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viernes, 25 de mayo de 2012

BIDI



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BIDI

 

7 mai 2012
Question : quand je pose une question, les 3/4 du temps je ne comprends pas la réponse.
Bien. Si donc il existe trois quarts du temps une absence de compréhension, il te reste donc un quart du temps où il y a compréhension. Je te répondrais que, à quoi te sert la compréhension ? La compréhension est systématiquement un acte du mental qui s'empare d'une réponse, quelle qu'elle soit, et s'en satisfait parce qu'elle nourrit ce-dit mental. Nous pouvons donc dire que dans les trois quarts du temps il y a impossibilité de nourrir ton mental. Et donc que tu ne perds que le quart de ton temps.

Les questions sont infinies. Les réponses le sont tout autant. Que cela soit dans le cadre que je vous ai proposé ou dans le cadre de tout intervenant, une question appelle une réponse, cette réponse appelle une autre question. Ainsi va la vie de l'être humain au sein de l'illusion. L'illusion a besoin de se rassurer et elle se rassure en comprenant. Comprendre ne te permettra jamais de vivre quoi que ce soit ailleurs que dans le mental, ailleurs que dans l'illusion. Il faut justement dépasser et transcender toute compréhension : aller au-delà de la compréhension. C'est-à-dire que la question appelle une réponse, qu'au-delà des mots qui sont prononcés, au-delà de ce qui est compris ou incompris, le but n'est jamais de nourrir le mental, même si cela en donne l'impression, et vous en donne la saveur. L'important se situe Ailleurs, bien au-delà de l'illusion. Bien au-delà aussi de ce que vous pouvez percevoir ou ressentir dans la présence d'un intervenant ou d'un autre. L'important est exactement Ailleurs. Parce que cet Ailleurs est ce qui va te permettre de nourrir l'Essentiel et non pas le mental. Nourrir le mental ne nourrira jamais l'Essentiel, parce que l'Essentiel n'est jamais mental et il ne peut être nourri par la même nourriture. L'Essentiel se nourrit de rires et de joie. Il ne peut aucunement se satisfaire d'une explication logique venant de l'illusion et servant l'illusion. L'Essentiel n'est donc pas accessible à une quelconque compréhension, et je dirais qu'il est préférable de s'endormir dans ce que nous disons, plutôt que de faire fonctionner, marcher, le mental pour en tirer quelque chose qui va, finalement et en définitive, exclusivement nourrir le mental.
Bien sûr, la compréhension va satisfaire l'ego et la personnalité. Parce que cet ego et cette personnalité vont, sans juste raison, s'approprier la réponse et avoir un élément de nourriture qui va renforcer, de manière permanente, l'ego. La compréhension va renforcer les croyances, quelles que soient celles-ci. Les réponses aux questions et les questions que vous vous posez vont nourrir le mental, nourrir les croyances, vous renforcer ou vous invalider dans vos propres croyances. Bien évidemment, là n'est pas le but de nos entretiens, ni d'aucun entretien concernant là où vous êtes et là où nous sommes. Bien sûr, les mots sont souvent un support (et vous le savez) pour vivre une Vibration, une conscience différente, nouvelle. Mais là aussi, il vous faut aller bien au-delà. Là aussi, je vous invite à ne pas vous satisfaire aussi bien d'une compréhension que d'une Vibration mais de transcender tout cela. Ainsi, je te dirais : fais taire la compréhension, fais taire la Vibration, car tu n'es ni ce que tu comprends, ni ce que tu Vibres. Va au-delà. Endors-toi. C'est là où tu es la plus efficace, la plus active : pas ici, mais Ailleurs. Or je te rappelle que tu n'es rien de ce qui est connu dans l'illusion. Tu es Ailleurs, à condition d'être pleinement présente, Ici et Maintenant, à cet Ailleurs. Il faut chasser toute culpabilité, il faut cesser tout jugement sur le fait de non comprendre ou de comprendre, parce qu'aucune satisfaction n'est réelle. Elle ne nourrit, encore une fois, que l'ego, que la personnalité. Ne pas avoir de questions ou ne plus avoir de questions, c'est déjà se retourner vers cet Ailleurs. C'est déjà entreprendre, en quelque sorte, un retour vers Ailleurs. Dès l'instant où tu ne nourris plus (par des interrogations ou par des réponses) ton propre mental, dès l'instant où tu ne t'en sers plus pour nourrir la Vibration du Soi, alors, les espaces Absolus, en quelque sorte, sont prêts à se dévoiler, à se révéler, pour toi.
Dans le principe de l'enquête que je vous ai proposée, de la réfutation, c'est justement le déni, si l'on peut dire, de tout ce qui avait été compris et assimilé jusqu'à présent qui va permettre, justement, en quelque sorte, de faire disparaître la machine infernale que représente le cerveau. Laissant place nette, place libre, pour ce qui n'est pas éphémère. Je t'invite donc à dormir, parce que, quand tu dors, tu n'es jamais aussi près de la Vérité et du Centre. Parce que, quand tu dors, tu es, Ici et Maintenant, dans l'Absolu, mais non pas ici et maintenant de l'ego ou du Soi. Cela prouve, de manière irréfutable, que dans les instants où tu es capable de dépasser la compréhension parce que, comme tu le dis, tu n'as pas compris (c'est-à-dire dans les moments où tu te trouves en incompréhension), c'est très exactement ces moments-là où tu es (je dirais, de manière imagée) au plus proche de l'Absolu. Contrairement à ce que vont te susurrer l'ego et la personnalité qui veulent te faire croire qu'en comprenant les choses, tu t'appropries un état ou une conscience nouvelle. Rien n'est plus faux. Rien n'est plus distordu. Rien n'est plus illusoire. Je t'invite donc à rentrer dans les quatre quarts des fois, dans cette fameuse incompréhension.
Bien sûr, le mental et l'ego, la personnalité, vont tourner la réponse dans tous les sens pour essayer de la comprendre, de l'assimiler. Heureux celui pour qui il ne peut y avoir la moindre assimilation, parce qu'à ce moment-là il n'y a plus de nourriture pour l'ego et pour le mental. Et cette nourriture, pourtant, est là. Elle a, en quelque sorte, été créée. Ce sont des mots, ce sont des Vibrations qui ne peuvent se perdre. Ce n'est pas parce qu'ils ne sont pas compris, ce n'est pas parce qu'ils ne sont pas écoutés, qu'ils ne sont pas entendus. Ce qui était entendu nourrira, un jour ou l'autre, autre chose que ce que tu connais. Et bénis ce moment où, justement, cette autre chose t'apparaîtra. Elle a toujours été là. Elle est au Centre de Toi. Elle est immobile, elle est l'absence de mouvements. Elle est permanente, éternelle, ne connaît aucunement la compréhension, aucunement l'ego, aucunement la personnalité. Elle est justement ce que tu prétends chercher et que tu ne peux chercher et donc que tu ne peux trouver. Parce que ce qui cherche est toujours l'ego, toujours la personnalité ou l'illusion du Soi. Dès l'instant où tu acceptes qu'il n'y a rien à chercher et donc rien à trouver, je peux te dire qu'à ce moment-là, le fruit est mûr. Bien souvent, la personnalité, l'ego va se rétracter et va appeler cela le néant, le vide, dans une angoisse totale.
Jamais tu n'as été aussi proche de ce que tu Es, au-delà de l'être. Je te conseille donc de te servir de tes trois quarts de ton temps où tu ne comprends pas pour laisser entendre ce qui, en toi, comprend (au-delà des mots, au-delà de la Vibration), parce que, à cet instant, tu sors de l'instant et tu rentres, réellement, dans l'Ici et Maintenant. L'Ici et Maintenant est nécessaire pour se rapprocher de l'instant présent. Mais l'instant présent n'est pas l'instant éternel. L'instant présent est un arrêt du temps, une sortie de la linéarité du temps qui est le propre et la spécificité de l'ego et du mental, action/réaction. L'instant présent te fait découvrir Ici et Maintenant. La puissance de l'instant présent ne doit pas être non plus une quête ou une finalité parce que l'instant présent doit déboucher sur l'instant éternel qui ne dépend d'aucun instant présent. Le néant, le vide, l'angoisse la plus totale de la personnalité et de l'ego, est certainement le signe majeur que l'Absolu se révèle. Cette angoisse de la personnalité, ce vide, ce néant, cette perte dramatique, cette non compréhension, cette violence même qui peut exister dans ces moments-là, est certainement l'instant présent qui va céder sa place à l'instant éternel dans l'abandon du Soi lui-même au non-Soi, au non-être, à l'Absolu qui a toujours été là.
Saisis et accepte que le fait de chercher, et pire, le fait de trouver, ne fait que t'éloigner de l'Absolu. Si tu acceptes cela (et il n'y a pas grand chose à comprendre, je te l'accorde), tu auras fait un pas immense vers l'immobilité, vers ce qui est au-delà du vide, au-delà du plein, au-delà du moi, au-delà du Soi, donc dans le non-Soi et le non-être. Et un jour, tu riras de toi-même, tu riras de ton Soi, parce que tu les auras débusqués, non pas dans une quelconque volonté, non pas dans une quelconque compréhension. Mais ce qui aura été entendu aura œuvré. À l'insu de ton conscient, puisque l'Absolu n'a rien de conscient. À l'insu de ton Soi, puisque le non-Soi n'a rien à voir avec le Soi. En définitive, je te remercie donc pour ta non question parce que, justement, il y a là un moteur qui te met en route, du moins, le crois-tu, vers un Absolu. Parce que, bien sûr, tu l'as compris, il n'y a ni route, ni chemin, ni compréhension, ni interrogation. La réponse que je formule n'est qu'un moyen d'être dans le bonheur avec vous, d'exprimer sur ce que rien ne peut être exprimé, c'est-à-dire l'Absolu. Saisissez bien qu'à travers cette phrase il n'y a pas d'erreur de langage, mais bien une Vérité immobile, éternelle et absolue.
Il te faut arrêter de chercher et de croire que tu vas trouver et pire même, de trouver. Il n'y a que dès l'instant que tu arrêtes la quête, dès l'instant où tu arrêtes de trouver, dès l'instant où tu ne comprends plus rien, que peut se faire jour ce qui a toujours été là. Pas avant. Parce que la compréhension, comme le chemin, comme la route, ne sont, en définitive, que des obstacles qui t'empêchent de vivre, de pénétrer ce qui t'a toujours pénétré : l'Absolu. Comme nous l'avons dit : l'Absolu n'est pas un état, encore moins une expérience, encore moins une conscientisation, il est là. Il a toujours été là. Quoi que tu fasses, quoi que tu vives (que tu sois vivante ou morte, que ton corps soit là ou pas, que le monde soit là ou pas), ce qui est derrière celui qui observe, c'est Toi. Mais pas toi dans un nom, pas toi dans une identité, pas toi dans des connaissances, pas toi dans ton intellect, pas toi dans une histoire, quelle qu'elle soit, pas toi dans une relation, quelle qu'elle soit. Si tu entends ce que je dis, et bien, selon où tu te places, soit tu as tout compris, soit tu n'as rien compris. Je te laisse deviner ce qui est, en quelque sorte, préférable pour toi. Sachant que je ne m'adresse jamais à ce qui ne fait que passer (c'est-à-dire ta personne, c'est-à-dire ce Soi si chèrement acquis). Accepte que tu ne peux rien acquérir qui ne soit déjà. Je ne te demande pas de comprendre, mais d'entendre, ce qui n'a strictement rien à voir. Si tu entends qu'il n'y a rien à acquérir, tu ne peux donc rien mettre en mouvement, tu ne peux que rester tranquille, laisser faire. Si tu entends cela, alors il y a le néant. Mais qui voit le néant ? Va au-delà de celui qui voit le néant. Tu n'es pas Toi, dans celui qui voit le néant. Va, non pas plus loin, parce qu'il n'y a rien à dépasser, mais va plus dans les profondeurs, sans descendre et sans monter. Laisse simplement disparaître ce qui est compris. Laisse apparaître ce qui est incompris. Et tu seras, si je peux dire, très proche. Nous pouvons avancer. En restant immobiles.
Question : quelle est la différence entre transcendance et réfutation ?
Faut-il déjà que ces deux termes s'appliquent à quelque chose de commun, pour parler de différence. On parle de différence de couleur de peau quand on parle d'une peau qui est blanche ou d'une autre de couleur. Quel est l'élément commun qui existe entre la réfutation et la transcendance ? Si ce n'est, je pense, dans ta tête, qu'il te faut passer de l'un à l'autre. La réfutation est une gymnastique qui vise à faire dérailler le mental, à le sidérer, en quelque sorte, à le noyer dans ses propres certitudes, dans ses propres croyances pour lui démontrer et lui montrer qu'elles n'ont aucun sens. La transcendance évoque, le plus souvent, un passage d'un état à un autre, d'un moment à un autre, passage d'un état ou d'un moment qui évoque, en quelque sorte, une transformation, une possibilité de pont de l'un à l'autre. La réfutation est tout sauf un pont parce que la réfutation est une action inscrite au sein de l'illusion, brisant l'illusion. La transcendance est posée comme condition qu'il y a un état qui doit donner un autre état. La réfutation ne permet pas de passer d'un état à un autre état. La réfutation va supprimer tous les états. Ayant fait disparaître tous les états, ce qui a toujours été là peut enfin apparaître à celui qui, si l'on peut dire, regarde. Et celui qui regarde va, en définitive, devenir cet Absolu. La transcendance est une dynamique : il y a un mouvement, apparent, supposé ou réel. La réfutation vise à détruire tout mouvement, sans effort, simplement en jouant le jeu, en quelque sorte, du mental illusoire et le jeu de la personnalité. La transcendance, c'est déjà envisager qu'il y a un passage et déjà, le plus souvent, ce passage est celui du Je, de la personnalité, au Soi. Mais il n'y a aucune transcendance entre le Soi et le non-Soi. Ce n'est pas possible. On ne passe pas d'un état à l'autre. Il n'y a pas de pont. Simplement, quand le non-Soi est établi, à ce moment-là vous pouvez repasser dans le Soi et dans le Je. Et cela devient, pour vous qui êtes dans la forme, un jeu, mais c'est valable dans ce sens. On peut dire que le pont existe dans ce sens et que réellement, là, oui, il y a transcendance : du non-Soi vers le Soi. Éventuellement, du Soi vers le Je. Il y a transcendance du Je vers le Soi, mais il ne peut y avoir transcendance du Soi au non-Soi. Il n'y a pas de pont. Le pont ne se construit que dans l'autre sens. C'est un pont à sens unique, mais qui permet le double sens, après.

