. No excluye nada, sino simplemente la ilusión se ve como lo que es: una ilusión. Si la ola de la vida está ahí, no te preocupes por nada, no hacer nada, guardar silencio, sobre todo, no te preocupes por nada. Siempre será mucho más difícil que la ola de la vida. Va a ser ridículo en comparación con la acción de las olas de la vida. Se convierte simplemente en la ola de la vida, eso es todo. Busque otra cosa. No le pida otra cosa. Refuta a lo que sucede y usted verá por usted mismo, que no pasa nada. Esta es la liberación. Esta es la Libertad. No hay nada que pensar en trabajar. Simplemente hay que aceptar lo que es obvio, lo que emerge, lo que sale. Sin embargo, no se ven por sí mismo, sin ella, que mantendrá la dualidad y se oculta la ola de la vida. Cree que hay algo que debe ser purificado, algo para quitarse de encima, es una ilusión, también. Aceptar esto ya no es la personalidad: se trata de dejar el trabajo de la ola de la vida, en su totalidad. Esto no debe ser afectado, no es creer que hay un trabajo no es imaginar o suponer que hay capas de sombra. Está más allá de todas estas nociones a creer que hay una paz que se dio cuenta, hay trabajo por hacer, hay una purificación del ego o la mitigación del ego o yo. Es a partir de todos estos juegos estériles, todas estas estafas espirituales, precisamente. Liberado porque usted es la Ola de la Vida fue puesto en libertad. No se preocupe por todas estas sombras, no existen. No les dé más peso y consistencia. Cambie su estilo. No hay nada bueno, nada malo, no es el Absoluto, Luz, el Amor, la Verdad. Todo el resto no son más que fantasías mórbidas. Usted decide. ¿Cree usted que esta bolsa de comida? ¿Crees que este tipo de lesiones? ¿Cree usted que esta historia? ¿Crees que sufren estas pérdidas, estas lagunas o es usted de verdad absoluta? Mostrar la misma. Demuéstralo. Pero la evidencia no es una acción, y mucho menos una manifestación, porque esto es lo que lo son todo. Ya no se adhieren a su propio peso: no existen. No hay alternativa, no hay otra verdad, excepto el último. Y si la sed de experiencias, a continuación, llevar a sus experiencias en el auto o en persona, ya ves, más allá de simplemente el deseo, incluso más allá de la necesidad. ¿Se mantiene en la apariencia y la falta o entrar en lo que eres, esta plenitud absoluta, donde no puede haber ningún temor y la escasez no? Su llamada.







Pregunta: Usted ir a donde te lleva tu vibración, no hacer nada y quedarse callado, hay indicios de que tengo el tiempo con un poco de comprensión y cada vez más confundido. La duda y la confusión se producen constantemente. ¿Cómo me saboteo?
Debido a que usted le da crédito. Usted lo dejó jugar. Tú autorizado a jugar. Tú autorizó a la pregunta. Tú autorizó a la duda. ¿Es esto lo eres? ¿A qué conclusión? En las frases que he descrito, es muy sencillo. Vas a ir a donde su vibración puerta. Su vibración que llevar a lo que se establecen en algo. Así que hay un cambio, que el nombre de Ascensión. El Absoluto no es la vibración. Esto significa que no llegaremos a ninguna parte porque ya está allí. La confusión viene. Para mí, no hay problema: que desaparece por completo en lo que hay. Esto no altera la desaparición de la que es el hecho de la muerte de la bolsa de comida o la muerte de todo el mundo: es la misma cosa. Si usted ve una diferencia es que se insertan en este mundo y que se adjuntan a este mundo de la proyección y la maya, ilusión. Sin eso, debe preguntarle a cualquier problema, ninguna investigación, ningún temor para nadie. Lo que es problemático y tiene una aprehensión, que es el ego, que duda de que sólo existe en el mundo, que por salpicaduras en la ilusión. La vibración es la certeza de ir a donde te lleva, en el Sí mismo, en lo que se denomina las dimensiones, los planetas, los sistemas. Uno que supera la vibración es absoluta, aquí mismo en esta forma. No existe ningún principio de la encarnación que tiene y que se limita, a excepción de uno que está en el ego y cree que. La confusión viene. Es la mente la que crea confusión. Desde el momento en que tratan de comprender frases como éstas, sin la vida, por supuesto, es mental. No sirve de nada leer, si no se vive. Usted no encontrará ninguna satisfacción. Del mismo modo, animo a los que quieres leer o escuchar a mí, que no sea aquí, deténgase de inmediato, ya que no sirve para nada, por su ego, su mente, su ser. Sólo los intereses absolutos mí. Si el Absoluto no te interesa, y luego ir a tu manera. Alojamiento gratuito o creen que es lo que quieres, pero si mis palabras te molesta, si mi voz te molesta, entonces usted está en su camino. Si usted no entiende, entonces, eso está bien. Si todas las marcas se rompen, es más que perfecto: la fruta está madura. Sin embargo, no se molestan en leer o escuchar lo que te molesta, a menos que el masoquismo es una parte de su personalidad. Lo que yo digo no a todos los intereses, por supuesto, mucho menos a aquellos que todavía están sujetos a los principios de fraude o espirituales de la personalidad o el brillo del auto. Me refiero a los que se compromete a no entender nada porque me dijo que sólo se puede vivir. El entendimiento es inútil.





