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lunes, 26 de marzo de 2012

FRERE K (es uno de los veinticuatro Ancianos de Melquisedec)

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FRERE K

17 mars 2012
Je suis FRÈRE K. Frères et Sœurs, permettez moi de vous transmettre mes hommages pour votre Présence. Il m'est demandé, aujourd'hui, par l'Assemblée des Anciens, avec mes mots, de vous donner un certain nombre d'éléments qui peuvent vous permettre, en les suivant, peut-être, de vous suivre vous-même, afin de découvrir ce que vous Êtes.
J'ai eu l'occasion de m'exprimer sur la Liberté, sur l'Autonomie, sur le connu et l'Inconnu. Dans ma précédente vie incarnée, sur cette Terre, j'ai vécu, très jeune, un choc. Le choc qui vient ébranler les structures mêmes de la vie au sein de la personne et (le plus souvent quand il s'agit d'une perte) une perte vécue, bien sûr, comme un drame. C'est souvent dans ces conditions-là qu'il y a comme une sidération de la vie elle-même : un arrêt, un saisissement. Une douleur indicible qui, d'un coup et d'un coup, d'un seul, va changer ce que j'appellerais votre rapport au monde, votre rapport à la vie et, en quelque sorte, votre relation à la vie. Dans les jours, les semaines et les mois qui ont suivi le choc que j'ai vécu (et qui m'est personnel), en méditant sur le sens même de ce choc, de sa signification et de sa relation à ma propre vie, d'un coup, d'un seul, l'endroit où j'étais (que je regardais comme une forme de rêverie), ce paysage, cette nature merveilleuse que j'observais s'est tout à coup transformée. Elle est devenue Vivante, comme animée d'un souffle autre que ce qu'il m'était donné de voir par mes yeux. Tout s'est animé, tout est devenu (et je n'ai pas de meilleur mot) Vivant. L'instant d'avant, ce que je trouvais simplement beau et majestueux fut alors considéré comme mort. Et pourtant, je dus me rendre à l'évidence : ce que j'observais était toujours là mais était porteur de qualités différentes. Mon introspection, ma méditation d'alors, m'a fait porter, en priorité, non pas tant sur le sens de l'expérience, qui est incommunicable, ni même exprimable en mots ou par quelque art que ce soit. Cette expérience, que je qualifiais ensuite d'indicible, ne pouvait être communiquée en aucune façon. Parce que ce qui est connu, dans toute vie (par exemple, la façon dont vous mangez), vous pouvez l'exprimer, mais personne ne peut manger à votre place, personne ne peut voir à travers vos yeux. Pourtant tout le monde voit et tout le monde mange. Et même si les circonstances de ces actes peuvent prendre une couleur différente pour chaque être, il s'agit fondamentalement des mêmes actes, des mêmes fonctions, pour tout humain. Or là, dans ce qui se passait, dans ce qui se déroulait, existait un élément strictement inconnu, qui m'a fait sortir, en quelque sorte, du connu. Et pourtant, tout en vivant cela, de par ma qualité d'introspection qui était la mienne, je saisis tout de suite que, jamais, je ne pourrai faire partager cette expérience transcendante. Que, jamais, je ne pourrai, avec des mots, faire partager ce que j'avais vécu.
Alors, je réalisais que la seule chose qui était possible, à ce moment-là (grâce à cette faculté d'introspection), était de décrire, en quelque sorte, les moyens qui allaient permettre de voir au-delà de ce qui était vu, au-delà du Voile, d'aller de ce qui est connu à cet Inconnu. Et puisque cela était la conséquence (pour moi, comme pour tout être qui vit cela), de vivre la Liberté, l'Autonomie et ce que j'ai appelé, récemment, la Responsabilité. D'abord, ce que j'ai vécu était complètement indépendant de toute référence à un passé, de toute référence à mon propre vécu antérieur, de toute référence à une moindre projection, quelle qu'elle soit, à un moindre désir. L'instant d'avant, ce n'était pas là. L'instant d'après, c'était là. Et cet instant d'après a radicalement transformé ce que j'étais. Il y a eu, effectivement, un avant et un après. De la même façon que le traumatisme de perte énorme que j'avais vécu s'était inscrit comme un avant et un après. Un avant où je n'avais rien perdu. Et un après où j'avais le sentiment profond de perte, de souffrance, de deuil. Là, de la même façon, en sortant de ce connu habituel, m'a été donné de vivre (sans le chercher, bien sûr) quelque chose qui n'avait plus rien à voir avec le champ d'expériences habituel de l'humain, que cela soit dans l'ordinaire, comme dans le spirituel. Ce qui était le plus remarquable c'est qu'à ce moment-là ma relation au monde, ma relation aux autres, fut immanquablement et radicalement transformée. Tout ce que je percevais, tout ce que je vivais avait une tonalité, une couleur, une imprégnation qui ne correspondaient absolument à rien de ce que les sens pouvaient procurer, à ce que l'intellect pouvait procurer, ou que les émotions même pouvaient procurer.
J'étais donc face à ce que je nomme, toujours aujourd'hui, cet Inconnu qui, bien sûr, est devenu ma nature, comme elle est en train de devenir la vôtre. Mais toute ma vie, de par ce choc initial, j'ai compris et saisi et essayé de transmettre, du mieux que je pouvais, que cet Indicible, que cet Inconnu, ne pouvaient se manifester et être (tout en étant toujours là) que dès l'instant où le connu avait disparu en totalité. Saisissez bien qu'il n'était pas question de renier quoi que ce soit, mais bien de vivre quelque chose de différent, sans le chercher, et j'ai donc analysé les circonstances de l'intelligence de la relation et j'ai essayé de porter (dans la plupart de mes entretiens) la Conscience de mes Frères et Sœurs sur ce qui pouvait représenter, en quelque sorte, des obstacles sur la manifestation de ce qui était là, de toute Éternité, de tout temps, mais que, simplement, des mécanismes particuliers, inscrits au sein de la personne, empêchaient littéralement d'être vécu. J'ai saisi que toute relation devait être libre et que toute relation qui était inscrite dans une domination, dans un pouvoir, dans une organisation (fût-elle la plus logique : sociale, spirituelle, familiale), ne permettrait jamais de vivre cela. Que tant qu'il existait la persistance d'un connu, tant que la personne entretenait ce connu (même dans ses aspects les plus agréables, les plus charmants, les plus amoureux, pourrait-on dire), cet Absolu ne pouvait pénétrer ou on ne pouvait, en quelque sorte, se laisser pénétrer par cet Inconnu. Je saisissais aussi que la relation n'avait pas à être rompue, à être niée, à être déniée mais bien, réellement (et il n'y a pas de meilleur mot), à être transcendée. Tant que vous êtes enfermé dans une relation, quelle qu'elle soit, fût-elle la plus belle, vous ne pouvez découvrir l'Inconnu. Parce que la relation, par essence, est toujours basée sur un besoin de confiance, sur un besoin d'amour, sur un besoin de certitudes. Mais l'ensemble de ces relations ne sont pas Libres. Elles donnent l'impression de la liberté, l'ersatz de la liberté, l'ersatz de l'amour, mais elles ne vous permettront, jamais (dans leur accomplissement le plus total, même), de vivre l'Inconnu et de vivre la Liberté. Il n'y a donc pas, fondamentalement, de relation libre. La seule vraie relation est celle qui s'établit bien au-delà de la personne, bien au-delà de l'âme, bien au-delà de l'esprit, bien au-delà de tout discours pouvant vous faire croire à l'existence de relations entre des âmes, entre des esprits, entre les Dimensions, ou entre vous et qui que ce soit d'autre. J'en suis venu, à ce moment-là, à dissoudre mon appartenance à toute organisation. Parce que dès cet instant-là, je saisissais que nul mouvement, nulle organisation, nul groupe ne pouvait réaliser cela, parce que l'ensemble de cela ne pouvait s'inscrire dans rien de connu, rien d'organisé, rien de structuré ou de systématisé.