La transcendance ne peut donc concerner l'Absolu. La transcendance ne concerne que le passage du Je au Soi. Le problème du Soi, soit-il le plus vaste, est toujours un enfermement. Avant d'être le Soi, avant que ce corps n'existe, avant que ce sac de nourriture apparaisse, est-ce que le Soi était là ? Est-ce qu'il y avait une conscience pour l'observer ? L'Absolu est tout sauf la conscience, tout sauf le Soi, tout sauf le Je, parce que le Soi comme le Je sont éphémères. Il ne peut exister de transcendance, dans ce sens-là. La transcendance est utile pour celui qui veut passer du Je au Soi. Mais cette transcendance ne peut être mise en avant, en aucune manière, dans le passage du Soi au non-Soi, puisqu'il n'y a pas de passage. Cela rejoint la problématique de la question et de la réponse. Tant que vous cherchez un passage (qui n'existe pas), tant que vous envisagez une transcendance, il y a (sous-entendu, en vous) le besoin de persistance au sein d'une identité, qu'elle soit limitée comme le Je, ou vaste comme le Soi. Mais vous n'êtes pas une identité, encore moins une histoire, quelle que soit l'histoire, parce que l'histoire se déroule dans l'illusion. Vous êtes bien au-delà de toute histoire ou de toute transcendance. Vous ne pouvez y arriver en adoptant de tels points de vue. Parce que vous ne savez pas, vous n'avez aucune conscience de ce qui était avant ce sac de nourriture, et même si vous connaissez d'autres sacs de nourriture qui étaient supposément vous, avant, dans d'autres vies, où étiez-vous entre les deux sacs de nourriture ? Que faisiez-vous ? Si vous avez la réponse à cela, alors la réponse est vraie. Mais tout ce que vous supposez avant est faux.
La réfutation est d'accepter de se servir de l'outil qui croit toujours avoir raison pour lui montrer qu'il n'est pas la raison, qu'il n'y a aucune logique dans la raison, que cette logique ne peut que servir dans l'illusion pour maintenir l'illusion, pour entretenir l'illusion, pour nourrir l'ego ou nourrir le Soi. Mais l'Absolu ne peut être nourri par cela. Je dirais qu'il l'étouffe un peu plus, qu'il le noie un peu plus. Rappelez-vous : le Je, le Soi, feront tout ce qui est en leur pouvoir pour que jamais vous ne soyez immobiles, pour que jamais l'Absolu soit vécu. Il n'y a que la réfutation. Il n'y a aucune méditation, aucune spiritualité, aucune Vibration, qui peut vous conduire au non-Être. Certes, cette transcendance du Je au Soi, dans les premiers temps, est utile (voire même indispensable parce qu'elle va rassurer le Je, le Soi), démontre que le Je est illusoire. Mais qui va démontrer que le Soi est illusoire ? Personne, parce que le Je n'est plus là quand le Soi est là. Il vous faut donc non pas transcender mais faire taire tout ce qui est le Soi. Mais ce faire taire ne peut se réaliser de là où vous envisagez d'être. Aucunement. Cette transcendance, ainsi nommée, n'est en fait que la réfutation qui permet de saper les fondements du Je et du Soi, créant (et le terme est exact) un court-circuit. Qu'est-ce que c'est qu'un court-circuit ? C'est justement ce qui ne va pas emprunter le circuit naturel et qui fait donc disjoncter ce qui ne sert à rien.
La réfutation est se servir (en quelque sorte, dans l'exemple que j'ai pris) du courant existant, de cette vitalité éphémère soutenue par le corps de nourriture (quels que soient les noms savants que vous employez : chakra, Kundalini, Êtreté), pour le faire disjoncter. À ce moment-là, la réfutation va vous faire déboucher sur ce qui est réel parce que comprenez que le réel ne peut pas changer, parce que s'il change, il n'est pas le réel. Le réel est immobile. Il n'a que faire du monde, il n'a que faire de vous, de votre histoire, de toute histoire. Et vous êtes cela. Rien d'autre. Et donc si tu poses calmement cette réfutation, tu comprendras qu'il n'y a rien à chercher ni à trouver parce que tout a toujours été là.
Mais il faut cesser tous les Je, tous les Soi, toutes les parodies de spiritualité. Même la Joie, qui a tant été utile dans votre chemin, doit être transcendée mais ne peut être transcendée. C'est, en fait, le rire de l'Absolu qui fait le passage, mais pas dans l'autre sens. Dans ce sens là et seulement dans celui-là. Alors, si tu ris de toi, si tu ris de ton Soi, si tu te ris de tout, d'abord cela va t'angoisser, parce que la spiritualité, c'est sérieux, n'est-ce pas ? On parle d'éternité, on parle de permanence, d'immanence, de transcendance. Mais il faut rire de tout cela. Parce que cela change, et tant que quelque chose change, ce n'est pas réel. Et toi-même tu changes tous les matins, donc ce n'est pas réel. C'est l'ego qui va te faire croire ça, qui va apporter une substance à ce qui est irréel. Le réel ne peut changer. Il est Absolu. Tout ce que tu manifestes change : ton humeur, ton physique, celui qui observe.
Si je peux m'exprimer ainsi, va vers le vide, va vers ce que ton ego appelle le néant. Et tu trouveras ce qui est plein, ce qui ne bouge pas, ce qui ne change pas. Cela a toujours été là et tu Es cela. Tu découvriras alors que tu n'as pas à te gargariser d'Amour ou de Lumière parce que c'est très exactement ce que tu Es, et tu N'es rien d'autre. Si tu envisages la Lumière et l'Amour comme extérieurs à toi, comme une quête, comme une recherche, tu ne pourras jamais les trouver. Tu ne pourras que les voir, parce que tu t'es distancié et séparé de ce que tu Es, dans le réel. Tu as juste à Être cela, dans le non-Être, dans le non-Soi. Tu veux être heureux ? Il n'y a pas d'autre chose pour être heureux. Tout le reste ne fait que passer. Même la Joie. Même la Kundalini. Même les chakras. Que deviennent tes chakras quand tu meurs ? Que devient ta Kundalini quand tu meurs ? Peux-tu emporter ta Kundalini de l'autre côté ? Qu'est-ce que tu emportes ? Vas-tu emporter tes souvenirs ? Vas-tu emporter ton histoire ? Tout cela change. Ce n'est pas réel. Et tu Es réel.
Réfute et tu verras ce qui se passe et qui a toujours été là. Transcende si tu veux, mais surtout réfute. Transcender ne suffit pas. Réfuter suffit, totalement. Reste tranquille. Apprends à rester tranquille. Ce que vous nommez la spiritualité vous fatigue plus qu'autre chose. Remerciez, même, de ne pas comprendre. Remerciez, même pour ceux qui n'ont pas vécu le Soi, parce que le champ est libre pour le réel et pour le non-Soi. On n'accède pas au non-Soi à partir du Soi, même si c'est une étape qui semble réelle. Le non-Soi n'a que faire du Soi et encore moins du Je. La Source sort de l'Absolu. L'Absolu contient la Source. La Source ne contient pas l'Absolu, même si l'Absolu est présent dans la Source. Il ne peut en être autrement. De même que ton Je est rendu possible par l'Absolu. Et il ne le sait pas. Si tu réfutes ainsi, de cette manière, tes progrès (si tant est que l'on puisse parler de progrès) seront foudroyants. Mais rappelle-toi que l'ego va tout faire pour te dire que c'est stupide, alors que c'est lui qui est stupide. N'attache aucune importance à ce qui passe. Et toi d'ailleurs tu ne fais que passer. Rends-toi compte de cette absurdité. Ce que tu Es est Absolu. L'erreur est de croire que ce corps, cette histoire, ce chemin, sont l'Absolu. L'Absolu permet cela. S'il n'y avait pas d'Absolu, il n'y aurait pas de Je, pas d'histoire, rien. Or il n'y a pas rien. Tout au plus la perception du néant, de l'angoisse, mais même cette angoisse est sous-tendue par l'Absolu. Sans Absolu, pas d'angoisse. Mais tout cela est à réfuter. Parce que si je te demande de transcender une angoisse, comment vas-tu faire ?
Question : La compassion du cœur (par opposition à la compassion de la tête et la volonté de Bien) peut-elle tendre à l'Abandon ?
Jamais. C'est impossible. Parce que la compassion dépend toujours de la personnalité ou du Soi. La compassion est exercée envers quelque chose qui est considéré comme extérieur. L'objet de la compassion est une projection. La compassion conduit au Soi, mais jamais au non-Soi. Parce que la compassion, action du Cœur ou de la tête, ne change rien. De la même façon que manifester l'Amour, donner de l'Amour, n'est pas Être l'Amour. Vous ne projetez que ce qui manque. L'Absolu ne manque de rien. Et donc, vous Êtes Absolu. Manifester ou exercer une compassion de Cœur vous place, de manière permanente, dans l'illusion, parce que vous entretenez quelque chose d'extérieur : il y a vous, il y a l'autre. Et vous manifestez une compassion, envers une situation, envers un être. C'est justifié tant que vous êtes tributaire de la Dualité, de l'Action / Réaction. La volonté de Bien, comme la compassion, ne sont que des pis-aller de la Dualité, vous faisant croire que vous êtes dans un juste chemin, mais maintient, en permanence, la distance entre vous et l'autre. Il n'y a pas de vous. Il n'y a pas plus d'autre. C'est une illusion. Comment est-ce que quelque chose qui est manifesté au sein de l'illusion pourrait conduire à un quelconque Abandon ? Qui vous l'a dit ? Qui en a rendu témoignage ? Vous Êtes l'Amour. Vous Êtes la compassion. Mais si vous exercez une compassion, vous mettez une distance : vous n'êtes plus au Centre, vous n'êtes pas Absolu. Bien sûr qu'il est préférable d'exercer la compassion que de tuer. Mais dans ce préférable, il y a toujours une situation au sein de l'illusion. Une illusion plus agréable, mais toujours une illusion. Aucune illusion ne peut vous faire accéder au Vrai, au Réel. Tant que vous agissez dans l'illusion (et je dirais, même, surtout si vous êtes persuadé d'agir pour le Bien, même sans volonté de Bien), si vous êtes persuadé que vous êtes un être compatissant, aimant, charitable, vous ne bougerez pas d'un iota de l'illusion et vous serez très loin de l'Absolu.

Le non-Être n'a que faire l'Être, quel que soit l'Être, quoi que manifeste l'Être. Un Être qui est passé sur Terre vous a dit : « vous n'êtes pas de ce monde». Donc, ce que vous exercez, au sein de ce monde, en y mettant votre Conscience, vous maintient dans le monde. Même cela est à réfuter. Le monde n'a pas plus de légitimité que toi, que ton histoire, qu'une quelconque compassion. La compassion est une manifestation altérée de ce que tu Es, qui te fait considérer l'autre comme sujet à compassion. Laisse tomber tout cela. Tu n'as pas besoin de cela. Il n'existe pas de solution de continuité. Croire ou faire croire que, parce que tu es compatissant, tu vas sortir de ce monde, est faux. Ou alors il faudrait que l'ensemble de ta vie ne soit que compassion et que tu sois en compassion devant la fourmi, comme devant l'éléphant, comme devant l'ennemi. Parce que tu montrerais, à ce moment-là, que ta compassion n'est pas dépendante des circonstances ou de l'objet de la compassion. Cela n'est jamais le cas, bien sûr. Rappelle-toi ce que j'ai répondu juste avant : il n'y a pas de pont, il n'y a pas de continuité, dans ce sens-là. Mais si tu es Absolu, bien sûr que tu pourras compatir. Mais tu n'interfèreras plus dans le monde, dans ce qui croit encore être un autre, séparé, divisé. Comment veux-tu voir l'engrenage tant que tu as un doigt dans l'engrenage, tant que tu en es un rouage, même ? La compassion est louable, mais louable au sens de la morale. Au sens spirituel, ce n'est pas Absolu. Il te faut dépasser cela, en le réfutant, là aussi. Je ne te demande pas d'être méchant, non plus. Je te demande simplement de voir que tu n'es ni l'un, ni l'autre. C'est le propre de l'ego de croire qu'il va persister. C'est le propre de l'éphémère de te faire croire qu'il est éternel. C'est le propre du faux de te faire croire qu'il est vrai. Il n'existe aucune satisfaction t'ouvrant les portes du Ciel, parce qu'il n'y a pas de Ciel. Il n'y a pas plus d'Enfer. Il y a juste une projection, en dehors de l'Absolu, qui se croit autonome et qui croit qu'il est possible de maintenir l'éphémère tout en retournant à l'Absolu. Il n'y a pas de continuité. Tu Es l'Amour.
Exprimer la compassion est une projection de l'Amour. Encore une fois, il est plus agréable de vivre et ressentir la compassion qu'autre chose. Mais même ressentir cela ne te conduira jamais à l'Absolu. Il est plus agréable d'avoir à faire à une personnalité compatissante qu'à une personnalité paranoïaque. Mais c'est toujours une personnalité. C'est toujours de l'éphémère qui accompagne un sac de nourriture. Contrairement à ce qu'on peut imaginer, ce n'est pas parce que ton sac de nourriture voit une compassion à exprimer en face d'un autre sac de nourriture, en affirmant que tu vois au-delà du sac de nourriture, que tu vas réellement croire que cela peut être vrai. C'est une illusion. L'autre n'a pas plus de substance que toi. C'est la personnalité qui veut se transformer qui parle de compassion. C'est le Soi qui va parler de compassion et d'identification aux modèles spirituels : le Christ, Bouddha, Krishna, j'en passe et des meilleurs. Mais peux-tu me dire où sont ces prophètes aujourd'hui ? Peux-tu me dire où je suis, sans venir à moi ? Non. Tu ne peux que projeter un idéal, une conduite. Mais tu n'es pas l'idéal. Tu n'es pas la conduite. Oublie tout ça. Réfute tout ça. Tu Es Absolu. Si tu étais capable, à chaque souffle, de te remplir de ce Réel, tu deviendrais ce que tu Es, extrêmement rapidement. Au lieu de cela, tu parcours, de vie en vie, de sac de nourriture en sac de nourriture, en courant après quelque chose que tu ne peux jamais rattraper. C'est comme l'âne devant qui on a mis une carotte au bout d'un bâton. Est-ce que tu comprends l'image ? Il n'y a pas d'âne. Il n'y a pas de carotte. C'est une projection. Ça n'a pas d'existence, pas de substance. C'est inscrit dans un temps qui est limité par la naissance et par la mort. Qu'est-ce que tu vas faire de ta compassion de l'autre côté ? Un passeport ? Il ne sera pas reconnu.
Question : L'Absolu, c'est donc le Tout, sans forme, sans identité, sans Conscience : le néant ?
Non. Ce qui dit ça, c'est la personnalité. La personnalité va te faire croire que l'Absolu est le néant et tant mieux. Mais ce n'est pas le néant. C'est le néant pour la personnalité, pour l'ego. C'est l'ego qui est attaché à cette notion de néant. Le néant est la dernière marche (si je peux m'exprimer ainsi) qui précède l'Absolu. Pour l'Absolu, c'est toi, le néant. Parce que tu es un sac de nourriture, rien de plus. Ce corps meurt, quoi que tu fasses et quoi que tu dises. C'est une certitude. Donc tu retournes au néant. Ce qui disparaît, c'est ce corps, cette Conscience. Donc, de ton point de vue, l'Absolu c'est le néant. Je te réponds que, du point de vue de l'Absolu, c'est toi, le néant. Tu n'as aucune consistance. C'est l'ego qui te fait croire que tu es quelque chose et qu'il faut réaliser le Soi. Rappelle-toi : l'Absolu t'est inconnu. Inconnu ne veut pas dire néant. Par contre, oui, toi, tu es le néant parce que tu n'es pas Absolu. Tu ne peux parler de ce que tu ne connais pas. Tu ne peux t'en saisir. Tu ne peux le comprendre. Tu ne peux que le vivre. Mais les garde-fous sont nombreux. L'ego va te dire c'est le néant. L'ego va te dire : « ce n'est pas vrai ». Parce que tu tiens à ton histoire, parce que tu tiens à ta spiritualité, parce que tu tiens à ce qui est faux et tu crois que c'est vrai.