Pregunta: Si es inútil hacer más preguntas, entonces me dicen exactamente lo que quiero entendre.Pourquoi Has oído algo?
Nunca he oído hablar de, digo escuchar. La audiencia que viene después. Usted está dando a entender con ello que se olvida de algo que no habría escuchado. Lo único que puede escucharse a sí mismo es. Usted puede escuchar que hablar, pero ¿has oído lo que eres? ¿O es que Sé lo que aparece en esa forma, en este cuerpo, en esta vida? No hay nada que escuchar, y que no hay nada que esperar o comprender. Ser no necesita la comprensión de todas las expectativas. Lo único que se oye, tal vez, es el Hijo, el Hijo importante, lo que refleja de alguna manera, en su conciencia, más allá de la unidad, el regreso en el Absoluto que son, por toda la eternidad . En este sentido, no debe escuchar a su jefe le dirá, sin embargo, a decir si una autoridad externa, ya sea la mía, que tiene autoridad más que la suya, de usted. Debemos aprender a escuchar, y por eso, no escuchan, ni se basan en algo más que silencio, y su último, lo que refleja, en ti, que se revela y se revela y que, de hecho, , siempre ha estado ahí. Así que no hice nada para que tú las oigas, porque incluso lo que te digo, incluso lo que te digo, basta con remitirse a ti para ti, y absolutamente nada más. Como no hay un deseo de entender ni escuchar nada, sólo muestra que la atención y la conciencia está orientada hacia el exterior, tratando de encontrar algo para escuchar y entender. Aquel que entiende es siempre aquello que es efímero. Quien quiera entender siempre lo que es aún más efímero. ¿Está usted de que no es un entendimiento.








Lo que eres, es desde la eternidad, desde el momento de concebir y percibir, más allá de cualquier diseño y la percepción alguna, inmediatamente, de manera instintiva (en el sentido más elevado), que ¿Está usted. Así que no tienes nada que escuchar. Estar ahí, más allá de ser, más allá de la voluntad, más allá de sus sentidos, más allá de la vibración que se pueden distinguir más allá de todas las expectativas. Desde el momento en que se vuelven capaces de hacer cualquier cosa que el silencio no es el Hijo, entonces, en ese momento, la verdad estalla más allá de toda la verdad fragmentada y fragmentaria. El testimonio de esta (pero no el testimonio de ti mismo) es simplemente una manifestación, más allá de toda manifestación, la cual nada se puede decir que la dicha, el éxtasis es el enfoque: la reflexión y el testimonio incompleto , la firma de la devolución a su eternidad, la inmortalidad en su, en su casa antes de la fuente. A partir de ese momento, no hay nada más que oír, no hay nada que entender, y menos aún que esperar, porque venía de donde nunca se han ido: que vino, por último, de los mayas. ¿Qué le da a los mayas a vivir, a experimentar, se lleva a cabo sin la intervención de lo que te has convertido: el no-ser. La conciencia no puede ser tocado por nada, lo que desde ese momento, no por el. Consciente y no ser- Ahora, sin embargo, un cuerpo ilusorio, una ilusión espíritu, que le da sólo para demostrar que el no-ser, por la presencia de este cuerpo, por la presencia de esos pensamientos que no son lo que son sólo un reflejo. Como se refleja, a ver te dan, te dan para cargar (los que no se revelan en ese momento) de una imagen. Este panorama se vuelve más transparente, no puede, de alguna manera, ser capturados o detenidos por el espectador a través del sentido común, dando una sensación de extrañeza. Y más allá de eso, lo que resulta en una consulta, o de la negativa, en cualquier caso, la pérdida de un equilibrio precario, a la que está instalado en la personalidad o en el auto. En ese momento, la obra (que está fuera del trabajo), la química que se lleva a cabo, se ha comprometido, independientemente de la voluntad, esta apariencia de que te dan para ver esta evidencia se da, simplemente por la irradiación no-ser en este mundo de ilusión. Por lo tanto, desde ese momento se puede vivir el Absoluto, mientras que el mantenimiento de esta forma. El único interés, si es que se puede hablar así, es hacer visible lo que no es (a través de la vergüenza, a través del amor, a través de un cambio de equilibrio, lo que sea), la capacidad de hacer la pregunta, y aun negarán que se han convertido en el no-ser. A partir de ese momento, el Absoluto permite a alguien que no es absoluta, instalado en lo efímero, que le molesten, en todos los sentidos de la palabra, trabajar con él en silencio, de la negativa, por el Amor o cualquier otra cosa, llevándolo a traducir su conciencia también a hacer la pregunta, incluso, que es consciente de que observa y que se niega lo que se muestra, teniendo en cuenta, para ver.