L'Inconnu ne peut s'accommoder de rien de connu. Tant qu'il y a connu, il y a persistance, au sein de ce monde, de cette personne, quelle qu'en soit la saveur, quelles qu'en soient les expériences, quel qu'en soit même le côté agréable ou beau. Le connu ne conduit jamais à l'Inconnu. C'est donc justement quelque chose dont il faut se défaire et il faut se défaire, déjà, de toute relation. Saisissez bien que je ne vous demande pas, par là, ou ne vous conseille, aucunement, de rompre ou briser quelque relation que ce soit, mais bien plus de la transcender, au-delà de tout sens d'organisation, au-delà de tout sens de propriété ou d'appropriation. La Liberté, l'Autonomie, la Responsabilité, le Soi, ne peut s'établir que dès l'instant où vous avez rompu, dans les mécanismes mêmes de votre pensée, tous les attachements, à quelque religion que ce soit, à quelque personne que ce soit, à quelque identité que ce soit. Vous ne pouvez prétendre être Libre sans vous Libérer vraiment. Vous ne pouvez vous retrouver à être Inconnu, en étant dans le connu, quel qu'il soit. Quels que soient les noms que peuvent donner différents courants traditionnels et initiatiques, même dans leur justesse des mots, rien ne pourra vous permettre de vivre l'Inconnu, tant que vous êtes dans le connu. Car, par définition, sur ce monde, tout ce qui vous est connu appartient nécessairement à une reproduction, à un éphémère, à quelque chose qui appartient à une convention, quelle qu'elle soit. Convention qui s'inscrit nécessairement dans la dépendance affective, sociale, familiale et qui, jamais, ne vous permettra de vivre l'Indépendance. Des poètes ont dit : «Vos enfants ne sont pas vos enfants». C'est la stricte vérité. Tant qu'il existe, en vous, un sens de propriété, un sens d'attachement, à qui que ce soit, à quelque concept que ce soit, vous ne pouvez prétendre à l'Inconnu, à la Liberté et encore moins à la Libération. Saisissez bien (et là est tout le paradoxe ou, si l'on peut dire, l'apparente difficulté) qu'il n'y a pourtant rien à rejeter, rien à rompre, si ce n'est en vous-même, au niveau de ce vous concevez, de ce que vous croyez, de tout ce qui a été expérimenté. Aucun Inconnu ne peut se révéler tant que vous êtes installé dans le connu. Aucune Liberté ne peut apparaître tant que vous-même n'êtes pas Libre. Or, l'expérience que j'ai vécue, cet accès à ce qui était Vivant, est la Liberté. Parce que cela Est, de toute éternité, indépendamment de toute circonstance, indépendamment de tout regard, indépendamment de toute personne.
J'ai donc été appelé à m'exprimer longuement (sous forme d'images, parfois), en tentant de dire et d'exprimer que jamais aucun autre être humain ne pourra vous faire vivre cet Inconnu (parce que c'est une démarche personnelle, au-delà de la personne), qu'il ne pouvait exister aucun sauveur extérieur, qu'il ne pouvait exister aucun avis extérieur à vous-même et que dès l'instant où une relation s'établit (dans le connu, de couple, de maître à élève), il ne peut y avoir Liberté. J'ai donc affirmé et je réaffirme, aujourd'hui, qu'il n'y a aucun gourou, aucun maître, aucun être qui peut vous conduire à la Liberté et à la Libération. Il n'y a que des résonances (au sein d'une relation la plus libre possible) qui puissent vous amener à reconsidérer ce que vous appelez la liberté, la libération, ce que vous appelez le connu. Vous pouvez, comme diraient d'autres Anciens, éliminer (sans rejeter) de votre tête, tout ce qui est connu. L'Inconnu ne peut s'y trouver. Il n'y a donc pas de solution de continuité et tout le piège de la personne est ici : c'est de croire que la Lumière, en s'impactant sur des Étoiles, sur des Couronnes, va vous remplir et va transformer quelque chose en vous. C'est impossible.Ça a été une étape. Mais vivre la Liberté et la Libération, c'est abandonner bien plus que la personne. C'est abandonner même la Lumière qui est vécue comme extérieure.
Être Lumière n'est pas se remplir de Lumière. Être Libre ce n'est pas évoquer la Liberté. C'est déjà saisir ce qu'elle n'est pas. De la même façon, l'Absolu ne peut être compris. Il ne peut qu'être approché à travers de ce qu'il n'est pas. De la même façon qu'il y a eu dans mon choc (qui est aussi le choc de chacun) un avant et un après, il y a effectlivement un Passage. Ce Passage ne peut être décidé au sein du connu. Il nécessite, au-delà de l'Abandon à la Lumière, un Abandon du Soi et de la personne, en totalité. Ce qui n'est pas pour autant un suicide ou le fait de renier quoi que ce soit mais bien d'être dans une lucidité nouvelle, d'accepter qu'il ne peut y avoir aucune autorité, aucun être, aucun gourou, aucun dieu, aucune circonstance, qui puisse vous amener à ce que vous Êtes. Ce n'est, encore une fois, qu'en éloignant de votre conscience tout ce qui est conscient, toutes les expériences, qu'en définitive vous dépasserez même la conscience du Soi. Débouchant sur ce que nous pourrions appeler, de différentes façons, le Tout, l'Absolu, «Moi et le Père sommes Un», ou encore le Brahman et le Parabrahman ou, si vous préférez, la fin du connu.
Il existera toujours, au sein de toute relation, un garde-fou. Ce garde-fou est toujours inscrit par rapport à une norme, à une règle. J'affirme, comme je l'affirmais de mon vivant, qu'aucune règle, qu'aucune forme, qu'aucune limite ne peut se maintenir dans l'Illimité. Qu'aucune définition, qu'aucun concept et qu'aucune perception même (habituelle, sensorielle) ne peut définir ce qui ne rentre dans aucune définition. Et pourtant, c'est là que se tient la Vérité, l'Éternité et se tient, exclusivement, ce que vous Êtes, ce que nous Sommes. La Liberté s'inscrit dans une relation totalement nouvelle, dépouillée, bien sûr, de tout attachement, de tout rôle, de toute fonction même, et surtout de toute volonté inhérente à la personne. Il n'y a pas de pire obstacle à cette Liberté que la volonté de bien, que la volonté d'organiser, de structurer, cette expérience. Il n'y a pas de pire obstacle à l'Inconnu que le connu. Il n'y a pas de plus grande résistance que ce que vous croyez être au sein de votre connu : personne, vie, expérience, histoire personnelle, légende personnelle. Tout ce à quoi vous tenez, vous tient, de manière inexorable et définitive. Il faut donc accepter, comme disait notre Commandeur (ndr : O.M. AÏVANHOV) de lâcher, de ne plus rien tenir, de faire face au néant du connu, pour vivre le plein. Vous ne pouvez être rempli par une quelconque conscience de ce qui doit vous remplir, ou être ce que vous Êtes.
La démarche de la relation (quelle que soit cette relation) doit être conçue comme une démarche de Liberté et de Libération totale. L'Amour est cette Liberté. L'Amour est cette Libération. Elle n'est pas dans la projection de quoi que ce soit à l'extérieur de l'être, même si cela est séduisant, même si cela est rassurant, même si cela peut sembler vous combler. Réfléchissez : pourquoi, même au sein d'une relation de couple ordinaire, y aurait-il besoin de recommencer quelque chose qui vous comblerait de manière définitive (que cela soit de se regarder, de faire l'amour) ? Quel que soit l'acte que vous entreprenez, avec un autre ou une autre, il y a nécessairement une reproduction, parce qu'il y a besoin effectivement de combler ce qui est vide en vous. Or, vous comblez avec quelque chose qui ne vous comblera jamais. Aucune relation au connu, aucune relation à un autre être, ne pourra jamais vous combler, en aucune manière, parce que vous êtes déjà comblé. Là est ce qui pourrait apparaître comme funeste ou triste. Comment ce qui est (par exemple dans le paysage qui s'est dévoilé à moi), aurait pu ne pas être là, l'instant d'avant ? Ce qui a changé, c'est ma visionls, au-delà de toute perception et de toute vision même oculaire. Passer du connu à l'Inconnu ne peut se réaliser tant que vous maintenez quoi que ce soit de connu. Comme disaient certains enseignements dans le passé : « Si tu rencontres Bouddha, tue-le ». Le maître ne sert qu'à cela : à être tué. Toute relation est vouée à l'échec tant que vous demeurez dans le connu, même s'il remplit l'ensemble de votre vie. Que restera-t-il au moment du départ ? Que m'est-il resté quand je perdis, jeune, ce que j'avais de plus cher à mes yeux : le néant, l'anéantissement. Et c'est au sein de cet anéantissement qu'est né (enfin, je le croyais) ce qui était là, de toute Éternité. J'ai donc, en quelque sorte, transcendé le connu, effaré devant l'Inconnu de cette mort qui m'avait pris ce que j'avais de plus cher, pour découvrir, qu'en fait, aucune relation, au sein du connu, ne pouvait satisfaire quoi que ce soit.