Tu n'es qu'un être de croyances. Tu t'appuies sur des croyances, tu t'appuies sur des sables mouvants qui disparaîtront en même temps que toi. Ce que je te propose c'est de réfuter cela. Ne te pose pas la question de ce qu'il y a derrière. Tu ne peux le savoir, tu ne peux le vivre, tant que tu n'as pas réfuté. Alors tu peux porter tous les jugements sur l'Absolu, dire : « c'est le néant, c'est le rien, c'est le vide ». Mais tu n'en as, pour autant, aucune expérience. Sinon jamais tu ne pourrais dire cela. Les mots, même, que tu emploies, montrent bien que tu es dans l'illusion et que ta supposition est fausse. L'Absolu n'est pas le vide : il est, aussi, le vide. L'Absolu n'est pas le néant : il est, aussi, le néant. La personnalité ne sera jamais Absolue parce qu'elle est éphémère et elle change. La personnalité ne connaît pas la Joie, parce que la Joie alterne toujours avec la souffrance. Parce qu'il y a des besoins, des désirs (spirituels, comme physiques, comme physiologiques). L'Absolu n'a pas de désirs, pas de besoins. Il est le Réel. Tu es irréel. Et l'irréel prétend connaître le Réel. C'est impossible. Il s'en fait une représentation à partir d'un point de vue qui est faux. La représentation ne peut être que fausse. Rappelle-toi : l'Inconnu ne peut être connu par toi. Parce que toi (au-delà de ce sac, au-delà de tes revendications), tu Es cela. Il faut cesser toute projection. Il faut cesser toute supposition, toute croyance. L'Absolu n'est pas une croyance. N'en fais pas une croyance. Il n'est pas, non plus, une supposition. Il est le Réel, ce qui ne change jamais, ce qui était avant que tu sois ou que tu apparaisses sur ce monde.
Ce monde n'est pas Absolu : il change. Pour l'Absolu, il n'existe pas. Le monde n'est qu'un défaut dans la pureté du non-Être, dans la Transparence du non-Être, de l'Absolu. Tant que tu penses l'inverse, tu te condamnes toi-même à rester limité et prétends chercher l'Illimité. Si tu cherches quoi que ce soit, c'est que tu admets et penses que tu es vide. Sinon, pourquoi chercher à remplir quoi que ce soit de Joie ou de spiritualité ? L'Absolu ne cherche rien. Il ne peut pas chercher. Il ne peut rien trouver. C'est toi qui espère trouver. C'est toi qui cherche. Mais tu ne peux pas trouver, ni chercher, ce que tu Es. Parce que tu l'Es. Réalise la stupidité de la proposition : tu Es l'Amour et tu cherches l'Amour. Tu ne peux pas chercher ce que tu Es. Et si tu ne sens pas l'Amour, cela prouve bien que c'est toi qui te considère, même si tu ne le veux pas, comme vide. Le néant est l'éphémère. Ce corps est éphémère. Le néant, c'est donc toi, dans cette apparence, mais pas toi dans ce que tu Es, au-delà de tout être, de toute histoire. Réfléchis : qui pose la question, même si la personnalité en est le relais ? Qui suppose ? Qui croit ? Qui espère ? Qui se projette ? Qui imagine ? Certainement pas le Réel. Mais, justement, ce qui est vide et qui a besoin de se remplir ou qui croit devoir se remplir, parce qu'il ne s'est pas reconnu. Tu ne sais pas qui tu Es, tant que tu crois savoir qui tu Es. Parce que les éléments que tu appelles la connaissance, même de toi, ne sont fonction que de jugements et de croyances. Tu ne t'appuies sur rien d'éternel, rien de réel, tant que tu restes tributaire, d'une manière comme d'une autre, des circonstances de ce monde. Quand tu dors, le monde n'existe plus, pour toi. Et pourtant tu es sûr de te lever le matin et de retrouver le monde. Qui te l'a dit ? C'est un certain nombre d'expériences liées à tes années et tes jours qui te fait supposer que c'est vrai. C'est vrai jusqu'au moment où cela ne sera plus vrai. Imagine que tu meures durant ton sommeil. Est-ce que le monde existera le lendemain ? Non. Donc tu t'endors avec une certitude issue d'une croyance, mais pas de la Vérité. Le Réel n'a que faire du monde. C'est le monde qui est vide. C'est le monde qui est le néant. Il est Maya. Et tout ce qui est dedans est Maya. Sauf toi. Mais pas toi dans ce qui est limité, non pas toi dans cette histoire, de ce corps, de cette vie. Mais je m'adresse à toi, le Réel. Tant que tu crois que l'Absolu est le néant, tu peux être sûr et certain que ce qui susurre cela est ton mental et rien d'autre. Vas-tu croire ce que te dit ton mental ? Il te dit que le jour va se lever demain. En es-tu sûr ? Ce n'est pas la répétition du jour et du nombre de jours de tes années qui t'en donne la certitude. C'est une croyance. Toute croyance cesse un jour. Même les scientifiques disent que ce monde cessera dans des milliards d'années. Il n'est donc pas permanent, même s'il te donne, à l'échelle de ta vie, éphémère, une impression de permanence. Rien n'est permanent dans l'illusion. Rien n'est réel. L'Absolu est le seul Réel. Réfute le monde, mais ne projette pas le néant sur l'Absolu, parce que c'est le monde qui est le néant. Il s'annihile, d'ailleurs, dès que tu fermes les yeux et que tu dors. Seule la croyance en sa persistance te fait dormir sans angoisse, sans peur.
Question : si je ressens une peur dont je ne connais pas forcément la cause, l'attitude juste est-elle de réfuter la personne qui éprouve cette peur, la personne qui adhère à son histoire et ensuite laisser être cette sensation de peur sans y prêter attention ?
La peur, déjà, c'est une sécrétion de molécules. Elle n'a pas plus de consistance, cette peur, que le poids que tu y donnes. Vouloir connaître la cause ne sert à rien parce que même si la cause est identifiée, tu peux croire que la peur va disparaître. Le plus souvent, ce n'est jamais le cas. La peur n'est issue que de l'ignorance, non pas d'une cause, mais de ce que tu Es. Ce qui éprouve la peur, c'est l'éphémère de la personne. Ça veut dire quoi ? Que si tu exprimes que ta personne ressent la peur, ça veut dire simplement que la personne existe et qu'elle a du poids, puisqu'elle arrive à te perturber. Est-ce que le fait de nier la peur va suffire ? Non. Est-ce que le fait de réfuter la peur va suffire. Non plus. Est-ce que le fait de réfuter la personne qui ressent la peur, suffit ? Non plus. Alors, considère que la peur n'a pas plus d'existence que la personne, qu'une peur (si tu as bien observé, et tu le dis toi-même) ne fait que passer ou apparaître et disparaître. Même si elle est intense, aucune émotion ne peut durer. Elle peut se reproduire, mais elle s'épuise d'elle-même. Il ne faut donc pas nourrir la peur. Ça ne veut pas dire la dénier, ne pas la voir, j'ai bien dit : ne pas la nourrir. Or, dès que tu observes la peur, tu la nourris. De la même façon que le mental : donner de l'attention à la peur lui donne du poids. Alors bien sûr, il existe des moyens, dans le mental, d'éviter la peur, de la combattre, de l'identifier quant à sa cause. Mais inéluctablement, même si ça fait du bien, ça renforce la personne. Cela perpétue l'illusion, cela perpétue les croyances. La première étape, si étape il y a, c'est de sortir du je, établir la Conscience à un autre point de vue, celui du Soi et peut-être aussi du non-Soi, dès que tu acceptes de voir la peur (non pas de la dénier ou de la réfuter) pour ce qu'elle est, c'est-à-dire une sécrétion chimique. Tu ne vas pas me dire que tu es une sécrétion chimique. La peur est une émotion. Elle est toujours une réaction, à une supposition, à une histoire.

Tout le principe de ce monde, c'est de vous faire adhérer à vos histoires, à vos émotions, à vos suppositions, à vos croyances. Mais tu n'es rien de tout cela. Bien sûr, ce n'est pas parce que, quand tu vis la peur, que tu vas dire : « je ne suis pas la peur», qu'elle va disparaître. Mais profite des moments où la peur te laisse tranquille pour Vivre que tu n'es pas cette histoire et cette personne et que ce sac de nourriture, que tu habites, n'a pas besoin de toi pour vivre. Il a besoin juste d'aliments, d'être nourri. Mais ne le nourris pas autrement. La peur n'est qu'une sécrétion de ce sac, comme la tristesse, comme l'angoisse. Ce sont des suppositions, des constructions, éphémères, qui n'ont aucune Réalité, aucune Vérité. Là aussi, quand la peur est là, si tu arrives à te tenir tranquille (cette fois-ci, au-delà de la réfutation, au-delà de l'identification), si tu te places dans celui qui observe ce qui se déroule, tu constateras que la peur a moins de prise sur toi, dans ce que tu es. Et, très rapidement, une émotion, comme une maladie, pourra concerner ce corps, cette personnalité, mais toi, tu ne seras pas concerné. Le problème c'est que, quand le corps va bien, vous n'avez aucun problème à ne pas être ce corps et même à vous en échapper par d'autres croyances. Et le jour où ce corps ne va pas, qu'est-ce que vous faites : vous êtes malade. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que vous êtes identifié à ce corps, à tel point que vous avez peur de le perdre. La peur de la mort, toutes les peurs, découlent de là. Parce que vous avez peur de l'Inconnu, du néant, parce que vous ne connaissez pas l'Absolu. Être Absolu, c'est ne pas se soucier de ce corps. De le nourrir, de l'entretenir, mais de ne pas y être identifié, en aucune manière. Qu'il soit en bonne santé ou à l'article de la mort, ce n'est pas vous. Si la peur se manifeste, c'est que vous êtes attaché à ce corps, à ce sac. Vous croyez être ce sac. Toute peur vient de là. Même si vous parlez des croyances en l'au-delà, même si vous parlez d'expérience mystique, vous n'êtes pas décroché de l'illusion, de l'éphémère. Vous n'acceptez pas l'éphémère parce que la personnalité se croit éternelle, elle se croit Réelle. Mais la maladie vient démontrer le contraire, la mort aussi, de manière encore plus forte.
Alors, vous allez me dire : et la souffrance ? Mais la souffrance n'est que la concrétion de la peur. La peur de perdre, la peur de manquer, la peur de mourir, la peur de souffrir, même. Et ça fait une boucle. Et vous croyez être cela. Vous vous êtes identifié à ce que vous craignez : la mort, la souffrance et la peur elle-même. Comment voulez-vous sortir de là ? Simplement en admettant que vous n'êtes pas cela. D'ailleurs, que se passe-t-il dans les souffrances les plus intenses : vous voulez disparaître, vous voulez rejoindre le néant, pour ne plus voir la souffrance, la peur, la maladie et la mort. Mais le jour où la mort arrive vraiment, qu'est-ce que vous dites ? : « je veux vivre ». Vous étiez dans la Maya de vos croyances spirituelles. L'Absolu ne peut rentrer dans ce jeu-là. Il sait qu'il n'est pas le corps, non pas comme une croyance, mais comme un vécu, Réel. Tant qu'il y a la croyance en une personne, il y a la peur, il y a la souffrance et il y a la peur de la mort. Vous n'êtes pas cette personne. Il n'y a rien à trouver. Il y a juste à s'établir dans le non-Être, dans le non-Soi, dans le Réel et tout le reste ne fera que passer. Et tout ce qui passe n'est pas réel et n'a aucun poids. Si cela a du poids pour vous, c'est que vous n'êtes pas Libéré. Qu'attendez-vous pour vous libérer ? Ce n'est pas un objectif qui est dans le temps. Tant que vous croyez que vous êtes inscrit dans le temps pour vous Libérer, c'est la personnalité qui s'exprime. L'Absolu n'a que faire du temps. Il a toujours été là. Il sera toujours là, quoi que vous deveniez. La peur ne fait qu'exprimer un attachement à la personne c'est-à-dire que, quelque part, vous avez donné du poids à la personne, de la consistance et vous vous sentez piégé, tributaire d'une personne qui n'existe pas.
Changez de point de vue. Sortez du théâtre. Il n'y a pas de théâtre. Il n'y a pas plus de personne que de peur. Il n'y a pas de monde. Vous Êtes l'Amour. Vous Êtes l'Absolu, de toute éternité. Vous êtes (comme disent certains peuples) un rêve, ou un cauchemar, pour d'autres. Mais ni le rêve ni le cauchemar ne durent. Ne le nourrissez pas. Vous êtes l'Amour et l'Absolu. C'est simple. Tellement simple que l'ego va vous dire que c'est pas vrai. De son point de vue, ce n'est pas vrai. De quel point de vue vous placez-vous, vous ? Celui de l'Amour ou celui de la personne ? Celui de l'émotion ou celui de l'Amour ? Prenez conscience de cela et dépassez cela. Ne soyez attaché à rien. Vous Êtes Absolu. Ne dépendez de rien. L'Absolu ne dépend de rien. Occupez-vous de ce que demande ce corps, mais vous n'êtes pas lui. Occupez-vous de ce que vous demande cette vie, faites-le, mais vous n'êtes pas cette vie. Qui vous dit que vous êtes obligé d'être pleinement dans ce que vous faites ? La seule façon d'être pleinement dans ce que vous faites, c'est de comprendre que vous n'êtes pas ce que vous faites. Tout le reste n'est qu'une implication de la personnalité et de l'ego. Toujours. Et c'est permanent, donnant une impression que c'est réel. Mais vous savez très bien que toute tâche s'arrête, que toute relation s'arrête ou, en tout cas, est arrêté par la mort, au plus tard. Donc, ça n'a aucun sens. Prétendre vouloir bien faire les choses n'est qu'un attachement de plus à la personnalité et, bien sûr, quand il y a cet attachement, il y a la peur : peur de mal faire, peur d'oublier, peur de se tromper. Vous n'êtes pas la peur. La peur est une sécrétion de ce corps de nourriture. Vous y croyez, simplement parce que vous vous êtes assujetti à ses dictats, à ses désirs à ses croyances, à ses illusions. Et c'est comme ça que naît l'attachement à l'illusoire. Dépassez cela, vous n'êtes rien de cela.
Question : La réfutation suffit-elle à créer le vide nécessaire à l'émergence de l'Onde de Vie dans une structure dysfonctionnelle ?
Tu as donc fait un lien entre l'Onde de Vie et l'Absolu, entre la réfutation et l'Onde de Vie. Je précise que l'Onde de Vie naît au pied du gourou : le gourou, c'est toi. L'Onde de Vie arrive dans les zones où sont inscrits les doutes et les peurs, celles de la personnalité attachée à elle-même, à sa persistance, à sa subsistance. C'est à ce niveau que se situe la réfutation et non pas à proprement parler dans l'Onde de Vie elle-même, mais bien au dessus, dans ce qui est appelé les chakras qui appartiennent à l'illusoire, à l'éphémère, à ce corps. C'est donc à ce niveau là que se situent les obstacles inscrits effectivement dans les peurs. Maintenant, la question qui se pose, est de savoir si quelqu'un qui aurait été amputé des deux jambes pourrait voir naître l'Onde de Vie, puisqu'il n'y a plus de pied. La réponse est oui. L'Onde de Vie n'a que faire des structures existantes (fonctionnelles ou non fonctionnelles) ou non existantes. L'Onde de Vie naîtra simplement de l'endroit où commence le corps, le plus bas. S'il n'y a plus de jambe, il reste les cuisses et cela naîtra à ce niveau là. Le principe de réfutation ne permet pas à l'Onde de Vie de naître, mais permet de lever les obstacles illusoires, appelés attachements à la personne, au corps, aux structures éphémères, au temps. C'est cela qui lève les obstacles existants à ce niveau là. La réfutation ne peut aucunement faire naître l'Onde de Vie. L'Onde de Vie apparaît d'elle-même, puisque c'est quelque chose qui n'a que faire de votre volonté, de votre personne, de votre corps, même si cela naît au niveau des pieds (qui est une partie du corps). L'Onde de Vie naît simplement au point le plus bas situé, présent, puisque dans la Terre cela vient du plus profond de la Terre. La réfutation ne concerne que ce qui est inscrit dans la personnalité et sa construction : son aspect illusoire qui est de vous faire croire à nombre de choses, à un ensemble de choses qui n'ont pas de substance, qui ne sont pas réelles. L'Onde de Vie s'arrête, simplement, en fonction des obstacles rencontrés. S'il n'y a plus d'obstacle, l'Onde de Vie s'élance. Elle parcourt ce corps illusoire. Et c'est l'Onde de Vie, elle-même, qui, effectivement, met fin à l'illusoire. Parce que, c'est elle, qui permet l'accès à l'Absolu. Ce sont les obstacles placés sur sa route qui, en quelque sorte, doivent être levés par la réfutation. Il n'existe aucune structure dysfonctionnelle qui soit une cause à la non montée de l'Onde de Vie. La seule chose dysfonctionnelle, c'est l'ensemble des croyances et des attachements à ce corps. Fût-il intact ou estropié ne change rien. Voilà le complément de réponse que je pouvais te donner. Il n'y a rien de plus que je puisse dire puisque le reste a été dit.