No hay nada que escuchar, pero es el principio mismo de la escucha que se conecta, como silenciosa e invisible, más allá de cualquier tipo de vibración, para comunicarse de alguna manera, los elementos de la incomunicable. La mejor manera de escuchar esto, y tal vez para oír, es hacer que el silencio de todos los sentidos, de todo deseo, todo entendimiento, de los mundos. Lo que se aprende, y lo que es lo más importante es lo que se ve perturbado. Aquel que se siente mal es más probable que se comunican con el Absoluto. Esta comunicación no es la comunicación, o una relación: es una pregunta y, sobre todo siendo perturbada. No hay otra manera de mover las certezas ilusorias del ego. No hay otra manera de refutar que, inicialmente, el Absoluto, para ver que, finalmente, a través de la refutación de otros elementos, no puede seguir siendo, precisamente, lo que fue rechazado por la principio. El Absoluto no es la percepción, ninguna vibración, ningún concepto. No hay nada que se conoce. Enfrentarse a lo desconocido, ¿cuál es la reacción de aquellos que creen saber, en el I o el Sí mismo? Se trata de la negativa es la negación misma de lo que se presenta, dado a escuchar. Este principio y no la comprensión de cualquier cuestión procede a partir de entonces. El Absoluto se puede conceptualizar en modo alguno, puede ser abordado de alguna manera, por lo que se conoce, por la inteligencia, por cierto, por la vibración o cualquier otra cosa. Es precisamente este aspecto inquietante que se mueve de un delicado equilibrio, lo que permitirá, en la mayoría de los casos para lograr este Absoluto que ha sido siempre, que siempre es y siempre lo será. A pesar de este mundo se convierte, a pesar de que se convierte en el cuerpo, aunque el pensamiento se convierte en. Esa es la única Verdad. Es la Verdad Absoluta, total absoluta,.

Pregunta: Siento que la ola de la vida ha disminuido en mí. Esto fue acompañado por una disminución en la distancia que había frente a la hiperactividad de la mente y las emociones. Tengo algo para refutar o para mirarme?
Lo que puede hacer copias de seguridad? Yo no entendía el significado de esta palabra. Flujo no puede fluir hacia atrás, a este respecto. Reflujo significa un movimiento inverso. Que está montado no puede dar marcha atrás o no está montado. Esto no se llama un reflujo. En el momento, la mente, yo, o incluso el yo, la puerta de su conciencia (que yo o uno de los auto) en la ola de la vida y quiere algo, se detiene. Usted puede tener la ola de la vida, no se puede desear, de lo contrario no hay reflujo, hay una parada, porque en esa época, que pretendía monopolizar, s "la propiedad, la ola de la vida, no es más que la personalidad. La ola de la vida está cambiando para arriba, sin la intervención de la persona. La intervención de la persona que hizo la parada. Los temores y las dudas que se detenga. El deseo no puede traer de vuelta y volver a montar. Este es el significado de las palabras que se utilizaron: quedarse quieto y no hacer nada. Debido a que cualquier acción sobre la ola de la vida que nace a los pies del Gurú (es decir, sus propios pies, el Sat-Guru) se refleja, por usted y la ola de la vida, como un deseo de s "apoderarse, apropiarse. Cualquier propiedad que sea, sólo para eliminar la ola de la vida. Del mismo modo existen represas, todo lo que es probablemente todo lo que es el miedo, todo lo que tiene miedo de perderme, resultando en la detención de la ola de la vida. Sin culpa, sin responsabilidad de mostrar: simplemente, una vez más, tenga en cuenta, la lucidez, e incluso aceptar la ola de la vida va a renacer y se invierta. No puede fluir de nuevo, porque su naturaleza está yendo hacia arriba y no hacia abajo. No puede haber reflujo, no es simplemente un fallo de energía que se produce tan pronto como el que se produce.