Il fut donc, à ce moment-là, de ma responsabilité, comme cela l'est aujourd'hui, d'attirer votre attention, votre conscience, que rien de ce qui vous est conscient, qu'aucune relation présente avec un autre, ou même à l'intérieur de vous, dans les différentes parties de la personne, qu'aucune logique, qu'aucun cadre de références, qu'aucune action, ne peut vous mener à l'Inconnu. L'Action de Grâce, ce Mariage mystique ne se réalise, en définitive, qu'avec rien d'autre que ce que l'on pourrait nommer vous-même à un autre niveau (le double, si vous préférez). C'est le moment où le complexe qui a été nommé, je crois, inférieur (le corps physique et ses enveloppes subtiles), se marie avec le complexe, si l'on peut le nommer ainsi, au-delà du connu, dans l'Inconnu, au-delà même du corps d'Êtreté, au-delà même du Soi. Bien sûr, beaucoup d'êtres humains vivent aujourd'hui l'accès, je l'appellerais ainsi, au Soi : la réalisation du Soi. De manière tout à fait inopinée, de manière tout à fait joyeuse ou, là aussi, parfois, après une souffrance. Mais même ce Soi, quelque soit la légèreté qu'il procure, n'est la Vérité. La seule Vérité est celle que vous ne pouvez imaginer, concevoir, percevoir et ni même ressentir. L'Absolu est au-delà de toute perception et de toute sensation et surtout au-delà de toute projection, de toute relation, parce que toutes les relations deviennent non-attachement. Le Mariage mystique, ainsi que je l'ai vécu en regardant ce paysage, va bien au-delà de la simple communion de ce qui est vécu, mais vous fait réaliser l'absence totale de distance entre ce que vous croyiez être auparavant (une personne) et le paysage lui-même.
Je disais, de mon vivant, à celui qui m'interrogeait, sur cette autre rive, que je ne pouvais le faire traverser. Il n'y a que lui qui pouvait constater, par lui-même, ce qu'était cette autre rive. Il en est de même aujourd'hui. Aucune affirmation, aucune expérience au sein du connu (même au travers du cheminement Vibratoire, énergétique, que vous avez vécu, ou pas), ne peut vous emmener sur cette autre rive. Parce qu'il existe, au sein de ce qui est appelé la vie sur ce monde, au sein de la personne, quelle qu'elle soit, un principe dont il n'est même pas question de discuter l'existence, que je nommerais le principe de survie. Ce principe de survie inscrit une forme de pérennité illusoire dans ce corps. Si la main se pose sur quelque chose qui est chaud, indépendamment de votre décision, la main se retire pour éviter la brûlure. Ces mécanismes de survie sont parfaitement connus. Ils ne sont donc pas l'Inconnu et ils ne conduisent absolument pas à l'Inconnu puisqu'ils sont même le garde-fou vous empêchant, de façon fort logique, d'accéder et d'Être cet Inconnu. La relation juste est une relation qui devient impersonnelle et qui l'est, parce que dans le Soi, comme dans l'Absolu, il n'y a plus de limite, il n'y a plus de rôle, il n'y a plus de fonction, il n'y a plus d'organisation. L'autre n'est pas vu comme une autre forme, mais bien partie intégrante, au-delà de toute vision, de cet Inconnu que nous Sommes. De tout temps, des êtres ont renoncé à ce monde, espérant trouver l'autre monde. Bien peu y sont arrivés. Parce que renoncer au monde, c'est renoncer à la vie. Or, vous ne pouvez renoncer à la vie, même dans ses attachements, en le niant. Vous ne pouvez que le transcender, en transcendant justement, ce que j'ai nommé, la relation.
La Liberté et la Vérité sont un pays ou un territoire sans aucun chemin. Bien sûr, la personne que vous êtes, que vous croyez être, va vous faire croire en permanence à l'existence d'un chemin, commun, au travers de vos enfants, de l'être aimé, au travers d'un ami. Or, il n'existe aucun chemin pour l'Absolu. Il est là, de toute Éternité. Comment ce qui est là de toute Éternité pourrait être cherché ou trouvé, puisqu'il est déjà là. Quand nous vous disons que vous Êtes l'Éternité, que vous Êtes la Grâce, que vous Êtes le Don de la Grâce, ce n'est pas une affirmation gratuite ou une autosuggestion, qui d'ailleurs ne servirait à rien, parce que ceux qui ne le vivent pas ne peuvent que hurler leur désarroi et leur colère face à cela. Ainsi est l'ego, même rempli de Lumière. Vous devez, si tel est votre souhait, vous libérer totalement de tout ce qui est connu, concevoir qu'il n'y a pas de chemin, en définitive, pour vous apercevoir qu'il n'y a pas de territoire, qu'il n'y a pas de pays, qu'il n'y a pas de personne et qu'il n'y a pas de monde. Sans pour autant que cela soit un rejet de quoi que ce soit.
L'Inconnu n'a que faire du connu mais il l'intègre. L'Illimité n'a que faire de la limite et pourtant la limite ne peut être contenue que dans l'Illimité. Vous êtes exactement dans la même situation. Vous êtes exactement dans le même cas de figure et il n'y a que vous qui pouvez le réaliser, en acceptant qu'il n'y a strictement rien à réaliser. Ceci n'est pas un paradoxe, ni une opposition, encore moins un antagonisme. La seule relation exacte ne peut être établie avec l'une des parties du Tout mais bien avec le Tout. Or, toute relation avec le Tout, l'Absolu, le Brahman, n'est que la réalisation inconditionnelle de cet état, au-delà de tout état, de ce qui est bien au-delà même de la Conscience. La Conscience, en définitive (quelle qu'elle soit : limitée ou du Soi), ne sera que, toujours, l'expression d'une simple séparation, plus ou moins prononcée. Vous ne pouvez être séparé, en aucune manière, de ce que vous Êtes. Vous ne pouvez limiter ce qui est illimité. Aucune expérience ne vous y conduira. Il n'y a d'ailleurs aucun chemin et comme je l'ai dit, aucun territoire et aucun pays.
Si toutefois la personne que vous êtes, si toutefois le Soi que vous êtes, ne peut accepter, ni même envisager ce que je dis, alors, aucune importance, parce que, là aussi, il n'y a rien à projeter dans un quelconque désir d'être cela parce que vous l'Êtes, de toute Éternité. Il n'y a donc rien à désirer, de même qu'il n'y a rien à projeter, de même qu'il n'y a rien à être. Il y a juste à s'établir, en quelque sorte, dans ce qui est déjà établi. Aucune vie, aucun connu, ne pourrait même être envisagé sans être soutenu, contenu, par l'Amour, par l'Inconnu. Souvent l'humain parle de l'Amour. Il a même créé des religions, au nom de l'Amour, dont les actes ont été l'antithèse de l'Amour. Tout le monde connaît les relations amoureuses, filiales, maternelles, mêmes les plus idéales, qui se terminent toujours tragiquement. Pourquoi ? Parce que la mort, inéluctable, fait disparaître tout lien. Alors bien sûr, l'âme qui se réincarne dans une autre personne va, par désespoir ou par amour projeté, maintenir ces liens, ces relations, sous d'autres rôles, sous d'autres fonctions, sous d'autres perspectives, mais cela n'est pas la Liberté et ne conduira jamais à la Libération. Ainsi, même le karma, le libre arbitre, sont une hérésie, une création pure de la limitation, de l'enfermement. Ce que vous Êtes ne connaît rien de tout ça, ce que vous Êtes est au-delà de tout ça. Il ne suffit pas de le conscientiser parce que cela ne peut être conscientisé, ni réalisé, parce que, justement, cela a été toujours là. Là où se portent, avaient dit certains Anciens, votre Intention et votre Attention, se réalise la Conscience de ce que vous êtes ou de ce que vous croyez être.
En ce qui concerne ce qui a été nommé l'Onde de Vie et que je préfère appeler le Don de la Grâce, il n'y a strictement rien à faire. Il n'y a rien à vouloir. Il n'y a, non plus, rien à espérer. Il y a justement à laisser Être ce qui Est, de toute Éternité, sans aucune intervention de la personne, sans aucune intervention de l'émotion, du mental, du jugement ou d'une quelconque spiritualité. La relation (quand elle est saisie au-delà de tout ce qui peut être connu) vous libèrera parce qu'en définitive la seule relation pouvant demeurer et qui est Vérité, est bien au-delà de la relation, tel que cela est compris. Elle est Communion, Fusion, Dissolution. Elle est cette Extase ou cette Intase très particulière, au-delà du Samadhi, où l'identité (si farouchement maintenue dans l'Illusion) disparaît elle-même. Et dans la disparation de l'Illusion de l'identité, il y a établissement dans l'Absolu, où effectivement (et concrètement, non pas par projection, par désir ou supposition) tout est Un, parce que dans la même Grâce, dans la même Onde, dans la même Liberté. Saisissez bien aussi que vous ne pouvez supprimer aucune relation existant sur ce monde, mais changer de regard, vous servir de l'Intelligence pour saisir que tout est indéfectiblement relié. Mais non pas relié dans une relation de possession ou d'amour, quel qu'il soit, mais bien comme l'expression même de la Nature de l'Amour.




