Question : le passage de la Porte Étroite (point OD de la poitrine) est toujours douloureux ?
Le fait qu'il y ait une douleur, à ce niveau là, veut dire que ta conscience est portée sur le corps. Bien sûr que ces Portes vous ont été communiquées. Le Manteau Bleu de la Grâce, l'Onde de Vie, le Passage des Portes et le basculement de cette Porte ne se réalisent, en définitive, que si vous lâchez prise par rapport à votre propre corps. C'est-à-dire, comme je l'ai dit, si vous oubliez la Vibration, si vous oubliez le corps, non pas comme un déni, mais bien comme une conscience réelle que vous n'êtes pas ce corps, que vous n'êtes pas ce qui s'y déroule et que même les marqueurs, douloureux ou pas, qui sont le plus souvent constants, ne doivent pas vous affecter, parce que si vous portez votre conscience sur la douleur, vous lui donnez du poids. Comme il a été dit pour l'Onde de Vie : ne vous en occupez pas. Le Manteau Bleu de la Grâce agit plus haut, mais en totale synchronicité parce que le point OD représente ce qui est appelé l'élément Terre, inscrit au niveau de vos pieds. La Terre est douleur. Ce corps est douleur parce qu'il est bâti sur le principe de résistance, sur la dualité, sur ce que vous nommez physiologie, avec des besoins. Tout ce qui exprime un besoin est douloureux, sur ce monde. Ici, la douleur traduit le Passage : ce Passage (qui n'en est pas un), la Porte Étroite, où il n'y a pas de solution de continuité, dans ce sens là. Ainsi donc, ce que je peux te conseiller c'est de ne pas accorder de crédit à ce que te dis ton corps. Amuse-toi, ris, ne t'occupe pas de ce corps. Vous n'êtes plus dans les étapes préalables, qu'ont construites les anciens, qui étaient de réaliser le Soi. Aujourd'hui, vous avez à vous défaire de cela.

Abandonnez le Soi pour être le non Soi, donc. Vous ne devez plus accorder d'importance à ce qui se passe dans le Soi. Ca ne veut pas dire renier, cette fois-ci, mais dépasser. Ne pas rester figé sur de l'éphémère. La Joie du Cœur, le Samadhi, la Kundalini, les chakras, sont, pour l'Absolu, une illusion. Ça ne veut pas dire qu'ils n'existent pas, sur un certain plan, bien plus subtil que le corps grossier. Mais il faut, aussi, dépasser cela. La seule façon de dépasser cela, pour cela, c'est de ne pas s'en occuper. La seule chose dont vous ayez à vous occuper, en les réfutant, c'est les doutes et les peurs. Le point OD, comme vous le nommez, la Porte OD, est sensible. Elle représente les restes d'attachements à la personne, les restes d'attachements au spirituel, à la matière, aux liens, aux attachements, qui font partie de toute vie. Plus l'Onde de Vie monte, plus l'Onde de Vie ne rencontre pas d'obstacle (au niveau de ce que vous nommez les deux premiers chakras), au plus l'Onde de Vie ne va pas s'arrêter sur les chakras au dessous. L'Onde de Vie va gagner le cœur, de là, gagner les membres, ensuite gagner la tête et l'Onde va parcourir l'ensemble du corps. À ce moment là, vous savez que quelque chose parcourt le corps mais vous n'êtes pas l'Onde de Vie puisque vous l'observez. À un moment donné, vous cessez d'observer. À un moment donné, vous devenez cette Onde de Vie, vous n'êtes plus le corps. Il n'y a plus de point de vue dans le corps, il y a un point de vue dans l'Onde de Vie. Et là, à ce moment là, vous êtes Absolu, pas avant. Tout point douloureux, n'exprime pas nécessairement un doute ou une peur, au sens des deux premiers chakras, mais bien plus un attachement global à la personne, à votre personne, à votre histoire. Nous ne sommes plus dans le doute et la peur, mais dans un problème d'attachement, ce qui est différent. Mais la problématique, finalement, dans son solutionnement, est la même chose : dépassez cela, vous n'êtes pas cela.
Au fur et à mesure que les résistances (issues aussi bien des doutes que des peurs ou encore, comme dans cet exemple, des attachements à la personne) deviennent moins présentes, l'Onde de Vie gagne en puissance. Vous êtes encore observateur et, à un moment, vous n'observez plus : vous êtes devenus l'Onde de Vie. À ce moment là, l'Absolu est là. Plus rien ne peut le limiter, plus rien ne peut le contraindre. Vous n'êtes plus attachés, vous n'êtes plus le doute, vous n'êtes plus la peur. Vous êtes Absolus. Vous êtes l'Amour et l'essence de l'Amour. Le monde est en vous parce que le monde n'existe pas. Vous êtes le monde et au-delà du monde. Vous êtes, bien sûr, au-delà du Soi. Il n'y a plus de sens de l'histoire. Vous jouez le rôle, mais vous savez que vous jouez un rôle. Vous savez que vous n'êtes pas ce rôle, non pas comme une croyance, mais bien comme un vécu total et réel. À ce moment là, vous êtes Libérés Lvivants, et à ce moment là, vous pouvez jouer : vous pouvez être la personne, vous pouvez être le Soi, vous pouvez être le non Soi. Vous parcourez librement l'ensemble de la gamme possible sur ce monde, puisque vous êtes dans une forme. Vous n'êtes pas cette forme, mais vous jouez dans cette forme. Ce n'est pas pareil que d'être identifié, formellement et totalement, à cette forme. Ce n'est pas, uniquement, une question de point de vue, encore moins de croyance, mais bien de vécu, au-delà de l'expérience même si vous menez des expériences. Celui qui n'est pas Libéré, a peur. Celui qui n'est pas Libéré, est dans le doute. Il exprimera, à un moment ou à un autre, une dualité, sous une forme ou sous une autre. Le Libéré n'a pas de doute, n'a pas de peur, parce qu'il sait qu'il est dans une personne, mais qu'il n'est pas cette personne. Il le sait parce qu'il le vit et non pas parce qu'il le croit. Il est devenu, à un moment donné, l'Onde de Vie. Il est la Béatitude au-delà du Samadhi. Il est la Joie au-delà de la Joie, ce que nous avons tendance à appeler le rire, mais non pas le rire sardonique ou narquois, mais le rire de l'Absolu, qui lui, est vrai, contrairement au rire qui se moque. Ainsi, vivre l'Onde de Vie, onduler dans l'Onde de Vie, effectivement, confère Absolu. Une fois Absolu, le pont est établi, l'inconnu est devenu connu, parce que vécu, et là, vous passez de l'un à l'autre sans aucun problème. Si la peur apparaît, vous vous retirez de la peur. Vous n'êtes tributaire de rien, vous voyez clair, vous êtes sortis de l'illusion, même si le corps d'illusion est encore là. Vous n'êtes plus affectés par quoiqu'il arrive à ce corps, à ce monde, comme à cette Vie. Vous êtes légers parce que Libérés. À ce moment là, même s'il existe une souffrance, qui se manifeste à un moment donné, même sur une Porte, cela ne signifie pas un retour en arrière, puisque vous n'êtes plus non plus identifiés à cette Porte ou à ce chakra, de la même façon que vous n'êtes plus le doute et la peur. Ainsi donc, sers toi du point d'appui que représente la manifestation de la brûlure ou de la douleur, pour concevoir et vivre que tu n'es pas non plus cette douleur et tout se passera bien.
Question : L'Absolu peut-il s'actualiser dans ce corps alors que le Soi n'a pas été réalisé ?
Oui. Ainsi que je l'ai dit, c'est même, aujourd'hui, plus facile. Le principe de l'Unité, le principe de l'Absolu, se construit par des réfutations successives, d'illusions successives bâties dans le temps. Et donc, le Soi a pu être considéré, à juste titre, comme une étape. Aujourd'hui, ce n'est plus le cas. Pourquoi ? Parce que la Terre est Libérée et que l'Onde de Vie est Libérée. Elle peut vous parcourir à nouveau. Que le Soi soit là ou pas, n'a aucune importance. La seule importance résulte, en définitive, de l'existence, ou non, des doutes et des peurs. Parce que quoique dise le Soi, il s'y est inscrit, aussi, des doutes et des peurs, qui n'ont pas la même valeur, ni la même densité que dans le je mais qui sont, néanmoins, parfois présentes. Rares sont ceux qui ont réalisé le Soi, qui sont capables d'accepter leur mort de ce corps, ce qui prouve bien qu'il existe encore des doutes et des peurs : peur de perdre les cadres, les limites, c'est-à-dire l'incarnation. L'Onde de Vie ne rend pas plus facile ou plus difficile, selon que vous ayez réalisé ou non le Soi. C'est, simplement, les obstacles rencontrés par l'Onde de Vie (au niveau qui ce qui vous a été nommé les doutes et les peurs) qui peuvent freiner, en quelque sorte, l'Onde de Vie. Il n'y a rien d'autre. Que vous soyez dans le Soi ou dans le je, ne change rien.
Le Soi est l'Éveil du Cœur. Vous pouvez avoir le Cœur ouvert et avoir des chakras, comme vous dites, qui sont encore bloqués, encore non Libérés. C'est la Libération de ces chakras qui permet à l'Onde de Vie de monter, d'observer l'Onde de Vie et de devenir l'Onde de Vie. Cela n'a rien à voir avec le je ou avec le Soi. Le Soi peut, parfois, être un obstacle majeur à l'établissement du non Soi. Il existe des je et des personnalités qui ne sont pas habités par le doute et la peur, sans pour autant avoir réalisé le Soi. Pour ces personnalités là, l'Onde de Vie rencontrera moins d'obstacles et rencontrant moins d'obstacles, alors, il y aura une facilité plus grande de vivre Absolu et de devenir Onde de Vie. Dans un principe dit évolutif (qui est faux, comme vous le savez) il est logique de considérer qu'il y a des strates et des étapes. L'étape la plus logique consiste à reconnaître les lois de l'âme, le karma, la réincarnation, ensuite de transcender les lois du karma et la loi de causalité (parce qu'appartenant, elles aussi, à la personnalité et à ce monde et donc inscrites dans l'illusion), accéder à un autre niveau ou une nouvelle couche de vérités, la parcourir, jusqu'à la réfuter, elle aussi. Le principe de la réfutation est une réfutation qui se produit en pelures d'oignon ou en couches d'oignon. Une couche est vécue, on se débarrasse d'une couche, et on vit une autre couche. C'était souvent ce qui était réalisé avant que l'Onde de Vie ne naisse.
Aujourd'hui, c'est différent. Vous êtes Absolus. Je serais tenté, même, de vous dire, même par rapport à l'Onde de Vie, de ne pas vous y intéresser, de ne pas porter votre conscience dessus, de continuer à vivre votre Vie (qui n'est pas ce que vous êtes), à faire ce que vous avez à faire, non pas parce que vous l'avez décidé mais parce que la Vie vous le donne à faire, sans y attacher la moindre importance (en le faisant mais sans y être attaché), de vivre détaché (ce qui ne veut pas dire inactif ou oisif). Faites ce que la vie vous demande de faire, mais vous n'êtes pas ce faire. Mais ce qui se fait doit se faire. Ce qui est à faire, est à faire : c'est tout. L'Onde de Vie naîtra, que vous le vouliez ou non, que vous le réfutiez ou non, parce que c'est inéluctable, que vous l'acceptiez ou non. Alors, pourquoi vous occuper de ce qui est inéluctable ? De la même façon, pourquoi vous occuper de ce corps qui va disparaître, si ce n'est pour l'entretenir ? Se poser la question de la survivance de quoique ce soit, c'est déjà s'éloigner de l'Absolu, parce que l'Absolu ne survit pas, il a toujours été là, c'est vous qui vous en êtes éloignés, peu importe la façon, peu importent les causes. Bien sûr, il est très satisfaisant de retrouver des causes et des raisons comme des interventions extérieures. Bien sûr que cela est vrai : la falsification a existé, elle a été réelle, mais ne lui accordez pas de poids. L'histoire est passée et vous n'êtes pas l'histoire. Vous n'êtes pas les corps que vous avez empruntés. Vous n'êtes pas l'âme qui a parcouru ce monde. Vous n'êtes pas plus l'esprit qui a pris naissance, à un moment donné. Tout cela n'est que du transitoire, de l'éphémère. Seul est Réel, l'Absolu, parce qu'il ne change pas. On pourrait dire (parce que l'image est séduisante) que vous avez parcouru la périphérie de la roue et que, petit à petit, vous vous êtes rapprochés du centre, et qu'à un moment donné, vous devenez le moyeu de la roue, c'est-à-dire ce qui est immobile, ce qui n'a jamais bougé. Vous n'êtes plus la roue. Et le stade ultime, vous n'êtes plus, non plus, le moyeu, vous êtes au-delà. Les différentes réfutations successives du corps, des émotions, de l'âme, de l'esprit sont des étapes, qui, aujourd'hui, sont transcendées par le rétablissement de l'Onde de Vie. À vous de voir. Qu'est ce que vous préférez ? Est-ce que vous avez besoin de temps ? Qui a besoin de temps ? La personnalité parce qu'elle est inscrite dans le temps. L'Absolu ne connaît pas le temps, ni l'histoire, il n'a que faire de votre temps, de vos histoires. Il est tout, sauf l'histoire. À vous de voir, à vous de décider. L'Absolu est simple, le relatif est compliqué. La vérité relative vous emmène sur les chemins de l'âme, sur les chemins de la connaissance illusoires, dans les projections qui vous vont croire que vous arriverez un jour, mais il n'y a pas de jour, parce que tout est déjà là. Que voulez-vous être ou que voulez vous non Être ? Où vous placez vous ? Dans une place relative ou dans une place Absolue ? Réfléchissez.
Je vous engage à vous poser les bonnes questions parce que la question n'appelle pas, nécessairement, une bonne ou une mauvaise réponse, mais va vous montrer, de manière implicite, là où vous vous situez. Si je reprends l'une des questions précédentes quand la personnalité dit : l'absolu c'est le néant, il est facile de voir où se situe la personne qui pose cette question. Ce n'est pas un jugement, mais c'est une constatation du point de vue de la personne. Si vous regardez votre question, vous savez où vous êtes. La première question qui disait : je ne comprends pas les trois quarts de ce qui m'est dit, montre le point de vue de cette personne. L'Absolu ne peut être compris, il ne peut être que vécu. La personnalité va lui poser un certain nombre de qualificatifs qui n'ont aucune réalité, ni aucune vérité, parce qu'issus de suppositions et de croyances et non de l'expérience. Il en est de même pour toute question. La seule question qui vous conduira, peut être, le plus facilement, à l'Absolu est celle-ci : qu'est-ce que vous étiez avant d'être ce corps et cette histoire ? Et ne me répondez pas : j'étais une autre Vie. Savez-vous qui vous étiez avant d'être ici ? En avez-vous la préscience ? En avez-vous l'intime conviction ? En avez-vous l'expérience ? Si oui, alors vous êtes Absolu. Parce qu'avant d'être ce corps, avant d'être tout corps, avant d'être présent dans tout monde, dans tout Univers, c'est ce que vous étiez et ce que vous n'avez jamais cessé d'Être. Rappelez-vous : il n'y a pas de passage du connu vers l'inconnu. Il faut réfuter tout le connu et l'inconnu sera là. Après, vous pourrez repasser de l'inconnu au connu parce que vous avez tracé un passage qui n'existait pas dans le premier sens, mais qui existe dans le deuxième sens. Le fait d'avoir une forme ne sera plus gênant pour passer de l'un à l'autre parce qu'il existe un Absolu sans forme et un Absolu avec forme. Mais l'Absolu avec forme est pertinemment conscient que la forme est transitoire. L'Absolu avec forme n'est pas identifié à la forme. Il est dans cette forme mais il n'en est pas prisonnier, contrairement à celui qui n'est pas Absolu. Ce n'est pas une question de Vibration. Ce n'est pas une question de Soi, ou de ne pas vivre le Soi, mais bien de s'établir dans le non Soi, qui est justement l'Abandon du Soi. Êtes-vous prêts à tout perdre ? Êtes-vous prêts à affronter votre néant ? Si oui, vous êtes Absolu, si non, vous ne l'êtes pas, du moins vous le croyez. Parce que l'Absolu est toujours là, que vous le viviez ou pas, que vous l'acceptiez ou pas, il est là. Il ne dépend d'aucune de vos cogitations, d'aucune de vos expériences, au sein du Soi ou au sein du karma. Il ne dépend d'aucune de vos connaissances qui ne sont que des fatras qui nourrissent l'ego. Vous aurez beau connaître tous les mystères de l'univers, vous ne serez pas, pour autant, Absolu. Réfléchissez à cela. Que voulez-vous ? Qu'est-ce qui se dévoile au travers de votre question, indépendamment de ma réponse ?