La ola de la vida no es un yo, y mucho menos en una farsa. Este es el último. Se está restaurando lo que se perdió: el Absoluto. Por lo tanto, debe detener cualquier noción de búsqueda, cualquier noción de la forma, cualquier idea de algo para adquirir o poseer. Es por ello que debe deshacerse de la conciencia, tan bien como yo que en el auto. La ola de la vida no requiere atención. Usted no puede ayudar, pero el deseo. No se puede dejar de preguntar. La demanda o el deseo no hace sino reflejar el deseo del ego. Lo que hay que estar en silencio, desapareciendo del centro de atención, es el actor. No hay actor. En un momento, incluso el espectador se convierte en problemático debido a que el espectador va a molestar a lo que está sucediendo. Y lo que está ocurriendo, incluyendo la ola de la vida es el testimonio, es la desaparición de la persona, la desaparición del individuo. El Absoluto se hace cargo de su vida, por supuesto, el nivel del ego o de la persona. Esta no es la sensación de que toca, sino un sentimiento de pérdida. Lo que es intolerable para el que está apegado a su forma, su mente, su percepción. El flujo de renacer, ya que es inexorable, cuando lo haga voy a tener más, cuando usted no puede demostrar nada de esta bolsa de comida, porque ya no existe, porque el mundo ya no existe para la conciencia. Así que no te preguntan por qué se detuvo, porque eso también poner distancia aún más a la ola de su vida y lo Absoluto. También puede actuar, no en el Absoluto y la ola de la vida, sino, directamente, sobre las dudas y temores. Esto no quiere decir preguntar por qué existe esta duda, ¿por qué existe ese miedo, porque la razón es parte de su historia, en la adhesión a su historia. Basta con mirar, objetivamente, en la cara, aceptar que no hay duda y el miedo, aceptar que no eres ni este ni el miedo o dudar de que esta persona. Este es el principio de la investigación y la refutación. En ese momento, usted no tiene que hacerse la pregunta de la ola de la vida, porque ella siempre estaba allí. No se detiene, a excepción de la conciencia, la conciencia que ha impedido que su propia liberación.

La conciencia es, en última instancia, incluso en el Yo Soy o estoy Uno de ellos, porque el elemento de frenado en el Yo Soy, todavía hay una identidad, todavía hay una persona, incluso si es más independiente, pero no está integrado. Si se acepta esto, no se molesta en buscar la causa de este temor, la duda, pero de verlo y aceptarlo para trascenderlo, porque yo mismo, en su todo, incluso si dice lo contrario, que se construye por el miedo. Desde el momento en que no pretenden cuestionar el momento en que no tratan de explicar, y mucho entendimiento solo, ser el observador o testigo, eso es suficiente para la identificación, el reconocimiento de este temor, lo dudo. A partir de ese momento no, a convertir su sobre tu conciencia, tu yo, a la ola de la vida y la revivió. Como usted ha dicho, no hay absolutamente nada que hacer por la ola de la vida. Tiene que hacerse a este hecho, es decir que el cuerpo, esos pensamientos. Pero el propósito no es ser la ola de la vida, sin ella, nunca va a nacer y nunca será renacer. La ola de la vida no necesita el yo o uno mismo, porque la ola de la vida y se precipitó a través del cuerpo, desde el momento en que no hay resistencia a la absoluta. Usted no puede hacer nada por él como el que está presente, ya que el mismo está presente, porque me gusta el auto que siempre has querido para supervisar y controlar, lo cual es imposible que la ola de la vida. Hay un cambio de actitud, un cambio de mentalidad, un cambio de conciencia, que no puede ser creada ni aceptado por el yo o el Sí mismo. Si usted es honesto esto, si usted acepta, entonces la ola de la vida renace, pero no antes. ¿Qué es distante, no es la ola de la vida, que eres tú. Incautados, y todo estará bien, porque todo está bien. La distancia ya no existe para mí, porque me va a desaparecer por sí misma. No darle de comer, no se alimentan las dudas y temores, reconocen ellos, simplemente. Siempre he sido la tendencia a considerar que los miedos y las dudas son parte de lo que es, pero no eres lo que yo, usted no es que estas dudas y temores. No eres nada de lo que pasa ya través de usted. Descanse en paz.