Voilà ce à quoi la Terre se réveille et se révèle. Voilà ce à quoi le Don de la Grâce vous invite : à vous Marier. Mais non pas du mariage à ce corps ou à un autre corps ou à une autre âme ou à un autre esprit. Ce Mariage à l'Absolu vous restitue à l'Absolu. Il vous restitue à la seule Vérité : celle qui n'est pas inscrite dans le temps et dans l'espace, celle qui n'est pas inscrite dans un chemin ou dans un pays ou dans un territoire et encore moins dans toute organisation, quelle qu'elle soit. Tant que vous pensez devoir appartenir à quelqu'un, à une organisation, à un groupe social, à un groupe humain, vous n'êtes pas Libre. Être humain, c'est justement échapper, sans renier, à tout conditionnement, à toute perception, à toute conception, à réfuter tout ce qui est connu. Il n'y a pas d'autre voie. Il n'y a pas d'autre possibilité, dorénavant, que d'Être ce que vous Êtes, là où vous êtes. Ce Don de la Grâce représente l'ultime moment où, comme vous le disait La Source, le Serment et la Promesse sont réveillés. Ils ont toujours existé. Là où vous vous tenez est ce que vous êtes.


































Maintenant, regardez, avec intelligence, quelles sont vos relations. Toute la subtilité est là. Les religions vous ont enfermés dans un être extérieur qui pouvait vous sauver alors que ces Grands Êtres (et il y en eut de nombreux, même les plus grands d'entr'eux) ne vous ont dit, en définitive, qu'une chose (bien évidemment transformée par le principe même de l'organisation, quelle qu'elle soit) : que votre essence était l'Amour, que vous n'étiez pas de ce monde, mais sur ce monde. Il n'y a personne à suivre. Il n'y a éventuellement qu'à imiter ces Grands Êtres, non pas par imitation, mais par résonance, en quelque sorte. Tous ces Êtres n'ont jamais rien exprimé d'autre alors que les organisations, les religions ont organisé la Vérité ultime à leur convenance pour maintenir des relations de dépendance, d'enfermement. La société a exactement réalisé la même chose, que cela soit au travers de techniques, au travers de règles et même au travers d'une relation qui, paradoxalement, s'appelle amoureuse.L'Amour ne peut être une projection de quoi que ce soit, envers quoi que ce soit, puisque l'Amour est la Nature même de l'atome, des mondes, de toute Dimension, au-delà de toute appropriation, au-delà de toute supposition.
Aujourd'hui, le Don de la Grâce vous appelle, bien que le mot ne soit pas exact. Mais l'ensemble des circonstances de la Terre vous appelle. Le Son du Ciel, le Son de la Terre, les volcans, ne sont que le reflet de ce qui se passe en vous. L'appel perçu, dans le Ciel comme dans la Terre, est l'appel du Don de la Grâce, en vous. Il n'y a que le regard projeté qui voit un monde. Les luttes que vous observez sur ce monde ne sont que vos propres luttes. Tout ce que vous rejetteriez de ce monde ne représenterait que ce que, en définitive, vous rejetez de vous-même. Le Don de la Grâce est un appel à la Liberté et à l'Autonomie, à votre Responsabilité. Le Don de la Grâce est effectivement une jouissance permanente. Cette jouissance n'a que faire de la jouissance limitée, parce que c'est une jouissance Illimitée. La jouissance limitée appartient au cadre amoureux ou affectif. Il est obligé, comme je l'ai dit, de se reproduire sans cesse pour donner l'impression de se maintenir dans une permanence : que cela soit des caresses prodiguées, un regard donné, un baiser donné, une éducation d'un enfant, tout, et vous le savez pour le vivre, tout doit être reproduit, sans arrêt, chaque jour, chaque instant. Au début, bien sûr, avec facilité et évidence, et parfois jusqu'à la fin même, dans la même évidence. Mais ce n'est que de la reproduction, ce n'est que l'illusion de l'amour.
Le véritable Amour, celui qui vous fait considérer tous vos Frères comme partie intégrante de vous-même, parce que cela est la stricte Vérité, ne peut se révéler (bien qu'il ait toujours été là) que dès l'instant où vous acceptez d'aller au-delà de la personne. Je ne parle donc pas d'un quelconque narcissisme visant à aimer la personne, mais bien à aimer ce que vous Êtes, au-delà de toute personne, et donc de tout rôle : c'est être en relation réelle avec la Vérité et vous n'êtes rien d'autre que la Vérité. Vous n'êtes pas ce que vous projetez. Vous ne serez jamais ce que vous croyez idéalement maintenir dans une permanence, mais vous êtes réellement cette permanence. Il n'y a donc rien à chercher à l'extérieur parce qu'il n'y a pas d'extérieur.
Aujourd'hui, le Don de la Grâce va vous amener, ou pas, à vivre (parce que cela est votre Nature) le Don et la Grâce. Non pas le don d'un amour, non pas le don de soi, seulement, mais bien plus : au-delà de toute conscience, vivre la nature essentielle et primordiale de ce que vous Êtes. Seul le jeu de la distance, de la séparation, de la distanciation, de la personne, nous a tous fait croire que nous pouvons perdre quelque chose. Et c'est cette expérience même qui, souvent, conduit à l'Éternité. Parce que la douleur de la séparation est telle, est tellement intense et indicible, qu'elle ne peut que déboucher sur l'Absolu, rendant grâce, en quelque sorte, à la Grâce elle-même, mettant fin, alors, à toute Illusion. A ce moment-là, vous Êtes l'Amour. Le même Amour dans cette personne que vous n'êtes plus, dans l'atome, dans le soleil, dans l'être dit aimé, comme dans l'être appelé ennemi. Toutes ces appellations n'ont plus de sens parce qu'il n'y a strictement plus rien à appeler qui ne soit déjà présent en l'Absolu. Aujourd'hui, sur ce monde, tout cela est, je dirais, de plus en plus accessible et de plus en plus évident. En d'autres termes, il n'y a pas d'autre Apocalypse que celle-ci : tant que la personne envisage, d'une manière ou d'une autre, une fin, elle se sait donc finie, elle se sait donc éphémère. Celui qui vit cette relation ultime est sorti définitivement des jeux de rôles, des jeux de possession, des jeux d'attribution de rôles ou de pouvoirs. Parce qu'il n'y a pas d'autre pouvoir que le pouvoir de la Vie, qui est Don de la Grâce. Onde de Vie. Onde de l'Éther. Onde d'Éternité. Il n'y a pas d'autre Mariage que celui de votre Liberté. Il n'y a pas de chemin. Il n'y a pas de territoire. Il n'y a pas de limite.
Si la personne que vous êtes ne peut accepter (je dis bien ne pas accepter et non pas comprendre, parce que ce que je dis est inscrit au-delà de toute compréhension, j'ai appelé cela quelque chose que vous pouvez saisir dans son essence et non pas au travers de ces mots), alors je vous dirais simplement que cela Est, de toute Éternité, et n'a que faire de votre avis, n'a que faire de votre position, n'a que faire de votre adhésion ou de votre déni. Parce que tout cela ne peut altérer, en aucune manière, l'Absolu. Sinon en quoi serait-il Absolu et en quoi serait-il Ultime ? Voilà ce que, au travers de mon expérience vivante, et au travers de ce que je pourrais être tenté d'appeler ce que je représente aujourd'hui, je pouvais vous dire. Je pense que le temps qui m'était imparti arrive à son terme. Si nous en avons le temps et s'il existe quelque interrogation concernant, exclusivement, ce que je viens d'énoncer, alors je vous écouterai.
Nous n'avons pas de questionnement. Nous vous remercions. Je vous propose un instant. Cet instant n'est pas dédié à l'accueil de la Lumière, ni même à l'Onde de Vie, mais dédié simplement à être attentif. Un moment de méditation, sans objet, sans support, sans demande. Juste cela. C'est ma façon de rendre grâce à votre présence, ma façon de vous saluer et de vous dire à bientôt. Je vous dirai quand cela cessera. Maintenant.
... Partage du Don de la Grâce ...
À bientôt.
HERMANO K
17 de marzo 2012
Soy el hermano de K. Hermanos y hermanas, permítanme hacerles llegar mis felicitaciones por su presencia. Me ha preguntado hoy por la Asamblea de Ancianos, con mis palabras, le dará un número de elementos que le pueden ayudar en el siguiente, tal vez, que te siga a ti mismo, para descubrir lo que eres.
Tuve la oportunidad de hablar sobre la libertad, la autonomía, en el conocido y lo desconocido. En mi vida anterior encarnado en esta tierra he vivido, muy joven, un choque. El shock que sacude las estructuras de la vida de la persona (por lo general cuando se trata de una pérdida) experimentó una pérdida, por supuesto, como un drama. A menudo es en esas condiciones, como una parálisis de la vida misma: un arresto, un shock. Dolor indecible, de repente y al mismo tiempo, por su parte, va a cambiar lo que yo llamaría su relación con el mundo, su relación con la vida y, de alguna manera, su relación con la vida. En los días, semanas y meses que siguieron a la conmoción que experimenté (y para mí personalmente), meditando sobre el significado de este choque, su significado y su relación con mi propia vida, De repente uno, donde yo estaba (lo que yo consideraba como una forma de ensoñación), este paisaje, la naturaleza maravillosa que he visto se transformó de repente. Ella se convirtió en la vida como un soplo de animación que no sea lo que yo había visto en su vida a través de mis ojos. Todo está animado, todo se ha vuelto (y no tengo ninguna palabra mejor) Vivir. Un momento antes, lo que encontré fue simplemente hermoso y majestuoso entonces considerado muerto. Y, sin embargo, tuve que enfrentar los hechos: yo estaba viendo era todavía allí, pero albergaba diferentes calidades. Mi introspección, la meditación de mi tiempo, me obligó a ponerme una prioridad, no tanto sobre el significado de la experiencia, que es incomunicable, o incluso expresable en palabras o por cualquier otro arte que sea. Esta experiencia, lo que llamé entonces más allá de las palabras no pueden darse a conocer de ninguna manera. Como se sabe, a lo largo de la vida (por ejemplo, la forma de comer), puede expresar, pero nadie puede comer por ti, nadie puede ver a través de sus ojos. Pero todo el mundo ve y come todo el mundo. E incluso si las circunstancias de estos actos pueden tener un color diferente para cada persona, es, básicamente, los mismos hechos, las mismas funciones, para cualquier ser humano. Pero allí, en lo que estaba sucediendo, en lo que estaba pasando, hubo un elemento estrictamente desconocido, que me llevó, de alguna manera, de lo conocido. Y, sin embargo, mientras viva, por mi calidad de introspección que era mío, lo tomo de inmediato, nunca, puedo compartir esta experiencia trascendente. Que jamás podría, con las palabras, compartir lo que había experimentado.
Entonces me di cuenta de que la única cosa que fue posible en este momento (gracias a esta facultad de la introspección), fue el de describir, en cierto sentido, los medios que permiten ver más allá de lo que se vio , Más allá del velo, para pasar de lo que se conoce de este desconocido. Y ya que este fue el resultado (para mí, como a cualquiera que lo vi), para vivir la libertad, la autonomía y lo que he llamado hace poco, la responsabilidad. En primer lugar, lo que yo experimenté era completamente independiente de cualquier referencia a un pasado de cualquier referencia a mis propias experiencias anteriores, todas las referencias a una proyección menor de cualquier clase, a un deseo menor. Un momento antes, no estaba allí. Un momento después, que estaba allí. Y al momento siguiente ha cambiado radicalmente lo que era. Hubo, en efecto, un antes y un después. De la misma manera que el trauma de la pérdida enorme que había experimentado fue inscrito como un antes y un después. Un frente de donde yo había perdido nada. Y después de que yo tenía un profundo sentido de pérdida, el sufrimiento, el luto.