 



BIDI

07 de mayo 2012

Pregunta: Cuando hago una pregunta, el 3/4 de las veces no entiendo la respuesta.
Muy bien. Así que si hay tres cuartas partes del tiempo de una falta de comprensión, por lo que el tiempo sigue siendo cuarto en donde hay comprensión. Voy a contestar a eso, ¿para qué es la comprensión? La comprensión es siempre un acto de la mente que se apodera de una respuesta, cualquiera que sea, y está satisfecho porque se alimenta en esta forma de pensar, dijo. Por lo tanto, podemos decir que en tres cuartas partes del tiempo que es imposible alimentar a su mente. Y por lo que se pierde una cuarta parte de su tiempo.

Las preguntas son infinitas. Las respuestas son tan importantes. Ya sea en el contexto en el que he propuesto o en conexión con cualquier actor, una pregunta se responde, que la respuesta lleva a otra pregunta. Así es la vida de los seres humanos dentro de la ilusión. La ilusión tiene que tranquilizar y ser tranquilizado por la comprensión. Entender que no siempre va a vivir otra cosa que la mente, que no sea la ilusión. Sólo debe superar y trascender toda comprensión: ir más allá de la comprensión. Es decir que la pregunta debe ser contestada, que más allá de las palabras que se pronuncian, más allá de lo que se entiende o mal entendido, el objetivo no es alimentar la mente, incluso si da la impresión, y le dará el sabor. La clave está en otra parte, más allá de la ilusión. También mucho más allá de lo que usted puede escuchar o sentir en la presencia de un orador u otro. Lo importante es exactamente en otro sitio. En otros lugares, porque esto es lo que le permitirá alimentar a la esencial y no la mente. Alimentar la mente nunca va a alimentar lo esencial, esencial, porque la mente no es ni puede ser alimentados con la misma comida. The Essential come la risa y la alegría. No, posiblemente, puede estar satisfecho con una explicación lógica de la ilusión y la ilusión de usar. La esencia no es accesible para cualquier entendimiento, y yo diría que es mejor dormir en lo que decimos, en lugar de correr, caminar, importa poner algo en marcha, Por último, y en última instancia, solo se alimentan de la mente.

Por supuesto, el entendimiento va a satisfacer el ego y la personalidad. Debido a que el ego y la personalidad son, sin causa justa, una respuesta apropiada y tener un elemento de los alimentos que fortalecerán de manera permanente, el ego. Entendimiento reforzará las creencias, lo que. Respuestas a las preguntas y cuestiones que le piden que alimentar la mente, nutrir la fe, a fortalecer o invalidar usted en sus propias creencias. Obviamente, esto no es el propósito de las entrevistas, o cualquier tipo de mantenimiento donde usted está y donde estamos. Por supuesto, las palabras son a menudo una compañía (y usted lo sabe) para vivir una vibración, una conciencia diferente, nuevo. Pero, de nuevo, usted tiene que ir mucho más allá. Una vez más, les pido que no te satisface, así como la comprensión de una vibración, pero para trascender todo. Así que yo diría: hacer comprender en silencio, se calla la vibración, porque usted es o lo que usted entiende, o lo que vibrar. Más allá. Ir a dormir. Aquí es donde usted es el más eficiente, más activa: no aquí sino en otros lugares. Pero te recuerdo que tú no eres nada de lo que se conoce en la ilusión. En otro lugar que esté, siempre y cuando sean plenamente presente, aquí y ahora, en este otro lugar. Tenemos que disipar cualquier sentimiento de culpa, detener cualquier juicio sobre el hecho de no comprender o entender, porque no es una verdadera satisfacción. No se trata de pan, una vez más, el ego, la personalidad. No tener preguntas o si tiene más preguntas, ya está de vuelta a esto en otra parte. Esto ya se ha llevado a cabo de alguna manera, una vuelta a otra parte. Desde el momento en que no se alimentan más (preguntas o respuestas) de su propia mente, desde el momento en que no lo use más para alimentar la vibración del Ser, a continuación, los Absolutos espacios, de alguna manera , está listo para desarrollarse, para demostrar a usted.

En principio, la investigación que he propuesto, la refutación es precisamente la negación, si se puede decir, todo lo que fue entendido y asimilado hasta el momento que le permitirá, precisamente, alguna manera, para eliminar la máquina infernal que representa el cerebro. Dejando un espacio limpio, libre, por lo que no es efímero. Los invito a dormir, porque cuando usted duerme, usted nunca está tan cerca de la Verdad y el Centro. Porque cuando usted duerme, usted es, aquí y ahora, en el Absoluto, pero no aquí y ahora del ego o yo. Esto demuestra, de manera concluyente, que en esos momentos en los que es capaz de ir más allá de la comprensión, ya que, como usted dice, usted no entiende (es decir, en momentos en los que se encuentran en mal entendido ), son precisamente estos momentos en los que son (yo diría que, en sentido figurado) a la más cercana de lo Absoluto. Contrariamente a lo que se va a susurrar el ego y la personalidad que usted quiere creer que por entender las cosas, se obtiene un estado apropiado o una nueva conciencia. Nada más lejos de la verdad. No hay nada más distorsionado. No hay nada más ilusorio. Os invito, pues a volver a las cuatro cuartas partes del tiempo en este malentendido famoso.







Por supuesto, la mente y el ego, la personalidad, la respuesta va a salir en todas las direcciones para tratar de entender, asimilar. Bendito el que él puede ser, cualquier asimilación, porque en ese momento no hay más alimento para el ego y la mente. Y este alimento, sin embargo, está allí. Ella, de alguna manera, se ha creado. Estas son palabras, estas son las vibraciones que no pueden ser perdidos. Esto no es porque no se entiende, no es porque no se les escucha, que no son escuchados. ¿Qué se entiende la alimentación en un momento u otro, algo distinto de lo que sabe. Y bendiga este momento, precisamente, esa otra cosa que aparecerá. Ella siempre estuvo ahí. Es el Centro de usted. Ella está inmóvil, es la falta de movimiento. Es permanente, eterna, no conoce el entendimiento, sin ego, sin personalidad. Es sólo lo que usted dice que usted mira y usted no puede encontrar y por lo tanto usted no puede encontrar. Debido a lo que el ego siempre está buscando, siempre la personalidad o la ilusión del yo. Desde el momento en que aceptamos que no hay nada que buscar y no se encontró nada, te puedo decir que en ese momento, la fruta está madura. A menudo, la personalidad, el ego se encoge y se llaman el vacío, el vacío, la ansiedad en total.

Usted nunca ha estado tan cerca de lo que eres, más allá de ser. Así que yo le aconsejo que utilice sus tres cuartas partes de su tiempo en que usted no entiende lo que sugiere, en ti, incluye (más allá de las palabras, más allá de la vibración), porque en este momento , a salir de este momento y vas a venir, en realidad, en el aquí y ahora. El aquí y ahora es necesario abordar el momento. Pero ahora este no es el momento eterno. El momento presente es una salida de detener el tiempo, de la linealidad del tiempo que le es propio y la especificidad del ego y la mente, la acción / reacción. En el momento de descubrir aquí y ahora. El poder del momento no debe ser una misión o propósito, porque el momento actual debe conducir hasta el momento eterno que es independiente de cualquier momento. Nada, el vacío, la ansiedad sobre el total de la personalidad y el ego, es sin duda el principal signo de que el Absoluto se revela. La personalidad de este escritor, este hueco, esa nada, esta pérdida dramática, sin entender esto, esta misma violencia que pueda existir en estos tiempos, es sin duda el momento en que dará paso al momento eterno en abandono de la propia auto de no-ser, el no-ser, el Absoluto, el cual siempre ha estado ahí.





Incautados y está de acuerdo en que el acto de buscar, y peor aún, el hecho de encontrar, sólo distanciarse de lo Absoluto. Si se acepta esto (y no hay mucho que entender, te lo concedo), que ha dado un paso inmenso hacia la inmovilidad, a lo que está más allá de la nada, más allá de la plena más allá del yo, más allá de uno mismo, por lo que en el no-yo y el no ser. Y un día te reirás de ti mismo, te reirás de ti mismo, porque tú se sonrojó, sin ninguna intención, no en cualquier entendimiento. Pero lo que se ha oído ha funcionado. Sin el conocimiento de su conciencia, ya que el Absoluto no es consciente. Sin el conocimiento de su Yo, como no-yo no tiene nada que ver con el Yo. En última instancia, por lo tanto, le doy las gracias por su no-tema porque, de hecho, hay un motor que te pone en el camino, al menos, que usted piensa, a un Absoluto. Porque, por supuesto, que he entendido, no hay ni camino ni sendero, ni inteligencia, ni que se trate. La respuesta que yo hago es sólo una manera de estar en la felicidad con ustedes, para expresar lo que no se puede expresar, es decir, el Absoluto. Asegúrese de que entiende que a través de esta frase no hay ningún error de lenguaje, pero la verdad una, eterna y absoluta.

Tiene que dejar de mirar y creer que va a encontrar y lo que es peor, de encontrar. No es que tan pronto como se detiene la búsqueda, desde el momento de dejar de encontrar, desde el momento en que no lo entiendo, ese día puede ser lo que siempre ha estado ahí. No antes. Debido a la comprensión, como el camino, ya que la carretera, en última instancia, son los obstáculos que impiden que usted vive, escribe lo que siempre han penetrado: el Absoluto. Como hemos dicho, el Absoluto no es un estado, por no hablar de la experiencia, y mucho menos una conciencia, que está ahí. Él siempre estuvo ahí. Hagas lo que hagas, lo que usted puede vivir (como estás vivo o muerto, su cuerpo está allí o no, que el mundo está allí o no), lo que está detrás del observador, eres tú. Pero no estás en un nombre, una identidad que no que no, que en el conocimiento, no estás en tu intelecto, no estás en una historia, sea lo que sea, no estás en una relación que sea. Si usted escucha lo que digo, bueno, dependiendo de dónde se coloca, o lo tienes o no lo entiendo. Te dejo adivinar lo que es de alguna manera, mejor para usted. Sabiendo que no se refirió a lo que simplemente pasa (es decir, su persona, es decir, que el auto ha costado conseguir). Acepte que usted no puede adquirir cualquier cosa que no lo está ya. No estoy pidiendo que usted entienda, pero para escuchar, que no tiene absolutamente nada que ver. Si usted oye que no hay nada que ganar, así que usted puede poner cualquier cosa en movimiento, sólo se pueden quedar quietos, vamos a ellos. Si usted escucha eso, entonces no hay nada. Pero, ¿quién ve el vacío? Va más allá de la que no ve nada. No eres, en el que no ve nada. Will, no después, porque no hay nada que superar, pero va a las profundidades, sin tener que bajar sin subir. Permite simplemente desaparecen lo que se incluye. Revela lo que no se entiende. Y tú has de ser, si se me permite decirlo, muy cerca. Podemos seguir adelante. Quedarse quieto.