Pregunta: La alegría, el juego, los colores, las resonancias de mi Divino Niño, me permito dar la bienvenida a la experiencia sin problemas, con el corazón. Sin embargo, la fuerza física indica un bloqueo, una memoria relacionada con mi divorcio. ¿Qué he de refutar?
Pero el mismo término "memoria", "mi divorcio", demuestra que se identifican con ella. Que se divorció, si soy yo? Es eso lo que significa el divorcio, inmóvil, un día de algo? El sufrimiento se expresa como un reflejo del yo, de que la memoria famoso que usted y le mostrará demuestra que, independientemente de las alegrías del Niño Interior, usted se queda aquí también mucho que ver con su historia. Esto es lo que crea sufrimiento. La justificación para el Niño Interior, los colores de la alegría y el juego se ve alterado por qué? Te dices a ti mismo: porque le dio una consistencia a lo que es efímero, y por lo tanto, se cristaliza en la bolsa de comida, lo que ha asignado a la misma: el peso de la memoria. Pero la memoria sólo existe en la I. Usted sigue siendo dependiente de una historia, porque manifiesto de su cuerpo. Y si tu cuerpo es manifestar cualquier cosa que usted participe en este juego Lo que quedó en el buche, lo que sugiere que hay una historia y una memoria que está alterando lo que eres, desde toda la eternidad, es que la pertenencia a su propia historia a su propio yo, a ti mismo. Su cuerpo muestra que usted está conectado a él, visceral, sin ella, que nunca han mostrado ningún tipo de dolor, el sufrimiento, que a su vez, el sufrimiento de cualquier tipo, puede ser experimentado como sufrimiento. La atención y el poder que te dan lo que has vivido (y se llama a que rompiera la memoria, supuestamente, el Niño Interior), no existe. El Absoluto no es el niño interior: es la espontaneidad, la transparencia. La espontaneidad no puede ser alterado por cualquier historia o cualquier memoria. Es la personalidad que juega este juego, siempre. Se puede decir que te dejó algo ocurre, precisamente, se puede entender, porque se ve y se dio cuenta de que el Niño Interior está bloqueada por este divorcio. Y además, usted dijo: "mi divorcio". Antes de que usted? ¿Te imaginas a ti mismo depende de las circunstancias externas que tienen más peso que el Absoluto. Usted ha resuelto, de alguna manera el sufrimiento. Usted ha identificado el divorcio, en lugar de ver otra cosa, que es la Libertad. Había un resentimiento, y por lo tanto, el cuerpo dice. Por supuesto, hay un problema: el divorcio. Por supuesto, hay otra falla: la memoria. Pero vamos al divorcio y la memoria en el Absoluto? El Niño Interior ¿Es tan frágil como para ser alterado por una historia o la memoria? Hasta que esta es una manera como otra, le guste o no, refleja claramente el compromiso. Míralo, pero no pongas en la causa, porque no hay una causa que no sea usted, no hay ningún enemigo externo, excepto usted mismo. ¿Cómo es que el que no existe y que no existe, que compartían el mismo sueño, la misma ilusión, puede sufrir de la ilusión, sí, cuando se detiene? ¿Cuál es la mirada que usted lo usa? La falta y el vacío? O la Libertad? Todo lo que sucede en esta vida, te equivocas, es significativo, pero no en el sentido psicológico. No se detenga en eso. No en la dirección de una memoria que cristaliza.