Allí, en la misma forma, dejando esta costumbre conocida, tuve la oportunidad de vivir (sin tratar, por supuesto) algo que no tenía nada que ver con el ámbito de la experiencia humana normal
, ya sea en lo ordinario, como en el espiritual. Lo más notable es que en ese momento mi relación con el mundo, mi relación con los demás, era inevitable y se transformó radicalmente. Todo lo que pude oír, todo lo que vivía era un tono, un color, una impregnación de que no hizo absolutamente nada de lo que podría tener la sensación, que el intelecto puede conseguir, o incluso las emociones que podrían proporcionar .

Así que me enfrenté a lo que yo llamo, aún hoy, que este desconocido, por supuesto, se ha convertido en mi naturaleza, ya que cada vez es tuyo.
Pero toda mi vida, por el shock inicial, me di cuenta y se apoderaron y trató de transmitir, lo mejor que pude, que este inefable, que este desconocido, no podría manifestarse y ser (aún habiendo estado siempre ahí), más que desde el momento en que lo conocido había desaparecido por completo. Entended bien que no se trataba de negar nada, sino de vivir algo diferente, sin buscarlo, y por lo tanto, analizar las circunstancias de la relación de la inteligencia y lo intenté para llevar (en la mayoría de mis entrevistas) La conciencia de mis hermanos y hermanas en lo que podría representar, de alguna manera, los obstáculos en la manifestación de lo que estaba allí de toda la eternidad, de todos los tiempos, pero que sólo , los mecanismos específicos, inscritos en el seno de la persona, literalmente, impidían literalmente que fuera vivido. He sabido que cualquier relación debe ser libre y que cualquier relación inscrita en una dominación, en un poder, en una organización (ya sea la más lógica: social, espiritual, familiar), nunca  permitiría vivirlo. Mientras  existiera la persistencia de un conocido, mientras la persona  sostuviera ese conocido incluso  en sus más agradables y con más encanto, los más amorosos, se podría decir), este absoluto no podría penetrar o, de alguna manera, dejarse penetrar por este desconocido. Comprendí también que la relación no tenía que ser rota, negada, sino en realidad (y no hay una palabra mejor) ser trascendida.