Pregunta: ¿Cuál es la diferencia entre la trascendencia y la refutación?
¿Es que ya que estos dos términos se aplican a algo que es común hablar de la diferencia. Hablamos de diferencias color de la piel cuando se trata de la piel que es de color blanco u otro color. ¿Cuál es el elemento común entre la refutación y la trascendencia? Si no es así, creo yo, en tu cabeza que debe cambiar de una a otra. La refutación es un gimnasio diseñado para desviar la mente, a la Sider, de alguna manera, se ahogan en sus propias certezas, en sus propias creencias a él mostrar y demostrar que no tienen sentido. La trascendencia evoca, en la mayoría de los casos, una transición de un estado a otro, de un momento a otro, pasando de un estado o un momento que evoca, en cierto sentido, una transformación, una oportunidad para el puente desde una a la otra. La refutación es otra cosa que un puente debido a que la refutación es una acción incluida dentro de la ilusión, rompiendo la ilusión. La trascendencia se pone como condición que no es una condición que debe dar a otro estado. La réplica no cambia de un estado a otro estado. La refutación se eliminarán todos los estados. Compactar todos los estados, que siempre ha estado ahí por último puede ocurrir a quien, por decirlo así, mira. Y en última instancia, el espectador se convertirá en el Absoluto. La trascendencia es una dinámica: hay un movimiento aparente, percibida o real. La refutación es destruir cualquier movimiento, sin esfuerzo, simplemente por jugar el juego, de alguna manera, el juego ilusorio de la mente y la personalidad. La trascendencia ya está pensando en mudarse allí y ya, en la mayoría de los casos, este pasaje es que la I, la personalidad, el yo. Sin embargo, no hay trascendencia entre el yo y no yo. No es posible. No se puede pasar de un estado a otro. No hay puente. Simplemente, cuando el Ser no se ha establecido, entonces usted puede ir de nuevo en el auto y yo la Y se convierte, para ustedes que están en forma, un juego, pero es válida en este sentido. Podemos decir que el puente es en este sentido y que en realidad, sí, hay trascendencia: el no-yo con el Yo. Finalmente, el auto a la I. Allí a la trascendencia del yo, pero no puede haber ninguna trascendencia del yo al no-yo. No hay puente. El puente puede ser construido sólo en la otra dirección. Es un puente de ida, pero permitiendo dos vías después.




La trascendencia puede estar relacionado con el Absoluto. La trascendencia se refiere únicamente a la aprobación del I al Yo. El problema del Ser, es el más grande, sigue siendo una prisión. Antes de ser el Ser, antes de que este cuerpo existe, antes de que la bolsa de comida aparece, es que el auto estaba allí? ¿Hay una conciencia que lo cumplamos? La conciencia absoluta no es nada, todo, pero el yo, todos menos yo, porque me gusta el auto son efímeros. No puede haber ninguna trascendencia, en ese sentido. La trascendencia es útil para aquellos que quieran pasar que uno mismo. Pero esta trascendencia no está resaltado de alguna manera, en el pasaje del Ser en el no-yo, ya que no hay pasaje. Esto vincula el tema de la pregunta y respuesta. Como usted está buscando un pasaje (que no existe), al planificar una trascendencia no (es decir, en el que) la necesidad de persistencia en una identidad, que es limitado, ya que , o tan grande como el Sí mismo. Pero usted no es una identidad, y mucho menos una historia, independientemente de la historia, porque la historia tiene lugar en la ilusión. Usted está mucho más allá de cualquier historia o trascendencia alguna. Usted puede hacer esto mediante la adopción de tales puntos de vista. Debido a que no sabes, no tienes conciencia de lo que era antes de la bolsa de comida, e incluso si usted sabe de otras bolsas de comida que se supone que antes, en la vida de otros, eran los lugares donde que entre las dos bolsas de comida? ¿Qué estabas haciendo? Si usted tiene la respuesta a eso, entonces la respuesta es verdadera. Pero todo lo que está mal antes de asumir.

La refutación es llegar a un acuerdo para utilizar la herramienta que aún cree que es correcto para mostrarle que no es la razón, no hay ninguna razón lógica, que esta lógica sólo se puede sirven para mantener la ilusión en la ilusión, para mantener la ilusión, para alimentar el ego o la alimentación de uno mismo. Pero el Absoluto no puede ser alimentado por ella. Yo diría que ahoga un poco más, se ahoga un poco más. Recuerde: el yo, el yo, va a hacer todo lo posible para que usted nunca volverá a ser inmóvil, por lo que el Absoluto se ha vivido. No es la refutación. No hay meditación, no la espiritualidad, la ausencia de vibraciones, que puede conducir a no-ser. Es cierto, esta trascendencia de la que uno mismo, en los primeros días, es útil (incluso esencial, porque va a tranquilizar a la I, el Ser), muestra que es ilusoria. Pero eso va a demostrar que el yo es una ilusión? Persona, porque no es allí cuando el auto está ahí. Así que no es necesario trascender, sino para silenciar todo lo que es el Yo. Pero este silencio no puede ser realizado a partir de donde va a ser. No. Esta trascendencia, llamado así, es en realidad una refutación que pueden socavar la base del Yo y yo, la creación (y el término es correcto) un corto circuito. ¿Qué es un cortocircuito? Esto es precisamente lo que está mal y tomar el circuito natural que es de risa, así que es inútil.

La refutación es utilizar (de alguna manera, en el ejemplo que di) la actual vitalidad actual de este cuerpo efímero con el apoyo de la comida (el nombre que utilizan los académicos: Chakra, Kundalini, Ser. ), para que sea de risa. En ese momento, la refutación le llevará a lo que es real, porque entendemos que lo real no puede cambiar, porque si cambia, no es la realidad. El real sigue siendo. Él no tiene necesidad de todo el mundo, él no se preocupa por usted, su historia, cualquier historia. Y tú eres eso. Nada más. Y así, si se pone con calma refuta, usted comprenderá que no hay nada que buscar o encontrar, porque todo lo que siempre ha estado ahí.

Pero debemos dejar todo lo que, todo yo, todas las parodias de la espiritualidad. Incluso la alegría, que ha sido de gran ayuda en su camino, debe ser trascendido, pero no puede ser superada. Es, de hecho, la risa de lo Absoluto, que es el pasaje, pero no a la inversa. En este sentido, y sólo en eso. Así que si te ríes de ti, si te ríes de ti mismo, si te ríes de todo, este primero le causan ansiedad, porque la espiritualidad es serio, ¿no? Hablamos de la eternidad, se habla de permanencia, de la inmanencia y la trascendencia. Pero hay que reírse de todo esto. Debido a que cambia, y como que algo cambie, que no es real. Y cambiarse a sí mismo todas las mañanas, por lo que no es real. Es el ego el que le hará creer que va a dar un contenido a lo que es irreal. Lo real no puede cambiar. Es absoluta. Todo lo que manifiestan los cambios: su estado de ánimo, tus miradas, el observador.

Si se me permite decirlo así, entrar en el vacío, que va a su ego, llama la nada. Y usted encontrará lo que está bien, que no se mueve, que no cambia. Esto siempre ha estado ahí y tú eres eso. Usted descubrirá que usted no tiene que preocuparse gárgaras o Luz del Amor porque eso es exactamente lo que eres, ¿verdad y nada más. Si usted está pensando en la Luz y el Amor como algo externo a ti, como una búsqueda, como búsqueda, nunca se puede encontrar. Tú no puedes ver que, debido a que está separado y distanciado de lo que son, en realidad. Usted acaba de este Ser, en el no-ser, en el no-Sí mismo. ¿Quieres ser feliz? No hay nada más para ser feliz. Todo lo demás está de paso. Incluso la alegría. Incluso el Kundalini. Incluso los chakras. ¿Qué pasa cuando mueres tus chakras? ¿Qué pasa cuando mueres tu Kundalini? ¿Puedes traer tu Kundalini en el otro lado? ¿Qué llevas? ¿Va a tomar sus recuerdos? ¿Va a tomar su historia? Eso está cambiando. Esto no es real. ¿Están usted y real.






Refuta y ver qué pasa y que siempre estuvo ahí. Más allá de si se quiere, pero sobre todo niega. Transcend no es suficiente. Sólo refutan por completo. Descanse en paz. Aprende a estar en silencio. Lo que ustedes llaman la espiritualidad que cansa más que cualquier otra cosa. Gracias, bueno, no de entender. Gracias, incluso para aquellos que no han experimentado el Ser, porque el campo está libre de verdad y para el no-Sí mismo. No tiene acceso a el no-yo del yo, incluso si se trata de un paso que parece real. La no-Sí mismo no tiene necesidad de sí mismo y menos aún de la I. El destino de la fuente absoluta. El Absoluto contiene la Fuente. La fuente no contiene el Absoluto, aunque el Absoluto está presente en la fuente. No puede ser de otra manera. A medida que tu me ha sido posible por el Absoluto. Y él no lo sabe. Si usted refutar esta, de esta manera su progreso (si se puede hablar de progreso) será un rayo. Pero recuerde que el ego hará todo lo posible para decirles que es una estupidez, entonces él es que es estúpido. No concede ninguna importancia a lo que sucede. Y también estás de paso. ¿Te das cuenta de este absurdo. ¿Es usted lo que es absoluto. El error es creer que este cuerpo, esta historia sea de paso, son el Absoluto. El Absoluto permite esto. Si no es absoluto, no habría yo, sin antecedentes, nada. Pero no hay nada. A lo sumo, la percepción de la nada, de la ansiedad, pero incluso esa angustia se basa en la absoluta. No absoluta, sin ansiedad. Pero todo esto es para refutar. Porque si te pido que superar la angustia, ¿cómo vas a hacer?

Pregunta: La compasión del corazón (en oposición a la compasión de la cabeza y la voluntad de la buena) puede tender al abandono?
¿Alguna vez. Es imposible. Debido a que la compasión siempre depende de la personalidad o por cuenta propia. La compasión se ejerce hacia algo que se considera fuera. El objeto de la compasión es una proyección. La compasión lleva a la Ser, pero nunca en el no-yo. Debido a la compasión, la acción del corazón o la cabeza, no cambia. Del mismo modo demostrar que el amor, dar amor, no haga el amor. Usted no piensa lo que falta. La falta de nada absoluta. Y por lo tanto, son absolutos. Demostrar o el ejercicio de la compasión del corazón que de modo permanente, en la ilusión, porque a mantener algo externo: ahí estás, no hay otro. Y demuestran compasión por una situación de serlo. Esto se justifica ya que dependen de la Dualidad, Acción / Reacción. Aunque el deseo, como la compasión, son sólo provisional de la Dualidad, por lo que usted cree que usted está en una forma justa, pero mantiene, de forma continua, la distancia entre usted y el otro. No hay que. No hay ningún otro. Es una ilusión. ¿Cómo es posible que algo que se manifiesta en la ilusión puede llevar a cualquier abandono? ¿Quién te dijo? ¿Quién ha declarado? Tú eres el Amor. ¿Es usted la compasión. Pero si la compasión práctica, poner una distancia: que ya no están en el Centro, no son absolutos. Por supuesto que es mejor para ejercer la compasión que matar. Pero en este preferible, siempre hay una situación dentro de la ilusión. Una ilusión agradable, pero aún así es una ilusión. Ninguna ilusión puede hacer que se vaya a verdadero, lo real. Mientras que actuar en la ilusión (y yo diría, incluso, especialmente si usted está convencido de actuar para el bien, incluso sin la intención de buena) si usted está convencido de que es un ser compasivo, amoroso, de caridad, que no se movió ni un ápice de ilusión y que va a ser muy lejos de lo Absoluto.






El no-ser no tiene necesidad de ser, a pesar de ser, lo manifiesta el ser. Uno que cayó a la Tierra, dijo que "usted no es de este mundo." Por lo tanto, lo que practican, en este mundo, poniendo a su conciencia, le mantiene en el mundo. Aunque se trata de refutar. El mundo no tiene ninguna legitimidad más que tú, que su historia, que cualquier compasión. La compasión es una manifestación de alteración en lo que eres, te hace considerar al otro como objeto de compasión. Olvídate de todo eso. Usted no necesita eso. No existe una solución de continuidad. Creer o hacer creer que, porque tú eres compasivo, que dejará este mundo, es falso. ¿O debe la totalidad de su vida es que la compasión y el cuidado que usted está en frente de la hormiga, ya que antes de que el elefante, como el enemigo. Debido a que se muestran en ese momento, que su compasión no depende de las circunstancias u objeto de la compasión. Esto no es el caso, por supuesto. Recuerde lo que dije antes: no hay puente, no hay continuidad, en ese sentido. Pero si usted es absoluto, por supuesto, usted puede entenderlo. Pero interfèreras el mundo que todavía cree en el ser otro, por separado, divididos. ¿Cómo ves el equipo y cuando usted tiene una pendiente resbaladiza, ya que son una pieza, incluso? La compasión es encomiable, pero loable en el sentido de la moralidad. El sentido espiritual, no es absoluta. Usted necesita más que eso, al negar, también. No te estoy pidiendo que sea malo, tampoco. Os pido sólo para ver que no eres ni uno ni lo otro. Es característico del ego para creer que va a persistir. Es característico de lo efímero para hacerte creer que es eterna. Es característico de la falsa para hacerle creer que es verdad. No hay satisfacción abrir las puertas del cielo, ya que no hay cielo. Hay infierno no existe. No es sólo una proyección, fuera de lo Absoluto, que piensa de forma independiente y que cree que es posible mantener la corta vida cuando regresaba a la absoluta. No hay continuidad. Tú eres el Amor.










Exprese compasión es una proyección del amor. Una vez más, es más agradable para vivir y sentir la compasión que otra cosa. Pero aún siento que te llevará siempre a la absoluta. Es bueno tener más que ver con una personalidad cariñosa como un paranoico de la personalidad. Pero siempre es una personalidad. Siempre es de lo efímero que acompaña a una bolsa de comida. Contrariamente a lo que uno puede imaginar, no es porque su bolsa de comida para ver una voz compasiva en frente de otra bolsa de comida, diciendo que se ve más allá de la bolsa de comida, usted realmente va a creer que esto puede ser cierto. Es una ilusión. El otro tiene nada de sustancia más que tú. Es la personalidad que quiere a su vez que habla de la compasión. Es el Ser que hablará de la identificación de la compasión y espiritual con los modelos: Cristo, Buda, Krishna, y así sucesivamente de los mejores. Pero, ¿puede usted decirme dónde están los profetas de hoy? ¿Me puede decir dónde estoy, sin venir a mí? No. Sólo se puede proyectar una conducta ideal. Pero usted no es ideal. Usted no está conduciendo. Olvídelo. Refuta todo eso. Usted es absoluta. Si fue capaz, con cada respiración, que te llene con esta Real, que se convertirá en lo que son, con mucha rapidez. En su lugar, viaje de la vida a la vida, la bolsa de bolsa de comida, comida, corriendo detrás de algo que nunca puede ponerse al día. Es como el burro delante de la cual se puso una zanahoria en un palo. ¿Entiende la foto? No hay burro. No hay zanahoria. Es una proyección. No tiene existencia, sin sustancia. Esto es parte de un tiempo que está limitada por el nacimiento y la muerte. ¿Qué vas a hacer con su compasión por el otro lado? Un pasaporte? No va a ser reconocido.



Pregunta: El Absoluto, que es el Todo, sin forma, sin identidad, sin conciencia: la nada?
No. ¿Qué dice eso, es la personalidad. Personalidad te harán creer que el Absoluto no es nada y todo lo mejor. Pero no es nada. Esto no es nada a la personalidad, el ego. Es el ego el que se adjunta a esta noción de la nada. La nada es el último paso (si se me permite decirlo) por encima de lo Absoluto. Para el Absoluto, es usted, nada. Porque eres una bolsa de comida, nada más. Los moldes del cuerpo, hagas lo que hagas y digas lo que digas. Es una certeza. Así que vuelves a la nada. Lo que desaparece es este cuerpo, esta conciencia. Así que, desde su punto de vista, esta es la nada absoluta. Os digo que, desde el punto de vista del Absoluto, es usted, nada. Usted no tiene ninguna consistencia. Este es el ego que te hace pensar que eres algo y tiene que realizar el Sí mismo. Recuerde: el Absoluto es desconocido para usted. Desconocido no quiere decir nada. Por contra, sí, tú, tú eres la nada porque no son absolutos. Se puede hablar de lo que no lo sé. Usted no puede captar. Usted no puede entenderlo. Sólo se puede vivir. Sin embargo, las garantías son numerosos. El ego te dirá que no es nada. El ego te dirá: "esto no es cierto." Porque quieres que tu historia, porque el valor de su espiritualidad, porque quiere lo que está mal y creo que es verdad.