Pero incluso lo que se llama prueba o sufrimiento tiene un solo propósito: para vencer la resistencia que sea. El sufrimiento no es un castigo. Nunca viene de fuera, como yo. Desde el momento en que aceptas y lo ves, la manera correcta, sin juicio, ni tú, ni lo otro, no hay ninguna razón por la cual el cuerpo se cristaliza, no hay razón por la que lo que afecta al cuerpo le afecta. De lo contrario, se adjuntan a este cuerpo. ¿Qué estás haciendo lo que se llama amor, que se llama perdón, la gracia, de ti mismo? ¿Qué no perdonan? ¿Qué culpa y el resentimiento que expresan y por qué? No en la historia, no en la memoria, no en una explicación, pero, realmente, en lo que eres, en lo que se ve perturbado y que le impide ser libre. Si se comprende esto, entonces verás con claridad, sin justificar la pérdida de un niño interior o la espontaneidad o los colores, ya que, estas son excusas de la personalidad que prefiere estar en el Niño Interior y el colores en el juego, en lugar de absolutos. Ahora bien, si se tiene en cuenta que usted es que la historia y la memoria, luego nos olvidamos de lo que he dicho y actuar en la acción / reacción, que es conocido por ustedes, la energía psíquica. Sin embargo, usted no hará que el mantenimiento de la bolsa de comida de una manera como otra, hasta el final. Usted alimenta a su corazón y que se verá afectado. Todo lo que queremos evitar, va a fortalecer. La memoria se puede asignar, la historia le afecta porque te resistes. ¿Cuál es para refutarla, exactamente, que no eres ni su divorcio, o que el sufrimiento en este cuerpo. ¿Qué percibe? Lo que se siente en ti? Todo el problema está ahí. El corazón del ser, la presencia o el Absoluto, no puede ser afectado. Lo que se ve afectada, siempre lo haré. La justificación para el Niño Interior no lo hace.












Pregunta: Hace algunos años, perdí todas las ambiciones y los placeres de este mundo, después de un divorcio y las pérdidas financieras, las cosas que he luchado como negativo. Ahora, mi perspectiva cambió.
¿Dónde está el problema? Esta es una afirmación y una observación, no hay problema. Lo que se perdió, se han liberado. No tienes conciencia hoy. Todo el sufrimiento, la pérdida, está destinado sólo para mostrar a sus propias insuficiencias, sus propias necesidades, lo que se pierde en ti y no lo que perdieron. Porque lo que pierde en el exterior es un reflejo de lo que se adjunta, lo que ha querido tener. La pérdida que pone en cierto modo, desnuda, muestra sus límites, sus propios marcos, sus propios confinamientos. La ambición a veces puede ser necesaria, pero si no es necesario para usted, se romperá. No hay castigo o el karma en ese país. No era sólo la verdad. ¿Qué se necesita? ¿Por qué quiere probar la verdad de lo que es? Solo es cierto que usted vive allí ahora. No es lo que experimentaron. No es lo que sufre o ha sufrido. Usted no es el resultado de tu pasado, no. Sólo la persistencia de la que está en la lista en el pasado que es evidente en este presente. Debemos abandonar la linealidad. Amar es. Esto no es poseer una esposa o esposo. No hay nada que propia y si usted cree ser dueño se ha retirado, una vez más no hay nada malo: no son sólo los movimientos de la vida, chocando las ilusiones y, de todos modos, hubiera terminado al final de esta bolsa de alimentos. No te lo tomes tus lamentos. No te lo tomes tus alegrías. No tome ningún recuerdo. No entender que lo que has encontrado, es decir, si usted se encuentra. Voy a considerar, como siempre, inmortal. Obviamente, esto es falso. Solo es inmortal, que tú eres. No mires hacia atrás. Rodéese en el No-Yo, en el No-Yo. Si usted es capaz de parar en un tiempo muy corto, la referencia al pasado, a la historia, su historia e incluso, ir más allá de la causalidad que he expresado, que lo descubre? Le permite descubrir la absoluta. Esta forma no se refiere a la mayoría de ustedes, no se ha registrado. Este mundo que más le preocupa, y sin embargo va a actuar y reaccionar. La pérdida de cualquier cosa sólo se pone de relieve la fragilidad de la vida y lo que soy. Esto sólo muestra que nada es eterno en este mundo, excepto tú. Nada puede tomar de lo que está escrito en el momento de este mundo, pero que no se mueve, que está parado. Todo lo demás son sólo experimentos que no cambian la verdad, que no cambia el centro, en lo que son. Si usted ve claramente que, entonces no hay problema, no ahora, no ayer, no mañana, no cuando la bolsa de comida se ha ido.