Mientras te encuentras atrapado en una relación, sea cual sea, sea la más bella, no puedes descubrir lo desconocido.
Debido a que la relación, en esencia, siempre se basa en una necesidad de confianza, una necesidad de amor, una necesidad de certeza. Sin embargo, todas estas relaciones no son libres. Dan la impresión de la libertad, el
sucedáneo la libertad de , el sucedáneo del amor, pero no te permitirán, nunca (en su cumplimiento más total, incluso), vivir lo desconocido y vivir la Libertad. No hay, fundamentalmente, relación libre. La única relación real es la que se establece mucho más allá de la persona, más allá del alma, más allá del espiritu, más allá de cualquier discurso que podría hacer creer en la existencia de relaciones entre las almas, entre los espíritus, entre las dimensiones, o entre usted y lo que sea. Yo vine en ese momento, para disolver mi pertenencia a toda organización. Porque a partir de este momento, sé que ningún movimiento, ninguna organización, ningún grupo podía realizar esto a causa, porque todo esto no podría ser inscrito en nada conocido,  nada organizado, estructurado o sistematizado.

Lo desconocido no puede acomodarse a nada conocido.
Lo conocido nunca conduce a lo desconocido.







Esto es algo que tienes que deshacer y ser arrojado, ya, de cualquier relación.
Ingrese a pesar de que no preguntes, no, o qué sugiere usted, no, de romper o deshacer cualquier tipo de relación, sino más bien para trascender, más allá de cualquier sentido de la organización, más allá de ningún sentido de la propiedad o la propiedad. La Libertad, la Autonomía, la Responsabilidad, el Ser, no se pueden establecer más que desde el instante en que habéis roto, mismo en los mecanismos de vuestro pensamiento, todos los apegos a cualquier religión, a cualquier persona, a cualquier cualquier identidad que sea. Usted no puede reclamar para ser verdaderamente libre sin soltar. Usted puede encontrarse el ser desconocido, estar en lo conocido, lo que sea. Cualesquiera que sean los nombres que pueden dar diferentes corrientes y la iniciación tradicional, incluso en su exactitud de las palabras, nada les permitirá vivir lo desconocido,en tanto estén en lo conocido. Debido a que, por definición, en este mundo, todo lo que les es conocido necesariamente pertenece a una reproducción, un efímero, a algo que pertenece a una convención. Convención, que necesariamente se inscribe en la dependencia afectiva, social, familiar, y que jamás le permitirá vivir la Independencia. Los poetas han dicho: "Tus hijos no son vuestros hijos." Esta es la verdad. Siempre y cuando exista en usted un sentido de propiedad, un sentimiento de apego a cualquier persona, a cualquier concepto que sea, usted no puede pretender el Desconocido, la Libertad y mucho menos  la Liberación. Entended bien (y ahí está la paradoja o, si se puede decir, la aparente dificultad) que no hay por tanto nada que rechazar, nada que romper, si no es en ti mismo, a nivel de lo que concibes, lo que crees, todo lo que ha sido experimentado.

 
Ninguno desconocido puede ser instalado al mismo tiempo se encuentra en el conocido. La libertad no puede aparecer a menos que usted no es libre. Sin embargo, la experiencia que he vivido, este acceso a lo que estaba viviendo, es la libertad. Debido a que es desde toda la eternidad, independientemente de cualquier circunstancia, independientemente de toda mirada, de toda persona.
Así que me pidieron que hablara en detalle (como imágenes, a veces), tratando de decir y expresar que nunca ningún otro ser humano puede hacerle vivir este Desconocido (ya que es un enfoque personal, más allá de la persona), que no puede haber ningún otro salvador fuera, que no puede haber opiniones externas a ti mismo y el momento se establece una relación (en lo conocido, de pareja, de maestro a alumno), no puede haber libertad. Así que le dije y reitero hoy, que no hay ningún gurú, ningún maestro, ningún ser que pueda conducirle a la libertad y la liberación. Sólo hay resonancias (en el seno una relación tan libre como sea posible) que pueden provocar que reconsidere lo que se llama libertad, la liberación, lo que se llama el conocidlo. Puede, al igual que otros antiguos diría, eliminar (sin rechazar) de la cabeza, todo lo que se conoce.





 
Los extraños no pueden estar allí. Por tanto, existe una brecha y la trampa de todos los de la persona que está aquí, que es creer que la luz, al incidir en las estrellas, en las coronas, te llenará y algo a su vez, en ti. Es imposible. Era un paso. Sin embargo, Libertad y Liberación en vivo, es abandonar más de la persona. Es a abandonar incluso la luz que se experimenta como externo.



La luz no se puede estar lleno de luz.
Ser libre no es evocar la Libertad. Ya está captar lo que no lo es. Del mismo modo, el Absoluto no puede ser entendido. Sólo puede ser abordado a través de lo que no. Del mismo modo que había en mi sorpresa (que es también la conmoción de todo el mundo) un antes y un después, en realidad hay un paso. Este pasaje no puede ser decidido dentro de lo conocido. Se requiere, más allá del abandono de la Luz, un abandono de sí mismo y la persona en su totalidad. Eso no significa que el suicidio o el hecho de negar cualquier cosa sino estar en una nueva lucidez, a aceptar que no puede haber ninguna autoridad, ningún ser, ni gurú, ni dios , las circunstancias que pueden conducir a lo que eres. Esto es, una vez más, que su conciencia fuera de todo lo que es consciente, todos los experimentos que finalmente se superará incluso la conciencia del Yo. Dando lugar a lo que podríamos llamar, de diferentes maneras, el Todo, el Absoluto, "Yo y el Padre somos uno", o el Brahman y Parabrahman, o, si lo prefiere, el fin de lo conocido.






Siempre habrá, en cualquier relación, una barrera de protección.
Esta medida de seguridad todavía está inscrito en comparación con una norma estándar,. Yo digo, como dije en mi vida, la regla no, no hay forma, no tiene límites se puede mantener en el Unlimited. No hay una definición, el concepto no y no en sí la percepción (sensorial habitual) no se puede definir lo que no encaja en ninguna definición. Sin embargo, aquí es donde se encuentra la Verdad, la Eternidad y gradas, en exclusiva, que somos, lo somos. La libertad se inscribe en una relación totalmente nueva, despojada, por supuesto, de todo apego, todo rol, toda función mismo, ysobre todo de toda voluntad inherente a la persona. No hay mayor obstáculo a la libertad de la voluntad, así, la voluntad de la organización, estructura, experiencia. No hay obstáculo mayor para el desconocido que lo conocido. No hay fuerza mayor que lo que usted cree en su persona conocida, la vida, la experiencia, la historia personal, la leyenda personal. Todo lo que usted tiene, a mantener, en una final e inexorable. Por lo tanto, debemos aceptar como nuestra, dijo el comandante (ed: OM Aïvanhov) a dejar ir, no tomar nada, para hacer frente al vacío de la experiencia, vivir en plenitud. Usted sólo puede ser llenado por ninguna conciencia de lo que usted debe llenar, o ser lo que eres.






El enfoque de la relación (independientemente de la relación) debe ser visto como un proceso de liberación total y la libertad. El amor es la libertad. El amor es la liberación. No es en la proyección de cualquier cosa fuera del ser, incluso si es atractiva, incluso si esto es tranquilizador, aunque pueda parecer lo abruman. Piense: ¿por qué, incluso dentro de una relación por lo general no habría que empezar algo que te llene de forma permanente (esto es mirar, hacer el amor)? Lo que comprometen el acto con otro u otra, debe haber una reproducción, porque hay realmente se necesita para llenar lo que está vacío en ti. Ahora, a llenar con algo que nunca se llena. No tiene relación con lo conocido, no tiene relación con otro ser, nunca se puede llenar de cualquier manera, porque ya están llenos. Esto es lo que puede parecer como algo fatal o triste. ¿Cómo es que (por ejemplo, en el paisaje que se revela a mí), no podría estar allí en el momento antes? Lo que ha cambiado es mi visión, más allá de toda percepción y la visión, incluso cualquier ojo. De lo conocido a lo desconocido sólo se puede lograr siempre y cuando usted tiene todo lo conocido. Como se ha dicho algunas lecciones en el pasado: "Si usted cumple con Buda, mátalo". El maestro sólo sirve esto: para ser asesinados. Cualquier relación está condenada al fracaso y cuando te mantengas en lo conocido, a pesar de que llena toda su vida. ¿Qué quedará allí a la salida?