Tú eres una criatura de las creencias. Te apoyas en las creencias, te apoyas en las arenas movedizas que desaparecerá junto con usted. Lo que propongo es para refutarla. No hacerse la pregunta qué hay detrás. Usted puede encontrar, no se puede vivir, ya que no han refutado. Así que usted puede usar todos los juicios de lo Absoluto, diciendo que "no es nada, no es nada, está vacío". Pero usted no tiene, hasta ahora, ninguna experiencia. De lo contrario, no podría decir eso. Las palabras, incluso, que se utiliza, demuestran que usted está en la ilusión y que su suposición es incorrecta. El Absoluto no está vacío: es, también, el vacío. El Absoluto no es la nada: es, también, nada. La personalidad nunca será absoluta, ya que es efímero y lo cambia. La personalidad no sabe la alegría, porque la alegría siempre se alterna con el dolor. Debido a que hay necesidades, deseos (espiritual como física, como fisiológica). El Absoluto no tiene deseos, ni necesidades. Es lo Real. Usted es irreal. Y los reclamos para conocer el verdadero irreal. Es imposible. De hecho, es una representación de una perspectiva que es falsa. La representación sólo puede ser falsa. Recuerde: lo desconocido puede ser conocido por usted. Debido a que (más allá de la bolsa, más allá de sus reclamos), usted es eso. Debemos dejar de cualquier proyección. Debemos dejar de cualquier suposición, la creencia. El Absoluto no es una creencia. No soy una creencia. No es, o bien, una suposición. Él es el Real, que nunca cambia, lo que era antes de estar o apparaisses en este mundo.

Este mundo no es absoluto: lo cambia. Para el Absoluto, no existe. El mundo es un defecto en la pureza del no-ser, en la transparencia de los No-Ser, lo Absoluto. Como usted piensa lo contrario, te condenas a permanecer y pretender buscar limitado lo Ilimitado. Si usted está buscando algo, es que usted está de acuerdo y piensa que está vacía. ¿Por qué buscar para llenar cualquier cosa con la alegría o la espiritualidad? El Absoluto no busca nada. Él no puede ver. Él no puede encontrar nada. Son ustedes los que esperan encontrar. Es usted quien está buscando. Pero no se puede encontrar o buscar, lo que eres. Porque tú eres. Se da cuenta de la estupidez de la propuesta: ¿Estás buscando el amor y Te quiero. Usted no puede encontrar lo que eres. Y si usted no se siente el amor, se demuestra que son ustedes los que se tiene en cuenta incluso si usted no quiere que lo más vacío. Nada es lo efímero. El cuerpo es efímero. Nada, esto es, en este aspecto, pero no que en lo que eres, más allá de todo ser, de toda la historia. Piensa: ¿quién pregunta, incluso si la personalidad es más? ¿Qué implica? ¿Quién cree? ¿Quién espera? ¿Qué proyectos? ¿Adivina quién? Ciertamente, no la real. Pero precisamente lo que está vacío y la necesidad de llenar o que se siente obligado a cumplir, porque no fue reconocido. Tú no sabes quién eres, como te crees que sabes quién eres. Debido a que los elementos que llaman conocimiento, sí, ustedes, son una función sólo de los juicios y creencias. No te apoyas en nada eterno, nada real, todo el tiempo que siguen dependiendo de una manera como otra, las circunstancias de este mundo. Cuando usted duerme, el mundo ya no existe para ti. Y sin embargo, está seguro de que levantarse en la mañana y regresar al mundo. ¿Quién te dijo? Se trata de una serie de experiencias relacionadas con sus años y sus días que suponer que es verdad. Esto es verdad hasta que ya no es así. Imagine que usted muere en su sueño. ¿Tiene el mundo existen al día siguiente? No. Así que dormir con un determinado resultado de una creencia, pero no la verdad. El Real no tiene necesidad de todo el mundo. Es el mundo que está vacía. Este es el mundo que no es nada. Se trata de Maya. Y todo en él es Maya. A menos que usted. Pero no estás en lo que se limita no es así, en esta historia, este cuerpo, esta vida. Pero estoy hablando a ti, lo Real. Como crees que es la nada absoluta, usted puede estar absolutamente seguro de que lo que se murmuraba que su mente y nada más. ¿Va a creer lo que tu mente te dice? Él le dice que el día saldrá mañana. '¿Está seguro? Esta no es la repetición del día y los días de tus años que le da la certeza. Es una creencia. Cualquier creencia de un día dejará. Incluso los científicos dicen que este mundo cesará en miles de millones de años. No es permanente, aunque se le da, a través de tu vida, fugaz, un sentido de permanencia. Nada es permanente en la ilusión. Nada es real. El Absoluto es la única realidad. Refuta el mundo, pero no proyectar la nada de lo Absoluto, porque es el mundo que no es nada. Se aniquilado, por otra parte, tan pronto como se cierran los ojos y dormir contigo. Sólo la creencia en su persistencia le hace dormir sin miedo, sin miedo.

Pregunta: ¿Si siento miedo no sé necesariamente la causa, la actitud correcta es que para refutar la persona que experimenta este temor, la persona que se adhiere a su historia y luego que sea esta sensación de miedo sin tener que pagar atención?
El miedo, ya, es una secreción de moléculas. Ella no tiene más sustancia, este miedo, que el peso que les dan. ¿Quieres saber la causa es inútil porque incluso si la causa es identificada, usted puede creer que el miedo desaparecerá. La mayoría de las veces, esto no es el caso. El temor es que el resultado de la ignorancia, no una causa, sino lo que eres. ¿Qué se siente el miedo, es la fugacidad de la persona. ¿Qué significa eso? Si usted expresa que la persona siente miedo, simplemente significa que la persona existe y tiene un peso, porque sucede a molestar a usted. ¿La negación del miedo es suficiente? No. ¿El hecho de refutar el miedo es suficiente. Nada más. ¿El hecho de refutar la persona siente miedo, es suficiente? Nada más. Así que considera que el miedo tiene una existencia no más de la persona, que el miedo (si usted ha observado bien, y tú mismo dices) simplemente pasa o aparecen y desaparecen. Incluso si es intensa, no hay emoción, no puede durar. Se puede volver a ocurrir, pero lo hará de sí mismo. Así que no se alimentan del miedo. Eso no significa la negación, no ver, me dijo: no darle de comer. Pero tan pronto como se observe el miedo, le da de comer. Del mismo modo la mente: para dar la atención sobre el miedo que le da peso. Luego, por supuesto, hay maneras, en la mente, para evitar el miedo, luchar, ser identificado como a su causa. Pero, inevitablemente, incluso si se siente bien, que fortalece a la persona. Esto perpetúa la ilusión de que perpetúa las creencias. El primer paso, si el paso que hay que salir del yo, la conciencia de establecer un punto de vista alternativo, que de sí mismo y quizás también del no-yo, tan pronto como se acepte para ver el miedo (no no para negar o refutarla) por lo que es, es decir, una secreción química. No me digas que eres una secreción química. El miedo es una emoción. Siempre es una reacción, a una conjetura, en una historia.

Todo el principio de este mundo es hacer que usted se pega a sus historias, sus emociones, sus supuestos, sus creencias. Pero tú eres nada de esto. Por supuesto, esto no es porque cuando se vive el temor de que vas a decir: "No le temo", desaparecerá. Pero los beneficios son momentos en que el miedo te deja en paz a vivir como usted no es esa historia y esa persona y la bolsa de comida, se vive, no te necesito para vivir. Él sólo necesita alimentos para ser alimentado. Sin embargo, no darle de comer otra cosa. El miedo es una secreción de esta bolsa, como la tristeza, como la ansiedad. Estas son suposiciones, estructuras efímeras, que no tienen realidad, no la verdad. Una vez más, cuando el miedo está ahí, si se logra mantener la calma (esta vez, más allá de la refutación, más allá de la identificación), si se coloca en los que observan lo que está sucediendo , usted encontrará que el miedo tiene menos poder sobre ti en lo que son. Y, muy rápidamente, una emoción, como una enfermedad, puede afectar el cuerpo, este personaje, pero no has de ser que se trate. El problema es que cuando el cuerpo se va, usted no tendrá ningún problema a no ser este cuerpo, e incluso se escapan por las creencias de otros. Y el día en que el cuerpo está mal, lo que haces: estás enfermo. ¿Qué significa eso? Esto significa que se identifican con este cuerpo, tanto es así que usted tiene miedo de perderlo. El miedo a la muerte, todos los miedos, a partir de este hecho. Porque tienes miedo de lo desconocido, de la nada, porque usted no sabe lo Absoluto. Ser Absoluto, no se preocupa por este organismo. Para alimentar, para mantenerla, pero no ser identificado de ninguna manera. Ya sea de salud o cerca de la muerte, no es por ti. Si el miedo se manifiesta es que se adjuntan a este cuerpo, esta bolsa. Usted cree que esta bolsa. Todo el miedo viene. Incluso si usted habla de las creencias en el más allá, incluso si usted habla de la experiencia mística, no se retiró de la ilusión, de lo efímero. No aceptar la corta duración debido a la personalidad se siente eterno, que se cree real. Sin embargo, la enfermedad ha demostrado lo contrario, la muerte también, aún más dramática.







Así que me dicen: y el sufrimiento? Pero el sufrimiento es la concreción de miedo. El miedo a perder, miedo al fracaso, miedo a morir, miedo al dolor, incluso. Y hace un bucle. Y crees que eso. Usted ha identificado lo que temes: la muerte, el sufrimiento y al miedo mismo. ¿Cómo salir? Basta con suponer que usted no es esa. Además, lo que sucede allí, en el sufrimiento más intenso: desea desaparecer, desea unirse a la nada, no volver a ver el sufrimiento, el miedo, la enfermedad y la muerte. Pero cuando llega la muerte en realidad, ¿qué dices? "Quiero vivir". Usted estuvo en el maya de sus creencias espirituales. El Absoluto no puede entrar en ese juego. Él sabe que no es el cuerpo, no como una creencia, sino como una verdadera vida,. Mientras existe la creencia en una persona, hay temor, hay sufrimiento y hay miedo a la muerte. Usted no es esa persona. No hay nada que encontrar. No es sólo para instalarse en el no-ser, en el no-Sí mismo, el Real y el resto vendrá por sí mismo. Y todo lo que sucede no es real y no tiene ningún peso. Si este tiene un peso para usted es que usted no está liberado. ¿Qué quieres que te libere? Esto no es un objetivo que está en el tiempo. Siempre y cuando usted cree que está inscrito a tiempo para que Libertador es la personalidad que se expresa. El Absoluto no tiene ningún uso de tiempo. Él siempre estuvo ahí. No siempre estará ahí, lo que te vuelves. El miedo es simplemente expresar el compromiso de la persona, es decir que en alguna parte, usted ha dado peso a la persona, la coherencia y te sientes atrapado, dependiente de alguien que Don ' no existe.

Cambia tu perspectiva. Salid de teatro. No hay teatro. No hay persona más que el miedo. No hay mundo. Tú eres el Amor. ¿Es usted el Absoluto, desde toda la eternidad. Tiene (o como dicen algunos) un sueño o una pesadilla para otros. Pero ni el sueño ni una pesadilla pasada. No alimente. Tú eres el Amor y el Absoluto. Es muy sencillo. Tan simple que el ego te dirá que no es cierto. Desde su punto de vista, esto no es cierto. ¿Desde qué perspectiva usted se coloca, ¿verdad? Que de amor o de la persona? La de la emoción del amor o el que? Sea consciente de ello e ir sobre ella. No se apegue a nada. Usted es absoluta. No depende de nada. El Absoluto es dependiente de nada. Atender la demanda que este cuerpo, pero no lo es. Tenga cuidado de lo que usted solicita esta vida, hazlo, pero no es esta vida. ¿Quién te dijo que son necesarios para estar plenamente en lo que haces? La única manera de estar totalmente en lo que haces, es entender que no eres lo que haces. Todo lo demás es una consecuencia de la personalidad y el ego. Siempre. Y es permanente, dando la impresión de que es real. Pero usted sabe muy bien que cualquier tarea se detiene, deja de que cualquier relación o, al menos, fue detenido por la muerte, a más tardar. Por lo tanto, no tiene sentido. Según dice, quiere hacer las cosas bien es más de un archivo adjunto a la personalidad y, por supuesto, cuando hay este apego, no hay miedo: miedo de hacer el mal, el miedo al olvido, miedo a cometer errores. No le temo. El miedo es una secreción del cuerpo de los alimentos. Usted cree, simplemente porque usted está sujeto a sus dictados, sus deseos a sus creencias, sus ilusiones. Y así es como nace el apego a lo ilusorio. Superar eso, usted es nada de eso.

Pregunta: ¿La suficiente para crear el vacío necesario para el surgimiento de la ola de la vida en una estructura disfuncional de refutación?
Así que hizo una relación entre la ola de la vida y el Absoluto, entre la refutación y la ola de la vida. Me dijo que la ola de la vida nace a los pies del gurú: guru, eres tú. La vida de las olas que sucede en las zonas que se inscriben las dudas y temores, los de la personalidad unido a sí mismo, su persistencia, para su subsistencia. Es aquí que la refutación no es estrictamente parte de la ola de la vida en sí, sino más arriba, en lo que se llama los chakras que pertenecen a lo ilusorio, a lo efímero , a este cuerpo. Es en este nivel que son los cuellos de botella de hecho inscritas en los miedos. Ahora la pregunta que surge es si alguien que había perdido ambas piernas podía ver el nacimiento de la ola de la vida, ya que hay más pies. La respuesta es sí. La ola de la vida no tiene ningún uso de las estructuras existentes (funcional o no funcional) o inexistente. La ola de la vida va a nacer sólo para que el cuerpo comienza, la más baja. Si hay más de una pierna, el muslo y lo dejó en ese nivel va a nacer. El principio de la refutación no permite la ola de la vida por nacer, pero puede eliminar archivos adjuntos obstáculos ilusorios a la persona que llama, con el cuerpo, estructuras efímeras, a la vez. Esto es lo que elimina los obstáculos existentes a ese nivel. La refutación no puede dar lugar a la ola de la vida. La ola parece a la vida misma, ya que es algo que tiene que ver con su voluntad, su persona, su cuerpo, aunque nació en los pies (que es parte de corporal). La ola de la vida nace sólo para el punto más bajo situado, esto, como en la Tierra que viene de las profundidades de la Tierra. La refutación se refiere únicamente a lo que está escrito en la personalidad y de su construcción: su apariencia es una ilusión para que se creen en muchas cosas, un conjunto de cosas que no tienen sustancia, que no son reales. La vida de las olas se detiene, simplemente, en función de los obstáculos encontrados. Si no hay ningún obstáculo, la ola de juncos de la vida. Ella viaja por todo el cuerpo ilusorio. Y esta es la ola de la vida, en sí, que efectivamente pone fin a la ilusión. Debido a que es ella, que permite el acceso a lo Absoluto. Estos son los obstáculos en su camino que, de alguna manera, deben ser planteadas por la refutación. No hay una estructura que es disfuncional debido a un aumento de la no-vida de onda. Lo disfuncional sólo, es el conjunto de creencias y de apego a este cuerpo. Todavía estaba intacta o lisiados no cambia. Este es el complemento de la respuesta que podría darle. No hay nada más puedo decir ya que el resto se ha dicho.