Pregunta: Después de ver, a continuación, refutó la vibración del cuerpo y las sensaciones y pensamientos, me siento en mi corazón el templo para encontrar la paz y vivir el estado de la Presencia, la cual satisface el Sí mismo. Me refutó este estado, el Sí mismo, por el Ser no, el Absoluto, se me ha revelado, pero sin éxito. ¿Qué debo refutar otro que el Sí a dejar ir?
En lo que expresas, todavía hay un observador que quiere cumplir con el no-Sí mismo. No hay ninguna disolución. Hay que observar está más allá de la propia vibración. Esto es posible gracias a la ola de la vida, sin su intervención. Para ello, tiene su conciencia a ninguna parte, porque en el momento que llevas tu conciencia en una región que en este cuerpo, te hace sentir, sentir la paz y la presencia, debemos, una vez más, cambiar de lugar conciencia. No como un deseo de ir a otro lugar, pero ya no depende de ningún lugar de la conciencia misma, en este cuerpo. Debemos, de alguna manera, te olvidan. La presencia del Estado es, sin duda la experiencia que es, si se me permite decirlo, el más cercano de lo Absoluto. En la conciencia absoluta no existe. Hay más espacio para el observador, ni para el cuerpo, y mucho menos el Supramental vibración. Esto requiere la disolución o, si lo prefiere, la desaparición del observador. Por lo tanto, nada añade a refutar. Una vez que la impugnación se hizo, usted ha hecho su investigación, especialmente no desea nada, no hacer nada, no tiene en cuenta el Ser (o la presencia, incluso), no le llevará a uno mismo. Esto no es una lógica adicional ni un paso. Debemos, de alguna manera, hacer un sacrificio simbólico que se lleva a cabo por sí misma, tan pronto como la conciencia no se centra en la nada. El yo se lo llamo el vacío o el vacío o la nada. Debemos, de alguna manera, es sorprendente que después de la investigación y la refutación, que no es (de alguna manera, y es fotografiado), este corazón se hundió. Y allí, en este experimento en particular, refutar. Sin embargo, no refuta que el observador de lo que se ha experimentado, en un momento u otro. No se puede servir a la experiencia, a día de ayer o de otro tiempo, que se llevó a cabo con el fin de refutar. Esto tiene que suceder para refutar el momento de la presencia pero no fuera porque si te das cuenta de esta refutación al aire libre cuando se vive, es absolutamente inútil, porque el Ser no es el que El auto no depende de una historia o un recuerdo, ya que define precisamente como la instalación en el aquí y ahora, en el presente. Pero el Absoluto no es el presente, sobre todo si esto ha ocurrido y vuelve a día de ayer.

La réplica puede ocurrir, en este caso, sólo cuando la presencia se experimenta, y no fuera. Si ha introducido el mecanismo, en el momento en que se manifiesta la presencia y el presente (en la vibración, la percepción de lo que se llama las coronas del corazón, incluso en la vibración en el fuego del corazón, o lo que Usted ha sido descrito recientemente como temblores y escalofríos), es en este momento en el que se puede vivir de la disolución. Pero no como una transición de un estado a otro, pero en la des-identificación, ni siquiera de eso. Y esto es natural. Debe ser utilizado, por así decirlo, de esos momentos en los que se viven. Esto es a diferencia de la estrategia de la investigación y la refutación, ya que se lleva a cabo en el I o en el auto. No es que no solicitarán ni para expresar o manifestar el menor esfuerzo, ya que es precisamente la falta de esfuerzo que permite que el Absoluto sea. No hay otro ejercicio, por sí mismo, como éste. Una vez que fue a través de la que, en muchas ocasiones, también desmentir esto simplemente tirando de su conciencia de mí mismo, sin poner la conciencia en otra parte: que se disolverá. Y entonces usted sabrá, envíe el formulario, por supuesto, la felicidad, el éxtasis y la risa. No proyecto, ya sea en las ideas sobre los territorios no autónomos. Recuerde que puede ser abordado, ni se conoce. La desaparición de todo lo que no es él que no puedo dejarlo, y esto ocurre, él, a partir de ese momento. Usted no puede ir a la Self con facilidad incluso más de lo que a la Ser o Yo, el que el Sí mismo. Debido a que, una vez que este mecanismo se inicia, la posibilidad de paso, tanto el auto como el último auto en el que, se hace evidente. No considera el no-yo como resultado de la auto porque es cualquier cosa menos eso. Si usted hace esto, todo esto va a parecer, y tener experiencia en una forma obvia, sin dificultad.