¿Qué es lo que dejé cuando perdí, joven, lo que era más querido para mí: la nada, la aniquilación. Y es en esta aniquilación nació (bueno, pensé) lo que había allí, por toda la eternidad. Así que, de alguna manera trasciende lo conocido a lo desconocido miedo a la muerte que me había tomado lo que me es más querida, para descubrir, de hecho, no hay relación, dentro de lo conocido , no podía satisfacer a cualquier cosa.
Por lo tanto, en ese momento, mi responsabilidad, como lo es hoy, para llamar su atención, su conciencia, que nada de lo que usted sabe, ninguna relación actual con otro, o incluso dentro de ti, en diferentes partes de la persona, no hay lógica, no hay marco de referencia, ninguna acción, puede dar lugar a lo desconocido. La Acción de Gracias, el matrimonio místico se realiza en el extremo con nada más que lo que uno puede ser que se llame a otro nivel (dos veces, si lo prefiere). Esto es cuando el complejo fue llamado, creo, menos (el cuerpo físico y sus envolturas sutiles), se casa con el complejo, si se puede llamar a los que, más allá de lo conocido, en el Desconocido, incluso más allá del cuerpo de la esencia, incluso más allá de uno mismo. Por supuesto, muchas personas viven hoy en día el acceso, que yo llamaría así, que el Ser: la auto-realización.



Así que totalmente inesperado, tan feliz, total o, una vez más, a veces después de un sufrimiento.
Pero incluso este auto, cualquiera que sea la luz que proporciona, es la Verdad. La verdad es el único que se puede imaginar, diseñar, o incluso percibir y sentir. El Absoluto está más allá de toda percepción y sensación, y sobre todo más allá de cualquier proyección de cualquier relación, porque todas las relaciones se convierten en no-apego. El matrimonio místico, y viví de ver este paisaje, va mucho más allá de la simple comunión de lo que se vive, pero te hace darte cuenta de la completa falta de distancia entre lo que se pensaba antes (un persona) y el propio paisaje.

Yo dije, en mi vida, a los que me preguntó por el otro lado, podría llevarlo al otro lado.
Sólo él podía constatar, por sí mismo, lo que hay del otro lado. Es el mismo hoy. Ninguna declaración, sin experiencia dentro de la conocida (incluso a través de la progresión de la vibración de energía, que han experimentado o no), usted puede tomar en esa otra orilla. Porque allí, en lo que se llama la vida en este mundo, en la persona de cualquier tipo, un principio que no es ni siquiera discutir la cuestión de la existencia, que yo llamaría el principio de la supervivencia. Este principio de la supervivencia incluye una forma de continuidad ilusoria en este cuerpo. Si se coloca la mano sobre algo que está caliente, independientemente de su decisión, retira la mano para evitar la quema. Estos mecanismos de supervivencia son bien conocidos. No son lo desconocido y  no conducen en
absoluto a lo desconocido, ya que son la misma seguridad (barandilla) que evita de forma tan lógica, y el acceder y Ser este desconocido. La buena relación es una relación que se vuelve impersonal y eso es porque en el Ser, como en el Absoluto, no hay límite, no hay rol, no hay más función , no hay más organización. El otro no es visto como otra forma, sino una parte integral, más allá de cualquier visión, de esta nos son desconocidos. A lo largo de la historia, seres humanos han renunciado a este mundo, con la esperanza de encontrar otro mundo. Muy pocos llegaron allí. Debido a renunciar al mundo, es renunciar a la vida. Pero no se puede renunciar a la vida, incluso en sus apegos, negándola. Sólo se puede trascender, trascendiendo precisamente, lo que he llamado la relación.




La Libertad y Verdad son un país o territorio, sin ningún camino.
Por supuesto, la persona que eres, te crees que eres, siempre vas a creer en la existencia de un camino, comunes, a través de sus hijos, el ser querido, a través de un amigo. Sin embargo, no hay manera de que el Absoluto. Él está ahí para toda la eternidad. ¿Cómo lo que hay por toda la eternidad podría buscar o encontrar, ya que ya está ahí. Cuando te dicen que son la eternidad, ¿Es usted la gracia, ¿Eres tú el don de la gracia, esto no es una afirmación gratuita o autosugestión, que también serviría de nada, porque los quien no vive solo puedo gritar su consternación e ira en este. Así, el ego está aun lleno de luz. Usted debe, si así lo desea, totalmente libre de todo lo que se conoce, concebir que no hay camino, en última instancia, sólo para encontrar que no hay territorio, que no hay país, que no hay individuo y que no hay mundo. Sin que sea un rechazo de cualquier cosa.






El desconocido no tiene ningún uso de lo conocido sino que la integra.
El ilimitado no tiene límite de uso y, sin embargo el límite no puede estar contenida en el ilimitado. Usted está en la misma situación. Usted es exactamente la misma situación y no es que lo puedes lograr, aceptando que no hay absolutamente nada que ver. Esto no es una paradoja, ni la oposición, el antagonismo ni mucho menos. La única relación exacta no se puede establecer con una de las partes del Todo sino con el Todo. Sin embargo, ninguna relación con el Todopoderoso, el Brahman Absoluto, es la realización incondicional de este estado, más allá de cualquier, lo que es mucho más allá incluso de la conciencia. La conciencia, en la final (lo que puede ser limitada o el Ser), que será, siempre, la expresión de una simple separación, más o menos pronunciada. No se puede separar de ninguna manera, que tú eres. Usted puede limitar lo que no tiene límites. No se requiere experiencia le llevarán hasta allí. Tampoco hay una ruta de acceso y como ya he dicho, ningún país y ningún país.


Sin embargo, si la persona que eres, pero si usted es el Ser, no se puede aceptar o siquiera considerar lo que digo, pues, irrelevante, porque, de nuevo, no hay nada que se proyecte en cualquier
deseo de ser que debido a que son, por toda la eternidad. No hay nada que desear, por lo que no hay nada que proyecto, por lo que no hay nada que sea. Sólo hay que establecerse, de alguna manera, en lo que ya está establecido. Ninguna vida, ningún Conocido, ni siquiera sería posible que fuera concebida sin ser sostenida, contenida, por el Amor, por lo Desconocido. A menudo el
humano habla del amor . Incluso ha creado las religiones en el nombre del Amor, cuyas acciones han sido la antítesis del amor. Todo el mundo conoce las relaciones, ramas, infantiles, incluso los más perfectos, que siempre terminan trágicamente. ¿Por qué? Debido a la muerte, elimina inevitable, en cualquier enlace. Así que por supuesto, que el alma se reencarna en otra persona la voluntad, de la desesperación o el amor proyectado para mantener esos vínculos, esas relaciones, en otros papeles en otras funciones, desde otras perspectivas, pero esto La libertad no es y nunca conducirá a la liberación. Por lo tanto, incluso el karma, el libre albedrío, son una herejía, una pura creación de la limitación, del confinamiento. Lo que Sois no conoce nada de todo eso, lo que Sois está más allá de todo eso. No es suficiente para dar a conocer porque no puede ser traído a la conciencia, ni se dio cuenta, porque, de hecho, todavía estaba allí. Allí donde se colocan, había dicho algunos de los ancianos, vuesta Intención y Atención, se da cuenta la Consciencia de lo que sois  o lo que creéis ser.En cuanto a lo que se ha llamado la ola de la vida y que yo prefiero llamar el don de la gracia, no hay absolutamente nada que ver. No hay nada que desee. No es, tampoco, nada que esperar. No es sólo para que se lo que es, por toda la eternidad, sin ninguna intervención de la persona, sin ninguna intervención de la emoción, la mente, el juicio, o la espiritualidad alguna. La relación (cuando se escribe más allá de lo que puede ser conocido) os hará libres, porque en última instancia, la única relación que puede permanecer y que es la verdad, es mucho más allá de la relación, ya que esto se entiende. Se trata de la comunión, fusión, disolución. Este es el éxtasis o Intase esta muy especial, más allá del Samadhi, donde la identidad (tan ferozmente mantenida en la ilusión) se desaparece.