Pregunta: cruzar la puerta estrecha (punto de la DO del pecho) siempre es doloroso?
El hecho de que hay un dolor, a ese nivel, significa que tu conciencia se usa en el cuerpo. Por supuesto, estas puertas se describen. El manto azul de la Gracia, la ola de la vida, el paso de las puertas y la inclinación de la titular no se dio cuenta, por último, que si lo dejas ir en contra de su propio cuerpo. Es decir, como he dicho, si se olvida de la vibración, si se le olvida el cuerpo, no como una negación, sino como una verdadera conciencia de que no somos este cuerpo que, no son lo que se lleva a cabo allí y que incluso los marcadores, dolorosas o no, que son en general constantes, no debe afectar a usted, porque si te pones tu conciencia del dolor, usted le da peso. Como se ha dicho por la ola de la vida: No te preocupes por eso. El manto azul de la gracia es mayor, pero en total sincronía, porque el punto de OD representa lo que se llama el elemento Tierra, registrada en los pies. La Tierra está sufriendo. Este cuerpo es el dolor, ya que se basa en el principio de la resistencia, la dualidad de lo que ustedes llaman la fisiología, con necesidades especiales. Todo lo que expresa una necesidad es dolorosa, en este mundo. En este caso, el dolor refleja el paso: Este paso (que no es uno), la puerta estrecha, donde no hay solución de continuidad, en este sentido. Por lo tanto, puedo aconsejarle que no es la concesión de crédito para decirle lo que su cuerpo. Que se diviertan, se ríe, no te preocupes por ese cuerpo. Usted ya no están en las etapas preliminares, lo que los antiguos, que fueron construidos para realizar el Sí mismo. Hoy en día, usted tiene que deshacerse de él.

Abandonar a sí mismo para ser el no-Sí, así. Usted debe dar más importancia a lo que ocurre en el Yo. Esto no significa negar, esta vez, sino más allá. No está atrapado en lo efímero. Alegría del Corazón, el Samadhi, Kundalini, los chakras, son, por el Absoluto, una ilusión. Eso no quiere decir que no existen, en algún nivel, mucho más sutil que el cuerpo denso. Pero también tenemos que ir más allá. La única manera de superar esto, por esto no es tratar con él. Lo único que tiene que preocuparse, en la refutación de ellos, es dudas y temores. OD punto, como se llama, la DO Porte, es sensible. Se representa los restos de anexos a la persona, los restos de anexos a la espirituales y materiales, a los enlaces, archivos adjuntos, que forman parte de toda la vida. Por la ola de alzas de vida, más la ola de la vida se encuentra ningún obstáculo (a lo que llaman los dos primeros chakras), en la ola de la vida no se detiene en los chakras a continuación. La ola de la vida va a ganar el corazón, por lo tanto, ganando miembros, y luego ganar la cabeza y la onda viaja por todo el cuerpo. En ese momento, sabes que algo corre por el cuerpo, pero usted no es la ola de la vida, como ves. En algún momento, uno se detiene a observar. En algún momento, usted se convierte en la ola de la vida, ya no eres el cuerpo. Hay más términos en el cuerpo, hay un punto de vista de la ola de la vida. Y allí, en ese momento, que son absolutos, no antes. El punto de disparo, no expresa necesariamente una duda o el miedo, el sentido de los dos primeros chakras, sino más bien un compromiso global de la persona, en su persona, su historia. Ya no estamos en la duda y el temor, sino un problema de apego, que es diferente. Pero el problema, por último, en su solutionnement, es la misma cosa: y pasa este no es eso.

Poco a poco, como la resistencia (tanto de dudas o temores que, como en este ejemplo, los archivos adjuntos a la persona) se hace menos presente, la onda de las ganancias de vida en el poder. Usted sigue siendo observador y, en algún momento, usted no ve más: Te has convertido en la ola de la vida. En este punto, existe la absoluta. Nada puede limitar, nada lo puede obligar. Usted ya no está conectado, usted sin duda ya, que ya no tienen miedo. Usted está Absolutos. Tú eres el amor y la esencia del amor. El mundo está en vosotros, porque el mundo no existe. Usted es el mundo y el más allá del mundo. Usted es, por supuesto, más allá del yo. Hay más sentido de la historia. Juegas en el papel, pero usted sabe que juegan un papel. Usted sabe que no es ese papel, no como una creencia, sino como una experiencia total y real. En ese punto, usted está viviendo en libertad, y en ese momento, usted puede jugar: puede ser la persona que puede ser el Sí mismo, usted puede ser el no-Sí mismo. Usted navega libremente toda la gama posible de este mundo, ya que se encuentra en un formulario. Usted no es la forma, pero se juega de esta forma. Esto no quiere ser identificado como tal, formal y completo, a este formulario. Esto no es sólo una cuestión de perspectiva, por no hablar de la creencia, sino más bien vivido, más allá de la experiencia, incluso si lleva a cabo experimentos. El que no se libera, tiene miedo. El que no está liberado, está en duda. Expresó, en un momento u otro, una dualidad en una u otra forma. El liberado no tiene ninguna duda, no tiene miedo, porque sabe que está en una persona, pero no es esa persona. Él lo sabe porque lo vio y no porque él lo cree. Se convirtió, en algún momento, la ola de la vida. Es la felicidad más allá del Samadhi. Está más allá de la alegría de la Alegría, que tendemos a llamar a la risa, pero no la sarcástica o burlesca, pero la risa de lo Absoluto, lo cual es cierto, a diferencia de la risa que se burla . Por lo tanto, vivir la oleada de vida, ondeando en la onda de la vida, de hecho, da absoluta. Una vez que lo Absoluto, el puente se ha establecido, a lo desconocido se conocía, porque vivía, y hay que ir de uno a otro sin ningún problema. Si el miedo es, se le cae por temor. Usted depende de nada, a ver claramente, que salió de la ilusión, aunque el cuerpo de la ilusión sigue ahí. Se ven más afectados por lo que suceda con este cuerpo, en este mundo, como en esta vida. Vosotros sois la luz debido a Liberados. En ese momento, aunque hay sufrimiento, que se manifiesta en algún momento, incluso en una puerta, eso no significa un paso atrás, ya que también no sea identificada para esta puerta o lo que chakra, de la misma manera que son, sin duda, más tiempo y el miedo. Así que le servirá el punto de apoyo que representa la manifestación de ardor o dolor, para diseñar y vivir que no es el dolor y todo irá bien.















Pregunta: El Absoluto se pueden manifestar en el cuerpo, mientras que el Sí mismo no se realiza?
Sí. Como ya he dicho, es ahora aún más fácil. El principio de unidad, el principio de lo Absoluto, es construido por refutaciones sucesivas, las ilusiones construidas en el tiempo sucesivo. Y por lo tanto, el Ser se ha visto, con razón, como un paso. Hoy en día ya no es el caso. ¿Por qué? Debido a que la Tierra es liberada y la ola de la vida es liberada. Ella puede ir de nuevo. Que el auto está allí o no, es irrelevante. El resultado sólo es importante, en última instancia, la existencia, o no, las dudas y temores. Porque si bien el Ser dice que se ha registrado, también, dudas y temores, que tienen el mismo valor, o la misma densidad que en el I, pero que sin embargo son a veces presente. Pocas personas han realizado el Sí mismo, que son capaces de aceptar la muerte de este cuerpo, lo que demuestra que todavía hay dudas y temores: el miedo a perder, los límites de los marcos, es decir, es decir, la encarnación. La ola de la vida no significa que sea más fácil o más difícil, dependiendo de si está o no han alcanzado el Sí mismo. Es, simplemente, los obstáculos encontrados por la ola de la vida (el nivel que fue lo que llamó las dudas y temores) que puede entorpecer, de alguna manera, la ola de la vida. No hay nada más. Si usted está en el Ser o Yo, el, no cambia. El Sí mismo es el Despertar del Corazón. Usted puede abrir y tener el chakra del corazón, como usted dice, que todavía están atrapados, aún no liberada. Esta es la liberación de estos chakras que permite a la creciente ola de la vida, para observar la ola de la vida y se convierten en la ola de la vida. No tiene nada que ver conmigo o con el auto. El Yo a veces puede ser un gran obstáculo para el establecimiento de no-yo. Hay I y personalidades que no están habitadas por la duda y el miedo, sin haber realizado el Sí mismo. Para estas personas allí, la ola de la vida se reunirá con el menor número de obstáculos y encontrar obstáculos menos, entonces habrá una mayor facilidad de vida y convertirse en Oleada de Vida Absoluta. En un principio evolutivo, dice (lo cual es falso, como usted sabe), es lógico suponer que existen los estratos y etapas. El paso más lógico es reconocer las leyes del alma, el karma, la reencarnación, y luego de trascender las leyes del karma y la ley de la causalidad (debido a que pertenecía, también, la personalidad y el mundo y por lo tanto incluido en la ilusión), el acceso a otro nivel u otra capa de la verdad, y sube a refutarlo, también. El principio de refutación es una refutación que se produce en pieles de cebolla o las capas de una cebolla. Una capa se experimenta, se libra de una capa, y vieron a otro nivel. A menudo era lo que se hizo antes de la ola de la vida nació.

Hoy en día es diferente. Usted está Absolutos. Estoy tentado, incluso, a decir, incluso en comparación con la ola de la vida, por no estar interesado, no a su conciencia por encima, para seguir viviendo su vida (que no es lo que son), haga lo que tiene que hacer, no porque has decidido, sino porque la vida te da para hacerlo, sin darle importancia (en la toma, pero sin montar), de viven separados (lo cual no significa inactivo o en reposo). ¿Es lo que la vida te pide que hagas, pero no lo hace. Pero lo que se hace se debe hacer. ¿Qué va a hacer, es hacer: eso es todo. La ola de la vida va a nacer, te guste o no, ya que réfutiez o no, porque es inevitable, si acepta o no. Así que ¿por qué ocuparse de lo que es inevitable? Del mismo modo, ¿por qué te preocupas por este cuerpo va a desaparecer, si no para mantenerla? La cuestión de la supervivencia de cualquier cosa, ya se aleja de lo absoluto, porque el Absoluto no sobrevive, él siempre estaba ahí, eres tú quién eres distante, poco importa cómo, cualesquiera que sean las causas. Por supuesto, es gratificante para encontrar las causas y razones como la interferencia exterior. Por supuesto, es cierto: la falsificación ha existido, que era real, pero no le dan el peso. La historia ha terminado y que no son historia. Usted no es el cuerpo que usted ha pedido prestado. Usted no es el alma que ha viajado por el mundo. Tú no eres más el espíritu que surgió, en algún momento. Todo esto es sólo la efímera transitoria. Es lo único real, lo absoluto, porque no cambia. Se podría decir (porque la imagen es atractiva) que ha revisado la periferia de la rueda y, poco a poco, estás más cerca del centro, y en algún momento, usted se convierte en el eje de la rueda , es decir lo que es aún, que nunca se ha movido. Usted ya no es la rueda. Y la etapa final, no son, tampoco, el núcleo, que están más allá. Las refutaciones sucesivas del cuerpo, las emociones, alma, mente, son pasos, que hoy están superados por la restauración de la ola de la vida. Su llamada. ¿Qué prefieres? ¿Necesitas tiempo? ¿Quién necesita tiempo? Personalidad, ya que está en la lista en el tiempo. El Absoluto no sabe el tiempo o la historia, que tiene que hacer con tu tiempo, tus noticias. Es cualquier cosa menos la historia. Como se ve, en su caso. El Absoluto es simple, la relación es complicada. La verdad relativa que lleva por los caminos del alma, por los caminos de ilusión del conocimiento, en las proyecciones que se creen que llegará un día, pero no hay un día, porque todo ya está ahí . ¿Qué quieres ser o no ser? ¿Dónde se coloca? En un lugar o un lugar en el Absoluto? Piensa.

















Le insto a hacer las preguntas correctas, porque la pregunta no necesariamente una respuesta correcta o incorrecta, pero le mostrará, en consecuencia, cuál es su situación. Si tomo una de las preguntas anteriores, cuando la persona dice que es la nada absoluta, es fácil ver que la persona que hace esta pregunta. Este no es un juicio, pero es un hallazgo desde la perspectiva de la persona. Si nos fijamos en su pregunta, usted sabe dónde está. La primera pregunta que, dijo, no entiendo las tres cuartas partes de lo que me han dicho, muestra la vista de esta persona. El Absoluto no puede ser entendida, sólo puede ser vivida. Personalidad le preguntará una serie de adjetivos que no tienen ninguna realidad y la verdad que no, porque son a partir de supuestos y creencias, no la experiencia. Lo mismo ocurre con cualquier pregunta. La única pregunta que le llevará, tal vez, más fácilmente, el Absoluto es la siguiente: lo que eran antes de este cuerpo y esta historia? Y no me contestas: Era otra vida. ¿Sabe usted quién eras antes de estar aquí? ¿Tiene la presciencia? ¿Ha convencido? ¿Tuvo la experiencia? Si es así, entonces usted es absoluta. Porque antes de que este cuerpo sea, antes de cualquier cuerpo, antes de ser encontrado en todo el mundo, en cualquier universo, eso es lo que eran y lo que nunca han dejado de ser. Recuerde: no hay ningún pasaje de lo conocido a lo desconocido. Tenemos que rechazar todo lo conocido y lo desconocido estarán allí. Después, se puede abordar de lo desconocido a conocido por escribir un pasaje que no existía en el primer sentido, sino que existe en la segunda dirección. Tener una forma de no ser molesto para ir de uno a otro porque hay un informe Absoluto y el Absoluto con un formulario. Sin embargo, con la forma absoluta es muy consciente de que la forma es transitorio. La forma con la absoluta no se identifica en el formulario. Es en esta forma, pero no es un preso, a diferencia de lo que no es absoluta. No es una cuestión de vibración. No es una cuestión de auto, o no vivir el auto, pero para establecerse en los territorios no autónomos, que es precisamente el abandono de uno mismo. ¿Estás dispuesto a perder todo? ¿Estás listo para su aniquilación? Si es así, son absolutos, si no, no eres, al menos en lo que piensas. Debido a que el Absoluto está siempre ahí, ya sea que viva o no, te guste o no, está ahí. No depende de ninguna de sus cavilaciones, cualquiera de sus experiencias, dentro de uno mismo o en el karma. No depende de ninguno de sus conocidos que son pura basura que alimentan el ego. Por mucho que usted conozca todos los misterios del universo, no lo hará, hasta el momento, absoluta. Piensen en eso. ¿Qué quieres? Lo que se revela a través de sus preguntas, a pesar de mi respuesta?


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