Pregunta: ¿Cómo cambiar fácilmente el estado de la homosexualidad a la heterosexualidad?
¿Qué tan importante es y qué diferencia hace en realidad? ¿Por qué se ata tan importante? Lo que es el gen que se expresa? El interés no es así, porque si hay un interés aquí, esto sólo se aplica, ¿qué? El amor personal entre dos personas, entre dos conciencias. El Absoluto no tiene nada que ver con eso. Esto se refiere al alma, o, si lo prefiere, el complejo más bajo, el cual está sujeto al deseo, si es necesario, con el amor que se expresa en el cuerpo, expresa el alma. Esto se aplica a la I. Ni el yo ni el Absoluto, porque el Ser no se ve afectada por la elección del cuerpo o del alma. Si el Ser es, si me encuentro no se trata de este tipo sólo puede surgir debido a que el auto no tiene necesidad de menor complejidad, sea cual sea el deseo de la búsqueda o se expresa: no es que se trate. La sexualidad se refiere únicamente al tamaño, lo que se elimina o se encuentra, en términos de placer o el amor. Esto no representa ningún interés, y no tiene ningún efecto sobre el Sí mismo. Simplemente, cuando el auto se dio cuenta, cuando haya terminado, la llamada esfera sexual o romántico pueden aparecer o desaparecer, o, también, ser transformados. Pero esto ya no es una prioridad, es más vitalidad, y menos aún, una esencialidad. El Sí mismo no es una cuestión de sexo o el amor, el nivel del alma. En cuanto a lo Absoluto, lo que es absoluto puede ser interrumpido, ya sea de un modo u otro, por lo que sucede en el complejo menor: no tiene ningún uso para él. Esto no es un rechazo, no es una negación de la vitalidad, pero es una transformación de la vitalidad. Debido a que en ese momento, y sólo entonces, lo que se llama el sexo o los genitales ya no sirve a la genitalidad: se alimentan el corazón. Fuego vital ya no es simplemente una vitalidad, sino un fuego que transmuta por la ola de la vida ha cambiado las cosas. A pesar de que era el éxtasis, aun cuando no disfrute. El sexo no tiene nada que ver con eso, incluso si pasa por este lugar. Se unió a la del corazón, no el corazón, pero tomó imágenes de la Vibral Corazón. Y el Absoluto está más allá de eso. Así que no se hace esta pregunta. Pregúntate a ti mismo la pregunta clave, el resto será seguir o no seguir, sin afectar a nada. Sencillamente, porque tanto en el auto en el Absoluto, incluso con un formulario, todo esto es realmente lo que es:. La búsqueda del hombre desaparecido o mujer Pero no le falta nada. Esta es la división que ha creado esta investigación y la falta de vitalidad. En Ser, como en el Absoluto, todo es orgasmo, todo es sexo, no hay tabúes que conoces y sin practicar nada. Es superfluo. El Ser, el Absoluto, va a trascender y eliminar todo lo que tiene que ver con el animal, que no era precisamente la conexión con el Ser, el Absoluto. En este caso, como en el auto en el Absoluto, hay más noción de sexo, porque incluso lo que se planeó como del sexo es que un aumento de Fuego interno al Corazón que el Absoluto no tiene ningún uso.






Pregunta: A veces tengo la impresión de ser como un niño, flotando en la inmensidad, sin conciencia, sin puntos de referencia, nada, a sabiendas de lo más profundo de mi ser que es el Absoluto . ¿No es esto contradictorio?
No, porque usted es el Absoluto, y esto se expresa también en un formulario. No hay un Absoluto con una forma y el Absoluto sin forma. Esta forma es esta bolsa de alimentos y su conciencia. El Absoluto no es perturbado por la desaparición del cuerpo y la conciencia de este órgano. Esto es lo que se hace: no hay contradicción. No hay nada que añadir a esto: es muy simple. El Yo se utilizan imágenes, como el bebé, como si nada, pero es sólo la traducción de lo Absoluto cuando ya no regresó y Ser del Ser, o la esencia. En ese momento, te das cuenta de lo que se llama las Lilas del Señor. Estos son los juegos. No es un verdadero placer para vivir, entonces a dar testimonio ya lo observamos, pero eso es todo. Esto muestra que una vez que lo desconocido se convierte en su casa, en ese momento, puede cambiar de uno a otro, y otro a uno sin dificultad. Eso es lo que ha creado la contradicción. Sin embargo, usted se convierte en capaces de identificar el Ser Absoluto y la y la presencia, sin ninguna dificultad. Pero esto es lo que crea la sensación de contradicción, que no existe.

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