 
Y en la desaparición de la ilusión de la identidad, hay establecimiento en el Absoluto, que en realidad (y prácticamente, no por proyección, por hipótesis o deseo) todo es Uno, porque el mismo resultado en el misma onda, en la misma libertad. Escriba todo lo que no se puede eliminar cualquier relación de este mundo, sino cambiar la mirada, se utiliza la inteligencia para comprender que todo está indefectiblemente conectado. Sin embargo, no está conectado en una relación de posesión o de amor, sea cual que sea, sino como la expresión misma de la Naturaleza del Amor.



Esto es lo que la Tierra se despierta y se da vuelta.
Esto es lo que el don de la gracia te invita: Cásate con usted. Pero no para contraer matrimonio en este órgano u otro organismo o de otra alma o el espíritu a otro. Absoluta del amor de este año se vuelve a la absoluta. Le devuelve a la única verdad: el que no se ha registrado en el tiempo y el espacio, que no está registrado en una ruta o un país o territorio, y mucho menos en cualquier organización, alguna. Mientras usted siente que debe pertenecer a alguien, una organización, un grupo social, un grupo de personas, no son gratuitos. Ser humano es justamente escapar, sin negar, a cualquier condicionamiento, a cualquier percepción, a cualquier concepción, refutar todo lo conocido. No hay ninguna otra manera. No hay otra posobilidad, de ahora en adelante, que Ser lo que Sois, allá dónde estéis. El don de la gracia es el último momento, como usted ha dicho, La Fuente, el juramento y la promesa se despiertan. Siempre han existido. Allí  donde estáis es lo que sois.



Ahora miren con la inteligenciacuales son sus relaciones.
Toda la sutileza está ahí. Las religiones os han encerrado en un ser exterior que podría salvaros mientras estos Grandes Seres (y había muchos, incluso el mayor de ellos) no os han dicho, en última instancia, sólo una cosa ( obviamente, transformado por el principio mismo de la organización, sea lo que sea): que el amor era vuestra esencia, que no érais de este mundo, sino que estabais sobre este mundo. No hay nadie a seguir. Finalmente, no hay más que imitar a estos grandes seres, no por imitación, sino por la resonancia, de alguna manera. Todos estos seres no han expresado ninguna otra cosa, como a las organizaciones, las religiones han organizado la verdad última a su conveniencia para mantener las relaciones de dependencia, de encerramiento. La compañía ha hecho exactamente lo mismo, ya sea a través de la tecnología, a través de reglas e incluso a través de una relación que, irónicamente, se llama amor. El amor no puede ser una proyección de lo que sea, hacia lo que sea, ya que el amor es la naturaleza misma del átomo, de los mundos, de toda Dimensión, más allá de cualquier apropiación, más allá de cualquier suposición.Hoy en día, el don de la gracia que llama, aunque la palabra no es correcta. Pero todas las circunstancias de la tierra te está llamando. El Hijo del Cielo, el Hijo de la Tierra, los volcanes son sólo un reflejo de lo que sucede en usted. La llamada recibida, en el cielo como la tierra se llama el don de la Gracia, en ti. Sólo es la mirada proyectada que ve un mundo. Las luchas que se ven en este mundo son sólo sus propias luchas. Todo lo que  rechazan de este mundo, sería sólo lo que, en última instancia,  rechazan de sí  mismos. El don de la gracia es un llamado a la libertad y la autonomía, su responsabilidad. El don de la gracia es en realidad un ejercicio permanente. Este disfrute se limita únicamente al disfrute, porque es un goce ilimitado. El goce limitado pertenece al cuadro amoroso  o afectivo. Está obligado, como ya he dicho,a repetirse sin cesar para dar la impresión de mantenerse
en una permanencia : se prodiga caricias, dirigió una mirada, un beso dado una educación de un niño, todo, y usted sabe de la vida, todo debe ser reproducido sin parar, cada día, cada momento. En un primer momento, por supuesto, fácil y claramente, e incluso a veces hasta el final, la misma evidencia. Pero no es más que la reproducción, es sólo la ilusión del amor.
El verdadero amor, el que os hace considerar a todos sus hermanos como parte integrante de si mismo, porque esa es la
estricta Verdad , no puede revelarse (a pesar de que siempre ha estado ahí) más que desde el instante en que aceptéis ir más allá de la persona. Yo no hablo de ningún narcisismo a amar a la persona, sino a amar lo que eres, más allá de toda persona y por lo tanto de todo rol: es estar en una relación real con la verdad y no Sois nada más que la Verdad. No sois lo que proyectáis. Usted nunca será lo que usted cree idealmente mantener en una permanencia, sino que en realidad sois esa permanencia. No hay entonces nada que buscar en el exterior, porque no hay exterior.





Hoy en día, el don de la Gracia le llevará, o no, para vivir (porque es su naturaleza) y el don de la Gracia.
No es el don del amor, no el don de sí, solamente, sino mucho más: más allá de toda conciencia, a vivir la naturaleza esencial y fundamental de lo que eres. Sólo el juego de la distancia, la separación, el distanciamiento, la persona, nos hizo creer que podemos perder algo. Y es esta experiencia mismo la que a menudo conduce a la Eternidad. Debido a que el dolor de la separación es tal, es tan intenso e indescriptible, que sólo puede conducir a lo Absoluto, dando gracias, de alguna manera, a la Gracia misma, finalizando, por tanto, cualquier Ilusión . En ese momento, Sois Amor. El  mismo
Amor en la persona que ya no es, en el átomo, en el Sol, en el ser denominado amado, como en ser llamado enemigo. Todas estas denominaciones no tienen sentido porque no hay absolutamente nada más que denominar que no está ya presente en el Absoluto. Hoy, en este mundo, todo esto es, yo diría, más accesible y más y más evidente. En otras palabras, no hay otro apocalipsis más que esto: cuando la persona está considerando la posibilidad, de una manera u otra, un fin, ella sabe que es tan largo, así que sabe que efímero. El que vive esta relación última ha salido definitivamente de los juegos de roles, de los juegos de posesión, de los juegos de atribución de roles o de poderes. Porque no hay otro poder que el poder de la Vida, que es Don de la Gracia. Ola de la vida. Ola de éter. Ola de la Eternidad. No hay otro matrimonio que no sea el de su libertad. No hay camino. No hay territorio. No hay límite.

Si la persona no es capaz de aceptar (y me refiero a no aceptar y entender que no, porque lo que yo digo se escribe más allá de toda comprensión, me llamó algo que se puede captar en su esencia
y no a través de palabras), así que me diría que esto Es, de toda la Eternidad, y no tiene nada que ver con su opinión, con su posición, con su adhesión o su negación. Debido a que todo esto no puede alterar en modo alguno, el Absoluto. De lo contrario ¿cómo sería absoluta y la forma en que lo haría Ultimate? Esto es lo que, a través de mi experiencia de vida, y por lo que yo podría tener la tentación de llamar a lo que representan hoy en día, yo podría decirte. Creo que el tiempo asignado para mí llega a su fin. Si tenemos tiempo y si hay alguna pregunta con respecto a, en exclusiva, que acabo de mencionar, entonces voy a escuchar.
No tenemos más preguntas. Gracias.


Propongo un momento. Este momento no se dedica a la acogida de la Luz, o incluso la Onda de la vida, sino sólo a estar atento. Un momento de meditación, sin objeto, sin apoyo, sin demanda. Sólo eso. Esta es mi manera de dar gracias a su presencia, la forma en que te saludan y te dicen pronto. Yo le dirá cuándo acabará esto. Ahora.
... Compartir el don de la gracia ...
Nos vemos pronto.

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